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Cdt. Grimgor
Respect diplomatique : 93 29/04/308 ETU 18:40 |
Score : 8
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L'hologramme qui était désormais bien connu comme le signe de l'intervention de l'horrible commandant Grimgor s'alluma. Dans une parfaite brume bleutée, le commandant Grimgor apparu pour la seconde fois sur une affaire qui prenait de plus en plus des airs de jugement. La salle était de plus en plus pleine. Des dizaines de commandants avides de sang et d'aventure s'étaient pressé en ces lieux pour suivre cette palpitante affaire. S'éclaircissant quelques instants la gorge, il sentit le sang lui monter à la tête comme à chacun de ses discours. Puis il commença à déclamer de son effrayante voix. -HAHAHA, j’avais presque oublié que vous étiez notre représentante dames Ortile ! Il est vrai que le vote pour votre élection n’a pas été effectué…belle démocratie…même s’il n’y avait pas d’autres candidats. Hé, et puis cette taverne dont vous parlez. Un lieu peu fréquenté à ce que vous dites. Pour ma part, il est vrai que je n’en étais pas grand visiteur car je n’y avais pas accès, pas facile d’aller voir donc. Mais bon, ce ne sont que des détails. -En plus de multiples détails de petites importances, vous critiquez mes offres de planètes au commandant Lyne Musica alors que je désirais une fermeture du secteur. J’aimerais cependant rajouter que dans votre campagne, vous aviez dit être fermement opposé à cette fermeture. De même lors d’une lointaine discussion privée. Je ne vois donc pas où est le problème que Lyne vienne nous rejoindre vu qu’il n’y a pas de cette loi. Ha, et y a aussi l’blem de tes vaisseaux… Grand problème en effet. J’en ai longtemps parlé avec Lyne… Je vous rappelle l’histoire. Un point de cordonnée entièrement possédé par Lyne et ne se trouvant pas en pc 1 d’un système. Et sur ce point de coordonnée, après la destruction, surprise, des frégates portenef. Evidement, il n’y a rien de dangereux avec ces objets, ça envahis juste des planètes, où est le mal hein ?! M’enfin, faudra voir avec Lyne Musica directement aussi. L’espace de quelques instant Grimgor saisit ses quelques notes de son pupitre ppur enfin tomber sur l’allocution de Borgnefesse. -Ha oui, voilà ! Vous parlez de mes planètes dans les systèmes impairs hein ? Vous parlez de 80 dans ces systèmes de natifs. Mais vous n’avez pas parlé d’un point important. Les commandants Loki et Légionnaires sont partis en me cédant la totalité de leur planète et chacun possédait système entier d’planètes impaires Faut aussi que les cas de suicides chez les jeunes commandants sont très élevés, ce qui explique très bien les planètes libres que j’ai conquises en ces lieux.. Voilà voilà, je pense que j’ai pour le nomment tout dit. Je ne peux cependant pas répondre à votre requête Arkange. Pas de génocide parce que cela les fait trop souffrir…certes. D’ailleurs, ça me rappelle un ancien proverbe ork : « Faire souffrir les gens, c’est pas humain, faut les tuer d’un coup sec ! ». Bon, c’est un aut’ culture vous pouvez pas comprendre. Mais bon… ce conflit prend plutôt un chemin de souffrance à longue durée. Sur ce, l’hologramme bleuté s’éteignit et le calme retomba sur la salle.
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Cdte. Ortile
Respect diplomatique : 43 30/04/308 ETU 14:34 |
Score : 4
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Je penses que vous ne savez plus très bien ce que vous dites Grimgor. Il y avait deux candidats au poste de représentants et j'ai été élue par la suite. Si vous avez été banni de l'auberge ou ce sont fait les élections, je ne pouvais pas le savoir vu qu'elle appartenait à Mahaut.. mais lorsque j'ai construit la salle des lois vous y avez été invité comme tout le monde. Mais je n'ai pas le temps pour me justifier à chaque fois que vous essayé de me rabaisser. Je garde en mémoire votre hypocrisie. En attendant je retournes m'occuper de mes hommes, de mes blessés et de mes morts.
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Cdt. Agrippa
Respect diplomatique : 413 03/05/308 ETU 15:04 |
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Score : 10
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[] Déclaration du Grand Sanatorium de Jonction [] La face ravagée du professeur Agrippa émergea dans une onde de pixels sur les écrans de l'assemblée. Il toisa l'assistance avec hauteur, puis s'exprima de sa voix rauque... " Nom de Freud, commandants... allons-nous laisser faire ? Nous nous indignons du génocide qui se déroule sous nos yeux, sans que la moindre nation extérieure n'intervienne afin de réguler ce conflit, ou du moins, de tenter d'endiguer sa cruelle sentence. Nous ne pouvons tolérer que deux nations soient purement et simplement exterminées. Nous souhaitons qu'elles soient jugées, oh oui, jugées, comme il se doit...héhéhé. Mais certainement pas exterminées sans que les dernières obligations dignes de dirigeants galactiques ne soient observées. Nous insistons pour régir le tribunal qui jugera ces deux commandants, avec l'assentiment du chef Ork en tant que principal témoin de l'accusation. Oh, nous avons déjà pris les devants. Afin de garantir la vie sauve aux deux accusés le temps de leur procès, le Grand Sanatorium leur a accordé l'asile politique et carcéral...hihi... dans nos meilleurs centres..thérapeutiques. Nous garantissons d'ailleurs leur pleine coopération pendant le procès, ça ne fait...héhé... aucun doute. En conséquence de quoi nous demandons au puissant chef Ork de suspendre ses attaques, le temps que les dernières possessions de ces deux criminels soient léguées au Grand Sanatorium, garantissant ainsi la sécurité de leurs peuples le temps que le procès aboutisse à une condamnation placée sous la bienveillance d'un jury qu'il plaira au seigneur Ork de composer avec le maître de la capitale galactique, le commandant El Coco. Nous nous proclamons, du fait de cette initiative, juges de cette cour improvisée, assurant cette assemblée de notre inaltérable neutralité. Notre mission est civilisatrice. Le génocide civilisé, oui, la barbarie sans style, non ! Chef Ork, acceptez notre requête au nom des liens cordiaux qui nous unissent ! Commandants Ortile et Borgnefesse, vous disposez déjà de notre asile. Acceptez-vous de mettre vos dernières colonies sous tutelle le temps d'un procès ? Commandant El Coco, acceptez-vous de composer avec le chef Ork un jury de sept commandants qui m'aideront à rendre un verdict ? Commandants ! Voilà l'opportunité d'une bonne tranche de joutes verbales, de moments tendus et glorieux ! De quoi épicer un conflit qui jusque là n'intéressait personne ! De quoi allier la farce et le hasard de la Justice ! La seule vérité est que nous garantirons la survie de ces commandants, qui sont nos pairs et qui méritent pour cela toute notre considération et notre respect. A très bientôt, commandants. Héhéhé... " Fin de communication |
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Cdt. Ab Skyh
Respect diplomatique : 449 03/05/308 ETU 19:51 |
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Score : 11
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Ab regardait passer les leems... Oui, son voyage l'avait éprouvé. Pensez donc, une cure de déleemisation qui n'avait eu pour seul effet, que le rendre plus dépendant encore... Quatre jours complets sans voir la seule face de la plus petite rondelle! Aucun marchand ne l'aurait supporté. Et à ce titre Ab ne dérogeait pas à la règle. Dans ce monde médical, tout objet pouvant rappeler la couleur ou la forme d'un leem était thérapeutiquement proscrit. Les assiettes étaient carrées, les peintures marrons, les verres n'existaient pas, la direction n'ayant pas trouvée à temps un fournisseur de pieds rectangulaires. Inutile de préciser que dans ce monde orthogonal, le soleil lui même, astre de feu, était rigoureusement interdit. Les curistes étaient ainsi parqués dans un vaste réseau de santé souterrain, où les jeux vidéos remplaçaient les réels batailles. Tout était bon pour faire oublier aux convives le doux son d'une pièce sonnante et trébuchante. Nombre des partenaires curistes d'Ab n'avaient pas supporter cet isolement, notamment les séances d'autopersuasion où chacun est obligé de renier son amour, son argent. C'était un endroit de misère. Non pas sociale, ni même économique, mais morale. Les cris dans la nuit se faisaient perçants. La folie les gagnait tous, les uns après les autres. Elle les piquait aussi surement qu'un leem est joli. Ab avait réussi à garder la raison, ou plutôt une partie, en se confectionnant grâce au pied du lit carré de sa cellule carrée, un morceau de bois rond ayant les dimensions exactes de ses chers disparus. Certes, tailler un morceau de bois lorsque l'on a pas d'outil est assez ardu. Il espérait ne pas avoir à regretter les deux dents qu'il y avait perdu. Quelle connerie! pensa Ab amèrement. Une fortune ces cures! Et pour quel résultat? Il s'avança, le regard maussade, au devant de ses camarades d'horreu... Pardon, d'Aurore. Commandants, Je suis ému de vous retrouver, si fringants que vous n'avez aucunement besoin de mes services pour vous entretuer. Mon élocution sera brève, ayant rendez vous sur l'heure chez le dentiste. Je tenais simplement à apporter quelques précisions au sujet de Lyne Musica. Je ne suis aucunement en guerre contre lui. Les poursuites ont été voilà des cycles abandonnées. Et d'ailleurs, je ne crois pas lui avoir fait le moindre tord. Concernant la rivalité qui oppose le commandant Grimgor aux commandants Borgnefesse et Ortile, je ne peux qu'appeler à la retenue, ayant aujourd'hui de bons contacts avec Grimgor mais ayant également de très bons contacts avec ses deux ennemis, l'un ayant été même près à rejoindre Antimat. Les formalités administratives sont longues par chez nous je vous l'accorde, mais l'affaire suit son cours. Bref, me voilà le cul entre deux chaises... Ab se tourna vers le greffier. Apportez moi deux chaises voyons, que je fasse une démonstration. Devant les regards jusque là curieux, Ab tenta de s'assoir à mi fesse sur chacune des deux chaises apportées. Ce fut difficile, les gestes d'Ab manquant encore d'équilibres du fait de sa cruelle cure. Mais finalement, la démonstration scientifique fut éclatante. Quelle rigueur! Ab parut fier de la réussite de son expérience. Il n'était pas docteur pour rien. Cependant, dans la salle, l'étonnement avait laissé place à l'incrédulité. Il ne se décontenança pas pour autant. Je vous remercie de votre attention. Vous comprendrez donc que j'ai beaucoup à gagner de cette médiation. Ab se recula, et disparut dans les coulisses de l'assemblée. Après tout, il pouvait désormais, en temps que propriétaire associé des lieux, vaquer comme il le désirait dans l'envers du décor.
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Cdt. Satanail
Respect diplomatique : 292 04/05/308 ETU 11:36 |
Score : 10
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Le cdt.Satanail se présentât à l'estrade accompagné pour cette occasion d'un humain, court, râblé et atteint d'un strabisme convergent au dernier degré, se qui ne l'empêchait apparemment pas d'adresser un grand sourire à la foule, de toutes ses dents restantes. On put à cette occasion remarqué que la moitié qui lui restait étaient dans un état que l'on n'obtient habituellement qu'après toute une vie enfermé dans une confiserie sans outil hygiénique adapté. Tik, taclakatik tokitac... -Mesdames et messieurs, je viens ici afin d'annoncer mon entier concours à la proposition du cdt. Agrippa. En effet, ses parole me sont, comme disent les humains, aller droit au cœur, enfin à se qui m'en tiens lieux ne chipotons pas sur les détails. En particulier en se qui concerne "le génocide civilisé" et "la barbarie sans style". En vérité je vous l'affirme, l'amateurisme guerrier est un fléau qui nous menaces tous; on en vois tout les jours, de ces barbares débutants et sans grâce, dans leurs attaques à la va-comme-je-te-pousse, leurs pillages brouillons, leurs génocides maladroits! Ces personnes, dans leurs actes et leurs paroles, discrédite notre belle profession. Je vous le dis messieurs, la guerre est un art, et je le répète pour ceux du fond qui n'écoutaient pas bien, LA GUERRE EST UN ART, parfaitement, et un art cela s'apprend, cela se cultive. Croyez vous que Napoléon ou que Staline se soient engagés sans avoir étudier, des années durant, Attila ou Agésilas II, et encore je prend ici des exemples de l'histoire humaine, bien que je soit malheureusement certain que pour la majorité d'entre vous ces nom n'évoques rien d'autre qu'un parfum de glace exotique. Mais l'histoire de l'ensemble des races et nations est jalonnée de brillants stratèges et guerriers qu'aucun de ces amateurs éclairés n'a eu l'idée de potasser. -En vertus de quoi, et à la suite d'un vote tout se qu'il y à de plus démocratique regroupant dans les votant Rosalie ici présent, moi même et mon chat reconstitué à partir de traces d'ADN retrouvées sous les roues d'une paléo-voiture, fut élit à 66% des vois (Rosalie n'a jamais bien comprit le truc) dans cette affaire Procureur de la peut-être futur république, ex-royauté présentement grand bazar ambiant. -Pour toute réclamation, vous pouvez vous adressez à mon jeune ami, qui de fera une joie de d'y répondre avec toute la célérité et l'intelligence que cela nécessite. L'être, comprenant soudain que l'on parlait de lui, se rapprocha du micro. Ses sourcilles se rejoignaient sur sa tète sous l'intensité de la réflexion qui l'animait. Soudain, il leva une main grande comme un hachoir afin de réclamer le silence; il allait parler. -Hi hi, coucou monsieur, hihihi... -Merci Rosalie de ces éclaircissements , et essuyez moi cette bave qui vous dégouline des lèvres, ça fait très mauvais genre!
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