Pages : 1
Cdt. Arwaan
Respect diplomatique : 269 11/10/307 ETU 14:15 |
Score : 9
Détails
Intro du rp de mon perso, j'espére que vous apprécierez! Ambiance fortement conseillé http://www.radioblogclub.fr/open/138349//113_dvorak-streicherserenade_e-dur_op._22-tempo_di_valse.mp3 Arwaan marchait le long d'une coursive, inexpressif, fumant tranquillement une cigarette, sa veste en cuir trempé, il rentrait dans son vaisseau, pour partir un peu dans l'espace, c'était sa facon à lui d'oublier un peu le quotidien, il entra dans son bureau, et se prenant un verre de Rhum, il alla s'asseoir sur son siége en cuir et baissa lentement la lumiére de la salle, appuyant sur un autre bouton, ce fut une grande baie vitrée qui apparut, révélant les étoiles au dessus de sa tete, enlevant alors son tricorne, il se laissa bercer par sa torpeur, et mit un morceau qu'il affectionnait particuliérement Dvorak "tempo di valse". Les violons le bercait lentement, remuant la main, il conaissait par coeur les mouvements, il regardait la voute céleste, le vaisseau avancait tranquillement, quel magnifique spectacle, toute sa vie serait voué au voyage et à l'exploration... Depuis tout jeune ses parents l'avait mis à la musique classique, des paleos compositeurs tel que Lully, Saint Saens, Haendel, Dvorak, Beethoven, Tchaikovsky... Lorsqu'il avait besoin de se retrouver, il allait tout le temps ici, écoutant sans cesse le meme morceau, et il retrouvait toujours le meme plaisir. "Papa, Maman...seriez vous fiers de votre fils... Pas vraiment, j'ai le sang de mes ancetres et des miens sur moi, j'ai tué pour mon interêt et pour le pouvoir. J'ai été amiral d'un des vaisseaux dans lequel vous aviez mis vos espoirs et vos reves. Maman, je te revois encore la veille du départ, contenant tes larmes, tes yeux noirs me regardant, et souriant cachant ton désespoir... J'étais peut etre trop jeune pour comprendre ce que j'allais faire, trop ambitieux. J'ai pourtant sauvé votre mémoire, celle d'Amenoa, et des Vaarlags, aujourd"hui tout repart, mais reconaitriez vous votre fils, reconaitriez vous tout les fils et filles d'Amenoa et leurs descendances? Maman, j'aurais tellement aimé t'avoir encore à mes cotés toi et Papa aviez raison, je n'étais pas prêt...Vous me manquez tous, vous ne pouvez pas savoir" Arwaan buvant encore son verre, regarda un holo, il s'agissait de ses parents, mais aussi de toute sa famille et clan , du moins en partie, 3 jours avant l'apocalypse.... Arwaan fixait alors dans le lointains, cherchant les causes de tout cela dans sa mémoire, l'inéxorable imbrications des événements
|
||
Cdt. Arwaan
Respect diplomatique : 269 14/10/307 ETU 14:25 |
Score : 7
Détails
-Capitaine, vous avez permission de tirer sur la foule s'ils s'approchent trop prêt du vaisseau, à ce train là ils vont nous empêcher de décoller. Est ce clair? -Commandant, si je puis me permettre, se ne sont que des civils, des gens au désespoir je....Je refuse d'éxécuter cet ordre.Terminé. Arwaan rugit dans l'intercom, les yeux révulsés par la colére Commandant!!C'est de la HAUTE TRAHISON!faites trés attention à vous, je mets cela sur le compte du stress, je réitére mon ordre, tirez sur la foule le cas échéant!!EST CE SUFFISAMMENT CLAIR? -Je refuse. Arwann était sur le point d'exploser d'une rage meurtriére, il fit signe de la main à un de ses officiers, et coupa l'intercom, et se dirigea vers la porte, sabre à la main et blaster en bandouillére. Bon dieu, Vaarlag ou pas, ils allaient faire foirer le décollage, et si quelques cons d'officiers scrupuleux refusaient d'obéir, il en mettrait d'autre, et éxécuterait les récalcitrants, c'est précisemment ce qu'il allait faire. 5 minutes avant le décollage Arwaan jura à voix haute, avant de se précipiter dans l'un des hangars, lui emboitait le pas, une cohorte de guerriers Pelaguirs, et deux officiers, vétus en noirs. Il trouva l'officier qui avait osé dire "non", et lui logea une balle dans le crane devant les hommes qu'il commandait. Fort dommage pour vous si vous ne savez pas ou se trouve votre interet messieurs, vous prendre la vague en pleine gueule, ou tenter avec ces quatres croiseurs de survivre. Maintenant vous allez m'écouter bien attentivement, le premier qui refuse encore un ordre, ou qui ose ouvrir ce qui lui sert de claque merde, je le laisse avec la foule en bas. EST CE CLAIR BORDEL! Silence Arwaan eut un sourire satisfait et retrouva le ton léger habituel Bien, je vous présente votre reléve, étant donné que, vous avez été surmené ces derniéres heures, je vous ai trouvé des remplacants. Disposez. Vous autres, tirez au besoin Arwaan jeta un rapide coup d'oeil dehors. Ce qu'il vit le dégouta, presqu'à le rendre malade, ces gens qui tentaient malgré tout de s'accrocher sur la coque, débordant les cordons de sécurité,une masse grouillante, la clameur terrifiante qui en émergeait, il soupira. "Bande d'idiots", ne s'attardant pas davantage, Arwaan retourna sur le pont principal pour le faire décoller, aprés tout, les réacteurs réduiraient en cendres cette masse.... Tout en s'allumant une cigarette, il entendit au loin des coups de feux claquer
|
Pages : 1