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Cdt. Arkan
Respect diplomatique : 174 23/10/307 ETU 18:17 |
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Score : 3
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Centre hospitalier de la ville de Kurdak : Le directeur de l’hôpital revenait de la salle de consultation, il était atterré par ce qu’il venait d’entendre et de voir. La fin de l’Empire Aslonien était-il proche ? Il prit le téléphone et tapa le numéro de son vieil ami Tardok, un proche de l’Empereur. Allo ? Oui, Tardok, bonjour c’est Myrk. Voila je t’appel parce que je crois que nous avons un grave problème… Comment ça ? Nous avons reçu un patient aujourd’hui qui présentait des problèmes génétiques plutôt grave. On ne peut pas mettre ça sur le compte des rayons cosmiques, ou autres radiations, c’est autre chose.... Qu’est-ce que ça peut bien être ? Et pourquoi c’est si grave ? Pour l’instant on ne connaît pas encore la cause, mais nous avons quelques idées. Et si c’est si grave, c’est parce que vu les signes, ça pourrait toucher d’autres personnes, beaucoup d’autres personnes. Mon dieu..... Essayes de trouver le problème et comment le résoudre, moi je vais prévenir l’Empereur, il doit être mis au courant. Très bien. Je te tiens au courant. A bientôt Tardok. Il raccrochât et partit dans ses pensées. Pendant de longues minutes, il s’imagina tous les futurs possibles et imaginables. Mais un énorme frisson finit par le ramener à la dure réalité. Il sortit de son bureau et se résigna à retourner auprès du malade. RP privé
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Cdt. Arkan
Respect diplomatique : 174 27/10/307 ETU 17:35 |
Score : 4
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Les jours passaient et les victimes se faisaient de plus en plus nombreuses, sans que les médecins du centre hospitalier de Kurdak ne puissent faire quoi que ce soit. Un certain Williamson avait tout de même réussi à comprendre l’origine du problème. Il se pourrait que le dernier ouragan magnétique ait créé d'incroyables mutations dans le génome Aslonien. De ce fait, sans forcement entrainer la mort des personnes, leur ADN se serait modifié entrainant des modifications importantes. Les êtres touchés, devenaient des créatures bizarres, semblable à des monstres. Leur teint s’obscurcissait, leur joie de vivre disparaissait, mais le pire venait sûrement du fait que le gène de l’agressivité était autrement plus sollicité et développé qu’avant. Il était impossible d’empêcher réellement les futurs changements, mais on avait encore l'espoir de pouvoir au moins en limiter les effets. Malheureusement on s'aperçut rapidement que c’était sans compter la complexité génétique du peuple Aslonien. Chaque gène étant interdépendant d’un autre, aucun ne pouvait donc être modifié, à moins d’entrainer un dysfonctionnement organique et la mort de l’individu. Il aura fallu plusieurs semaines aux médecins pour se faire à l’idée que cette fois-ci, la médecine ne pourrait rien changer, et que ce qui allait arriver était inexorable.
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