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Quand le ciel s'embrasa

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Cdt. Arath
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18/05/311 ETU 18:16
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Jamais je n'aurais cru revoir la lumière du jour, la vraie lumière, je me rappelle encore les instants précédant l'holocauste, je me rappelle la frayeur qui m'avait pris, le désespoir dont j'était affligé alors, le regard de mes compagnons emplis d'une tristesse et de résignation, nous n'avions pu empêcher cette atrocité et encore aujourd'hui, je me demande si je n'avais été plus clairvoyant, aurais-je pu éviter ce cataclysme?
-Qu'en pensez général Aldrin, êtes vous sûr de la réussite de l'opération?
Le regard de l'homme qui venait de poser la question traduisait une détermination farouche, le regard on ne peut plus perçant, il dévisageait l'officier de gris vêtu. Celui ci, droit comme un "i", fixait le mur en face de lui, derrière lui une masse grouillant d’experts militaires et officiers subalternes, lorsqu’il entendit la question de l'homme il se raidit davantage.
-ABSOLUMENT MONSIEUR LE PRÉSIDENT! nous sommes catégoriques sur ce point, en bombardant les différents bases ennemis, et les grandes zones de population nous mettront à genou nos adversaires, sans que cela puisse avoir un impact néfaste sur notre territoire.
Le président regardant le rapport qu'il lisait, posa alors son regard vers un autre membre présent dans la salle confinée. Il s'agissait alors de mon mentor, Arminia, je me tenais à ses côtés, je tremblais uniquement à l'idée que le président vienne m'interroger et me demander mon avis sur la question, moi, mon maitre à penser, aisni que d'autres membres éminents du conseil, étions défavorable à l'atomisation de nos frères ennemis.
Pour tout vous dire, nous étions en conflit depuis près de 40 ans, quand les points d'eau vinrent à se faire rare, dû à notre volonté perverse de faire de notre nation quelque chose de surpuissant, quanrante longues années où les coalitions se firent et se défirent aux grès des victoires et des défaites.
Notre démographie s'était réduite de manière gravissime, nous étions au bord de l'extinction. Arminia était ici pour avertir et tenter une dernière fois de convaincre les jusqauboutistes d'arriver à leurs fins....
Arminia s'éclaircit la gorge
Monsieur le président croire une seule seconde que l'atomisation réglera le conflit est une abérration, le arti que je représente est d'avis pour signer une paix sans condition avec nos frères, à tout prendre il s'agit d'une solution viable et je sais qu'au moment où je vous parle nos soit disant ennemis sont en train aussi d'évoquer le même sujet dont nous parlons ici.
Monsieur le président mettez un terme à cette réunion stérile, et négociez avec "l'ennemi, nous avons saigné plusieurs générations, pour quels fins? aucunes!Nous n'avons plus gagné un seul pouce de terres depuis 4 ans, chaque jours les assauts de nos troupes ne donnent uniquement leiu qu'a un rallongement inexorable de la liste des morts pour la patrie!!
Pouvez vous me dire ce qu'il se passera une fois l'atomisation faite? Vous négligez le fait que ce que nous ferons aura indubitablement des conséquences sur notre mère terre, regardez déjà ce que nous lui venons de faire...
Le président eut un sourire mauvais, il regarda longuement le rapport, se cachant presque derrière ce papier, il remua plusieurs fois de son fauteuil.
-Arminia je vous connais depuis longtemps, vous savez que je suis prêt à négocier pour en arriver là, malheureusement, et contrairement à ce que vous affirmez, l'ennemi lui, est détermine à nous anéantir, votre parti ne se limite qu'à des données superficielles, ma décision est prise Arminia, général mettez en alerte les bases de lancement, je vous retrouve dans une demi heure.
Arminia avait le visage déconfit, 3semaines de tractations pour ça, à ce moment là, je ne faisais déjà plus attention à ce qui se déroulait dans la salle, je ne fis pas plus attention au général qui affichait un sourire hargneux envers notre direction...
Arminia se pencha vers moi
-Arath mon petit, nous devons agir autrement, ou nous serons perdu
Mes pensées étaient tournées uniquement vers ma famille, je tremblais, mon dieu, qu'allions nous faire....
Cdt. Arath
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19/05/311 ETU 20:39
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"Je suis né durant le conflit qui opposa les miens, au nom des ressources de la volonté de survivre coûte que coûte, ma venue, comme les rares autres naissances étaient l'espoir que certaines familles entretenaient, celle d'une réunification, de la réconciliation....ils n'allaient bientôt plus faire q'un, mais étaient ce qu'ils s'imaginaient? bien sur que non...."
"Je me rappelle l'angoisse qui ne me quittait plus, je me rappelle qu'en remontant du bunker du président le paysage désertique et balafré qui se présentait à moi. Le vent chaud qui fouettait mon visage, plus de climat....nous étions obligés par moment de nous terrer comme de la vermine à chacun des tempêtes qui s’annonçaient, et ce bruit lancinant de la canonnade au lointain, rappelant sans cesse dans quelle triste réalité j'étais plongé".
-Arath le temps nous est désormais compté, j'ai prévenu tous nos partisans, il faut agir avec rapidité et discrétion, la police politique nous tomberait dessus sinon. N'utilise aucun moyen technologique, juste le bouche à oreille, de toute façon, pour le peu des nôtres qui restent, je sais que nos "ennemis" font exactement la même chose....
Je le regardais avec inquiétude, je me revois encore avec un visage quasi juvénile, empli de naïveté qui, au fur et à mesure volait en éclat devant chacun des confrontations avec la réalité.
Mais...qu'en est il des transports?Est ce une évacuation en règle, ou devons nous nous terrer encore une fois?.
Arminia regarda son élève, il hocha la tête, lui non plus ne savais pas.
-Une bonne partie de notre flotte est à vocation militaire, donc peu de chance pour que l'armée nous rejoigne, trop aveuglés par la haine de l'autre. J'ai cependant des contacts sérieux avec quelques pilotes de vaisseaux marchands, il n'a pas été difficile de les convaincre, certains sont de vrais mercenaires....mais ils feront leurs tâches avec brio, Arath toi est les autres membres du parti avez le pouvoir de sauver ce qui peut encore l'être, nous avons tout au plus 2h, le temps que les missiles soient armés, lancés, et surtout que les autres répliquent....ne perd plus une seconde mon ami...
-Et vous Arminia?
Arminia eut un sourire mélancolique, mais sourire quand même.
-Arath, si je veux pouvoir vous donner du temps, je dois retourner voir le président et les fous qui l'entourent, je n'ai plus de cartes à jouer dans ma manche, mais je peux encore vous offrir un peu de répit, cela je le peux, a défaut de sauver le monde dans lequel nous vivons...
Arath, une dernière chose, il y'a un abri que le parti a construit de ses propres deniers, si tu ne parviens pas à recueillir les citoyens, envoie les là bas, et jure moi que tu reviendras les prendre, ne les laisse pas dans ce futur enfer...
Arath regarda une dernière fois Arminia, ils se serrèrent la main, et Arath s'engouffra dans la ville en ruine et se dirigea vers le rare quartier résidentiel peuplé de la ville, ce qu'Arath ne savait pas, c'est qu'il était surveillé de près par un ennemi mortel....
-Président, je me devais de vous prévenir, le général Aroon, a omis de vous dire que nos différents rapports de reconnaissance font état d'un grand mouvement de population dans les villes ennemies, nos analystes laissent à penser qu'il s'agit d'une évacuation à grande échelle, cela ne traduit qu'une seule chose...
-Qu'ils sont au courant de ce qui se trame ici, ou qu'ils soupçonnent une attaque prochaine, la question est, préparent ils aussi une frappe?
-Monsieur, je suggère de faire la même chose que nos ennemis, si nous frappons nos ennemis, sans évacuer les nôtres, nous nous dirigeons très clairement vers une destruction mutuelle totale...
Le président s'affaissa sur son siège, cela devenait trop...
-Non...nous ne pouvons pas, s'ils s’aperçoivent, ou qu'ils ont ne serait qu'un fragment de soupçon sur nos intentions, s'en est fini de nous....Non, je maintiens l’ordre, et interdit toute évacuation, que les dieux nous protègent...
Cdt. Arath
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23/05/311 ETU 15:04
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Les sirènes se mirent à hurler, leurs chants lugubres provoqua un frisson dans l'échine d'Arath, presque deux heures qu'il s'attachait à prévenir le plus de personnes possible, de manière "discrète", Arminia, avait constitué quelques temps auparavant des cellules dormantes, composés de quelques personnes, chargés de relayer son appel d'évacuation, le travail d'Arath n'en avait été que plus facilité.
Plusieurs millier de personnes se dirigeaient vers le spatioport civile, qui lui était sous controle des partisans d'Arminia...
"Putain, on ne s'est pas suffisamment divisé comme ça, il faut qu'on se massacre au sein de notre propre camp..."
Les ruines de la capitale présentait maintenant un visage menaçant, un cercueil à ciel ouvert pour ceux qui n'avaient pas voulu suivre l'exode, Arath veillait à ce que chacun parte, il poussait les gens hors de leur maison, parfois assez violemment, il ne restait plus beaucoup de temps, les vaisseaux n’attendraient pas longtemps. Il n'avait aucune nouvelle de sa famille, il ne ssavait pas si ses compagnons les avaient pris en charge...
Alors que l'effervescence régnait, Arath fut contacté sur son datacom.
-Arath, la plupart des gens qui ont accepté de nous suivre sont en train de faire jonction vers le spatioport, les pilotes s'impatientent, ils veulent partir dans 15 minutes.Terminé
-Bon dieu de merde, dites leur d'attendre, ou coller leur un flingue sur la tempe, d'autres civils arrivent je...
Un bruit suspect mit en alerte Arath, il coupa la communication, et ordonna aux derniers traînards, de se dépêcher. Arath ferma les yeux, évidemment de tels mouvements de populations avaient attiré la curiosité de certains, notamment la police secrète...
Il effleura son poignard, et verifia si son Blaster était toujours en bandoulière, prudemment il emprunta une rue, a pas de loup, il évolua dans la rue, levant les yeux vers le ciel par moment, l'attaque pouvait arriver de partout.
Un autre craquement, ou plutot un ébouli de pierre, il avait parfaitement reperé la provenance du bruit, alors tremblant, le geste mal assuré il s'approcha du lieu où était venu le bruit, surgit alors un individu en armure complet, hurlant de toute son âme et s'apprêtant à attaquer Arath, ce dernier sentit la panique le gagner, mais dans un geste de survie désespéré, il saisit son adversaire par le bras et le lui brisa avec son autre main, avant de lui trancher la gorge.
La police secrète!
-Baisse ton arme tu ne peux pas t'échapper enculé!tu vas payer pour lui...
Quelque chose laissait penser qu'Arath n'allait pas voir de si tôt le spatioport. En regardant autour de lui, du vent emmenant en permanence le sable, émergea cinq hommes armés jusqu'aux dents. Arath ne pouvait rien faire, il fut désarmé, et solidement maintenu, manifestement cela sentait le bon passage a tabac en règle.
-Alors on fait de la sédition? tu sais ce que ca vaut mon con??je vais t'expliquer un peu moi
La voix métallique du garde parlant dans son casque était menancante, mais il ne parvenait pas à dissimuler le plaisir qu'il allait avoir à faire sur Arath, le premier coup ne se fit pas attendre, et les autres pleuvèrent.
Arath devint anesthésié par la douleure, il ne sentait plus sa bouche, son ventre lui faisait incroyablement mal, le nez avait un fait un petit bruit sourd quand il avait reçu un coup.
Arath était à genou il ne tenait plus, alors le chef de l'escouade, regarda Arath comme une bête curieuse, auquel il prenait un malin plaisir à faire souffrir, c'est alors qu'il lui saisit le bras par la main, et le coude, et d'un coup sec, le bras d'Arath prit un angle contre nature, un petit clac s'était fait entendre là aussi.
L’afflux de la douleur qui gagna Arath lui arracha un cri horrible, noyé sous les rires de la troupe des soudards, ces derniers finirent par repartir, ne resta que le chef contemplant son oeuvre.
On a un abri antinucléaire qui nous attend nous, on laissera les missiles te terminer tu n'en auras plus pour longtemps, mon ami....
Arath était seul désormais, son datacom avait détruit, il ne pouvait pas revenir sur ses pas, il était devenu une carcasse ensanglé misérable,
Alors qu'Arath se résignait à mourir, les larmes aux yeux, le sanglot coupé par les suffoquements de douleur, Arath entendit au dessus de lui, les passages des bombardiers, les sirènes gagnèrent en intensité, l'holocauste allat commencer.
je ne peux pas abandonner, pas comme ça!nan!je ne le peux!
Arath prit d'une folie furieuse de survie, se releva en lahcant des râles plaintifs, claudiquant, les yeux aveuglés par le sang coulant de son visage, ses cheveux collés à son visage, il ne donnait pas cher de l'apparence qu'il devait avoir, il existait dans la captiale plusieurs petits abris, or non loin de là où il se trouvait, existait ces fameux abris, avec ce qui lui restait d'énergie, il se traina jusqu'au lieu dit. Bientot il se trouva devant une sorte de bunker.
La porte blindé ne s'activait qu'avec un code, Arath essaya plusieurs combinaisons, mais a ce moment, tournant la tête vers l'horizon, il distingua des longs fuselages quittaient l'atmosphère, et derrière, derrière cette image rassurante des dizaines de points lumineux approchaient....
Arath sentit le désespoir le prendre, il tenta des combinaisons.
Allez!Allez!Saloperie ouvre toi!!!
les points se rapprochaient, l'un des missiles, s'arrêta, et un flash lumineux se fit, Arath complètement hors de lui, tenta une ultime combinaison, et à sa surprise, la porte s'ouvrit immédiatement, l'aspirant, le vent venait de se lever au moment il était en train de dévaler un escalier, la chute bien que douloureuse, Arath savait qu'il venait de se sauver, la porte s'était refermer, et lui s'enfoncait sous terre, le sol se mit à trembler, plusieurs bruits sourds purent être entendu.
Arath étendu sur le sol, respirait de plus en plus lentement, il avait échappé à la mort, puis il s'évanouit.
Cdt. Arath
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25/05/311 ETU 18:33
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Ambiance fortement conseillé pour vous imprégner de l'ambiance assez solitaire et mélancolique d'Arath
Deezer Hans Zimmer "figurines"
et Earth gladiator sur youtube, dernier chapitre de ce petit Rp
Je n'avais plus notion du temps, seul la console du vieil ordinateur égrenait pour moi les heures, je parvenais au départ à tenir un calendrier, et puis de fil en aiguille, j'ai laissé tombé, j'étais seule, sous terre, dans la quasi obscurité, avec juste une lampe torche à micro fusion qui me permettait de distinguer dans quel bouge j'étais, un vrai cloaque.
Je me perdais dans mes rêveries, l'esprit vagabondand, au départ ils étaient colorés, mais le temps, et le chagrin les colorèrent en noir.
Il n'y avait personne, j'étais seul, mes blessures me faisait mal, je souffrais le martyr, je pouvais hurler ma souffrance, personne ne l'entendrait désormais, ce qui me rendait d'autant plus malda...
Il m'est arrivé d'hurler après ma mère, bon dieu j'étais jeune, un gosse presque, et j'étais condamné au pire châtiment, une prison pour le restant de l'éternité, là haut, les radiations avaient rendu probablement toute vie impossible.
Et mes larmes n'ont que seul échos mes complaintes, je suis seul, je ne cherche plus, je déambule parfois au milieu de la pièce immense, je m'adosse contre un mur, et je ne parviens pas à quitter cette culpabilité, ce que j'ai commis est un crime à grande échelle.
Maman Papa je vous aime, par pitié faites qu'ils soient épargnés, ainsi que mes soeurs, que mon peuple puisse survivre à ce chaos....
Je ne veux pas mourir.
Et j'implore gaîa tout les temps, je maudis les esprits, les dieux de m'avoir accordé un destin si injuste.
Arath alors qu'il se remettait très difficilement de ses plaies, tomba par hasard sur plusieurs coffres scellés qu'il n'avait alors pa pu remarquer, aveuglé par la tristesse, l'angoisse permanente de la mort.
En parvenant tant bien que mal à casser les serrures, il découvrit plusieurs outils, de la nourriture en conserve, iophilisées, ce qui changerait des champignons qui poussaient sur la paroi du béton, et de l'eau croupie, sans doute contaminé qu'il avait ingéré.
Et des livres,des tonnes de livres, en holodisque, en support papier, en data com, plusieurs ouvrages de macchiavel, des auteurs de la rome antique, Virgile, Caton, césar, Platon, Plaute,....les grecs aussi avaient leurs comptes, Homère, Aristote, ceux du moyen age aussi...Villon et consort, le bal des pendus, rien de bien joyeux certes, mais Arath se plongea à corps perdu dans la lecture, ce gout retrouvé, lui permit de tenir encore un certains temps.
Un gout pour la vie naquit de nouveau en lui, il voulait survivre à ce mal, il ne faillirait plus désormais, il allait retrouver une destinée, non, il y'avait encore une voie, gavé de livres, il allait s'attaquer à la console de l'ordinateur, peut être serait il possible pour lui d'envoyer un message en continu, pendant quelques temps, il n'eut que pour victoire, des vilaines châtaignes. Et puis un jour il réussit à lancer un signal, en boucle, il jubilaiy, il n'avait plus qu'à attendre.
Mais le temps se fit long, Arath allait de nouveau sombrer dans les méandres de la mélancolie, quand un message s'afficha en continu, Arath eut un frisson, regardant fixement la console, sans dire un mot ni même montrer une once d'expression, Arath était heureux, mais il avait une mission une tâche, de ses joues ne coulèrent que deux larmes....
-Arath, arrivons prochainement, message SOS bien reçu, envoyons équipe de secours, coordonées enregistrés, tenez bon.
Terminé

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