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Cdt. Dimir
Respect diplomatique : 98 14/10/307 ETU 13:53 |
Score : 13
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Et boum. Ainsi commença l’une des pires dictatures que la galaxie connue. Dans une prison sans âge, un homme est enchaîné à un mur. Ses cheveux blancs, sales tombent sur son visage. L’homme est vêtu de loques qui cachent mal ses membres charnus. Un jeune soldat rentre dans la pièce, à cause de l’odeur il fronce le nez. « Seigneur, ils sont tous morts… Il ne reste plus que vous… -Plus que moi… Et bien qu’attends tu ? Libère moi. -Bien Seigneur. » Avec une grande déférence, le soldat ouvrit les chaînes que retenait le noble prisonnier. « Merci… Maintenant meurt. » Avant que soldat n’ait pu faire quelque chose, l'ex-prisonnier prononça sa formule et l’homme tomba, étranglé par une main invisible. L’ancien prisonnier se dirigea calmement vers la sortie. Arrivé dehors, il vit un paysage chaotique. J’avais donc raison. La seconde Apocalypse avait tout détruit. Plus de villes, plus de champs, plus d’hommes, plus d’animaux. Seul la forêt avait résisté. L’homme sourit. Je ne suis donc pas le seul. Doucement, il leva les bras vers le ciel, des nuages noirs arrivèrent des quatre points cardinaux. Une voie puissante résonna dans toute la contrée. "Dimir vient reprendre ce qui lui a été volé. Tremblez mortels, le dernier des fils d’Anne est vivant. » Puis il abaissa ses bras, et déclancha une immense tempête. Eclairs, tonnerres, pluies diluviennes, il marquait son retour. D’un autre geste, ses anciennes loques devinrent des vêtements somptueux. D’un pas lent il se dirigea vers le trône d’Or. Aujourd’hui commençait le règne de l’Ombre.
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Cdt. Dimir
Respect diplomatique : 98 14/10/307 ETU 18:39 |
Score : 8
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"L'enfer, c'est les autres" Dimir avançait d’un pas lent le long du couloir menant à la salle du trône. Les nobles étaient venus de tous les pays pour assister à l’accession au pouvoir. Ils le regardaient le visage crispé, comme s’ils étaient en train de voir leur pire cauchemar se réaliser. Dimir s’arrêta devant la grande porte. Il la poussa doucement, sans un bruit elle s’ouvrit. Il continua à avancer vers le Trône d’Or, gravit les trois marches et se retourna pour regarder la foule. Au premier rang un homme se mit à genou et dit de sa voix grave : « Le roi est mort, vive le roi ». Tous les nobles reprirent «Vive le roi ! » Dimir leur répondit par la formule d’usage « Que la cour se présente » et il s’assit sur le trône. Le premier noble à se présenter fut Cylandir, seigneur des grandes plaines. « Je suis Cylandir, descendant de la ligné des Apoïque, que vous avez jadis nommée gardien des grandes plaines. Je vous reconnais Roi, je mets mon cœur et mon épée à votre disposition. » Dimir prit une bague et la tendue au noble. « Aujourd’hui et pour toujours, Cylandir, tu deviens mon serviteur. Cette bague que je te confie est le symbole des pouvoirs qui te sont accordés, mais elle est aussi le symbole de tes devoirs. Tu as ma bénédiction Cylandir, va en paix. » Le noble se releva, visiblement soulagé, remercia une dernière fois son nouveau maître et quitta la salle. De nombreux autres nobles passèrent devant le nouveau Roi. Ils répétèrent inlassablement les mêmes paroles, écoutant les mêmes mots avec la même avidité. Et puis ce fut au tour d’Imke. « Imke… » appela le maître des noms d’un souffle. Celui-ci ce jeta à genou. Le Roi mit sa main devant le visage d’Imke. « Imke… Tu m’as trahit… Par ta faute je suis resté longtemps, très longtemps en prison. Je vais faire de toi un exemple. -Seigneur, j’ai répondu à votre appel, je n’ai rien à me reprocher. -Tu ne t’es pas caché, tu ne pouvais te cacher. Je t’aurais retrouvé où que tu sois, te le sais. N’essayer pas de transformer ta lâcheté en courage. Tu es pitoyable Imke. -Pitié… -Pas de pitié pour les traîtres. » Pendant que Dimir prononçait ces mots, Imke se mit à crier. De nombreux nobles virent de la fumer s’échapper de ses yeux, et ceux qui connaissait les secrets des arcanes savaient que le Roi lui confisquait son l’âme.
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Cdt. Dimir
Respect diplomatique : 98 19/10/307 ETU 21:41 |
Score : 5
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"Sans larmes, point de rédemption" Dimir déambulait dans les couloirs de la bibliothèque interdite. C’était une merveille édifié par Anne il y sa si longtemps. C’était une faille dans notre dimension, un espace qu’Anne voulait utiliser comme dernier refuge. Mais pour Dimir c’était beaucoup plus. C’était une caverne aux milles trésors. Il y a avait des centaines de boîtes, de toutes les tailles, de tous les aspects. Dimir avançait le long des longs rayons, s’arrêtant devant certaines, les caressants avec un sourire nostalgique aux lèvres. Il en pris un première, c’était un boîte en bois mat sur laquelle était écrit en lettres d’ors : « Flambeur ». Il la posa sur le plan de travail au milieu de l’immense salle. Il fit de même pour six autres boîtes, toutes nommés en lettres d’ors. Il y avait marqué sur chacune d’entre elle un nom : Tisse-rêve, Changeforme, Tordu, Voltigeur, Borgne et Brume. Grâce à la magie, Dimir fit voler les boîtes qui le suivirent alors qu’il allait vers la chapelle. Lorsqu’il y arriva, il vit sept corps inconscient sur les dalles froides. Il ouvrit les sept boîtes et commença alors son invocation…
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Cdt. Dimir
Respect diplomatique : 98 28/10/307 ETU 19:11 |
Score : 5
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Dimir avançait long des couloirs menant au balcon, à partir duquel il parlerais. Quelques jours plus tôt, tous les hauts membres du clergé avaient été convoqués. Dimir avait laissé penser qu’il allait abdiquer, à leur profit. Flambeur rejoignit Dimir. « -Nous sommes en place. -Très bien, n’intervenez pas avant mon signal. » Lorsque Dimir s’approcha du pupitre, le silence se fit instantanément. « Mes amis, Je sais que mon arrivée au pouvoir est contraire aux lois et aux désirs des Dieux. C’est pour cela que j’ai pris une décision. » Sur ce, Dimir se tut, laissant le temps à ces phrases de pénétrer dans l’esprit étroit et tordu des prêtres. « C’est pour cela que j’ai décidé de régner sans vous. Aujourd’hui je défie vos dieux, et je vous défie vous, pseudo avatars de puissance irréelle. La vraie puissance c’est moi qui la détiens. Vous n’êtes rien d’autres que de misérables avortons que je tolère. Mais je ne suis plus patient. Votre dernière et pitoyable tentative d’assassinat a été celle de trop. Je vous présente vos nouveaux dieux. » Une première explosion se produit. Les prêtes essayèrent de quitter la place, mais avec le désordre et les Servants qui bloquaient les issus, ils était bloqués. Le massacre commençait. Dimir les observait le sourire aux lèvres. Flambeur marchait tranquillement, provocant des explosions, immolant les prêtes et leurs gardes du corps. De temps en tant, il lançait une boule de feu, comme pour changer. Dimir eu ensuite du mal à localiser Voltigeur, celui passait si vite dans la foule que Dimir ne pouvait le suivre. Mais il voyait les sillons de sang qu’il laissait derrière. Puis il avait Tordu qui lançait des potions un peu partout les mélangeant au petit bonheur la chance. Plusieurs fois l’un des produits catalysa l’explosion, manquant de carboniser le Servant. Puis à coté, il y avait Changeforme, qui transformé en ours déchiquetait tout ce qui lui passait sous les griffes. Pour finir Tisse-reves et Brume tenaient les issus, si bien que pour les prêtes avaient peur de forcer le passage. Le nombre de corps mutilait semblé avoir un effet psychologique important. Au bout de vingt minutes, il ne restait plus qu’un combat. Voltigeur était en difficulté contre un garde du corps inconnu. Cet homme intéressa au plus au pont Dimir qui n’eut d’yeux plus que pour ce duel.
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