Pages : 1
Cdt. Admiral Freud
Respect diplomatique : 121 15/01/309 ETU 18:01 |
Score : 5
Détails
[RP Privé, merci de ne pas répondre, sauf si vous y êtes invité] Sur la planète Braxis V, dans un grand bâtiment à l'architecture antique et aux multiples drapeaux et emblèmes patriotiques, le Chef d'État de la Fédération des Républiques Socialistes Braxisiennes, l'Admiral Nicolas Freud, rencontrait ses ministres. Ils étaient près de 20, hommes et femmes en tenus similaires et arborant des décorations témoignant leur titre, autour d'une grande table ronde. 3 généraux assistaient, debout en arrière de l'Admiral, à la réunion. La pièce n'était pas très bien éclairée et aucune fenêtre ne pouvait changer la situation. L'Admiral, habituellement fier et droit, semblait affaiblit et être en train de s'appuyer sur la table pour maintenir sa posture. Les autres ministres avaient bien remarquer l'état de leur premier ministre, mais aucun n'osa un commentaire. L'Admiral pris finalement la parole. " Chers ministres, l'heure est grave... Des catastrophes stellaires frappent la Fédération de toutes parts, des épidémies, des famines, des... " L'Admiral but une gorgée d'eau et poussa un soupir. " On nous reporte même la disparition de gouverneurs planétaires... Nous devons agir. " Les ministres acquiescèrent tous. L'un risqua une question. C'était un vieil homme avec une moustache et un habit jaune: ministre des finances. " Mais Admiral, que voulez-vous que l'on fasse contre des collisions célestes?? Tout ce que l'on peut faire, on le fait déjà: on rebâtit le plus rapidement possible après cette catastrophe! " L'Admiral regarda le ministre de la recherche, un homme portant des lunette et un habit mauve. " Je me fous des structures! Les scientifiques ne sont-ils pas en mesure de prévoir de telles collisions?? Pour nous laisser le temps d'évacuer? " L'homme à lunette baissa la tête. " Non mon Admiral... Ils ne le sont pas... " L'Admiral parut irrité. " Et pour les maladies? Les famines? " Une femme pris la parole, habit blanc: santé. " Nous acheminons l'aide le plus rapidement possible, mon Admiral... " " Je m'en fou! Ces problèmes ne devraient même pas exister! Vous ne pouvez donc rien prévenir?? " " Euh... mon Admiral... " L'Admiral avait frapper sur la table. Un malaise s'installa... Un homme intervint, il est rasé et chauve, habit rouge: ministre de la culture. " La Fédération possède un vaste territoire, mon Admiral. Nous ne sommes pas omniscient... Chaque planète fonctionne selon son propre système, nous ne pouvons pas intervenir de la même manière que dans un système fa-" " -SUFFIT! Taisez-vous, Derifov! On a déjà suffisamment parlé de votre idéologie politique. Si ça continue, je vous démet de votre poste pour conspiration en vu de mutinerie... " Dérifov, apparemment furieux s'exécuta. Freud se pris la tête dans ses mains. Il se redressa et se leva. " Vous ne semblez pas réaliser l'ampleur de la situation... Le peuple braxisien se meurt... " Une femme en vert, ministre de la sécurité publique, avec les cheveux tirés en chignon suggéra quelque chose. " Peut-être devrions-nous céder des planètes? " " Céder des planètes? Nous les plongerions dans le chaos... Nous ne pouvons pas faire ça. Elles ont fait le choix démocratique de rejoindre la Fédération, nous ne pouvons pas les abandonner... " Derifov intervint. " Mais si c'est pour sauver le reste de la Fédération? Les militaires, vous, vous n'hésitez pas à utiliser les escadres kamikazes! " " Comment osez-vous...? Vous croyez réellement que j'envoie des centaines de milliers d'hommes et de femmes vers une mort certaines sur un coup de tête?? Ces commandos ont fait le choix de se sacrifier pour leur patrie... Ces planètes non. " Derifov devint furieux et quitta la salle. L'Admiral Freud continua. " Bref... Nous courrons vers la chute de la Fédération... Ce n'est qu'une question de temps avant que le peuple se dresse devant votre incompétence et manifeste sa colère. " Un jeune homme en gris, ministre de l'éducation, prit la parole. " Vous essayez de nous mettre la pression en nous faisant craindre pour nos vies? Le peuple n'est pas violent... Jamais je n'irai croire qu'il - " " Non. Je n'essaye pas de faire craindre votre sécurité... J,essaye de vous faire craindre la chute de la Fédération. Toute la splendeur de notre civilisation réduite à néant à cause de la déchéance d'une équipe gouvernementale... Et vous croyez que nous sommes à l'abri de la violence? Sachez qu'il existe toujours des rebelles refusant de suivre le code moral... Ils peuvent entraîner le peuple dans la violence si le peuple n'en peu plus. " L'Admiral se dirigea vers la porte, il se retourna et fit face à son équipe. " Bref, messieurs, notre temps est compté... Tâchez de l'utiliser judicieusement. "
|
||
Cdt. Admiral Freud
Respect diplomatique : 121 16/01/309 ETU 17:50 |
Score : 4
Détails
Une seconde réunion des ministres eut lieu rapidement. L'Admiral se rendait à la salle de rencontre pendant que 2 fonctionnaires tentaient désespérément de mettre le Premier Ministre à jour en leur faisant un bilan pendant qu'ils marchaient. " Des attentats frappent de partout, nous avons déjà perdu 2 gouverneurs. " " Qui gère les planètes? " " Des gouverneurs intérimaire... " " Des assauts rebelles ont détruit le convoi 5 qui devait acheminer des vivres dans le système 17. " " Y a-t-il un convoi de secours, de remplacement? " " Il a été saboté 30 minutes auparavant... " L'Admiral semblait découragé. Il entra dans la salles et les 2 fonctionnaires partèrent rejoindre leur bureau respectif. Les ministres étaient déjà tous présents. " Qu'on fasse sortir Dérifov d'ici: il est à présent démis de ses fonctions. " " Quoi?? Mais sous quel prétexte ordonnez-vous ça? " " Insubordination, non-respect du code professionnel de ministre, conspiration visant une haute trahison envers la Patrie, et j'en passe. " " Et quelles preuves avez-vous? " Dérifov semblait mettre l'Admiral au défi. L'Admiral répondit à voix basse: " Vous verrez lors de votre procès. " " Fumier... Je suis certain que vous en avez aucune... " Dérifov fut reconduit hors du bâtiment par 2 militaires. L'Admiral prit place autour de la table afin que la réunion puisse commencer. " Alors... Où en est la situation à présent? " Les ministres paraissaient tous assister à un enterrement. " Commençons par la santé... " La jeune femme en blanc semblait en proie à une crise, mais réussit à se calmer. Sa voix tremblait malgré tout. " La situation se détériore. Les maladies se répandent de plus en plus rapidement et les secours sont bloqués par des attentats rebelles... C'est... C'est la catastrophe... " L'Admiral Freud semblait rester en contrôle de lui-même. Il fit signe à la ministre de la sécurité publique de faire son bilan. " Des militants rebelles débarquent dans les rues et tirent sur tout ce qui bouge... Les forces policières sont en train de se faire décimer; elles ne sont pas prêtre à affronter quelque chose de la sorte... Les citoyens ont peur, mon Admiral. " " Je vois... " L'Admiral demanda le bilan du ministre des finances, bien que ce soit le cadet de ses soucis. " Les rebelles détournent les fonds publics, pillent tous ce qu'ils voient, y compris les entrepôts militaires... Si la situation ne change pas, nous courrons vers une crise nationale... Les fonds seront insuffisant pour simplement gérer l'État! " L'Admiral fit signe à un homme en orange de faire son bilan, ministre des affaires internes. " Les fonctionnaires sont les proies de multiples attentats... Je ne serais pas étonné que demain il ne reste moins de la moitié des gouverneurs planétaires élus... Même le Ministre des Affaires Étrangères à été assassiné hier... " L'équipe des ministres se tut pendant une minute. L'Admiral Freud fut le premier à briser le silence. " La situation se détériore encore plus vite que je l'imaginais... L'opposition rebelle s'est tellement intensifiée en si peu de temps... Personne ne semble savoir pourquoi... bien sûr..." " Mon Admiral, les forces policières sont incapables de calmer la situation... Nous avons besoin de l'Armée. " " Elle a raison! De plus, certains députés semblent vouloir profiter des rebelles et tentent de les séduire... Ne devrions-nous pas nous en débarrasser? " " Suggérez-vous de faire de la répression politique? " " Euh... eh bien... ce n'est peut-être pas... " " Alors comment appelez-vous cela? " Le ministre se tut. " Je crois que l'heure est assez grave pour convoquer une Assemblée d'urgence. Qu'en pensez-vous. " Les ministres acceptèrent à l'unanimité. ................................................................................................................................................................................................................................. Tous les députés élu de la Fédération des Républiques Socialistes Braxisiennes étaient réunis à l'Assemblée Nationale. La bâtiment était immense et accueillait présentement plus de 700 personnes. L'Admiral arriva et demanda le silence. " Cher Camarades, L'heure est grave... " L'Admiral fut interrompu par un vent de paroles. Il redemanda le silence. " Des forces rebelles sont en train d'assaillir le Patrie de toutes parts et aggravent la situation déjà critique. " Un autre vent se fit entendre. L'Admiral commençait à être irrité. " Camarades, nous devons agir. La Nation vous écoute. " Étonnamment, le silence persista. Un député se leva et pris la parole. " Les gens se meurent dans ma région! Que fait le gouvernement central pour nous aider??? " Un vent de commentaires se fit entendre. " Le gouvernement central fait ce qu'il peut. Les rebelles- " " Les rebelles! Les rebelles!!! Toujours les rebelles!!! À croire que tous les maux viennent d'eux et que le gouvernement est saint! " Un autre vent de commentaires vint appuyer ces propos. " Calmez-vous Camarades! Les rebelles détruisent les convois d'aide humanitaire... Vous ne semblez pas réaliser à quels point les forces rebelles sont devenues agressives! Des fonctionnaires meurent chaque heure! Des planètes sombrent dans le chaos chaque jour! Bientôt, ce sera la fin de la Fédération si ça continue... Alors cessez de blâmer le gouvernement et tentez donc de trouver des solutions! " Le silence se fit. " Si la Fédération est incapable de gérer sa population, nous devrions peut-être penser à diminuer cette population... " " La Fédération est incompétente en ce moment. Je suggère le retrait de notre république! " Un vent de protestation se fit entendre. L'Admiral Freud s'adressa directement au député qui venait de parler. " Camarade, vous voulez quitter la Fédération? " " Oui, les miens ne doivent pas payer pour votre incompétence. " " Depuis quand êtes-vous élu sur votre planète? " Le silence se fit. La tension régnait. " Alors? " " Je ne suis pas élu... J'assure l'intérim. " " Alors vous n'êtes pas autorisé à décider de quitter la Fédération puisque ce n'est peut-être pas ce que "les vôtres" désirent. Je vous suggèrerais de faire un référendum, mais vu la situation actuelle, ce serait inacceptable. Le chaos règne partout, ce n,est certainement pas le moment de demander à la population de voter! " Un autre silence... " Je suggère que les lois soient plus restreignantes, pour limiter le déplacements des rebelles. " Un vent de protestation se fit entendre encore une fois. Le voisin de ce député semblait être en train de se quereller avec celui qui venait de parler. Au bout de quelques instants, une bagarre éclata entre les 2 députés. L'Admiral n'en croyait pas ses yeux. Il fit signe à la sécurité de les amener. lorsque le calme revint, L'Admiral déclara: " L'Assemblée est terminée... " Et il quitta la salle. ................................................................................................................................................................................................................................. Quelques heures plus tard, tous les médias de la Fédération étaient en train de filmer l'Admiral Freud qui allait prononcer un discours officiel adressé à la Nation entière. Il était sur le balcon du bâtiment principal du gouvernement et la foule s'étendait sur des kilomètres devant le bâtiment. Toutes la Nation Braxisienne était aux lèvres de son chef. " Camarades! " Un vent d'acclamation se fit entendre. " L'heure, comme vous le savez, est grave. " Un grand silence tomba. " Le gouvernement le sait aussi. C'est pourquoi il a décidé d'agir. Le gouvernement vous a entendu! " Vent d'acclamation... " Suite aux représailles rebelles, le gouvernement se voit contraint d'appliquer le Protocole des Mesures de Guerres. " Un vent confus se fit entendre... Mélangé de contestations et d'approbations. " Je demanderais à chaque citoyen de bien vouloir mettre temporairement de côté leur liberté individuelle pour le biens de la Patrie. " Un groupe d'hommes masqués semblaient faire de plus en plus de grabuge. Un soldat vint demander à l'Admiral de mettre fit au discours au plus vite... " Je vous remercie de votre compréhension... Sachez que l'Ordre et la Paix règneras à nouveau dans notre Mère Patrie!!! " Un grand vent d'acclamation se fit entendre et à ce moment, le groupe de rebelles commença à ouvrir le feu sur tout le monde. Le garde du corps de l'Admiral s'interposa et fut tué à la place de l'Admiral...
|
||
Cdt. Admiral Freud
Respect diplomatique : 121 18/01/309 ETU 06:26 |
Score : 4
Détails
Les dernières 24 heures furent très sombre pour la Fédération des Républiques Socialistes Braxisiennes. Les Forces Armées Fédérées ont débarqué dans les rues des villes et ont été déployées sur l'ensemble du territoire braxisien afin de mettre fin à la crise. Tous les fonctionnaires civils ont été démis de leurs fonctions, en vertu du protocole des mesures de guerres, et la gestion est à présent assurée par les militaires. Heureusement, l'Admiral Freud étant le chef d'État ainsi que le chef des forces militaires, le commandement reste sien. Sur Braxis V, la situation est très tendue. Une tentative d'assassinat a été commise contre Nicolas Freud et cela a bouleversée la population. L'inquiétude est à un très grand niveau. Le peuple est conscient que Braxis sera le centre de beaucoup de conflit dans les heures à venir, puisque c'est la capitale fédérale. La fumée des incendie rend le ciel pratiquement noir, même pendant le jour. Tout est extrêmement calme. Freudopolis, capitale planétaire de Braxis V, habituellement très animé 24h sur 24, ressemble à présent à une ville fantôme... L'Admiral a convoqué l'ensemble de ses généraux. L'État-Major braxisien est réunis là où les ministres se sont réunis 24 heures auparavant. Freud, à la même façon qu'avec ses ministres, demanda un bilan de la situation, osant espérer qu'elle ne s'est pas détériorée. " Les secours ont pu arriver sur la majorité des planètes en crise, mon Admiral. " " La sécurité publique semble tenir en respect les rebelles pour le moment, mon Admiral. " " Toutes les planètes sont sous contrôle de l'Armée, mon Admiral. " L'Admiral avait les yeux baissés. Il n'était pas fier d'avoir employé cette méthode extrême, mais la situation l'exigeait... " C'est bien... " Le Vice-Admiral Jamburg intervint. " Lieutenant-Général Lombard, où en sont les coffres? " " Nos fonds sont encore acceptable, mais toute l'énergie disponible a été utilisée pour l'installation de systèmes de défence et de sécurité, mon Admiral " L'Admiral ignora ce rapport. Il se foutait éperdument des finances en ce moment. " Général Tryford, qu'en est-il du comportement de la population? Digère-t-elle ce protocole? " " Oui, mon Admiral. La population semble être consciente de la gravité du problème et a accepté ces mesures. " " Alors, dites-moi pourquoi y a-t-il autant de rebelles!? " L'Admiral s'était levé et avait plaqué ses mains sur la table. Le général resta muet. L'Admiral poussa un soupir et baissa la tête. Il se dressa et plaça ses mains dans son dos. " Passons à la situation des divisions... Général de l'Escadre Alpha, au rapport. " Le général concerné se dressa sur sa chaise, rappelant le garde-à-vous. Cela devait être irritant pour les généraux de devoir se plier aux protocles aussi basiques, comme un vulgaire soldats face à son sergent. L'Admiral le savait et voulais souligner que les soldats, eux, se plient aux mêmes exigences et mettent leurs vies en périls pour leur nation. Même en ce temps de crise, l'Admiral tient à ce que ses généraux garde la tête haute et servent d'exemple aux subordonnés. " Nous avons le contrôle de la situation; 10% des effectifs incapacités, mon Admiral! " " Régiment Gamma, au rapport. " " Situation sous contrôle; 13% des effectifs incapacité, mon Ad-" " Division Epsilon, au rapport. " " Situation difficile; 25% des effecti-" " Régiment Lambda, au rapport. " " Situation critique, 28% des effectifs incapaci-" " Escadre Oméga, au rapport. " " Situation sous contrôle, 21% des effectifs incapa-" " Comment? " " Qu'y a-t-il, mon Admiral? " " Situation sous contrôle? Vous en êtes certain, Général Tryford? " " Affirmatif, mon Admiral. Nous avons perdus beaucoup d'effectifs, mais les forces rebelles ont été fortement incapacit-" " Vous me semblez très optimiste mon cher... " Tryford ne répondit rien. " Lieutenant-Général Lombard, vous enverrez 5% de vos effectifs sur Braxis en renfort. " " Oui mon Admiral! " " Général Hendrey, 3% de vos effectifs iront rejoindre la division Epsilon. " " Oui mon Admiral! " " C'est tout, vous pouvez dispos-" " Sauf votre respect mon Admiral, mais je suis en mesure de fournir des renforts moi aussi! " " Négatif Général. Vous avez perdu assez d'homme, le contrôle de votre régions doit être maintenu contre les rebelles. " " Comme vous le souhaitez Admiral... " Tryford semblait irrité. L'Admiral ignora son comportement et le considéra chanceux de garder son poste. " Rompez. "
|
||
Cdt. Admiral Freud
Respect diplomatique : 121 04/02/309 ETU 05:41 |
Score : 8
Détails
Les heures qui suivirent la dernière rencontre de l'État-Major furent encore plus sombres que toutes celles qui ont précédées. Les rebelles se sont organisés et ont attaqué systématiquement les installation militaires, en particuliers les dépôts d'approvisionnement. Les Forces Militaires Fédérées ont vu leurs effectifs réduits d'heures en heures dû au manque de vivres, de ravitaillements, d'énergie et de matériaux de réparations. Le contact fut perdu avec plusieurs escadrons et compagnies militaires, voire un régiment entier... Même les communications interplanétaires furent parasitées. L'Admiral Freud était encore à Freudopolis, dans le quartier Général de la Fédération, qui est aussi le Parlement de la Nation. Malgré plusieurs attentats le visant, certains même le blessant gravement, Nicolas semblait rester calme. Il était devant une grande fenêtre, regardant vers l'horizon, les mains derrière le dos. La petite lampe qui était alimentée par une génératrice oscillait à cause des tremblement causés par les explosions que l'Admiral observait au loin. Le chaos qui avait déjà atteint plusieurs mondes était maintenant aux portes de la Grande Capitale. Braxis est à présent le théâtre d'une véritable guerre civile, où les rebelles et les patriotes s'affrontent sur tous les fronts, pendant que les militaires s'efforcent de protéger l'espace orbital d'intrusions rebelles. Le Vice-Admiral était en charge de cette tâche. L'Admiral est malheureusement coupé de toutes communications à cause de la destruction de pratiquement toutes les antennes de transmission. Tout d'un coup, des soldats en combinaison de combat et un officier en uniforme, un fonctionnaire militaire sûrement, entrèrent dans la pièce. Ils firent un salut militaire et l'officier jappa: " Mon Admiral, selon les lois fédérales, en tant que Chef d'État, il est du devoir des Forces Militaires Fédérées de veiller à votre protection. En vertu de cette loi, je me vois dans l'obligation de vous évacuer immédiatement face à la menace imminente. " L'Admiral baissa la tête et continua de faire face à la fenêtre. " M'évacuer... Un Admiral ne se doit-il pas de sombrer avec son navire? Je dois rester ici et faire face à ma défaite. " " Mon Admiral, ce n'était pas une demande. Vous n'avez pas le choix; nous vous évacuerons de gré ou de force. " L'Admiral remonta la tête. Les conflits armés se rapprochaient de plus en plus du bâtiment. " Qu'il en soit ainsi... Je vous suis, messieurs. " Freud se tourna vers les 3 hommes. Les soldats furent bouche-bée, mais l'officier ne broncha pas; il était au courant. Le visage de l'Admiral portait la marque de ses assassins amateurs: le côté gauche de son visage était maintenant fait de métal et ce qui lui sert d'oeil émet une lueur bleu. En le regardant ainsi, en considérant les autres parties mécaniques du corps de Freud, on pourrait croire qu'il est devenu plus une machine qu'un homme... L'Admiral se dirigea vers la porte. Pendant ce temps, les rebelles arrivaient devant la Place Publique, grand espace destiné aux rassemblement populaire devant le balcon du Chef d'État lorsqu'il fait ses déclarations. Dire qu'une foule emplissait ce lieu il y a pas moins d'une semaine... La majorité des rebelles traversèrent ce grand espaces en courant vers les grandes portes d'entrée, pendant que quelques uns s'affairaient à démolir les statues du grand Admiral Nicolas Freud et remplacer les drapeaux qui parsemait cette grande place. Une grande secousse força l'Admiral et son escorte à s'arrêter. Ils observaient les alentour en se demandant ce qu'il se passait. L'Admiral, lui, savait parfaitement ce qu'il se passait... " Ils arrivent. " L'Admiral sortit son pistolet d'officier et retira le cran de sûreté. L'officier qui le suivait fit de même et les soldats se préparèrent à ouvrir le feu. Freud repris la route en pressant le pas. Il bifurqua soudainement dans un couloir et utilisa son pied bionique (depuis une blessure de guerre, sa jambe droite fut substituée par un membre robotisé) pour défoncer un mur déjà affaibli. " Allez y, c'est pour moi qu'ils viennent. " L'Admiral avait donnez cet ordre de manière sec, autoritaire et tranchante; les soldats s'exécutèrent sans poser de questions et l'officier n'eut pas le choix de les suivre. Il avait compris que leurs seule chance de survie était que les rebelles cessent leur progression dans le bâtiment. L'Admiral retourna à son bureau et attendit les rebelles, sachant qu'ils viendront là en premier et que le personnel pourra être évacué à temps. ************************************************************************************************************************** Pendant ce temps, dans l'espace orbital de la Capitale Fédérale Braxisienne, la guerre faisait rage. Les forces rebelles et la Flotte Amirale se livrait une bataille sans merci. Tous les vaisseaux étaient pèle-mêle; les tirs sur alliés n'étaient donc pas rare. Le Vice-Admiral Jamburg tentait désespérément de communiquer avec les autres vaisseaux et avec le Commandant Kyon, successeur de Tarkainsss. Les techniciens faisaient du mieux qu'ils pouvaient, mais ça ne semblait pas porter fruit. " Mon Admiral, impossible de contacter quelque vaisseau que ce soit. " Jonathan Jamburg avait les mains derrière le dos, un peu à la manière de Freud, et avait un visage grave. Il n'avait plus le choix. Cela faisait maintenant trop de temps que les communications étaient empêchées et l'Admiral ne donnait aucun signe de vie. Jamburg commençait à redouter le pire: la chute de Fredopolis aux mains des rebelles. Il n'avait plus le choix: la défaite était apparemment inévitable. " Établissez la communication avec le Commandant Kyon. " Après quelques minutes de dur labeur, la communication fut ouverte, mais rien n'était sûr en ce qui a trait de la réception du message. " Commandant Kyon, successeur de Tarkainss, je suis le Vice-Admiral Jamburg de la Fédération des Républiques Socialistes Braxisiennes, dirigée par l'Admiral Freud. Par ordre de l'Admiral lui-même, je me vois forcé de vous quérir de l'aide. La situation de la Fédération est plus que catastrophique. La Capitale, Braxis V, est sur le point de sombrer dans le chaos et l'anarchie. Nous ne possédons aucunes information concernant l'Admiral depuis déjà plusieurs heures. L'Admiral a exigé qu'un message soit transmit à l'ensemble des populations braxisiennes par le biais de vos vaisseaux et que votre gouvernement gère notre peuple à présent. J'imagine que vous deviez être au courant. Sur ce, je vous dit adieu. " Un technicien envoya la bande sonore via la transmission et celle-ci fut terminée. Aucun des techniciens n'osait regarder le Vice-Admiral. L'écho sourd des impacts sur la structure du vaisseau-amiral, le Freedom IX, se faisait de plus en plus fort. Le Vice-Admiral ne prononça aucun mot et le vaisseau commençait à trembler, signe que les coups ont percés l'armure... ************************************************************************************************************************ L'Admiral était retourné à son bureau. Il avait un verre d'alcool dans la main et regardait encore par la fenêtre, attendant son heure. À un moment donné, la porte du bureau fut enfoncée, des soldats rebelles entrèrent et pointaient leurs armes vers Freud. L'Admiral était encerclé. Aucun tir ne fut lancé. " MAINS EN L'AIR! NE BOUGEZ PLUS! " L'Admiral lança le verre sur le côté et plaça ses mains dans son dos et fit face aux rebelles. Ils étaient tous en uniforme fédéré. Il s'agissait évidemment de traitres. Leur chef fit enfin apparition: Tryford entra dans la pièce, avec le visage sérieux, comme à son habitude. L'Admiral eut un bref sourire en coin et lança: " Comme je suis surpris! Le général le plus insouciant qu'il m'ait été donné de connaître qui mènent les rebelles. Qui est-ce qui vous a montré la voie de la trahison? Derifov je suppose? " " Taisez-vous, vieillard! " L'ancien ministre de la culture entra à son tour dans la pièce. " Je vois que vous étiez déjà au courant... Je ne savais pas que vous aviez de si bons espions... " " Parce que vous croyez que vous n'êtes pas assez prévisible pour que je le puisse deviner sans espions? " " Votre arrogance vous perdra. " " De l'arrogance? HA! Je n'éprouve qu'un mépris le plus total envers des traîtres de votre espèce. " " SILENCE! " " Calme toi... Ses minutes sont comptées de toutes façons, il peut bien dire ce qu'il veut. " Derifov s'approcha de l'Admiral. " Je suis fier de t'annoncer que ton gouvernement est lamentable et viens d'être détruit. Dans cet univers, la seule forme de gouvernement qui puisse survivre et un régime fort, dur et droit; une dictature! " " Toujours aussi borné, n'est-ce pas? " " Eh... Je vais pouvoir vous le montrer à présent. J'ai maintenant pris le contrôle de la Nation et je vais- " POW! Derifov venait d'être abattu froidement par son complice. Freud ne broncha pas. Il n'était même pas étonné que Tryford élimine cet homme pour s'accaparer le pouvoir en entier. Tryford fit un pas vers l'avant et pointa son arme vers l'Admiral. " Adieu, Freud. "
|
||
Cdt. Admiral Freud
Respect diplomatique : 121 11/02/309 ETU 23:42 |
Score : 5
Détails
Le Vice-Admiral Jamburg était toujours sur le Freedom IX. La Flotte Amirale est pratiquement décimée et le vaisseau-amiral est gravement endommagé. Sur le pont, la situation est critique. La majorité des consoles et terminaux sont défectueux, des fils pendent partout et des étincelles apparaissent à toutes les dizaines de secondes. L'un des techniciens est tombé, électrocuté par l'explosion de sa console. " Amiral, nous avons perdu contact avec la salle des machines... " Jamburg ne cédait pas à la panique. Il restait grave. La vue du pont donnait sur la Planète-Capitale et le Vice-Admiral la fixait. Des clignotants rouges étaient activés pour indiquer la gravité de la situation, l'alerte rouge. Cependant, une autre clignotant s'était activé sur une des consoles du pont, qui attira l'attention de Jamburg: il y avait à présent intrusion à bord. Le Vice-Admiral s'était approché de la console et lança: " Les salopards... Ils ont l'intention de prendre le contrôle du vaisseau. S'ils croient que nous allons les laisser faire! " Il regarda un autre technicien. " Combien nous reste-t-il de soldats à bord? " " Très peu, mon Amiral... " " Alors C'est perdu... Nous n'avons pas le choix... " Il regagna son poste de commandement et pris un ton solennel. " Camarades, activez l'autodestruction du Freedom IX et donnez l'ordre d'évacuation immédiate. Vous avez bien servis votre Patrie et vous êtes maintenant démis de vos fonctions. Dirigez-vous vers les capsules d'évacuation. " Toutes les lumières s'éteignirent et se rallumèrent en rouge. Des alarmes se faisaient entendre partout dans le vaisseau et on entendait " AUTODESTRUCTION ACTIVÉE! ÉVACUATION IMMÉDIATE! " en boucle. Les techniciens se levèrent et quittèrent le pont, à l'exception de 2. " Quittez ce navire. " " Négatif, mon Amiral. Nous tenons à rester. " " C'est un ordre! Ne restez pas ici, vous pouvez encore être utile à la Nation! Nous avons grands besoin de résistants sur Braxis, alors allez vous en! " Les techniciens, hésitants, sortirent. L'un d'eux se retourna et demanda: " Et vous? " " Moi? Si je sors de ce vaisseau, on me traquera et on m'exécutera comme un chien. Je serai plus utile ici à superviser l'évacuation. " " Dites plutôt que vous voulez mourir avec votre vaisseau comme demande le code d'honneur d'officier amiral... " Le technicien quitta le vaisseau. Le Vice-Admiral Jamburg regardait encore Braxis. Le vaisseau-amiral se dirigeait droit vers la planète: la destruction du vaisseau était inévitable, même si l'on réussissait à désengager la séquence d'autodestruction. Le Freedom IX ne tombera jamais entre d'autres mains. ******************************************************************************************************** Tryford avait son arme braqué contre l'Admiral. L'Admiral n'avait pas réagit à la menace. Au moment où Tryford allait tirer, l'Admiral, les mains derrière le dos, appuya sur un bouton de sa montre. Une détonation eue lieu et le sol sous l'Admiral et son ex-général s'effondra. Tryford perdit l'équilibre à cause de la chute et tira vers le plafond. Après avoir chuté de 3 étages, Freud atterrit avec agilité. Tryford était parterre et se releva avec peine. Il avait échappé son arme. Dès que Tryford fut debout, Freud fonça vers lui et lui asséna un coup de poing mécanique en plein visage. Tryford fut projeté vers une porte métallique qui bascula. Freud alla le rejoindre. Après avoir refermée la porte, il s'adressa au traître. " Croyais-tu réellement que ça allait être aussi facile d'entrer dans mon bureau et de me tuer? UJe te signale que ça fait assez longtemps que des traîtres et des tyrans en herbe tente de me tuer... sans succès. " Il appuya sur un autre bouton de sa montre et la salle se mit en mouvement. Tryford, furax, se leva et fonça vers l'Admiral. L'Admiral se tenait droit et ne faisait que bloquer les attaques de Tryford. Finalement, Freud lui donna un coup et Tryford fut forcé de reculer. " Hmf... Vous vous opposez tellement à mon régime que vous avez même séché vos cours obligatoires d'entrainement pour officier général? " Tryford sortit un arme blanche, son épée de général, et assaillit l'Admiral. L'Admiral réussit à éviter cette charge et à prendre ses distances sans trop de dégâts. La pièce cessa de bouger et le plafond s'ouvrit. Le sol monta et laissa découvrir un nouveau décor. Les 2 duellistes se trouvait à présent au flanc d'une montagne, dans des espèces de ruines. Il faisait froid et de la neige reposait partout, sauf sur un cercle où les 2 hommes se trouvaient. " Bienvenu au Temple de Braxis... " Le temple en question se trouvait sur le flanc d'une montagne et était le lieu le plus sacré de Braxis et sa Nation. L'architecture est la plus ancienne que l'on peut retrouver à travers toute la Fédération braxisienne et de multiples statues à l'effigie des plus grands hommes et femmes que Braxis ait connu. Freud saisit un objet accroché à sa ceinture. Tryford l'observait attentivement. L'Admiral appuya sur un bouton et une lame rétractable émergea de l'objet. " Ha! Tu as l'intention de te battre avec ce jouet?? " Soudainement, le «jouet» en question se chargea d'électricité et l'énergie finie par se condenser. La lame était maintenant d'apparence plasmique et dégageait beaucoup d'énergie et de lumière. Le visage de Tryford changea aussi soudainement. Ce «jouet» est une relique retrouvée par les chercheurs et son origine ne fut jamais trouvée... " Allez... Finissons-en! " Les duellistes se mirent en position de garde et le combat commença. ******************************************************************************************************** Pendant ce temps, le chaos régnait déjà sur les autres planètes de la Nation. Les uns après les autres, les gouvernements planétaires tombèrent. Certains laissant place à des dictatures rebelles, dans à une anarchie et un chaos total. C'est alors que le Commandant Kyon répondit à l'appel de détresse de la Patrie. De multiples flottes furent dépêchées afin de soutenir les forces de résistances des patriotes loyalistes. Les positions renforcées des rebelles et des dictateurs tyranniques furent détruites. Le message suivant fut transmit partout à travers le territoire Braxisien: " Peuples Braxisiens, La Fédération n'est plus. Malgré la bravoure des patriotes, Braxis est tombée aux mains des infâmes traîtres qui ont pris les armes contre le gouvernement élu par le peuple. Le gouvernement des Fédérés Libres de Braxis n'est peut-être plus, mais la Nation reste. En tant que citoyens, il est de votre devoir de préserver les valeurs braxisiennes afin que les valeureux combattants de la Liberté ne soient pas morts en vain. Ne vous laissez pas soumettre à la tyrannie. Vivez en Paix, mais Libre! Le gouvernement de Kyon est de notre côté. Que tous les loyalistes fédérés prennent les armes contre les rebelles tyranniques et assistent les Forces de Libération de Kyon! Combattez pour votre Liberté!!! Sur ce, je vous dis Adieu... " Les Fédérés libres de Braxis ont respectés la dernière volonté de leur leader. En quelques heures, il y eu suffisamment de forces patriotiques pour restaurer l'ordre sur toutes les planètes. Ce ne fut pas une tâche facile: beaucoup de sang a été versé... Le Commandant Kyon se dirigeait directement vers la Capitale de la Nation en détresse: Braxis. Ce qu'il vit lui restera gravé dans la mémoire. Le Vaisseau-Amiral, le Freedom IX, symbole de la Fédération des Républiques Socialistes Braxisiennes et fierté même de l'Admiral Freud, était en flammes et s'enfonçait dans l'atmosphère de la planète. La Nation de Freud vient de tombé à jamais... ******************************************************************************************************** Le Vice-Admiral Jamburg était toujours à bord du Freedom IX. La chaleur augmentait rapidement. Le vaisseau avait été complètement déserté. Plusieur secteur du bâtiment spatial avait entré en explosion à cause de la chaleur intense et de l'auto-destruction qui était activée. Jonathan Jamburg avait le poing droit plaqué sur sa poitrine gauche et chantait l'Hymne National de la FRSB. Ses derniers mots furent: " ... et la Liberté vaincra!!! " ******************************************************************************************************** Freud et Tryford arrivait à la fin de leur duel. Tryford était en piteuse état, mais Freud ne se portait pas réellement mieux non plus. " Avant de vouloir s'imposer en maître tyrannique, assure toi donc la prochaine fois que tu sera capable d"empêcher le premier venu de te mettre en échec! " " aaaaAAAAHHH!!!! " Tryford avait foncé vers Nicolas une fois de plus. Freud paraissait en pleine forme encore. Seul son œil cybernétique pouvait le trahir: il défaillait, son intensité lumineuse était intermittente. L'Admiral évita l'assaut, bloqua les 2 attaques qui s'enchaînèrent par la suite, touche Tryford, lui infligea un coup de pied dans le ventre. Tryford fut projeté au sol. Il n'avait pratiquement plus de force. Il haletait. Nicolas Freud se à côté de lui, plaça son pied sur le ventre du défait et pointa sa lame près de la gorge de Tryford. L'énergie dégagé fit paniquer Tryford, mais celui-ci était incapable de bouger. " Quelles sont tes dernières paroles, traître? " " Je... Je... JE NE REGRETTE RIEN! " " Très bien... Alors tu sera exécuté comme n'importe quel autre traître. " L'Admiral s'éloigna de 2 pas, se retourna, dégaina son pistolet et logea une balle dans le crane de l'infâme individu. Une fois son devoir terminé, la faiblesse le frappa. Sa volonté lui avait permis de faire abstraction de sa douleur pendant le combat, mais devait maintenant y faire face. Il avait de multiples entailles dans l'abdomen, saignait abondamment, sa jambe biologique n'était pratiquement plus utilisable et son UPPEN (Unité Personnelle de Production d'énergie Nucléaire) était endommagé. Bref, la mort était inévitable. Nicolas se dirigea vers le bord de la falaise. Il se tenait droit et fier au sommet du Grand Temple. Il rangea son pistolet et saisit le drapeau qui ornait le sommet de la falaise. Il regarda ensuite au loin. On voyait Freudopolis en flammes. On pouvait même apercevoir une grande boule de feu descendre du ciel et qui s'en va s'écraser sur la ville. Devant cette scène, l'Admiral versa une larme, qui fut sa dernière. Devant la chute de la Capitale et la destruction du Freedom IX, le dernier emblème de la Fédération venait de s'éteindre dans le froid polaire de la montagne sacré, succombant à ses blessures et à la radiation de son UPPEN. Nicolas Freud sera figé à jamais avec un drapeau à la main, l'épée sacré dans l'autre, regardant la défaite en face droit et fier. Tel fut le destin tragique de la F.R.S.B.... Que son peuple puisse vivre libre sous le règne du gouvernement succédant.
|
Pages : 1