Quelque part sur une planète dans le secteur 7

Un couloir obscurci par la nuit, le palais du commandant Albabor n’est éclairé que par les seules bribes de lumières que peuvent produire les éclats d’une bataille qui se veut tout proche. Dans ce couloir un bruit qui s’intensifie autant que la bataille fait rage. Un être de petite taille caractéristique de cette race s’aventure d’un pas hésitant vers la porte de l’antre de son maître.

La main sur la poignée, le serviteur soupir et regarde le plafond du corridor. Il semble hésiter et avoir une certaine retenue avant d’ouvrir ce dernier rempart qui le sépare de son souverain. Quelques grandes respirations et après avoir rassemblé son courage le vassale décide de pénétrer dans la grande salle du trône. Ce dressant devant lui, une grande salle parsemée de tableaux et de trophées des batailles précédentes, sous ses pieds un grand tapis rouge le mène devant son maître.

La silhouette éclairée par l’embrassement d’un vaisseau qui semble ennemi le commandant Albabor esquisse un sourire. Le regard fixé sur le spectacle qui se déroule, le souverain a l’air d’apprécier ce qui semble encore plus gêner encore le serviteur.

D’une voie tremblante, il se lance :

- Monsieur j’ai les nouvelles que vous m’avez demandés.

- Très bien, alors au rapport.

- Oui toute suite monsieur. Euh comme vous pouvez le constater notre action est entrain de tenir ses promesses. Pour le moment nous n’avons pas eu de grande résistance et nos pertes sont nuls pour le moment.

- Excellente nouvelle.

- Sinon, il semble qu’un vaisseau de notre armée se soit perdu nous n’avons plus de nouvelle de lui et nos radars ne le détecte plus Il renfermé des informations vous concernant…

- Comment ça !!!?

- Désolé monsieur, j’ai tout de suite ordonné une mission pour récupérer ces informations, mais il se pourrait au cas ou que le vaisseau soit abattu qu’elles soient éparpillées dans tout le système.

- J’espère que vous vous rendez compte de ce que cela peut engendrer si ces informations tombent entre de mauvaise mains !!

- Je sais monsieur, surtout que les rapports que nous avions récupérés à votre propos étaient dans ce vaisseau.

A ces mots le commandant ne répondit pas, le serviteur savais qu’il se devait de retrouver ces rapports s’il voulait continuer à vivre.

Je demande a ce que toutes mes planètes me soient rendus ainsi qu'une indemnité pour les centaine de millier de fregates détruite et leurs pilotes morts sous les coups de ioniques tirés par leurs PROPRES planètes !

Le commandant Albabor leva les yeux au ciel quelque moment en repensant à ce que venait de dire son serviteur, puis son regard se fixa sur un point au loin.

On peut remarquer à cet endroit une vague d’éclats incessante. La bataille fait rage à cette coordonnée, alors qu’ailleurs tout semble si paisible en apparence…

Le serviteur, sorti de la salle du trône la tête basse s’étant déjà résigné à son sort. Il est vrai que sa mission n’était pas des plus simple, d’abord il lui faut repérer le « vaisseau diplomatique » qui avait été touché, puis allé se risquer ( qui sait ) sur une planète gouvernée par un autre « commandant. »

Pour autant qu’il le sache l’embarcation ne devait pas être loin d’après ses dernières informations, le vaisseau était tout proche quant il s’est fait abattre, ce qui devrait donc limiter les recherches à quelques systèmes. Le petit être s’activait en salle de contrôle pour essayer de capter les moindres ondes émanant du défunt vaisseau, ( la pression est-elle qu’on peut remarquer les gouttes de sueurs tomber sur le pupitre de commande ) dans un excès d’anxiété, il laissa échapper ces quelques mots :

« Mais ou peut être ce maudit vaisseau, il faut que je le trouve avant que quelqu’un autre mette la main dessus…. Il y va de ma vie»

Dans le même moment, le comandant Albabor n’avait toujours pas bougé de ses quartiers.

(toute ressemblance avec des actions passées ou futurs serait que le fruit du hasard)

Nous sommes dans la grande salle tu trône du commandant Albabor. Les myriades d’éclats ont cessées depuis peu, ce qui a eu pour conséquence d’obscurcir énormément le palais du commandant.

Au même moment, dans le couloir central, une ombre déambule lentement le long du corridor, en direction du maître de ces lieux. Les serviteurs qui le croisaient arrêtèrent immédiatement de travailler et s’en allèrent sur-le-champ.

L’ombre grossit de plus en plus que l’individu se rapproché de l’unique source de lumière. En effet les réparations que devait entreprendre le palais furent arrêtés pour cause de fond insuffisant (en tout cas c’est la version officielle du ministre des finances, qui avait conclu son allocution par « les caisses sont vident… »)

Mais tout son peuple semblait respecter son choix… car c’était bien lui qui les avait libérés.

De nouveau dans la salle du trône, un éclat rouge vint couper l’air pensif du commandant, c’est un com-x, il se multiplie depuis peu et cela ne semble pas agacer Albabor.

Il se leva de son trône, se dirigea vers son ordinateur pour pouvoir lire son message. Il cliqua sur l’icône clignotante « diplomatie » et commença à en lire les premières lignes mais d’après son attitude quelque chose n’avait pas l’air d’aller :

- Mais que se passe-t-il la haut pour que le commandant….

A ce mot une personne frappa à la porte de la salle du trône, Albabor ferma la fenêtre de ses messages et se retourna.

(toute ressemblance avec des actions passés ou futurs serait que le fruit du hasard)

A la porte son illustre mentor se dressa dans une lumière mitigée, malgrès sa petite taille on pouvait sentir un profond respect entre les deux individus.

- Que faite vous là ? Je pensai qu’on devait communiquer que par com-x ?

L’interlocuteur laissa un silence qui voulait toutes les réponses possibles.

- Vous auriez dut annoncer votre venu et mes sujets auraient honoré votre venu comme il se doit. Pour qui je passe maintenant, pour un hôte qui ne sait pas recevoir ?

- Ne vous en faite pas pour ça. Nous avons des affaires à traiter ensemble et après vous pourrez faire tous les ronds de jambe que vous voudrez faire pour mes venus.

- Ne prenait pas ce ton dédaigneux avec moi. Je ne suis pas un de vos larbins !!!

- Peut-être mais pour le moment silence !!! J’ai a vous parlez.

- Quoi encore ?

- Vous avez dut recevoir une mission, je crois ?

- Possible ? et même si j’en avais reçu une que feriez-vous ?

- Je vous ai permis d’être là et de faire le malin.

- Le malin ? Que voulez-vous dire par-là ?

- Tu n’es qu’un pantin entre mes mains. Alors écoute-moi petit !

- Petit ? Vous n’avez pas vu à quel point je me suis développé.

- Bien sur que oui, j’ai sponsorisé ton développement !

- Quoi ??

- Tais-toi une seconde s’il te plait tu gâches ta salive pour rien.

- Savez-vous que je suis contacté par les plus grands commandants ?

- Je le sais et alors …

- Et alors, je suis prêt a me vendre au plus offrants, étant donné que je n’ai pas reçu de confirmation ! Vous ne faite pas peur !

- Alors soit !! Mais prend garde à toi alors !

Fin de l’acte 1.

Acte 2 :

1ere partie :

La situation c’est vraisemblablement dégradée depuis peu dans le secteur 7. Complots et actions militaires se multiplient, ce qui gangrène de plus en plus l’ensemble des systèmes de cet astre.

Seul une poignée de commandants sentit le danger et décida de réagir à la menace ennemie. Pour fer de lance un élitiste, incompris de la plupart de ses comparses, certainement par manque d’informations ou tout simplement parce qu’ils complotent avec la vermine.

La première idée que tout commandant digne d’une mission qui lui est assigné est tout simplement d’agrandir son royaume, et la seule alternative est de conquérir des planètes qui lui sont proches pour augmenter l’ensemble de ses stocks (£eems, métaux, diamants et énergies). Le tri est malheureux car aléatoire, aucune comparaison est faite entre alliés ou potentiel ennemis pour la juste cause de la libération du secteur 7.

Une seule espérance, la compréhension de cet acte malheureux qui peut toucher les victimes de cette action militaire.

Mais sachez valeureux commandants que cette période de vache maigre est proche de son terme et que tous les commandants ayant contribués à cette bataille seront récompensés du moins pour ceux qui auront montrés une bravoure au combat sans ne rien attendre en retour.

Que les planètes promis ou les dédommagements correspondants seront payés un jour ou l’autre. Mais que les commandants impatients prennent patience car cette bataille n’est pas prétexte pour récupérer des planètes hypothétiquement perdues lors de luttent précédentes.

Cette cause n’est pas prétexte à renverser un ordre établis démocratiquement, ni pour rentrer dans les petits papiers de puissants commandants. Cette entreprise n’est dut qu’à la bonne volonté de souverains qui veut un ordre établis dans ce secteur.

Maintenant, il est possible que certaines personnes puissent profiter de cette manœuvre militaire comme certains individus puissent perdent quelques plumes dans cette juste bataille. Il est à vous de choisir commandants qui me lisser de choisir votre camps, celui de la paix (malgrès quelle semble éphémère ) ou celui des combattants luttant pour un prestiges qui ne satisfera que leur soif de conquête (ce qui peut être compréhensible dans certains cas).

Ces paroles sont ce d’un sage malgrès les apparences. Je sais que j’ai fait couler le sang lors de mais différentes batailles légitimes ou illégitimes que j’ai pu entreprendre, et de se fait je sais que les trompettes du jugement dernier sonneront un jour ou l’autre mon glas.

Mais prenait en compte ma soif de pardon, même si aucunes planètes ne sera restituées aux comandants ayant fait preuve de traitrissent ou de corruptions par le passé.

Mon cher, vous vous prenez pour Dieu ou quoi?

Si c'est le cas, comme vos actions le démontrent, cessez, vous n'avez pas la carrure.

Vous versez le sang sans raison, sinon la soi disante soif d'ordre de votre commanditaire.

Vous n'êtes qu'un chien de guerre Albabor, vous vous vendez au plus offrant telle une catin vendant son corps, tout cela en faisant saigner les autres et en agrandissant votre empire.

Cessez donc vos beaux discours de justification.