Cdt. Denior’back
Respect diplomatique : 352 26/03/1022 ETU 23:24 |
Score : 1
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Ambassadeur Burke, l’absence de discussions préliminaires, rendues impossible en raison de la brusquerie des événements, ne doit pas empêcher un accord global. L’anarchie n’est nullement profitable à quiconque. Faites nous des propositions et discutons en. J’ai émis au nom de sa Sainteté, les positions de l’Eglise. Faites de même et tout se passera bien. Dans le respect de tous. Et le développement harmonieux de la galaxie |
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Cdt. Setesh
Respect diplomatique : 92 27/03/1022 ETU 14:07 |
Score : 3
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Cela faisait longtemps qu’il s’était tenu éloigné des couloirs de l’Assemblée. Longtemps qu’il n’avait pas pris de nouvelles de la Galaxie. Après tout pourquoi se soucier d’un silence de plomb? Toutefois à la vue des derniers événements, il était tenu de prendre la parole. Il activa la liaison holographique. Commandantes et Commandants, quelque soit vos titres et rangs permettez moi de vous saluer. Commandant Host, votre proposition trouve un écho favorable à nos oreilles, dans un souci de développement des plus jeunes commandants ou du moins, des moins bien loti. Toutefois, dans l’optique où l’un d’eux serait arrivé en Secteur 14, se prendre une décharge de CBI en pleine face n’est pas la meilleure façon de lui assurer une colonisation sûre et pérenne. Et certains pourraient y voir une volonté de fermer le Secteur, ou du moins une tentative, afin de se l’approprier. Pour ce qui est de la répartition apotique, voyez simplement les prises de planètes semblant être aléatoires et vous verrez une main mise de certains commandants sur ces réserves. Les réserves du Secteur Origine ont ainsi été mises sous cloche. Sous couvert d’une volonté d’éviter une prolifération des armes liées à ces réserves, l’on trouve un monopole de cette puissance qui, concentrée dans les mains de quelques uns, met tous les autres à leur merci. Mais sur cette question il ne peut y avoir de consensus, chacun prêchant pour sa paroisse et clamant avoir les meilleures intentions du monde. C’est le propre du Vivant..
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Cdte. Gomeïsa
Respect diplomatique : 120 28/03/1022 ETU 11:44 |
Score : 2
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Sir Edmund Burke, représentant officiel de la République Koirienne, entra dans un patio somptueux, où un majordome l’invita à s’asseoir. On lui fit apporter un rafraichissement, ce qui signifia à l’ambassadeur que l’attente durerait un petit moment. Il en profita pour lire le rapport du GAGS, Gouvernement de l’Assemblée Galactique de Souvenir. Il en arrivait à la question sociale de l’action des commandants quant le majordome revint lui annoncer que le prince Jalai était disposé à le recevoir. Il entra dans une vaste pièce où se trouvaient le prince et quelques autres personnages officiels. Comme le voulait le protocole, le prince se trouvait assis sur le siège gouvernemental. Sir Edmund Burke s’avança jusqu’aux pieds des marches menant au trône et annonça : "Prince Jalai, Majesté, au nom de la République Koirienne et de Dame Gomeïsa, je vous remets ce jour mes lettres de créance. Elles authentifient ma position auprès de votre gouvernement et vous invitent à faire de moi votre interlocuteur privilégié pour toutes les questions que vous voudriez nous soumettre. Je serai également l’interlocuteur du gouvernement Koirien auprès de vous si nous devons vous contacter pour une raison ou une autre." Le prince Jalai signifia par un signe de tête son accord et un officiel récupéra la lettre de créance de l’ambassadeur avant qu’il ne se retire de la salle et quitte le palais afin de rejoindre l’Assemblée Galactique. Arrivé à l’Assemblée Galactique, il prit connaissances des derniers échanges qui n’étaient guère nombreux et prit la plume afin de préparer une réponse à Denior. La République lui avait donné expressément l’ordre d’éviter toute confrontation avec lui, eu égard aux événements passés. Il était pour cela le meilleur élément, puisqu’il militait pour la paix dans une organisation indépendante sur Pieni Koira II, organisation qui avait pris de l’ampleur au moment de la dernière guerre contre Denior, guerre centralisée sur le Secteur 0. Aujourd’hui, ses efforts étaient reconnus à leur juste valeur et permettaient de représenter avec ses idées la République. Finissant d’écrire sa réponse, il prit la parole. "Commandants de la galaxie, représentants des nations. La demande faite par un certain nombre de commandants au sujet de la partition du Secteur XIV semble ajustée sur certains points. En effet, l’idée selon laquelle les commandants les plus faibles puissent bénéficier de davantage de territoires neufs semble intéressante mais pose la question de savoir comment seront dispersées les planètes ? Actuellement, notre gouvernement a pris possession d’une petite dizaine de planètes dans l’ensemble du Secteur, et nous continuerons à en prendre quelques-unes afin de s’y implanter pacifiquement. Nous sommes actuellement en contacts avec quelques commandants plus…faibles dirons-nous, et nous leur confierons certaines de ces planètes selon notre bon vouloir. Voilà à quoi s’engage la République Koirienne. Cependant, nous devons insister sur un point particulier. La question des ordres croisés doit être maintenue selon l'habitus actuel, et les tirs de CBI doivent être justifiés comme n'étant que l'attaque contre des Brigands, et non contre des commandants souverains. Nous avons subi, notamment en PC1 de l'entrée sectorielle, des tirs par un commandant, alors qu'il lui avait spécifié que si un telle arrivait de nouveau, nous ne laisserions pas la chose sans réponse. J'émets donc officiellement une protestation diplomatique devant cette assemblée et demande que ledit commandant apporte une réparation aux commandants touchés." Ayant fini de parler, il s'assit et attendit la réponse.
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Cdt. G. Host
Respect diplomatique : 197 28/03/1022 ETU 13:12 |
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Score : 2
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Quand il est question d'un loup, sachez en nommer la race plutôt que de couvrir sous cape l'évidence de mes actes, Burke. Cette dernière phrase avait été lâchée avec une légèreté destinée à faire retomber la pression de l'accusation que le diplomate avait proféré à l'encontre du Général. tenant un verre dans sa main, il apparut assis dans un magnifique fauteuil de cuir rouge, de la vache certainement, et il sirotait avec nonchalance un spiritueux qui avait du certainement couter la vie de pauvre récolteurs sous payés dans les lointaines iles de Karoubi. J'ai bien effectué des tir de CBI en 14.0 afin de désinfecter ce PC de la menace brigand. Compte tenu des résultats somme toute très moyens de notre opération -mettant alors en défaut une puissance militaire bien trop faible à ce stade des négociations galactiques-, j'ai pensé que la perte sèche des commandants faisant présence sur ce PC serait au maximum irritante, au minimum anecdotique. Un sourire carnassier se dessina sur son visage : Il me semblerait que je me soies trompé pour certains. Évidemment j'entends déjà le demande de réparations et autres qui seraient -et je suis le premier à le proclamer- faire montre d'honneur et de fair play, mais toujours est il que l'acte rédigé et signé conjointement portant sur les agir en 14 n'en est, malheureusement, pas encore arrivé a sa finalité. Aussi vous renvoie-je au deuxième alinéa de mon ordonnance : Auquel cas, Neo Palladiom se décharge de toute responsabilité si ses manœuvres militaires devaient conduire par le futur à des pertes, prises ou éradications de positions étrangères situées en Secteur 14. Entendons nous, si vis pacem para bellum, et tant que cette paix ne sera pas dûment signée entre les agissants au 14, je me verrais obligé, au nom des intérêts souverain de ma nation, de procéder en des voies qui, j'en suis le premier désolé, risquent de déplaire à certains et... Un rapport depuis son bureau vint tinter le glas d'un renouveau inattendu. La mine du Général perdit toute assurance pour ne devenir qu'un entrelacs de haine contenue et de surprise entière. Le cynisme l'emportant, il déposa son verre, avec un calme trop prononcé pour qu'il soie sincère, et lâcha sans ambages : D'autant plus qu'un ennemi ancien vient de pointer le bout de son museau, et qu'elle ne perd rien pour attendre. Commandants, je vous salue bas. La communication se coupa, mais on pu entendre très clairement le bruit d'un verre brisé avant que ne se coupent les derniers micros de retransmissions de l'Assemblée. "CETTE PUTE !" |
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Cdte. Gomeïsa
Respect diplomatique : 120 28/03/1022 ETU 15:51 |
Score : 2
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Le diplomate se releva et reprit la parole : "Bien, nous prenons acte du fait que vous refusez toute négociation diplomatique à moins d'y gagner et que votre interlocuteur n'y perde. On devrait dire à votre sujet fiat voluntas mea, mais je m'y refuse. A l'heure actuelle, deux planètes appartenant légitimement à la République Koirienne attendent toujours de revenir en sa possession, merci de faire le nécessaire. Si vous ne voyez pas desquelles il s'agit, je vais vous redonner leurs numérotations précises." Il farfouilla un instant dans ses papiers et en prit un sur lequel il lit : "18.14.0.1.1 et 18.14.0.3.3. Voilà, j'ai la preuve que ces planètes reviennent de droit à la République, qu'elles ont été prises par des Brigands, merci donc de me les rétrocéder rapidement." Il se rassit, et envoya un Com-x.
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Cdt. Anudar
Respect diplomatique : 374 28/03/1022 ETU 17:27 |
Score : 2
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A nouveau, l'image holographique du Basileus fit son apparition au-dessus du fauteuil de l'Ecouménê elladique : "A toutes les civilisations présentes au sein du système zéro du Secteur 14 : l'Ecouménê y est arrivé le premier. Nous en avons saisi la Contrebande les premiers. Selon nos engagements pris en privé devant plusieurs Commandants et à présent publics, la production de son puits d'apotium sera réservée à la revitalisation des mondes en déclin ailleurs dans l'Univers. Une expérience est en cours, comme la Commandante Ellyria pourra en témoigner. Sitôt ses résultats connus, l'Ecouménê précisera la façon dont l'apotium de la Contrebande du Secteur 14 pourra bénéficier à tous et non à un seul."
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Cdte. Nyalnamar Veritas
Respect diplomatique : 129 28/03/1022 ETU 18:45 |
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Score : 2
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La Représentante l'Orée émergea comme hors d'un cauchemar. Vêtue d'une longue armure, dont la texture et la forme n'étaient pas sans rappeler celles de muscles écorchés, son visage et l'épée accrochée à sa ceinture étaient ornées d'un liquide noire, gluant, qui formait des spirales évoquant peut-être quelques peintures de guerre tribales. Les alliés des Labyrinthes, et ceux qui avaient pris la peine d'en étudier la culture, le savaient : il s'agissait de marques rituelles, dessinées à l'occasion de quelques cérémonies politiques et militaires, quoi que les deux termes étaient fréquemment interchangeables chez le peuple de Sappho. La chevalière s'arrêta sur les bords de la Loge Labyrinthique. C'était comme une pièce de théâtre antique, où chacun occupait sa place et déclamait son texte. La comparaison lui était probablement venu à cause du Basileus, dont l'existence seule était un rappel constant aux méthodes d'un très ancien monde, dont on avait perdu les coordonnées et l'Histoire, mais dont demeuraient quelques fils et filles à travers les étoiles. Elle s'inclina de tout son long, porta son index à son front puis à sa bouche, et se redressa. "Les Labyrinthes sont favorables à tout projet de réanimation planétaire. Nous menons nos propres expérimentation sur quelques-uns des centaines de mondes dévastés, ruines ou en voie de le devenir que nous ont légués les rats et la vermine massacrée lors de la dernière guerre. Ma maîtresse, la Nyalnamar Veritas et Première Oratrice des Treize Labyrinthes, souhaite voir s'organiser une collaboration internationale dans ce domaine, si l'occasion et les volontés le permettent. Cela étant exprimé..." Elle se pourlécha les lèvres, sembla humer l'air et leva un peu le menton avant de plisser les yeux. C'était ce qui passait chez elle pour un sourire. Sa voix se fit très douce, mais continuait de gronder avec la puissance de celle des orateurs habitués à la foule. "Je sens... Oui. Oui c'est bien ça, l'air empeste le sang." Ce qui la mettait de toute évidence d'excellente humeur. "Le sang du condamné, qui jaillit hors des plaies, alors que les mille coupures du lingchi se succèdent. Un supplice si long qu'il commence avant même que l'on ait capturé sa victime. Le sentez-vous ? Car ce n'est pas au criminel de dire qu'il se décharge de toute responsabilité, c'est à la justice. Et je ne vois aucune juste, ici. je ne vois que moi, et la force que le Roi m'a léguée pour servir ma maîtresse. Je ne vois que ma lame et mon armure, je ne vois que la détermination de nos alliés et je ne vois, surtout, que des mondes Labyrinthes qui attendent notre retour, et les moyens de ce retour." Elle marqua une pause, qu'elle mit à profit pour humer une nouvelle fois l'air. La cheffe des futuristes et du gouvernement de la Nyalnamar Veritas ne passait pas pour patiente, mais savait prendre son temps. "Arkhangel Hismer, génie de Kaiserde, disait qu'il fallait vivre sa vie, y prendre goût avec l'aspiration d'un éternel retour. Si tout était à refaire, le referiez-vous ? Je ne suis pas encore morte mais j'ai la sensation de constamment revivre la mienne. Les mêmes insultes. Le même mépris des faibles. Et la même punition pour ceux-là. Res Palladia (18.14.0.1.1) et Fierté Palladienne (18.14.14.4.4) nous reviennent. Par là je n'entends pas que nous soyons légitimes à les récupérer, même si c'est effectivement le cas. Par là j'entends que l'Histoire est déjà en marche, à la vitesse d'un train, et qu'avec ou sans votre accord, Général, il arrivera à quai. Nous attendons votre réponse avec la plus grande anticipation. Dépêchez-vous, chaque minute qui passe, vos plaies continuent de saigner." |
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Cdt. Anudar
Respect diplomatique : 374 28/03/1022 ETU 22:51 |
Score : 2
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Depuis le palais basilical d'Arkhêia Théra, où il résidait depuis la revitalisation de la planète des origines, Anudar prit connaissance de l'intervention de la Représentante l'Orée. "Το λιγότερο που μπορούμε να πούμε είναι ότι αυτοί οι Λαβύρινθοι ξέρουν πώς να περάσουν ένα μήνυμα, dit-il pour lui-même. Il s'appuya contre le dossier de sa chaise, réfléchissant encore à la forme de l'intervention à laquelle il venait d'assister. Cela faisait longtemps qu'il suspectait les Labyrinthes de partager des origines communes avec son propre peuple - l'hypothèse la plus raisonnable voulait qu'un rameau perdu de culture elladique, remontant peut-être à la Terre des origines elle-même, se soit associé à un moment aux premiers éléments des Labyrinthes - mais si leurs méthodes de gouvernement s'éloignaient de celles privilégiées par l'Ecouménê qu'il dirigeait, si leurs coutumes cruelles faisaient penser à celles des anciens Spartiates la détermination qu'affichait la Représentante l'Orée aurait pu être celle des plus grands dont l'Histoire et le Mythe peuplaient les premiers âges de l'Ellada. Le Basileus inclina la tête puis enregistra sa réponse : "Les mondes ralliés ou conquis ne doivent pas être spoliés par d'autres civilisations, hors déclaration formelle de guerre. Pareil jeu tient de la perte de temps et d'énergie, et se fait au détriment des mondes échangés de force qui voient leurs stocks de ressources et leur satisfaction diminuer au gré des changements d'allégeance. Les mondes en anarchie brigande ne manquant pas, le jeu des 'ordres croisés' doit désormais cesser. Par conséquent, l'Ecouménê soutient la démarche des Labyrinthes et invite la Première Oratrice à contacter le Basileus en privé pour tout besoin de coordination."
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Cdte. Gomeïsa
Respect diplomatique : 120 30/03/1022 ETU 09:35 |
Score : 1
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Sir Edmund Burke attendait sur son siège. Il paraissait tendu et jetait fébrilement des coups d’œil appuyés vers le communicateur. Lorsque celui-ci s’activa, il le saisit immédiatement et lut le message envoyé, bref, concis. Faites les annonces Il le reposa doucement, prit le papier qui se trouvait depuis près d’une demi-heure devant lui, releva la tête et demanda la parole. Lorsqu’elle lui fut donnée, il se leva et dit : "Voilà plusieurs cycles, le Secteur XIV a été rendu accessible aux diverses populations de la galaxie Souvenir. Nous y avons dépêché une flottille de vaisseaux diplomatiques escortés par quelques corvettes. Nous avons pris plusieurs planètes dans le système 0, à savoir 18.14.0.1.1 et 18.14.0.3.3 entre autres, planètes reprises par d’autres commandants dans la logique des ordres croisés. La première fut prise par la Première Oratrice qui me l’a de suite proposé au transfert, ce que nous avons accepté. Durant cette période de transfert, le général Host l’a lui-même ralliée. Imaginant qu’il était indisponible, nous lui avons communiqué ce fait par Com-x afin qu’il nous la restitue au plus vite. Pour la seconde de ces planètes, après notre ralliement sur les Brigands, elle fut ralliée selon la logique de l’ordre croisé par le général Host, et nous lui avons envoyé un second Com-x afin qu’elle nous soit restituée. Devant le refus de nous les restituer en bon ordre, ses insultes dans cette noble assemblée, ses tirs CBI injustifiés et ses nombreuses autres tentatives de ralliements dans d’autres systèmes de ce Secteur, nous avons pris la liberté d’agir selon deux modes. Dans un premier temps, nous avons rallié une planète dans le système 0 appartenant à l’origine au général Host, planète que nous n’avons pas rattachée à notre gouvernement, mais comme une une prise d’otage, le temps que les deux autres planètes soient restituées et que le paiement nécessaire à l'utilisation de ressources pour reprendre les deux planètes et à la réparation des unités détruites soient payées. Dans un second temps, nous avons donné l’ordre de reprendre par ralliements les deux planètes spoliées afin de les soustraire à sa macabre influence. Bien entendu, toutes les preuves de ce que le gouvernement avance ont été archivé, les premières preuves ont déjà été transmises à l'un ou l'autre d'entre vous par Com-x, je m'engage à toutes les fournir sur simple demande. Si vous avez des questions, nous restons attentifs à y répondre." S'arrêtant un instant et reprit : "Les deux planètes ont été ralliées de nouveau par la République. D'ici quelques cycles, la planète otage sera rétrocédée au général Host via un tiers neutre que nous allons contacter prochainement."
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Cdt. Silla
Respect diplomatique : 78 03/04/1022 ETU 06:55 |
Score : 1
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Les deux généraux chargés des opérations en secteur XIV étaient penchés sur leurs cartes. 02/04/1022 : 23:30 Les diplomates envoyés par le cdt. Denior’back ont obtenu le ralliement pacifique notre planète Missous deros (18.14.17.2.3). Celle-ci échappe maintenant à notre contrôle. "C'est la seconde fois que le pape s'empare d'une de nos planètes. Ne l'avions-nous pas appelés Peregrinum X ? -Certes, cette fois s'il ne la rend pas, nous nous considérerons en guerre contre lui et le chasserons du secteur. - Et dire qu'il donne des leçons de paix aux autres et se pose comme médiateur... " |