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Cdt. Stephen Wurzel
Respect diplomatique : 634 01/12/1013 ETU 21:53 |
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Score : 11
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HRP: Ce RP privé est destiné à garder un compte rendu des événements entourant la guerre du secteur 9 qui l'a opposé au 5 et à conserver dans les mémoires le destin victorieux ou tragique des civilisations qui y ont pris part. Trame sonore et images d'archives suggérées:http://www.youtube.com/watch?v=iXmlgIQboxY&list=PL29646C36A4F5322A&index=47 La nouvelle était tombée comme une chape de plomb quelques heures plus tôt. Selon les services secrets librians, le commandant Tal Hajus, dirigeant de longue date d'une grande confédération de planètes en secteur 9, s'était suicidé. Le fait qu'aucune information n'ait filtré publiquement au sujet de sa disparition favorisait toutes les rumeurs. Le bruit courait que la victoire annoncée de la république autoritaire librianne sur les séparatistes du secteur 9 et la certitude de voir ce secteur renaître hors de la mainmise des séparatistes ou de lui-même avait été trop dure à supporter. Sa disparition laissait son domaine planétaire sombrer dans le chaos et la domination brigande. Pour lui, tout était fini. Mais pour une grande part de la flotte républicaine qui croisait au dessus de son territoire, se dirigeant vers le front, cela avait des conséquences tragiques. Croiseur Fregger Héraclès Vaisseau de commandement amiral des forces expéditionnaires libriannes Commandant de bord: Frédéric Dienes, maréchal du ciel Orbite haute, ancien monde capitale du domaine planétaire du commandant Tal Hajus Sur la passerelle, les officiers et techniciens étaient aux abois, tous à leur postes de combat, jetant des regards frénétiques au maréchal du ciel Dienes et aux amiraux Holzer et Wolf, à bord pour étudier la situation. Tous trois se tenaient devant la verrière avant de la passerelle. Devant eux, en contrebas, le monde qu'ils survolaient se détachait clairement. On pouvait voir les foyers d'incendie gigantesques à la surface. - Et il n'y a pas de gouvernement central avec lequel nous pourrions négocier, demanda le maréchal du ciel, les rides lui creusant le front. L'amiral Wolf se tourna vers son confrère, ne sachant quoi dire. - Non monsieur, tout le domaine planétaire est tombé dans le pillage et le crime répondit Holzer. Les institutions s’effondrent. Dans quelques heures, ce sera le territoire des pirat... - Mais enfin ce n'est pas possible! Répliqua le maréchal du ciel en envoyant valser les feuilles de rapport qu'il avait à la main. Il fau... - Monsieur, ils ont répondus! Les trois hommes se retournèrent, Dienes se rapprochant de l'officier en charge des communications, le combiné du récepteur de bord à l'oreille. - Ils disent... Allez vous fai... Oh mon, dieu! Ils vont nous tirer dessus! Le maréchal du ciel n'eût que le temps de se retourner vers la verrière donnant sur l'espace. - Activez les boucliers avant! Le vaisseau fut secoué par une explosion terrible sous la proue avant de l'appareil. Tous ceux qui étaient debout à ce moment furent projetés au sol, le maréchal Dienes de même. Il se releva rapidement, la passerelle autour de lui secouée de cris et d'alarmes. - Décompressions ponts 5 et 7! J'isole les zones touchées! On a un début d'incendie dans le hangar bâbord! Dienes se dirigea vers la verrière, ignorant les blessés et les cris autour de lui. - Évacuez cette section! Et ventilez-là! Devant lui, en contre-plongée, les bombardements en provenance de la planète contrôlée par les brigands fusaient dans les airs, massacrant la flotte républicaine. Le croiseur bombardier ionique Aquitania fut coupé en deux par un tir, l'explosion pulvérisant les transporteurs proches. - Déverrouillez les sécurités de lancement de missiles nucléaires! Ripostez! Feu sur les complexes militaires! Et lancez nos équipes d'assaut air-sol! Avant la fin du jour, le cœur idéologique de ce qui avait été le domaine planétaire du commandant Tal Hajus en secteur 9 n'était plus qu'une planète brûlée ou les survivants ne purent que noyer leurs larmes dans les cendres de leur monde annexé par les brigands du secteur. La flotte républicaine laissa une garnison sur place et continua son trajet vers le front.
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Cdte. Azalée
Respect diplomatique : 476 01/12/1013 ETU 22:58 |
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Azalée était en pleurs. Son ami Tal Hajus était parti, la laissant seule face aux exactions du Chancelier Wurzel et de ses troupes dans le secteur 9. Tal n'est pas mort... Il ne s'est pas suicidé ! Il avait en sa possession une énergie qui lui permettait de parcourir l'espace au-delà de la Galaxie. Et il l'a utilisée. Il n'est pas mort... Il n'est pas mort ! Il est juste très loin de nous... Les communiqués tombaient sans qu'elle ait la force de les lire. Les brigands... Wurzel... Ses co-sectoriels qui y avaient cru... La Druidesse était fatiguée et vraiment attristée des événements dans son secteur. Au point de démissionner et de laisser les rennes à un autre Dirigeant, alors qu'elle les avaient tenus à bout de bras tout au long de leur vie. Fatiguée... elle était fatiguée... A un point tel qu'elle songeait à acheter de l'apotium pour aller voir ailleurs si les terres étaient plus vertes et s'il il n'y avait pas de Wurzel ou de Mercury... par bonheur !
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Cdte. Azalée
Respect diplomatique : 476 01/12/1013 ETU 23:24 |
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HRP : mon allocution a été effacée... Merci au Gouverneur et à sa censure toujours très active ! Bien que, franchement, il n'y avait pas matière à se plaindre de moi, pour une fois.
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Cdte. Azalée
Respect diplomatique : 476 01/12/1013 ETU 23:36 |
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hrp : mon message qui n'était ni injurieux ni hors contexte a été effacé. Un consensus entre Wurzel et Rahl. Je tenais à vous en faire part.
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Cdte. Azalée
Respect diplomatique : 476 01/12/1013 ETU 23:40 |
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hrp : mon message qui n'était ni injurieux ni hors contexte a été effacé. Un consensus entre Wurzel et Rahl. Je tenais à vous en faire part.
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Cdte. Azalée
Respect diplomatique : 476 01/12/1013 ETU 23:42 |
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hrp : mon message qui n'était ni injurieux ni hors contexte a été effacé. Un consensus entre Wurzel et Rahl. Je tenais à vous en faire part.
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Cdte. Azalée
Respect diplomatique : 476 01/12/1013 ETU 23:50 |
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HRP/ OK ! J'ai compris que Wurzel ne voulait pas être "pollué" - comprendre "attaqué dans ses vérités" - et personne n'a le droit de dire une autre vérité que la sienne. Très bien. Je vais la jouer autrement... Je me casse ! Vivez bien entre vous. Et que le plus fort enc*** l'autre !
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Cdte. Azalée
Respect diplomatique : 476 01/12/1013 ETU 23:53 |
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OK ! J'ai compris que Wurzel ne voulait pas être "pollué" - comprendre "attaqué dans ses vérités" - et personne n'a le droit de dire une autre vérité que la sienne. Très bien. Je vais la jouer autrement... Je me casse ! Vivez bien entre vous. Et que le plus fort enc*** l'autre !
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Cdte. Azalée
Respect diplomatique : 476 01/12/1013 ETU 23:59 |
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Score : -4
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OK ! Mon message a été effacé. J'ai compris que Wurzel ne voulait pas être "pollué" - comprendre "attaqué dans ses vérités" - et personne n'a le droit de dire une autre vérité que la sienne. Très bien. Je vais la jouer autrement... Je me casse ! Vivez bien entre vous. Et que le plus fort enc*** l'autre !
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Cdt. Stephen Wurzel
Respect diplomatique : 634 03/12/1013 ETU 05:14 |
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Score : 5
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Onze cycles après le coup d'envoi de la guerre en secteur 9, la flotte républicaine avait détruite les défenses sectorielles ennemies, s'était enfoncée loin dans le dispositif de sécurité adverse et avait conquis les principaux centres industriels des domaines planétaires des séparatistes Mercury et Naquinoeuil. La rumeur courait toujours que le commandant Tal Hajus s'était suicidé à peine un cycle plus tôt et une fraction significative de la flotte librianne, cantonnée avant cela à des missions de surveillance, avait été rappelée au front pour faire face à la menace d'une civilisation tombée sous l'égide des brigands. Maintenant, l'élite de la flotte d'assaut librianne, après une bataille titanesque aux portes du système-mère ennemi, approchait en hyper-espace de Mercurya, capitale du grand empire mercuryen et principale forteresse du secteur 9. Trame sonore suggérée:http://www.youtube.com/watch?v=AR834FxdnIA Seul un croiseur impérial Fregger mercuryen et deux croiseurs amiraux stationnaient en orbite de Mercurya. La nouvelle de la défaite de leur flotte impériale à deux points de coordonnée de là ne leur était pas encore parvenue. Une gigantesque distorsion spatiale déchira le vide sidéral plus proche de la planète que jamais personne n'avait osé le faire. Plusieurs milliers de croiseurs Freggers librians accompagnés de plus d'un million de vaisseaux plus petits sortirent de l'hyper-espace à moins d'une centaine de kilomètres des vaisseaux ennemis. À moins de 2000 kilomètres de la planète. Sur le pont du croiseur Fregger mercuryen Vanir, les officiers braillèrent leurs ordres, les soldats déroutés se jetant dans toutes les directions, enclenchant frénétiquement des manœuvres désespérées. Les vaisseaux de tête de la flotte républicaine ouvrirent le feu. Les deux croiseur amiraux mercuryens volèrent en morceaux sous les premiers tirs. Chacune des explosions qui suivit signifiant la mort d'un millier d'hommes et de femmes dans une boule de feu thermonucléaire. Les officiers sur la passerelle du Vanir hurlèrent de faire feu, gesticulant en regardant terrifiés l'armada ennemie se déployer. Le lourd croiseur tira sur la flotte républicaine. Les boucliers du vaisseau librian de tête absorbèrent l'attaque sans qu'il ne change de direction. Il ouvrit le feu à son tour. La passerelle vitrée du Vanir fut pulvérisée sous l'impact du tir. Le croiseur commença à chuter vers la planète. C'est alors que des douzaines d'escadres kamikazes libriannes vinrent s'abattre sur le vaisseau endommagé, le mettant en pièce en quelques secondes. La flotte républicaine poursuivit sa route, les débris et les corps calcinés du Vanir se désintégrant en flammes sur les boucliers librians. Les lourds vaisseaux de guerre se disposèrent en orbite de la planète où au même moment, des alarmes retentirent dans toutes les grandes villes de Mercurya, semant la panique parmi une population terrifiée. Une première arme atomique quitta la rampe de lancement de l'Héraclès, le vaisseau amiral républicain. Les vaisseaux voisins préparant les leurs. Un millier d'autres allaient suivre. Libria tenait sa vengeance, et elle aurait un coût élevée pour Mercurya.
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