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Cdt. Kilij Arslan
Respect diplomatique : 408 ![]() 23/07/308 ETU 01:57 |
Score : 4
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Transmissions établit Kilij, on attend ton accord. Voici enfin arriver la fin de d'un rêve et le début d'un autre. Tant d’années à regarder les étoiles sans pouvoir les toucher... Il montra qu'il était prêt d'un signe de la tête. Derechef l'hologramme s'alluma au cœur de l'assemblée. Commandantes, commandants, Je ne sais combien de temps la communication restera, c'est pourquoi je serais bref. Je tiens à me présenter à l'assemblée, car encore hier je n'était qu'un citoyen lambda de ma planète, simple vassal d'un pathétique monarque. Mais le chariot du ciel en à décidé autrement et s'est à moi qu'il à remis la langue de feu. Me permettant de libérer mon peuple du joug de cet homme qui nous imposait ses idées. Héritées d'après lui de la bouches des dieux. A ses dieux il s'en est allé par le fil de mon épée. Voilà un infime passage de la dernière page de l'ancienne histoire de mon peuple. C'est aujourd'hui, avec vous je l'espère que j'ouvrirais la nouvelle page. Je le sais je ne suis pour vous, peut être, qu'un commandant insignifiant. Mais comme le dis un proverbe de ma terre, Le monde est du côté de celui qui est debout. Merci de votre attention. Il inclina respectueusement sa tête en direction de l'assemblée, puis l'hologramme disparut. Mais la connexion était désormais établie.
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Cdt. Kilij Arslan
Respect diplomatique : 408 ![]() 23/07/308 ETU 22:20 |
Score : 4
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29/05/290 ETU 05:52 C'était l'aurore, l'écho orgueilleux du coq résonnait encore dans le village. Aktéon était déjà sur la route pour le puits. Il aimait se lever à cette heure, quand tout le village dormait encore, se promener dans les ruelles déserte et regarder le levé du soleil sur la colline. Mais le lever du soleil était spécial aujourd'hui, a ses premiers rayons Aktéon allait devenir un homme. Il allait avoir quinze ans. Il s'empressa de gravir la colline, pour qu'il soit là haut quand les premiers rayons toucherons son visage. les derniers rayons de l'enfance. Grande a été son émotion quand il trouva face au soleil et aux milliers d'hommes dans la vallée qui marchaient vers son village. Des véhicule blindés, des tanks bipèdes qu'il n'avait vu encore qu'à la télé. Tous ce monde entamait une marche lente mais inébranlable, dans une trentaine de minutes ils atteindront leur but. Aktéon s'empressa d'avertir les villageois de cette menace, mais un flash blanc suivi d'une vive douleur à la tête l'en empêcha. Il sombra. 29/05/290 ETU 08:31 Les chefs du village se trouvaient sur la place publique, les mains liés. Leur destin incertain, tenant dans l'ordre du chef: Savez vous pourquoi nous sommes là aujourd'hui? Les vieillards sortis de leurs lits de force, molesté et terrorisé tardaient à répondre. Réveillez les, ils m'ont l'air endormis. Un soldat appuya sur une commande qui lâcha une puissante décharge électrique dans le collier autour de leurs coups. Toujours pas? Je vais vous le dire moi. Nous sommes là car le roi nous l'a ordonner, vous avez été accuser de conspiration envers la nation. Vous cachez des terroristes, vous êtes complices. Les villageois étaient abasourdi par la nouvelle. Les vieillards, impassible ne savaient que trop bien la sentence encouru. Ils avaient autorisés quelques jours de ça auparavant, l'accueil d' hommes en piteux état venant de la ville. Les coutumes des peuplades des plaines veulent que tout homme passant par le village soit accueilli avec hospitalité pour tout le temps qu'il restera. Quel qu'il soit. Très bien, vous restez muets. Soit, Sergent! Exécutez les. D'une balle dans la nuque, les cinq chef de village tombèrent. Commandant pour les villageois? Tuez les tous, ce sont des terroristes. Très professionnel, il ne suffit que d'une heure aux soldats pour terminer le travail. Lieutenant, informez le QG que notre progression avance, qu'ils informent la presse qu'un village vient de succomber à une attaque terroriste. mais que l'armée royale est en passe de mettre la main dessus. Ainsi fut la première mission du tout nouveau commandant de l'armée royale, Kilij Arslan. C'était le matin, l'orgueilleux chant du coq n'était plus. Le village fumait encore du pillage quand Aktéon arriva. Le village s'était endormi pour un repos éternel, il était 10H00, Aktéon venait d'avoir quinze ans il était dorénavant un homme.
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