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Cdte. Katara
Respect diplomatique : 344 ![]() 16/05/309 ETU 15:22 ![]() |
Score : 7
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L'amazone, allongée près du corps inerte du viel homme, s'occupait à dégager le sable qui glissait et s'infiltrait dans la cape de Quaideluz. Elle était si concentrée sur la tâche, qu'elle n'avait pas remarqué la présence nouvelle qui s'était rapproché du groupe. Elle fut alertée lorsque cette personne commençait, discrètement, à se retirer... Avec un mouvement souple elle se releva... Minute papillon ! Qui est-ce ?... Tiens... je me souviens de vous ! Vous êtes la renégate que j'ai croisé en Songe et qui m'a dessiné ma tenue !... Que faites-vous ? Vous êtes stressée, on dirait... A peine venue, que déjà vous filez ?? Vous semblez mal à l'aise... qu'est-ce qui vous met dans cet état ?? Du caaalme !! Une pensée traversa alors la tête de l'Amazone. Et pas des plus belles... Une renégate... étrangère au groupe... le Rhum qui disparaît... une attitude des plus suspectes... Elle se retourna vers le groupe... Hé, les filles ! Venez voir qui voilà !... - dit-elle à l'adresse de Cornélia, Jehna et Aïlin tout en gardant un sourire artificieux... - Non, pas toi Largo... Occupes toi plutôt de notre papy. Les filles se rapprochaient, Katara fit le tour de Marion et se plaça derrière elle... Marion était encerclé par les quatre écumeuses...
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Cdte. Marion Orca
Respect diplomatique : 952 ![]() 17/05/309 ETU 09:11 |
Score : 3
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Marion a salué, crié et elle s’est jetée sur Quaideluz pour lui faire du bouche-à-bouche, demandé ce qui se passait et… personne ne se serait aperçu de sa présence ? C’est un peu difficile à imaginer… mais bon ! ................... Ils avaient enfin réagi, comme sortis d’une léthargie profonde. L’Amazone avait soudain paru se réveiller et elle avait mis quelques secondes à la reconnaître… Marion avait l’impression d’être dans un espace-temps très particulier, comme si elle n’avait fait que rêver ce qu’elle avait dit ou fait. Ce lieu était vraiment étrange et inquiétant. Elle regrettait d'être venue et se maudissait intérieurement. Vous êtes sûre que vous vous sentez bien, Katara ? C’est vous qui m’aviez invitée alors… vous vous en souvenez au moins ? Et j’ai apporté les maillots de bain, effectivement. C’est sûrement la chaleur… ou le bonhomme par terre là-bas… j’ai… j’éprouve comme un malaise… Les quatre femmes s’étaient rapprochées, et elles l’encerclaient carrément. Le sourire de Katara était bizarre, et la lueur dans les yeux de l’Amazone lui disait que quelque chose n’allait pas. Le malaise de Marion s’accentua. Elle posa lentement son sac par terre pour avoir les deux mains libres… Quelle belle journée, Mesdames ! Je vous montre les maillots ?
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