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Cdt. Easa Del Kelta Kör
Respect diplomatique : 221 
17/02/308 ETU 17:07 |
Message édité -
Score : 7
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298 ETU, bordure méridionale d’Espoir. La lumière du soleil se posa sur les vitres blindées de la frégate, malgré l’épaisseur l’équipage était persuadé qu’il sentait sa chaleur, par la puissance de leurs souvenirs. Voilà maintenant plusieurs mois qu’ils n’avaient pas reçu sur leur peau sa douceur. Non, leur vie se résumait ces derniers temps à un meurtrier cache cache avec la milice marchande dans le glacial vide spatiale. N’ayant aucuns points d’attache, les planètes étaient étroitement surveillées par la corporation qui avait la main sur le pouvoir depuis prés de deux cent ans. Une corporation marchande sans aucune considération pour la vie. Le salut éternel, obtenu par le résultat de sa richesse sur terre. Une idéologie qui est devenu une religion. L’inégalité entre les hommes fut elle, que les politiques, instrumentaliser par de puissantes organisations financières, on décrété l’homme non plus comme Homme mais comme marchandise. Du moins pour ceux qui n’avaient pas les moyens d’acheter leurs statuts d’êtres humains. Mais ce jeu morbide était enfin révolu, la dernière bataille était proche. Dans le champ d’astéroïdes, des milliers de frégates se tenaient en rang séré, profitant de la maigre protection que le champ pouvait offrir. Non loin de là, une centaine de croiseurs ioniques se positionnaient sur l’aile droite du gros de la flotte, derrière les plus imposants astéroïdes. Sur la gauche, les croiseurs bombardiers chauffaient leurs moteurs pour partir vers leur destin. Pathétique configuration de bataille, pour peu qu’il en avait une. Des vaisseaux obsolètes, volé à la garde ou des épaves récupérées dans l’espace. Seule l’énergie du désespoir motivait encore les hommes. Actéon, chargé des communications,avait pour mission d’être en contact avec les combattants qui se trouvaient encore sur les planètes. Les rebelles avaient pour ordre de saboté les infrastructures marchandes et de voler des croiseurs impériaux pour les soutenir par la suite. Tache ardue, mais elle avait été planifié plusieurs mois avant, le temps d’infiltré la milice. Tout le monde avait confiance, ces hommes ne défailliraient pas à leur mission. Mais ils ne doonaient plus de nouvelles depuis plusieurs semmaines. Ces inquiétude s'éclipsèrent en un instant quand il fut enfin devant son destin. Il n'aura plus l'occasion de revoir son frère Easa. En face des renégats se dressait la puissante milice, des vaisseaux à perte de vu. De puissants croiseurs ouvraient la marche suivit par des milliers de corvettes de toutes sorte. L’issue de la bataille était à sens unique. Pendant un court moment qui sembla une éternité, les deux flottes s’observèrent, un rapport de force inégale, mais les rebelles semblaient préférer la mort que de retourner de nouveau à la servitude. La milice en était consciente, l’ordre n’était pas à la prise de prisonniers. Aucuns pirates ne devaient survivre. L’aristocrate savoura ce moment, il avait passé des années à traquer les renégats pour les envoyer dans les centres scientifiques, afin de permettre à la haute bourgeoisie de survivre quelques années supplémentaires. Une médecine sans éthique, un rêve de nantis. Mais aujourd’hui il allait tester grandeur nature ses nouveaux jouets de mort. Des scientifiques se tenaient sur le pont supérieur pour analyser l’impact de leurs inventions. La légion Solaris ouvra le feu en premier, l’espace s’illumina d’une lumière comparable au dernier instant d’un soleil. Une salve meurtrière alla s’écraser sur la ceinture d’astéroïdes. Sous un feu constant, les rebelles manœuvrèrent tant bien que mal, les vaisseaux explosèrent, l’enfer avait pris forme. L’aile droite rebelle lança sous tir de barrage, une dizaine de ionique explosèrent, suralimentés et vétustes les moteur ne supportèrent pas la cadence. Pendant ce temps, les chasseurs de l’aile gauche heurtèrent de plein fouet le flan de la milice. Les corvettes firent leur entrée pour contrer les chasseurs, une danse macabre commenca. Les corps flottaient dans l’espace,s'écrasant sur les vitres des croiseurs. Keller, l’aristocrate, savourait avec délice cette victoire. La corporation allait surement le récompenser pour cette victoire. Il se voyait mettre fin à sa carrière militaire, bien que son envie de tuer ne pourrait disparaître. Mais pour ça, il pouvait la satisfaire par les safaris organisés dans les parcs où se trouvaient les criminels. Toute cette lie qui polluait l’économie et la bonne société. La fin des prisons avait permis à un nouveau loisir lucratif de naître. Une heure de combat, suffit à la milice pour exterminer les rebelles. Toute la flotte avait été mise à disposition pour enfin se débarrasser des parasites.
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Cdt. Easa Del Kelta Kör
Respect diplomatique : 221
17/02/308 ETU 21:26 |
Score : 6
Détails
H+20minutes Sur la planète la nuit était tombée, mais les éclairs qui illuminaient le ciel n’avaient rien de naturel. La bataille avait commencé, se qui rappela au commando qu’il ne leur restait que peu de temps avant que la flotte ne cède… Tant de vies perdues… De familles brisées… Mais la cause valait tous ces sacrifices. Chaque homme combattant dans l’espace avait choisi son destin, ils devaient tenir pendant que les troupes au sol investissent les défenses planétaires. Tous les vaisseaux de la milice se trouvaient mobilisé dans cet assaut spatial. Le commando Farensis avait pour mission de cibler les défenses au sol pour permettre au deuxième groupe,Mobilis, qui devait dérober les croiseurs sur la base voisine, de venir percer les défenses des cannons orbitaux. Le plan était hasardeux et soumis en grande partie au destin, mais s’il réussissait il permettrait aux rebelles d’anéantir la domination spatiale de la milice et de faire cesser les raids aériens qu’ils subissaient constamment, entravant leurs manœuvres terrestres. Farensis n’était plus qu’à trois kilomètres de la cible, le premier check point se dressait devant eux. Deux tours de béton flanquées de tourelles protégeaient l’entrée. Un assaut frontal serait un pur suicide. Mais les hommes n’avaient plus le temps, ils décidèrent de courir vers les portes. Le temps se suspendit pendant l’avancé du commando, un timing mal orchestré et s’en était fini... H+15minutes Le dernier contact physique qu’eu Spurius ne venait pas de sa femme, mais celui d’un froid corps métallique qui passa en un instant le long de sa gorge, il sentit une vive douleur puis un liquide chaud qui coula sur son torse. Il aurait voulu crier, mais à la place d’un son, seul un gargouillis sortait de sa bouche... En un instant il bascula vers l’arrière et n’eu comme dernière image que celle d’un néon à la lumière blafarde, avant de se sentir partir dans un voile noir. Dépêches toi ! Plus que cinq minutes ! C’est bon j’arrive… Avon essuya la lame ensanglanté sur son pantalon, se pressant de rejoindre son coéquipier pour finir leur travail. Voilà maintenant 15 minutes que le plan avait été lancé, cela fait maintenant 2 ans qu’ils travaillaient dans ces satanée tour. Avec un chef leur aboyant des ordres stupide. La hiérarchie était inconnue du vocabulaire pirate, mais la vengeance elle, était en tête de liste… Tout se qu’ils savaient du plan à appliqué était d’investir le centre de contrôle des tours pour permettre à un groupe allier de franchir les portes. Et que cette mission revêtait une grande importance pour l’élimination de la corporation. Il ne suffisait que de ça, la fin de la corporation, pour motiver les deux forbans. Deux minutes ! Les deux compères se trouvaient à présent devant la porte du centre du contrôle. Deux gardes en interdisaient l’entrée. Les deux larrons n’avaient que le grade de récurer les toilettes et le temps manquait pour papoter avec les gardiens. Deux détonations virent briser le silence de la salle, ils devaient faire vite avant l’arrivé des renforts. Marche avec la mort mon frère ! Avec la mort ! Les loups étaient lachés. Ils entrèrent comme deux pistoleros sortant d’une banque, l'accueil fut tout aussi violent que leur crie de guerre. Criblé de plusieurs balles, Avon lança par instincs une grenade se déchargeant de la pression adverse les désarticulant comme des pantins, mais l’explosion emporta son camarade de toujours. La pièce était trop petite pour qu’ils s’en sortent indemne de ce combat. A bout de souffle, conscient de sa mort proche, il trouva néanmoins la force d’avancer en pensant à ses enfants. H+22 minutes Farensis était maintenant à mis chemin des portes, et aucun mouvement. Lorsqu’une rafale de balles vint faucher trois membres du commando. D’un seul homme ils se couchèrent au sol, les portes n’étaient pas ouvertes et ils se trouvaient à découvert dans le champ de vision d’un tireur embusqué. La mission était compromise, mais la déesse veillait sur eux, ils en étaient persuadé. Le sniper tira encore une rafale sur le groupe, mais dans le malheur ils avaient localisé sa position. La réponse du commando ne fit pas attendre, la menace écarté, ils se devaient coute que coute de passer ces portes. Les faire s’ouvrir à la charge explosive s’il le fallait. Mais cette option risquait d’ameuter la garnison environnante, si le sniper ne l’avait pas déjà fait. Finalement la porte s’ouvrit, Avon avait réussi. Mais le groupe Farensis n’aura jamais l’occasion de le remercier, Avon s’en est allé de l’autre coté de la rive. Ils s’en iront si ils vivent encore adopter les enfants, tel le veux la coutume. H+30minutes La mission était enfin en vu, aucune alerte n’avait l’air d’être été donnée. Farensis, au quart de son effectif initial, réussi à cibler l’objectif. Il ne restait plus qu’à espérer la réussite de Mobilis. Et à réussir à s’infiltrer dans le centre de commandement des cannons orbitaux. Les éclairs zébrèrent toujours le ciel, la flotte devait tenir encore avant sa vengeance… La suite du combat résidait maintenant dans la prise des croiseurs.
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