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Cdt. Gregorio Greco
Respect diplomatique : 239 13/10/307 ETU 21:24 |
Score : 7
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(Rp privé, merci de ne pas poster sans y être invité) "Un canard dans le café, je vais avoir du mal à le digérer!" Gregorio, dans sa loge de la frégate de commandement Jack Rackham, prenait un copieux petit déjeuner, lorsque une secousse le surpris, lui faisant échapper sa tartine de pain beurré. Décidément, les piratages n'étaient pas de tout repos. Après avoir avalé en vitesse son café, il descendit rapidement au poste de commandement pour prendre connaissance de la situation actuelle. "- Alors L'Olonnais, où en sommes-nous???" "- L'assaut est en cours Capitaine!! Ces vaisseaux regorgent de diamants!" "- Parfait, prévenez-moi quand vous aurez terminé, que j'y appose ma signature!" Gregorio prit la direction de sa loge, en passant par la coursive ouest, qui lui offrit une magnifique vue sur le champ de bataille. Une flotte composée de quelques dizaines de vaisseaux de transport, était encerclée par deux centaines de frégates corsaires. Des quelques corvettes d'escorte adjointes aux transporteurs, il ne restait que quelques débris flottant dans le vide intersidéral. L'assaut avait été brutal, la victoire rapide et chirurgicale. Voici plusieurs jours que certains indics faisaient part d'une augmentation importante du trafic saptial dans cette zone du secteur, qui était relativement épargnée par les pirates. Après quelques heures de voyage pour rejoindre cette nouvelle route de l'or, les frégates avient pris place, en attendant le premier convoi. Celui-ci arriva environ trois heures après les corsaires, qui eurent tôt fait de l'assaillir, s'emparant d'un butin d'une valeur de plusieurs millions de leems, et réduisant l'équipage au silence. Peu de temps après, une nouvelle flotte fit son apparition, et périt en peu de temps. La troisième venait de tomber dans le même traquenard, et il y avait fort à parier qu'une autre la suivrait bientôt. A ce rythme, les soutes des frégates allaient bientôt être pleines, et il serait temps de laisser place à une autre flotte concurrent, qui venait d'apparaître sur les radars longue portée. Arrivé dans sa cabine, Gregorio s'assit à son bureau, et griffona quelques mots sur un bout de papier, posé sur le sous-main en peau de saurien. Puis, il se leva, et arpenta son bureau. Ces quelques pillages allaient suffir à assurer l'autonomie des Modeniens pour quelques temps, et ne devrait pas affecter trop grandement les victimes. Bien sûr, celles-ci trouveraient forcément ces piratages injustes, mais l'étaient-ils vraiment?? Les commerçants avaient reçus, il y a de cela fort longtemps, la capacité d'échanger entre eux des richesses, leur permettant d'accrioître rapidmeent leur puissance économique. Les espions, aussi nommés alliantistes, possédaient des untiés capables de ramener des informations sur n'importe quelle personne, toutes très utiles. De plus, ils disposaient de vaisseaux furtifs, découverte faite par Gregorio lorsqu'il trouva dans les soutes d'un transporteur attaqué, un vaisseau très différent de tous ceux qu'il aavit vu jusqu'ici, et qui, si l'on en croyait le bouton rouge en haut à droite de l'écran, possédait la capacité d'être occulté. Quant aux fédérés, descendants de l'illustre Fédération, ils possédaient des untiés d'invasions spéciales, leur permettant de s'emparer rapidement et à moindre coût, de nombreuses planètes. Et lui, qu'avait-il hérité de ses ancêtres? La capacité de s'emparer des richesses de la Guilde, par des actes de piratages. Comment pourrait-on lui en vouloir de s'en servir pour simplement surivre?? Depuis peu, Gregorio tentait de développer une nouvelle vision du piratage : le piratage ... (suite bientôt)
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Cdt. Gregorio Greco
Respect diplomatique : 239 15/10/307 ETU 19:30 |
Score : 4
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...équitable. Antinomique s'il en est, cette version du piratage pourrait néamoins révolutioner la vision que se font les guildiens des pirates. Bien sûr, ce changement des mentalités nécessiterait un travail de longue haleine, et une rigueur à l'application exceptionnelle. D'autant plus que les écumeurs intersidéraux ne voyaient pas d'un bon oeil le fait de ne pas attaquer plus que nécessaire, et de ne pas massacrer les équipages des vaisseaux arraisonnés. Jusqu'ici, ce point était le plus difficile à appliquer, puisque de nombreuses victimes étaient à dpélorer à chaque assaut. Néanmoins, cette idée commençait à faire son chemin dans l'esprit des corsaires, et était d'autant plus facile à appliquer que les vaisseaux marchands n'étaient pas escortés. Pas de résistance de la part des assaillis entraînait une prise de contrôle en douceur, sans écoulement de sang. Malheureusement, certains marchands préféraient adjoindre à leurs convois des forces de sécurité, qui ne faisaient qu'exacerber les penchants les pirates les plus sanguinaires, qui se livraient alors à de véritables massacres, égorgeant certaines de leurs victimes, arrachant le coeur des autres alors qu'il palpitait encore. Un voyant jaune se mit à clignoter sur un étrange appareil de forme oblongue, posé sur le bureau. Gregorio le prit en main, et appuya sur l'un des nombreux boutons. "- Capitaine, le transfert de la cargaison est terminé!" "- Très bien L'Olonnais, je vous envois un copie du message! Assurez-vous qu'il soit intégré dans tous les systèmes informatiques des vaisseaux arraisonnés." "- Je n'y manquerai pas!" Gregorio, après avoir reposé le communicateur à courte portée sur son bureau, se dirigea vers le fond de la salle, où trônait un imposant fauteuil en boix précieux, l'assise étant rendue plus confortable par l'ajout d'une peau d'ours noir. Il s'installa confortablement, et enclencha un bouton, qui eut pour effet d'ouvrir la portection de la baie vitrée qui donnait sur le champ de bataille, derrière le sigèe. Les débris des corvettes avaient été nettoyé, donnant aux environs un aspect moins chaotique. Ensuite, un bras articulé, au bout duquel se trouvait une caméra, descendit lentement du plafond, pour se stabiliser à hauteur du torse du jeune homme, puis se redressa légèrement, donnant l'impression que Gregorio dominait la scène. "- Cher guildien, malheureuse victime! Je vous remercie pour votre générosité, qui n'était, je le conçois fort bien, nullement intentionnellle. Vos hommes d'équipages n'ont pas été tués, ni même fait prisonniers, à l'exception de ceux se trouvant à bord du Vaisseau Marchand D'Elite X 3025 AZ 36, car ceux-ci ont tenté de s'enfuir. Concernant vos corvettes d'escorte, celles-ci ont été détruites par mes valeureux corsaires, qui manient les canons lasers aussi bien que les sabres à énergie. Leurs équipages ont malheureusement péri durant la bataille. Pour éviter de nouvelles pertes inutiles, je ne saurais que trop vous conseiller de ne pas adjoindre de flotte de protection à vos autres convois, car leur efficacité est, vous le savez aussi bien que moi, très très limitée. Je vous remercie donc une autre fois, et vous informe que je m'engage à ne plus attaquer un seul de vos convois jusqu'à ce que le besoin en devienne nécessaire. Bien à vous, Gregorio Greco." Gregorio interrompit l'enregistrement au moment où les rideaux se remfermaient sur l'extérieur, et le transmit à L'Olonnais, qui le téléchargea à bord des VME ennemis, avant de les laisser reprendre la route. Durant ce temps, la plupart des frégates corsaires étaient reparties en hyperfusion, portant dans leurs soutes les richesses dont avait besoin Modenacittà.
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