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Cdt. Kilij Arslan
Respect diplomatique : 408 03/08/308 ETU 19:35 |
Score : 4
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Connexion extra galactique activée. Un hologramme apparut au cœur de l'assemblée. Un commandant enchâssé dans une armure. Un corps trop meurtrie par les combats pour survivre sans une assistance artificielle. Une prison métallique le condamnant à se remémorer les erreurs de son passé. Il prit la parole. Habitants d'Eveil, je vous salut. Je vous transmet ce message du confins de l'univers. Un message de paix envers votre monde. Je constate que dans votre galaxie aussi vous avez connu et connaissez les affres de la guerre. Beaucoup de vos proche ont disparut sous les tirs incessants de nations étrangères ou local. Par des commandants voulant se tailler un empire dans le feu et le sang. Sur les ruines encore fumante d'une guerre passé, d'autres s'annoncent, toujours plus meurtrières, encore plus sanglantes. Faisant sombrer peu à peu les civilisation dans un hiver éternel. De mes voyages je tire peu à peu une conclusion, là où se trouve l'Homme, la mort et la destruction devance son ombre. Et l'humanité sombre peu à peu dans le néant. Voyez l'origine des civilisations, cette diversité et cet engouement au bonheur. Voyez aujourd'hui l'histoire. Pleines de haines et de guerres. Quelques commandants se battant désormais pour leur survie, oubliant l'origine de leur existence. Se dirigeant fatalement vers l'abîme de l'oubli. Mais je ne vous dresserait pas ce tableau morose que nous avons l'habitude de côtoyer désormais. Non, j'essaie de rechercher l'espoir du bonheur dans l'ouverture et la tolérance. En un seul mot, la raison. Mon message s'adresse aux commandants ayant compris que la paix ne se fait pas dans la guerre. Que la vie et la richesse ne se compte pas dans l'accumulation de ressources. Je m'adresse aux commandants qui ont encore l'espoir de retrouver la paix et le bonheur dans les mondes, qu'aux delà de la bêtise humaine existe la raison. attendant patiemment son heure. Constatez le présent, tirons une conclusion de nos erreurs. Respectueusement, Fin de transmission
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Cdt. Kilij Arslan
Respect diplomatique : 408 05/08/308 ETU 23:35 |
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Score : 3
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Préambule, Celui qui croyait. En tous temps et en tout lieux, il y eu les dieux qui parlèrent aux cœurs des hommes. Guidant à chaque instant leurs gestes et leurs pensées. C'est ce que certains croyaient. Les hommes pensèrent que les dieux leurs avaient attribués une tache, un but à accomplir. Que les hommes appartenaient aux schémas des dieux. Mais ce n'était que trop rapprocher la pensée divine à la pensée humaine. Le chemin n'était pas une route, il était un désert. Les voix des dieux sont impénétrable, qui croyait en voir la lumière n'effleurait que son ombre. Qui croyait que le mortel entendait la voie des immortels, persuadé que les innommables pouvaient lui montrer ce chemin, n'était pas prophète, il était une âme errante de ses propres rêves. Qui pensait que des hommes pouvaient détenir le savoir des dieux et écoutaient ces êtres, n'étaient pas des fidèles, ils étaient des fous, à qui la folie avait obscurcie l'esprit. Les anciens avaient compris cela. Ils respectaient l'autre monde, mais savaient que l'autre monde ne dirigeait pas le leur. Car ce monde était celui des Hommes, pas des dieux. La loi des dieux ne s'appliquait pas au destin de l'Humanité. Ils érigèrent des holocaustes aux souvenirs des dieux. Pas pour les invoquer. Les sages qui se mariaient à la voix des dieux, coupaient le fil de la réalité du monde des mortels. Pour se consacrer à celui des immortels. Mais il était impossible de faire les deux. Les dieux ne partagent pas leur monde avec celui des mortels. Le sage avait compris la nécessité de ce choix. Qui veux vivre dans un, ne peut vivre dans l'autre. Celui qui croit pouvoir faire les deux, n'écoute pas la voix des dieux, mais celle de ses démons. Il y a un choix à faire. Le monde des hommes ou le monde des dieux. Kilij referma le livre, s'en était assez pour aujourd'hui. Il chérissait ce livre plus que tout. Un livre qui lui avait été donner par un inconnu lors d'un de ses voyages.
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