Apocalypsis Archives > gamma2 > Galaxie 2 > Forums > Assemblée Galactique d'ESPOIR > Bartholomee - Chaos

Bartholomee - Chaos

Pages : 1 2

Cdt. Le Cartel Impérial
Respect diplomatique : 633

Avatar
20/09/1013 ETU 12:52
Ce(tte) commandant(e) soutient beaucoup Apocalypsis.  Ce(tte) commandant(e) soutient beaucoup Apocalypsis.
Message édité - Score : 6 Détails Prévenir Dieu
0 : orthographe insuffisante
0 : présentation bâclée
0 : hors sujet
0 : hors role play
0 : message insultant
efforts visibles : 0
message adapté : 0
message remarquable : 0
humour décapant : 1
role play intéressant : 5
Quand Bhartholomée avait congédié les filles, il ne s'était pas aperçu que deux d'entre-elles, Cynthia et Julie, étaient restées dans la chambre, bien planquées sous le lit. Elle avaient activé leur "traceur", suivant les consignes de Boddicker.
Félix, gesticulait, criait. Le ton entre lui et Bartholomée s'accentuait... .
Un claquement métallique résonna dans la pièce. C'était les volets métalliques qui venaient de s'abaisser subitement, et Julie sursauta, poussant un cri de peur. Les filles étaient repérées...
"Nous ne sommes pas seul ici!"
"Sans déconné! Bartholomée, je vais te tuer!..."
Félix, tel un taureau en furie, souleva le lit de la chambre violemment. Les deux filles étaient l'une contre l'autre, recroquevillée et tremblantes.
"Debout! Sales putes!"
"Pitié!! Ne nous faites pas de mal!
"La ferme!"
Félix tenait Cynthia à la gorge et s’apprêtait à la gifler, quand quelqu'un toqua à la porte, ce qui le coupa dans son élan.
"Surement un de mes hommes..."
Il jeta Cynthia à terre, et se précipita pour répondre... . Il ouvrit la porte, et eu un geste de recul. Ce n'était pas un de ses gardes, c'était Clarence Boddicker, qui l'empoigna par les joues d'une main, et de l'autre lui braquait une arme à la tempe. Il le poussa contre le fauteuil.
"Hoo!! Boddy! Tu es venu nous sauver!!"
" BITCHES ! LEAVE. "
L'action en image! : http://img834.imageshack.us/img834/7564/zl27.jpg
Les deux filles se précipitèrent vers la sortie. Et Boddicker ferma la porte derrière elles.
"Putain de merde! Mais qui t'es, toi?!"
"La ferme! Je suis un ami de Bartholomée. Mais je suis aussi l'ami d'une autre personne que tu connais... ."
Pointant son arme vers Félix, il s'avança vers lui. Il prit une chaise et l'installa au milieu de la pièce.
"Assis-toi!"
Il lui asséna un violent coup de poing dans l'estomac, se pliant de douleur, Boddicker en profita pour lui envoyé un coup de cross sur le crane. Félix était assis sur la chaise.
Boddicker le ligota avec l'aide de Bartholomée. Félix avait un léger filet de sang qui s'écoulait le long de sa joue.
" Voici notre deuxième ami, que nous avons en commun... ."
Boddicker activa un enregistrement holographique à partir d'un vieux GSM-Xcom portable. Il le placa sur la table basse de la pièce. L'hologramme de Dick Jones s'activa, et Félix grimaça... .
" Bonjour, mon jeune ami! C'est moi Dick Jones! Tu dois être très surpris en ce moment, entrain de supplier que l'on te laisse en vie... . Pitoyable!
Relativisons Félix! Imaginons que nous sommes dans un jeu... . Dans tous les jeux, il y a un gagnant et un perdant. Je regrette tu as perdu Félix...
"Je...je ne sais pas combien il te paie...Je te donne le double, tout de suite!"
Boddicker sortie de sa poche une grenade programmable et la dégoupilla, le compte à rebours s'activa et il est irréversible. Dix minutes...avant l'explosion. Il la pose délicatement sur la table basse.
Boddicker qui dégoupille sa grenade en image! Sensationnel!^^ : http://img96.imageshack.us/img96/8690/9ll7.jpg
"...Mais tu sais Félix, dans cette histoire nous aurions put être ami. Quel gâchis... . Il est temps pour moi de te dire Adieu. On se retouvera en enfer... . Adieu Félix!"
Félix se tortillait dans tous les sens, essayant de se libérer mais en vain. Il restait maintenant sept minutes. Boddickker souriait. Il s'avança vers la porte.
"Suit moi Bartholomée, ça va péter!"
Ils laissèrent Félix à son triste sort, tout en fermant soigneusement la porte sans faire de bruit, un geste totalement ironique étant donner la puissante déflagration qui allait suivre... . Félix fixait la grenade avec des yeux écarquillés! Il se débat, comme un fou mais rien à faire! Bordel! Plus que cinq minutes!...
To be continued...
Cdt. Felix
Respect diplomatique : 265

Avatar
23/09/1013 ETU 23:17
Ce(tte) commandant(e) soutient Apocalypsis.
Score : 4 Détails Prévenir Dieu
0 : orthographe insuffisante
0 : présentation bâclée
0 : hors sujet
0 : hors role play
0 : message insultant
efforts visibles : 0
message adapté : 0
message remarquable : 4
humour décapant : 0
role play intéressant : 0
04:56
04:50
04:40
03:25
- Merde !
Rien à faire, les nœuds étaient bien trop serrés. Il s’était débattu jusqu’au sang, mais n’avait pas réussi à se libérer d’un seul centimètre.
Respirant lourdement répétant encore et encore « Merde ! », « Merde, merde, merde ! » il observa, les yeux injectés de sang, le compte à rebours descendre et descendre toujours.
Se rapprochant inexorablement du final et fatal 00:00.
02:00
...
01:00
...
00:30
...
Sa respiration s’était un peu calmée, mais il n’avait pas écarté le regard du compte à rebours une seule seconde.
Un air de défis avait lentement émergé sur ses traits.
Un peu de résignations aussi…
00:10
Se détendant il lève la tête et ferma les yeux.
00:03
Alexia…
00:02
Alexia…
00:01
Il avait échoué…
00:00
Il avait échoué…
00:00
Clic !
------------------------------------------------------------
- Répète-moi ça encore une fois. Et n’omet aucun détail… aussi insignifiant puisse-t-il te paraître.
Charles était inquiet. Pas de nouvelles de Felix depuis plus d’un cycle. Pourtant la planète semblait calme et aucun représentant du Cartel impérial n’avait encore crié au scandale.
Que faire, que faire ?
- Il est parti avec 10 furtifs et 60 hommes. D’après ce qu’on sait, ils sont tous arrivés sans se faire repérer et ont rapidement retrouvé la trace de Bartholomée. Le dernier message qu’on a reçu était « On entre. » Depuis plus rien. Aucun signe de mouvement des troupes du cartel… Aucun communiqué Diplomatique. Rien.
- Et c’est ce que tu appelles n’omettre aucun détail ? Merde.
Tournant en rond comme un (vieux) tigre dans sa cage il réfléchit frénétiquement.
- Que faire… que faire ?
Il n’avait pas le choix. Soupirant il se tourna vers le soldat.
- Prépare un vaisseau diplomatique, je pars à l’instant.
------------------------------------------------------------
Bartholomée se tenait devant un miroir.
Il était jolie, plus très jeune, mais toujours très agréable à regarder. Ses yeux bleus scrutaient son visage mince et comme ciselé de marbre. Dommage. Il s’était habitué à ce visage. Il allait le regretter…
Il était temps d’y aller.
--------------------------------------------------------------
"I work for Dick Jones"
Le petit drapeau qui affichait ce message pendouillait le long de la grenade comme une langue qu’on lui tirerait en se moquant de la façon de laquelle il avait tressailli lorsque la grenade avait fait clic.
- Putain de connard de merde !
Il s’était fait dans le froc.
- Mais quel langage…
Dick Jones avait réapparu et affichait un sourire on ne pouvait plus sale.
- …
La haine dans les yeux de Felix était incommensurable. Il n’était plus capable d’autre émotion désormais. Il était cassé.
- Je te tuerais… lentement… très lentement.
- Absolument, absolument. Et pour cela il est préférable que tu sois en vie, tu en conviendras. Alors, discutons prix.
- …
- À combien estimes-tu la valeur de ta vie ?
- …
- …
- Rien.
- …
- Ce qui fait toujours plus que la tienne.
- Bien, alors à combien estimes-tu l’opportunité de refroidir Bartholomée ?
- Tout.
- Parfait. Parlons buisness alors.
------------------------------------------------------------
Charles était arrivé, il avait été accueilli avec politesse et conduit dans un salon.
Maintenant il attendait.
- Charles ?
- Général ?
Boddicker donc, il n’avait même pas droit au gros Jones
- Que puis-je faire pour vous ?
- Hmm, Bartholomée. Il est ici ?
- Il semblerait.
- J’aimerais le voir.
- Je veux bien le croire.
- S’il vous plait.
Une lueur brilla dans les yeux de Boddicker et il sût.
- Et Felix aussi tant que j’y suis.
La surprise envahissant les traits du General comme une mauvaise grippe confirmait ses derniers doutes.
- Vous n’avez qu’à dire le prix…
Un sourire insolent lui vint en réponse suivit de :
- Bien, discutons contrat.
--------------------------------------------------------
Bartholomée relut son contrat encore une dernière fois avant de finalement le signer.
Felix était à lui.
--------------------------------------------------------
5 heures et 3 transferts plus tard.
Bartholomée, Felix et Charles se retrouvent enfermés dans une cellule. Volés et indignés.
- …
- …
- …
- Felix… ?
- Sors de ce corps.
- Charles ?
- Bartholomée ?
- On s’est fait rouler.
- Ouaip… Bon. Felix, autorisations d’appeler les troupes ?
- …
- …
- Je me suis fait implanter un émetteur avant de venir. Élémentaire Felix. Franchement je croyais t’avoir appris deux trois trucs.
- Appelle-les !
Un sourire aux lèvres il fixa Bartholomée. Et continua de le fixer jusqu’à ce que la porte explose et que ses hommes investissent la salle.
--------------------------------------------------------------
Cdt. Felix
Respect diplomatique : 265

Avatar
26/09/1013 ETU 19:21
Ce(tte) commandant(e) soutient Apocalypsis.
Message édité - Score : 3 Détails Prévenir Dieu
0 : orthographe insuffisante
0 : présentation bâclée
0 : hors sujet
0 : hors role play
0 : message insultant
efforts visibles : 0
message adapté : 0
message remarquable : 3
humour décapant : 0
role play intéressant : 0
La planète était à lui, l’espace aérien été à lui, Bartholomée était à lui…. Et Alexia était à lui.
La résistance avait été minime ; les forces du cartel étaient ridicules et s’étaient rendues rapidement.
D’un point de vue stratégique, tout s’était déroulé à la perfection. Enfin, pour l’instant.
- Amenez-le.
Bartholomée avait été enchainé et 200 hommes étaient chargés de le surveiller en permanence.
Ils l’amenèrent.
- Tu commets une grave erreur Felix. Tu la regretteras bientôt.
- J’en doute. – attachez-le sur la chaise.- et tu vas regretter pas mal de choses toi-même, je pense… ces prochains temps.
Charles entra, l’air soucieux.
- Denor est en route. Il ne devrait plus tarder.
- Bien. Commençons déjà à tout installer.
Un homme en blanc s’avança et se mit à poser des électrodes sur la tête de Bartholomée.
Il mourut. Tout simplement.
Silence.
- Un arrêt cardiaque, voilà tout …
- Je ne pense pas, regarde.
Bartholomée souriait. Et brillait, d’un bleu profond et étrangement chaud.
Felix se crispa de panique. – non non non –
- Anesthésiez-le ! Vite !
- Je ne pense pas que …
- Mauvaise idée.
Trois hommes avaient attrapé des seringues et s’étaient approchés de Bartholomée. Ils moururent.
Bartholomée se leva. Ses chaines tombèrent.
Felix, la panique dans les yeux sentait ses tripes se tordre douloureusement. Le désespoir qui le hantait le rendait fou.
- Que veux-tu ?
Charles avait gardé son calme tout ce temps. Il tournait maintenant autour du corps d’Alexia tentant de voir à travers cette enveloppe l’esprit… la créature qu’était Bartholomée.
- Qui es-tu aussi… ?
- Haaa ! Tuer ! zradezjob… Cherchez armes… extirpez-moi-le ! M’en vais faire faire !
Felix s’évanouit.
- Ne t’inquiète pas, il se réveillera sous peu. Et à ce moment-là il faudra que tu lui expliques mes conditions.
- Parle.
-----------------------------------------------------------
Felix se réveilla peu après.
Il se leva d’un bond vit Bartholomée debout et libre et le chargea.
- Immobilisez-le !
Personne ne bougea.
Charles s’interposa.
- Felix Calme toi. Je lui ai parlé, il est raisonnable tu devrais l’écouter...
Mais Felix n’entendait plus rien… ne voulait plus entendre.
- J’ai donné un ordre !
Les hommes bougèrent alors et Charles restait seul entre eux et Bartholomée.
- Arrête ça ne sert à rien !
Et ça ne servait à rien, Bartholomée le savait. Un mouvement, et Charles était mort.
Les autres hommes aussi.
Felix s’évanouit.
--------------------------------------------------------
Il se réveilla, cette fois enchaîner à la chaise.
- Tu sais, on aurait pu éviter tout ça si seulement tu m’écoutais…
- Meurtrier ! Monstre ! Tu ne mérites pas que je t’écoute !
- Oui… bon, t’as plus vraiment le choix là. Donc, voici mon offre…
- LALALALLALALALALAALALALALALALALALALALALALALALALALALA…. !!
Bartholomée l’avait regardé de façon indulgente. Maintenant il n’y avait plus que tristesse dans ses yeux – ceux d’Alexia.
- LALALALALALALALALALALALALALALALALALAALALALA !!
Il ramassa le couteau qu’un des hommes morts portait à la taille et le porta au niveau de sa poitrine.
Et l’enfonça. Et le retourna. Et le laissa là.
- LALALALALALALALA …aaaah…aaagg… ….
Les émotions qui se battaient pour la suprématie sur le visage de Felix n’étaient pas de ce monde.
- Bien. Maintenant que j’ai ton attention. Felix ? Souhaites-tu que je sauve Alexia ?
Deux minutes passèrent durant lesquelles Felix endurait toute la douleur que pouvait subir l’esprit d’un être humain. Puis Bartholomée répéta la question.
- OUI ! oui ! Oui…
- Bien. Je la sauverais. Mais cela aura un prix. Un prix lourd… très lourd…
- S’il te plait. Sauve là. (Il pleurait maintenant)
- Il faut que tu réfléchisses d’abord, je pense. Ça ne concerne pas que toi...
- Sauve là. S’il te plait… je t’en supplie…
- Bien.

Pages : 1 2