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[RP]Des débuts difficiles

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Cdte. Demytria
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18/02/308 ETU 22:49
Message édité - Score : 14 Détails Prévenir Dieu
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[Hrp= Un manque cruel de nouveaux membres ici...Un petit RP pour le fun et se presenter un peut aussi]
New-Pandora, Old town
La nuit est froide ce soir dans la vieille ville.
Mais ici le froid ne dure pas longtemps et l’on se laisse volontiers prendre au jeu de sa chair contre toute cette viande de trottoir, je tourne au coin de la rue, les filles
Elle, elle me regarde avec ses grands yeux verts, ce putain de regard qui vous traverse et qui vous flingue de l’intérieur.
Elle est assise, à part et les filles semblent l’éviter.
J’ai tué des dizaines de mec depuis que je fait ce boulot et voila que je commence à douter, ce seras facile pourtant, c’est qu’une petite salope parmi tant d’autres, personne la regretteras et pourtant…
Je marche jusqu’ à elle, ouvre mon manteau : j’ai de la tune et en quantité.
Un signe de tête et elle me conduit à un pauvre appart miteux.
A peine entré et elle me plaque contre un mur, elle est mince assez petite et si frêle, je suis presque surpris par sa force.
Je pourrais penser que je vais me taper un ange, mais j’ai le sens du devoir.
T’inquiète petite, je te ferais pas souffrir, sa seras rapide je connais mon boulot.
Mais ses yeux verts me fixent, maintenant froids comme le métal du canon qu’elle presse contre ma tempe.
Elle en à pas décidé ainsi, elle, elle veux vivre.
Ce n’est plus juste ses yeux qui me mitraillent maintenant, deux balles en pleine tête, et je suis pas encore mort, une douleurs affreuse, je brûle, le goût du sang, putain sa fait mal.
C’était un avertissement, elle me sourit et c’est les seules paroles que j’entendrais d’elle.
"Je sait qui t’envoie"
Elle ne presse pas complètement la gâchette, juste pour me faire comprendre qu’elle vas me descendre.
Je reprends mon souffle sa y est c’est fini, appuie sur la gâchette fillette.
C’est ce qu’elle fait.
C’est un ange qui m’a descendu, j’en suis certain, je sait pas si j’avais le droit à cette mort la.
Trop tard.
L’ange vide les lieux et embarque le flingue.
Peu après, New Pandora, Quartiers nord, Abbaye saint venant
Je gagne ma vie au jour le jour, aujourd’hui les trottoirs, demain qui sait de toute façon ils me suivront ou que j’aille, bande de chiens avides du pognon que je n’ai plus.
Je l’ai juré un jour je te tuerais James, pour tout ce que tu m’as fait subir, pour ces nuits blanches a regarder derrière mon dos, pour ces mois de cavale et pour tous ces bons moments aussi.
J’effacerais mon passé comme on nettoie une ardoise : Sans aucun scrupules.
Quand je te retrouverais, tu m’imploreras de te tuer.
2 Jours plus tard, Bureau de James Lorenz
" -Elle se nomme Demytria, Demytria MC Kalista et elle est très douée lorsqu’il s’agit de survivre, elle a déjà descendu nombre de nos hommes.
-Que pouvez vous m’apprendre sur elle? Toutes les informations peuvent avoir leur importance, lieu de résidence bien sur mais j’insisterais bien sur l’importance des détails, ses habitudes alimentaires, ses derniers amis en date...
-Son lieu de résidence est inconnu, comme son travail, elle n’as aucune habitude et n’as de contacts réguliers avec personne. Elle disparaît régulièrement et nos hommes mettent souvent du temps à la retrouver, par ailleurs vous pourrez a loisir consulter ses …goûts comme vous dites, il s’agit de mon ex-femme et j’ai personnellement compété ce dossier.
-...Sans paraître indiscret, pourrais je savoir pourquoi vous désirez tant la faire disparaître ?
-Vous ne pouvez pas. Sortez."
Cdte. Demytria
Respect diplomatique : 36

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19/02/308 ETU 09:33
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New-Pandora, Nikita
La main lasse glisse sur un corset de cuir brodé, le visage enjoué aux yeux d’azur Souligne l’éclat sanguinolent d’une masse de cheveux rouges.
La femme aux fouets descends du bar et commande un soda.
Ma vie est épuisante ces derniers temps, je sais que vous êtes la quelque part, illustre inconnu qui me surveillez, seulement si je ne sais pas qui vous êtes, je sais ce que vous êtes venu chercher.
La barmaid me regarde avec un air de compassion, elle n’aimerais pas faire mon boulot comme la plupart des gens, elle entame la conversation sur la faune marginale qui traine dans ce genre de boites depuis peu, elle me raconte qu’un mec brun, la trentaine de taille moyenne lui a demandé mon nom tout a l’heure, elle me dit l’avoir trouvé étrange d’insister pour avoir mon véritable nom a la place de mon pseudonyme et bien entendu elle ne lui as pas donné. C’est le signal de mon départ imminent. Je fait un signe au patron qui me tends une enveloppe : Ma paye en liquide.
En additionnant les pourboires vous n’avez pas idée de ce que peut rapporter ce genre de job, sinon qui voudrais le faire? Pas moi en tout cas.
Une petite pièce sur le comptoir et je pars sans avoir touché ma consommation.
New-Pandora, Quartier nord, bâtiment les ailes appartement 443 sans ascenseur,
Un appart miteux et excentré, mais on ne fait pas la difficile quand on ne peut pas garantir un revenu régulier, heureusement pour moi, les macros que je fréquente ont des options chez certains propriétaires peux scrupuleux pour loger le petit personnel.
J’allume la lumière et me déshabille avent de me glisser dans mon lit.
J’éteint la lumière, enfile un jogging des baskets (les héroïnes en talons aiguilles et combinaisons moulantes n’existent décidément que dans les films américains) avent de recharger mon P99 version améliorée par mes soins et m’assoit derrière le lit du coté opposé à la porte.
Il ne devrait plus tarder.
Bâtiment les ailes, rez-de-chaussée,
Trop facile, elle utilise son pseudonyme comme nom de famille marqué au feutre sur sa boite aux lettres.
Je monte l’escalier sans précaution comme le ferait un habitant normal.
Quand j’arrive devant l’appartement je force la serrure sans difficulté, finalement elle n’est peut être pas si maligne que l’insinue Lorenz, la porte s’ouvre sous une légère pression, elle est dans son lit, je devine ses formes délicates, lovée sous une épaisse couverture. Je tends mon bras, un désert eagle au poing et m’approche en silence de l’endormie.
Une douleur fulgurante me saisit alors, la détonation me fait comprendre qu’on m’a tiré dans la cheville. Je tombe en m’accrochant à mon arme comme un dernier rempart a la mort.
Elle me domine de toute sa hauteur son arme pointée sur moi, un poignard a la main.
Cdte. Demytria
Respect diplomatique : 36

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21/02/308 ETU 09:06
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Les bons professionnels n’existent donc plus, j’ai fini par le remarquer compte tenu des guignols que m’envoie James et qui sont a peine capable de porter une arme.
Je vise la cheville en dessous du lit, en tendant le bras je tire à bout portant.
" -Première erreur : ne jamais rentrer dans un lieu quel qu’il soit sans en avoir par avance évalué toutes les possibilités d’entrée et de sortie, toujours éviter les pièces à issue unique comme cet appartement par exemple.
Deuxième erreur : toujours vérifier les mécanismes des surveillances, vous me suivez depuis trois jour, si vous pouviez marcher vous trouveriez sur mon bureau des photos prises par les caméras de surveillances du hall d’entrée et du night club.
Troisième erreur : ne pas me sous estimer. "
Mon flingue toujours fixé sur l’homme à terre, je dégage un poignard d’un large bracelet à mon poignet, je voudrais m’amuser un peut avec lui mais je sait déjà tout et je ne suis pas sure qu’il ai la moindre information pour moi.
J’en fini rapidement et récupère le désert eagle pour ma collection personnelle.
Je fait ma valise : je récupère les quelques vêtements qu’il me reste et les entasse dans un sac de voyage que je ne défait jamais vraiment, je récupère mes objets personnels et lève le camps en abandonnant le cadavre, le loyer est payé d’avance le propriétaire n’as pas mon véritable nom. Je pourrais dire que je ne sais pas ou je vais comme la plupart du temps, mais ce serais mentir, me mentir a moi-même car je sais que la ou je vais, c’est la ou je trouverais James.
Mes jambes fatiguées d’une journée bien remplie me portent en douceur jusqu'à la porte, je descend comme dans un rêve les escaliers et m’endors dans le bus quittant New-Pandora pour Alohora.
Je frappe de mon poing engourdis par le froid contre la porte métallique d’une baraque militaire. L’homme qui m’ouvre semble frappé par la foudre.
" -Bon sang Demy rentre tu vas m’attirer des ennuis.
-Contente de te revoir Nike, et surtout contente de savoir que l’armée a bien voulu te reprendre après l’épisode du parking aérien.
Il caresse furtivement une nouvelle médaille sans y prendre garde.
-Oui, et ce ne sont pas tes bêtises qui m’ont aidé a y revenir.
-Si je me souviens bien tu me dois un service...
-Je te donnerais tout l’argent dont tu as besoin mais ne me demande rien.
-...Je vois, il semble que tu soit à l'abri du besoin ces derniers temps, mais mes intérêts rejoignent les tiens. Je veux jouer un gros coup, si je gagne tu peux me considérer comme une des personnalités les plus importantes de la planète.
Si je perds, tu pourras nous considérer touts les deux comme perdus.
Je sais que tu es curieux de savoir la suite, et c’est pour ça que je n’en dirais pas plus tant que je ne serais pas certaine que tu marches avec moi.
-Si je te disais que tu ne changeras jamais ?
-Je le prendrais comme un compliment...

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