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Cdt. Eraos
Respect diplomatique : 21 10/11/308 ETU 16:15 |
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Score : 3
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J’ai toujours connue la paix dans mon enfance. La plupart des dirigeant savaient mériter leur poste et le commerce prospérait. Le royaume de mon père était situé sur un axe commercial majeur. Grace à cela et malgré la pauvreté de nos sols nous étions prospère. Nos forces militaire se militaient à la garde royale. En ces temps paisibles rien ne justifiait plus d‘effectif. . Un beau jour une guerre éclata aux confins de la galaxie. Le jeux des alliance fit que mon père fut emmené loin de chez lui, me laissant la charge du royaume. nous n’avions nous pas sut évoluer à temps et les moyens de se battre avaient bien changé. Sa nef succomba à des assauts atomiques, vaincu par un ennemie caché bien loin de là. Aucun de nos hommes partit au combat ne rentra. Les combats arrivèrent jusqu’à nous, semant la désolation sur nos terres. Les rares survivants aux combats meurtriers se dispersèrent sur des planètes vierges, des cités dépotoir, dans tous recoins où personnes ne viendraient les chercher. Avec quelques de mes hommes je me rendit sur une planète contrebandière. Les renégats qui la peuplaient étaient hostiles à toutes sortes de gouvernement. Ils avaient de plus une cohésion sans faille, sauf certains soir de beuverie mais cela ne durait guère. Dans tout les cas je savait qu’aucune guerre ne nous attendrai ici.
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Cdt. Kilij Arslan
Respect diplomatique : 408 21/01/309 ETU 17:31 |
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Score : 3
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Le renégat fixait son écran pensif, le regard vide. Tous attendaient une décision de lui, car des vaisseaux étrangers avaient pénétrer l’espace aérien de cette planète oublier de l’univers. L’effort des mutins a se faire oublier etaient compromit si ils acceptaient de venir en aide a cette flotte mal en point. Mais le code de l’honneur de la piraterie imposait de venir en aide aux personnes en perdition dans l’espace. C’était une vieille coutume issue de la nuit des temps, la ou les hommes naviguaient sur les océans. C’était donc une décision importante que devait prendre Lloyd, risquant de sceller a jamais la destiné des habitants. Depuis combien de temps était il sur cette planète ? Cette question, Lloyd Hiden Jack ne cherchait plus à y répondre. Il avait été jeté sur cette planète bagne après s’être fait attraper alors qu’il détournait la fortune du gouverneur d’Edessia. Autrefois respecté sur son natal de ses pairs, son quotidien avait été par la suite soumis à extraire le minerai toute la journée. Et ce, pendant de longues années. Mais la chance vint à sourire pour les prisonniers lors d’un ouragan sectoriel, la planète située à l’épicentre de la fracture, cette dernière fut frappée de plein fouet. Le souffle détruisit les bâtiments de détentions et coupa les transmissions interplanétaires, ce qui permit aux bagnards de prendre le contrôle de la planète. L’armée en place, dans une effrayante incapacité, perdit le contrôle en moins de deux jours. Une fois le contrôle de la planète conquit, les prisonniers avaient pris le soin de se faire oublier et de transformer l’atmosphère de cette planète invivable. Afin que nuls colonisateurs ne reviennent sur cette terre. Ils avaient creusé des kilomètres de souterrains recréant un monde artificiel, une vie dure mais libre. Une dizaine de frégates appartenant autrefois au système pénitencier avaient été modifiées pour l’abordage spatial sur de petits convois. Peu armée, mais extrêmement manoeuvrable dans les champs d’astéroïde apparut après l’ouragan. Tirant leur pitance de ces larcins. Mais aujourd’hui cette routine était compromise, ils ne savaient pas qui étaient ces étrangers, peut être était ce une ruse de ce gouverneur rancunier. Lloyd se tourna vers son second. Portons assistance aux naufragés, nous ne pouvons plus continuer à nous cacher. Si c’est une ruse, nous mourrons avec l’honneur d’avoir respecté notre code… Le second acquiesça sans broncher, ils avaient confiance en leur leader qui les avait sauvés des mines, d’une existence sordide. Les frégates quittèrent le hangar pour escorter la flotte en position géostationnaire.
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Cdt. Eraos
Respect diplomatique : 21 08/03/309 ETU 02:16 |
Score : 6
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Nous traversions la galaxie vers notre but. En pilotage automatique, je me laissai envahir par une légère somnolence. Ce vide absolu, cette immensité, me laissait rêveur. Je repensait à mon enfance, à ces longs moment passés à attendre dans notre demeure un père trop pris par sa tache de dirigeant. Il y eu aussi mon premier vol extra planétaire. Je ressenti une immense liberté, et n’aurai pu imaginer de devoir un jour fuir par ce moyen. Un grésillement me sortit de mes rêveries. La frégate d’avant poste annonçait par radio que nous arrivions à notre but. -Vous êtes sur que ce sont les bonnes coordonné commandant? Cette planète à tout l’air de n‘abriter aucune vie. -C’est certainement voulu par ceux qui y vivent. Ils ne tiennent pas à se faire remarquer. Survolons la, nous les trouverons. Le sergent Orlov fit tournoyer sa navette au dessus de l’étendu dévasté de cette planète en guise de réponse. Il avait surement emmené de cette gnole maison sous prétexte que cela désinfecte les plaies et décrasse le moteur. Au fur et à mesure que nous avancions, l’idée que les renégats aient pu partir pour assurer leur propre sécurité me traversa l’esprit. Mais soudain un bip significatif me redonna espoir. Quelques vaisseaux venaient d’apparaitre sur nos radars. C’était inespéré, ceux que nous cherchions en vain venaient à notre rencontre. Se positionnant prés de nous, celui qui dirigeait cette flotte nous ordonna de les suivre. Se rapprochant du sol, ils se dirigèrent vers d’arides montagnes. Les pilotes qui nous guidaient étaient très à l’aise aux commandes de leurs frégates, et nous avions parfois du mal à les suivre à si basse altitude. Cependant je ne voyait au loin aucune trace de piste, ni d’une quelconque installation nous permettant de nous poser. Nous sous approchions des montagnes, et je pu enfin apercevoir ce voir quoi nous nous dirigions. Un tunnel, juste asser large pour qu’un vaisseaux de petite taille comme les notre puisse si engouffrer. Nous aurions pu chercher longtemps, ce tunnel était absolument invisible depuis l’espace. En vitesse minimale, nous nous y engouffrons. Quelques mètres plus loin, un lourd sas s’ouvrit devant nous, donnant sur le hangar où l’on pu enfin se poser. Je m’empressa de descendre de mon vaisseau. Le commandant de notre escorte s’avança vers moi. Il était armé, comme tous ceux qui l’accompagnai, mais s’ils avaient voulu nous tuer, cela aurait été fais depuis longtemps. Veuillez me suivre avec vos hommes, notre chef vous attend Me dit il froidement, nous indiquant un large couloir creusé à travers la roche. Ce couloir donnait sur une sorte de cité souterraine , où toute une société semblait vivre de façon autonome sans se soucier du monde extérieur. Il y avait des hommes de tout âges qui nous fixait à notre passage, n’ayant pas vu d’étranger depuis longtemps. Notre escorte s’arrêta devant une porte. Un des gardes l’ouvrit et m’invita à entrer, mais mes hommes furent obligé de rester à l’extérieur. Je me retrouvai face au dirigeant de cette étrange cité. Il se présenta et demanda à son second de nous laisser seul. Son nom, Lloyd Hiden Jack, ne m’était pas inconnu. Même si personne ne l’avait vraiment rencontré, sa réputation était grande chez les contrebandiers et les renégats. Je lui expliquai la raison de notre venue, la guerre, la mort de mon pére et les combats qui nous ont obligé à fuir. Ils étaient notre seul recours. je dois réunir mes conseillers avant de prendre ce genre de décisions. Mêmes si notre code nous demande de vous protéger, recueillir des étranger parmi nous est un risque non négligeable pour notre sureté. Je vais vous faire conduire à vos nouveaux quartiers en attendant notre décision. Je pense qu'aprés un si long voyage vous devez avoir besoin de repos.
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Cdt. Kilij Arslan
Respect diplomatique : 408 14/03/309 ETU 11:59 |
Score : 3
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Le Conseil était composé des plus anciens de Jambalaya, nom donné à la planète après la victoire des prisonniers sur les forces du gouverneur d'Edessia. Voilà maintenant plusieurs heures qu'ils délibéraient sur les répercutions possible de l'accueil du commandant Eraos. Ce commandant n'est pas un simple paria Lloyd, il est le fils d'un commandant. Il ne s'agit pas d'un simple trafiquant recherché par des chasseurs de primes. Mais une personne qui vient de subir un coup d'état ou une de ces choses qui nous dépasse! Tout un empire est à sa recherche et je ne donne pas chère de notre peau si ils nous retrouve avec... Un homme à la carrure massive et parcouru de cicatrices prit la parole. C'est p'tete dangereux p'tit... Mais c'est peut être la fin de notre calvaire. Il s'agissait de Karl Blynberhg. Un ancien mercenaire d'Edessia. Son nom était connu et respecter dans tout le milieu. Ancien soldat, après la fin des guerres sectoriels, le manque d'action l'avait conduit à agir en freelance, monnayant ses talents de soldat à qui aurait la plus grosse bourse pour se les payer. Sa dernière mission lui avait coûter sa liberté... Lloyd se tourna vers le mercenaire pour lu demander de s'expliquer. C'est simple, ces réfugiés sont notre salut. Notre flotte commence à se faire vieille et nous n'avons bientôt plus de place dans notre repaire. A quelques cycles d'ici, il y a la planète prison Baal II. De nos sources, on sait qu'elle est mal gardée, mais riche en munitions et en vivres. On pourrait p'tet agrandir notre fief en libérant les prisonniers? La flotte du commandant Eraos serait bien utile. Les conseillers réfléchirent à la proposition. C'est vrai que Jambalaya commençait à être trop juste pour les réfugiés qui venaient, chaque jours, de plus en plus nombreux. Lloyd brisa le silence. Si personne n'y voit d'inconvénients, je pense que Karl a raison. Personnes ne contesta. Bien, problème résolut ! Ils quittèrent la pièce et Lloyd se dirigea dans les appartements d'Eraos où ce dernier attendait le verdict du Conseil. Commandant Eraos, le Conseil à tranché... Soyez la bienvenue sur Jambalaya. Cependant nous aurions besoin de votre aide pour améliorer notre condition... Si vous êtes d'accord... Lloyd exposa le problème de Jambalaya et l'idée de la prise de la prison planète voisine. Puis il gagnèrent la salle principale où une fête en l'honneur des nouveaux arrivants était sur le point de commencer. Marchant vers elle, Lloyd se tourna vers Eraos. Connaissez vous les fêtes pirates? Je suis sûr que vous aller adorer...
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Cdt. Eraos
Respect diplomatique : 21 06/04/309 ETU 21:28 |
Score : 1
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Malgré l’heure et cette fête qui avait duré toute la nuit, je n’arrivai pas à trouver le sommeil. La nuit avait été longue et chargé. Après un discours de bienvenue, la fête avait commencé. Des musiciens, un alcool ayant été distillé sur place et d’autres substances locales, rien ne manquait dans ce lieu coupé du reste de l’univers. A présent mes hommes dormaient profondément, assommés par l’alcool. Affalé sur un siège, Orlov, mon second, décuvait sans avoir eu la force de se trainer dans son lit. Il n’avait apparemment eu aucun mal à s’intégrer parmi nos hôtes. D'obscure pensées m'envahissaient l'esprit. Combattre, quelque soit l’ennemi, était apparemment inévitable. Aider ceux qui nous ont recueilli était la moindre des choses, et je n’eu aucune hésitation à leur dire que ma flotte était à leur disposition. Ce n’était pas la mort qui me faisait peur, mais je sentais qu’il y avait quelque chose là bas qui m’attendait, et qu’après cela rien ne serait comme avant. Je longeais les long couloirs de pierre, plongé dans mes pensés, laissant les minutes s’écouler vers cet inexorable destin. Durant la journée mes hommes se réveillèrent un à un. Il n’y eu guère d’activité, chacun restant dans son coin, se remettant surement d’une monumentale gueule de bois. Le lendemain matin, après un bref repas, un renégat vint nous chercher. Bonjour messieurs. Je me nomme Karl Blynberhg. Je ferai partit de l’attaque contre Baal II. J’espère que vous avez bien mangé, car notre départ ne devrait plus tarder et la route est longue. Voila pourquoi je vous prie de me suivre. Le Conseil vous attend pour un briefing. Il nous accompagna jusqu'à la salle où eu lieux notre fête de bienvenue. Celle-ci avait été vidée de toute décoration et vaillamment nettoyé. Derrière une grande table étaient installés les membres du conseil, Lloyd assis au milieu d’eux. Derrière eux un holo-projecteur et face au Conseil des chaises sur lesquelles étaient assis une vingtaine de renégats. A notre entrée, Lloyd se leva et s’adressa à nous Vous voila ! Très bien, installez-vous. Pardonnez notre précipitation mais il faut agir tôt, nous avons déjà trop attendu. Vous connaissez déjà Karl Blynberhg. Il dirige les hommes qui vous accompagneront. Je vais le laisser vous expliquer comment vas se dérouler l’attaque. Blynberhg, qui était resté prés de la porte s’avança prés de l’ hollo-projecteur, enclencha un bouton, donna un violent coup de bote dans le moteur et la machine s’alluma. Un hologramme apparut, représentant la galaxie où nous nous trouvions. L’image s’agrandit pour se préciser sur notre but : Baal II. Comme vous pouvez le constater, cette planète est glaciaire. Elle abrite le complexe pénitentiaire qui nous intéresse. Tout d’abord, un petit détail climatique. La planète est constamment parcourue de vents violents pouvant décoiffer le plus frisé des caniches. Quelquefois des tempêtes se déclenchent, détruisant tout sur leur passage. Seul le blindage lourd de la prison peut y résister. A vrai dire, c’est surtout cela qui dissuade les prisonniers de s’enfuir. Le point positif est que leur système de télécommunication en à souffert, et qu’il est rarement en état de fonctionner. Ils ne pourront probablement pas appeler de secours. De plus, selon les dernières informations que nous avons pu avoir, l’activité y est très faible et le nombre de garde réduit. Espérons que se soit encore le cas. A l’aide d’une télécommande, Blynberhg fit se concentrer l’hologramme sur une des faces de l’imposante prison. Maintenant l’action proprement dite. Vous serez quatre par vaisseaux. Les hommes d’Eraos aux commandes, ainsi qu’un artilleur et deux vaillants renégats destinés à neutraliser toute résistance une fois sur place. Notre seul moyen de pénétrer sur les lieux sans tout faire exploser est le hangar où se posent les vaisseaux transportant les prisonniers. Il n’a pas servit depuis quelques temps, et le blindage y est plus faible. Ce hangar donne directement sur la salle de surveillance ainsi que la salle de repos des gardes. Il faut donc s’attendre à ce qu’ils soient rapidement sur nous, mais une fois passé ce problème cette prison sera à nous. A présent, que chacun rejoigne son poste, et bonne chance à tous. Asser solennellement, partagé entre la peur et l’excitation, nous nous mirent en marche vers notre flotte, Nos vaisseaux avaient été nettoyés, et quelques modifications avaient été apportées à l’armement. Au moment de moment de monter dans ma navette, une voie m’interpella. C’était Lloyd, accompagné de deux de ses hommes. Je vous accompagne. Cela fait longtemps que je n’ai pas eu l’occasion de combattre, mais ça reviendra vite. Je fus rassuré de l’avoir à bord. Il émanait de lui une grande force de caractère, et un calme que je n’avais senti chez personne d’autres. Rapidement, l’ordre de décoller fut donné, et la flotte se mit en route vers notre destin.
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