Chers amis, bonne année à tous!

Qu'elle soit prospère, et profite à votre santé, bonheur et amour pour l'éternité... Ne parlons pas de la paix mes amis, ce n'est qu'une douce utopie... Mais souhaitons pour aujourd'hui l'entente tout du moins cordiale entre nous tous!

Sur ce, je vous salue, j'ai à faire!

Bonne année, mes chers petits ! Et bonne santé, parce que, comme le dit votre grand-mère syphilitique (elle se tapait tout le village, il était temps que vous le sachiez, soyez fort): "Parce que c'est important la santé."

Soyez assurés de ma fervente satisfaction à l'idée d'habiter la même galaxie que vous tous. Là, maintenant, en ce moment, au lendemain des fêtes, je suis extatique. Vous m'avez tant prouvé, agréable communauté d'Eveil, tout au long de ce semestre, à quel point vous étiez subtils, diplomates, fins gestionnaires, grands tacticiens... et surtout vous m'avez montré vos magnifiques talents littéraires. J'en aurais presque jouis. Presque.

Même le gouvernement n'est pas, je vous le jure sur le crâne de ma pauvre mère, une bande de couillons imbus d'eux-mêmes et confits dans l'oisiveté, qui me laissent tout faire, n'attendent que de cuver leurs vacances pour commencer leur travail de sape sur MON programme, et pensent sérieusement que leur mollesse rédhibitoire ne finira pas par leur coûter leur place. Tout cela a renforcé mon indécrottable croyance en la démocratie représentative, soyez-en sûrs.