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Cdt. Quaideluz
Respect diplomatique : 1366 03/11/307 ETU 19:54 |
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Score : 14
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RP privé La porte du conseil était au bout du couloir, Quaideluz avança vers elle d'un pas certain, les pensées sur les sujets de préoccupation étaient légions. Mais ce qui ne l'empêchait pas de sentir son corps se mouvoir sans crainte et prêt à relever un défi physique à l'instant même, si la situation l'exigeait. D'une poussée de main, la lourde porte s'ouvrit, les énormes gonds firent leur tavail magnifiquement. Aucun bruit parasite vint chatouiller son oreille. D'un coup d'oeil, il apprécia la grosseur du battant, la qualité du grain du bois (sûrement très dur, et exotique). Il entra dans la salle, luminosité: pénombre du coté des murs, quelques boules lumineuses stationnaient au-dessus de la table en bois (bien sûr, il adorait cette texture). La personne travaillant à la préparation de la salle, se raidit un court instant en voyant le lusigoth. D'un sourire narquois invisible puisque caché par sa capuche, Quaideluz avait en entrant jeté instinctivement un regard de prédateur. Puis au vu de la réaction de l'autre: une petite chaleur de contentement se répandit dans son corps qui lui fit faire ce petit sourire. Tout en continuant à analyser les objets de la pièce, il se plaça derrière sa chaise. Le capuchonné se sentait bien. Sa bure de sang brun était bien taillée et respirait la force (expression très lusigothique). Pour un néophite, seulement un changement de ton plus foncé vers la couleur marron, mais pour un lusigoth; un vétement de première classe et de première puissance. Sûrement sa bonne humeur, Quaideluz avait sortit sa paire de botte préférée fait cuir en Gortal, sorte d'ours polaire venant d'une planète glacière de son nouvel empire. Le lusigoht l'avait tué dans un face à face; il l'avait payé d'un bon prix, une cicatrice sur l'épaule gauche, et son sang avait coulé. Ensuite, il avait sorti trois paires de gants en dentelles. Aucun doute, celle représentant l'araignée de la sagesse avait été selectionnée. Toujours agréable ce coté sensuel des matières. De plus, aucune mauvaise nouvelle n'était venu l'enerver. Plongé dans ces pensées, son cerveau lui signala un mouvement de la porte. Aussitôt, un calme s'imposa parmi ses neurones. Maintenant, ce n'était plus le coté physique qui primait mais la pensée et l'empathie qui allaient jouer les premiers rôles. Quaideluz vit un pied apparaître ainsi qu'un buste humain avancer dans la pièce. C'était...
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Cdt. Attila Von Wormsold
Respect diplomatique : 25 03/11/307 ETU 20:08 |
Score : 10
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Attila, qui venait d'entrer dans cette immense pièce. d'un air songeur, il observait les moindre détail de la pièce, sans même voir que son ami, Quaideluz, s'y trouvait là tout prés de la fenêtre. Attila regardait les immenses peintures murales qui ornaient ses murs immenses. "Sans doute des peintures de Grands maîtres"se dit-il. Et, bien que n'y connaissant rien en peinture il essayayait de comprendre ce que ces grands maitres avaient justement voulu dire...Quand soudain, sortant de ses songes, il aperçut Quaideluz et se dirigea vers lui pour le saluer. "Bonjour cher ami, comment allez-vous aujourd'hui ? Il y a quelques minutes, lorsque je suis rentré dans cette pièce j'ai aperçu cette toile là, là bas prés de la cheminée et j'ai eu grand froid dans le dos...Comment un peintre a -t'il pu exprimé si justement ...
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Cdte. Witch
Respect diplomatique : 2607 04/11/307 ETU 00:02 |
Score : 11
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La sorcière entra sans faire de bruit mais elle sut qu’ils l’avaient entendue. Ce qui la fit sourire intérieurement. Puis un parfum d’herbe fraîchement coupée signa sa présence. Alors elle s’avança vers l’homme dont elle ne voyait que la cape sombre et lui toucha sobrement l’épaule. Elle salua l’autre homme d’un signe de tête et d’un sourire, sans dire un mot. Elle regarda à son tour la peinture murale et se demanda quel était le sujet de leur discussion… Elle avait, comme d’habitude, relevé ses cheveux couleur feuilles mortes en un chignon rapide, retenu par la dague en argent qu’elle portait toujours. Des mèches s’échappaient de la coiffure sommaire mais elle n’en avait cure. Et toujours la même tenue en peau souple, pratique et sans ostentation. Elle était ici dans sa famille, elle y avait sa place… Elle était ici pour travailler. Elle coula un regard pensif vers Quaideluz. Voilà un homme qui avait les pieds sur terre et la tête bien faite. Il savait être épicurien et aussi se détacher de tout. Mais ce qu’elle admirait le plus en lui, c’était sa douceur ! Oh, une sorte de délicatesse plutôt, un grand humanisme, une certaine noblesse d’âme… Elle ne voyait que ses mains posées sur le dossier du siège… des mains puissantes qui pouvaient tuer sans nul doute, mais elle les imaginait douces et chaudes. Elle les savait capables de serrer celles d’un ami, de se poser presque affectueusement sur une épaule, de brandir un glaive ensanglanté ou un verre ambré Elle les avait vues frapper bruyamment la table de concertation et en caresser le bois ciré… Elle aimait cet homme dans ses contradictions et le respectait profondément. Puis son regard se posa sur Attila et un sourire lui vint aux lèvres. Attila et sa cuirasse ! Attila et sa courtoisie ! Attila et sa générosité ! Que ne ferait pas Attila pour eux tous et pour elle en particulier ? Un curieux homme… Ses pensées furent interrompues par le bruit feutré de la porte…
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Cdt. Astronore
Respect diplomatique : 187 04/11/307 ETU 00:57 |
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Score : 11
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Une ombre frêle d'un fantôme d'antan perturba délicatement le calme et la fébrilité latente. Cette ombre prit la couleur pourpre et la délicatesse qui caractérisait l'aristocratie d'un Empire longtemps considéré comme disparu. Il aurait été étonnant pour un public averti de voir les descendants d'Empires jadis soudés, suivre une réunion que leurs aïeux avaient réalisé en leur temps. L'homme, dont le rythme des pas soulignait la jeunesse, salua d'un geste de la tête respecteux ses compagnons et s'attarda à la vue de la sorcière... Un objet brillant vint briser les couleurs ternes de la pièce, le nouvel arrivant en retira une cigarette blanche aux arômes prononcés qui baignèrent une partie de la salle lorsqu'il l'eut allumé. Un bruit sourd le contraignit à se retourner lentement...
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Cdt. Onjo Saase
Respect diplomatique : 112 04/11/307 ETU 14:21 |
Score : 6
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La porte imposante de la salle du Conseil s'ouvrit à nouveau pour y laisser pénétrer une créature encore plus imposante. Une silhouette se dessina dans la forte lumière éclairant l'entrée. Une silhouette immense, deux fois plus grande et large qu'un homme bati dans les normes. Elle inspirait la crainte et forçait par conséquent à un respect malsain. L'atmosphère de la pièce s'en faisait ressentir. La personne s'occupant de la préparation de la salle ne put résister à une telle pression. Elle n'eut d'autre choix que de sortir si elle ne voulait pas être écrasée par cette force invisible. Les membres déjà présents ne ressentirent aucune gène, habitués de la présence de leur compagnon. Ce dernier était vêtu d'un manteau ouvert, nous permettant d'apercevoir une armure faite d'un cuir lourd. L'un de ses cuirs réunissant des facultés d'agilité et de résistance impressionantes. L'un de ses cuirs dont le grain est agréable au touché. L'un de ses cuirs dont le crissement est agréable à l'oreille. Ses habits étaient noirs, son visage blanchâtre dénotait une rupture flagrante et choquante. L'on voyait à ses traits qu'il avait vécu beaucoup de choses, qu'il en avait vu encore davantage. L'être immortel qu'il était, avait été profondément marqué par les ravages du temps ; mais du haut de ses 400 vies d'homme, il espérait encore. Il regarda à tour de rôle ses amis. Quaideluz, dont le mystère reste grandissant puis Eléa, dont la noblesse d'esprit n'est plus à prouver. Intérieurement, il se demandait ce que pouvait bien faire ici le maître de guerre qu'il était. Il avait anéanti de nombreuses vies et pourtant il allait prendre place à la droite d'un être pur. Bien qu'elle se fasse surnommée « Sorcière », elle n'avait certainement jamais attenté à la vie d'une autre créature par simple plaisir. Attila et Astronore étaient là, eux aussi. Ils repiraient la jeunesse et la fraîcheur de vivre. Que pouvait bien faire ces êtres aussi atypique en un même endroit ? Ils semblaient n'avoir aucun point commun. Un frisson, un sentiment bien humain le parcourait le long du dos. Il sentait que de grandes choses allaient naître ici, en ce lieu. Il était interrompu dans ses pensées. Il avait ressenti une présence. Quelqu'un allait entrer.
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Cdt. Quaideluz
Respect diplomatique : 1366 04/11/307 ETU 21:32 |
Score : 4
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La lourde porte s’ouvrit pour laisser passer une femme de très forte opulence. Ornée d’une couronne de fleurs rouge d’un effet plutôt vif, vêtue d’une longue chemise blanche décolletée et manche courte, elle s’avançait gracieusement malgré son « volume » et son âge. D’une main, elle tenait un plateau sur lequel reposaient plusieurs pichets et verres et de l’autre, une corbeille de mignardises. La femme soulevait tout cela sans effort et plaça toute sa cargaison avec nonchalance. Repartant vers la sortie, les commandants purent voir le déhanchement féminin des plus naturelles malgré sa largeur impressionnante. Pour répondre à la question muette de ses invités. Une Fudju, une servante personnelle. Quaideluz leur fit signe de s’asseoir et commença à regarder les commandants présents. Attila: le financier, un commandant avec un grand moral, ce qui allait très bien avec ses qualités de marchand. Pour le lusigoth, ce visage impassible et son strict sens moral pouvait amener cet être à des actions de bourreau ou du tortionnaire assez intéressante. Witch: la diri, une sorcière, une fille d’un de ses amis post-apocalyptique, personnalité très complexe, elle lui faisait penser à une chat-tigre d’Houji, animal aimable sous un premier abord mais une volonté de fer, et des griffes coupeuses d’os. Astronore: le pirate aristocrate,un rejeton d’une très vieille famille, regard perçant, voix envoûtante, un charisme qui plait beaucoup aux dames (du moins je le pense), un homme politique, donc dangereux, par sa ruse et son habilité à mettre en confiance. Onjo Saase: le fédé-mort, vampire, un être singulier, il ne prenait pas les humains pour un troupeau de moutons à saigner. Par sa nature, il était dangereux et sanguinaire. Ses yeux exprimaient le vide, ce qui voulait dire beaucoup de choses… Autour de la table, ils étaient tous les cinq, comme les doigts d’une main, celle qui pouvait soutenir comme frapper sauvagement. Sentant les très fortes auras, Quaideluz se sentait grisé par la puissance que pouvait dégager ces esprits cote à cote ; tel qu’un cratère de volcan de cinq cotés. Le pentacle… Même forme que le médaillon trouvé ou plutôt donné par l’épave de l’organisation renégate. Sur cette maudite épave, il avait reçu des méssages subliminaux ou avaient défiler de nombreux visages. Parmi eux, quatre visages étaient réunis dans la même pièce que lui. Ses quatre seigneurs avaient entendu son appel et à sa grande surprise, ils avaient accepté de répondre. Ils ne venaient ps tous par bonté d’âmes, croire le contraire serait une injure à leur ambition. Dans ses réflexions perdus, Quaideluz pensait qu’il était un vecteur de possibilités pour eux. Avant de commencer, j’ai une nouvelle d’importance. Le projet « personnalité en flux » a fonctionné. Nous avons maintenant une entité pensante qui, alimenté par nos ondes sub-ioniques dégagés par nos cerveaux respectifs, est opérationnelle. Elle s’est appelée Synopsys comme ma I-A personnelle détruite lors de ma visite sur l’épave rénégate.
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Cdte. Witch
Respect diplomatique : 2607 06/11/307 ETU 19:08 |
Score : 4
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Je suis moi aussi opérationnelle. Elle répondit sans vraiment le vouloir. C’était ainsi. Elle était là pour ça et elle le savait. Elle se souvenait du jour où elle avait reçu le message de Quaideluz, illustre inconnu pour elle. Cela faisait partie des vestiges holographiques laissés par sa mère dans son berceau. Le jour où tu naîtras pour la seconde fois, trouve Quaideluz ! Ce sera le début de ta mission, ma fille. Que la nuit de Walpurgis te protège et que Jamara te guide parce que rien ne sera facile. Je t’aime. Oui, elle l’avait trouvé, lui et tous les autres… Et en chemin, elle avait aussi croisé… N’y penses pas, Eléa, ce n’est vraiment pas le moment ! Tu es là pour travailler ! Regardes-les… Son regard troublé des larmes qu’elle retenait difficilement fit un tour de table… et s’arrêta sur Onjo…. L’immense Onjo…. Le sanguinaire et réconfortant Onjo… celui qui avait un rire comme le tonnerre le plus assourdissant… Oui, ils étaient tellement différents et tellement complémentaires : la Sagesse, la Force, la Droiture, la Fidélité et la Vitalité…. A eux cinq, la Lumière !
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