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Tu es mon Jouet, Louis...

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Cdte. Véronique DUBALIN.
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24/08/308 ETU 12:30
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Le passage à l'Assemblée, cela avait beaucoup troublé Louis, surtout qu'il lui semblait avoir reconnu quelqu'un: Corbeau Noir. Pourtant, d'après ses souvenirs, il ne le connaissait pas.
Louis se posait donc un tas de questions depuis qu'il avait vu Corbeau Noir, et l'idée lui vint d'aller à la bibliothèque.
Louis se déplaçait dans le Palais Impérial, où de temps en temps traînait des cadavres sur les bas côtés mangés par les rats.
Louis se rendit donc à la bibliothèque, ouvrit la porte, et fouilla chaque livres. Tout un coup, en fouilla, son pied se prit dans une des lamelles qui constituent le plancher et il trébucha. Se relevant,
il vut que la lamelle était amovible, il la déplaça, et sortit un vieux cahier tout poussiéreux. Il souffla dessus, la poussière s'enleva, et le titre apparue en grosses lettres d'or.
Journal de la Vie de Louis
De plus en plus intrigué, il s'assit à une table, et se mit à l'ouvrir, sur la première page, il reconnut sa signature, et lut les preemières phrases.
Moi, Louis, souhaite tout d'abord dans ce cahier dire pardon à mes épouses auquelles j'ai pu faire du mal, à mes enfants qui sont morts par ma faute, à mes amis que j'ai pu blesser, aux personnes
auquelles j'ai pu faire du mal par mes expériences atomiques...
Il lut ça, et continua donc sa lecture, de plus en plus passionné et intrigué, ainsi, il avait été quelqu'un d'assez étrange, mais QUELQU'UN ! Ses premiers amis étaient Cesco Imperator, Booster, Vladimir
Harkonnen son père adoptif, Anko, Parisii qu'il considérait comme la plus grande personne, Aristippe... et tout un tas de personnes. Ses autres amis étaient: Corbeau Noir, Necromanger, et d'autres...
Sa première femme fût une esclave du Baron Vladimir Harkonne, sa seconde, la prêtresse Prem Habba, avec qui il avait eu un fils, sa dernière, Hatora la Marchombre, avec qui il avait eu un fils Séjus plus communément
appelé Mathieu et une fille Jade. Tout son passé ressurgissait petit à petit. Ayant terminé de lire le livre, il remit le livre à sa place et replaça la lamelle. Il devrait l'étudiait plus profondément
plus tard...
Louis se dirigeait vers les appartements qu'il occupait avec Véronique, arrivé devant la chambre, il ouvrit la porte. Véronique était sur le lit entrain de faire l'amour avec un homme du Palais, Louis
sentait souvent le désir de lui dire: < Pute ! Traînée ! Femme infidèle ! >, mais il ne savait pourquoi il avait ce désir, en tout cas, il ne pouvait le dire, sinon, elle le tuerait ou lui referait un lavage
de cerveau. Louis vint donc se mettre à table, Véronique renvoya l'homme. Un serviteur entra, apportant les plats.
"Qu'est-ce qu'il y a au menu ce soir ?"
"Spaghettis à la sauce Bolognaise suivies d'un filet mignon de boeuf avec en fromage: Du Bleu Louisien suivi de la spécialité en dessert: Le Massacre, un gâteau à la framboise avec un coulis de fruits
rouges pour faire penser à du sang, avec des os en chocolats blancs."
"Parfait ! Parfait !... Ouvrez donc vos plats."
Le serviteur ouvrit les plats et se rendit compte avec horreur que le cuisinier avait oublié la sauce bolognaise.
"Qu'est-ce que ça veut dire cela ?! DES SPAGHETTIS BOLOGNAISE SANS LEUR SAUCE !!! BANDE DE CRETINS !"
Prenant le plat de spaghettis encore brûlant, elle le mit sur la tête du serviteur.
"WHOUAAAAAAAAAAA ! C'est brûlant !!! Madame !!! WHOUAAAAAAAA ! Je n'y suis pour rien moi !"
"Si ! STUPIDE SERVITEUR ! Tu vois ce qui fait ta fierté et qui te sert des fois avec moi, éh ben, TU N'EN AURAS PLUS !!!"
Prenant un couteau elle coupa le sexe du serviteur et lui donna à manger.
"Bouffe chien ! Bouffe ! Ordure !!! Tu n'as même pas vu qu'il n'y avait pas de sauce, éh bien, tu vas le bouffer avec les spaghettis ton sexe ! Une dernière chose, TU DIRAS au cuisinier que SI
une telle chose se reproduit, je le ferai bouillir dans une marmite d'eau bouillante, et que je le mangerai en soupe le soir même ! Qu'il se le tienne pour dit !!!"
"AAAAAAAAAAAAAHOOOO ! OOOOOOOOOH ! OOOOUUUUUHHH ! Oui m'dame !!! AAAAAAÏÏÏÏÏEEE !"
Le serviteur se tordit de douleur pendant une demie-heure, Véronique de son côté était partie chercher un autre plat en cuisinie et coupa un doigt du cuisinier et le mangea, en guise de
vengeance. Elle revint donc avec un plat de Spaghettis AVEC sauce Bolognaise.
"J'ai été un peu longue, bon, assez perdu de temps ! Mangeons ! Et après, baisons !"
"Véronique... Ne pourrais-tu pas être moins... vulgaire..."
"MOI ? VULGAIRE ??? CHIEN D'INFIDELE !!!"
Véronique prit un fouet à épines et tapa Louis.
"ET LA ? JE SUIS TOUJOURS VULGAIRE !!?"
*tremblant* "Nnnn... Non !..."
"Bien... Mais ton assiette, elle va me servir de frisbie !"
Prenant l'assiette de Louis, Véronique la fit voler par le fenêtre.
"Ce soir, TOUT POUR MOI ! Tu ne mangeras rien, ça t'apprendra à m'insulter !!"
Véronique mangea donc toute seule, Louis l'attendait sur le lit, nu comme elle lui avait ordonné. Une fois qu'elle eut fini de manger, elle vint, et ils firent l'amour.
Le lendemain, Louis se réveilla vers 7 H 30 du matin, il paraissait seul. Content de cela, il se leva, mangea rapidement, se lava, enfila ses habits, prit son armure en dorée avec son épée
fabriquée dans la même matière et partit en direction de la bibliothèque.
Une fois arrivé, il fit les mêmes gestes que la veille, et étudia plus profondément le livre.
Véronique de son côté continuait à faire l'amour toute la journée, elle menait toujours une vie de débauche, et ce, depuis qu'elle était Ultrème... Au bout d'un moment, elle en eût marre,
elle vida de son sang l'homme qu'elle avait pour le moment, et le fit cuire juste après. Prenant du plaisir à ces jeux démoniaques, Véronique aimait cela, et ce qu'elle préférait le plus, c'était
fabriquer des vibro-masseurs avec le sexe de ses amants. Une vraie cinglée démoniaque entre autre.
Louis continuait d'étudier, plus profondément... Il retrouvait son passé, ce qu'IL était, et cela lui plût. Il sortit donc du Palais, prit son Croiseur Personnel, et partit en direction
d'une planète donc les coordonnées étaient inconnues.
Véronique chez elle apprit que Louis était parti dans son Croiseur Personnel, elle devait immédiatement envoyer quelqu'un le suivre ! Elle fit alors décoller une frégate furtive, fleuron
de la flotte Ultrème, toute dernière nouveauté, et fit suivre Louis à la trace.
Quelques jours plus tard.
Louis venait de faire appareiller son Croiseur Personnel, le personnel du Croiseur ne reconnaissait pas la planète, Louis leur dit de ne pas bouger, et SURTOUT, de rester dans le Croiseur. Ils
obéirent donc. Louis partit seul, armé de sa fidèle épée et protégé par son armure et son bouclier. La planète sur laquelle ils avaient appareillé était une planète au Climat tempéré, et cette
planète n'était autre que l'ancienne Capitale, Espérance. Sur celle-ci, fouillant bien la planète, il découvrit une plaque, l'ouvrit, et y entra.
Guère loin de Louis, la frégate furtive avait atteri, et des espions surveillaient Louis de près, de très très près...
S'aventurant dans le soutterrain, Louis en déduit donc que cela était un ancien réseau de Bunkers, servant à la Défense d'Espérance quand elle était encore vivante. Soudain, quelqu'un lui mit
la main sur la bouche, et un couteau sous la gorge, et l'emmena ainsi.
De leurs côtés, les espions suivaient Louis, chacun ayant pris un chemin différent. Plusieurs venaient de mourir, les circonstences étaient inconnues, ils restaient, pour ceux qui étaient
encore en vie, sur leurs gardes.
D'un autre côté, Louis était emmené.
Une heure passa
Louis venait d'être mis au milieu de milliers d'humains, qui étaient-ils ? que faisaient-ils ? que lui voullaient-ils ? L'un des humains, leur chef probablement, prit la parole.
"Bonjour... Qui êtes-vous ? Que nous voulez-vous ? Vous êtes un Espion Ultrème je présume ! J'en ai assez de VOUS ! Vous nous surveillez pour nous tuer, comme la trahison il y a de cela
plusieurs mois, éh ben, vous savez le sort qui vous ait réservé ? La mort !!!"
"Ce serait plutôt à moi de vous demander qui vous êtes... Tout ce que je peux vous dire, c'est que je m'appelle Général Louis, ce que je vous veux ? connaître mon passé, car j'ai
perdu la tête, et je vis chez les Ultrèmes..."
Dès que Louis ouvrit la bouche, toutes les personnes sur place restèrent muettes de stupeur. Cette personne était donc le respectable Louis, leur ancien Empereur !
"Oui, je vis chez les Ultrèmes, et pourtant, cela ne âraît pas me convenir... Ce que je veux, c'est retrouver mon passé, et me venger d'eux si cela est vrai. Malheureusement, je ne
pourrai pas contrôler mon armée, Véronique tient les rennes, et seul une attaque commando sur la Capitale nous vengerait. Seulement, écoutez d'abord mon histoire..."
Non loin de là, un Espion ayant réussi à passer outre les pièges et les barrages écoutait ce qui se disait, y enregistrait, et se mit en route pour sortir. Il laisserait son
appareil ici pour les espionner, tant pis s'il était découvert ! l'Impératrice Véronique serait au courant et partirait massacrer son Mari, Louis, dont elle avait essayé d'en faire un
Ultrème...
Les semaines passèrent et ne se ressemblèrent pourtant pas, le VRAI peuple Louisien, non Ultrème, toujours fidèle à Louis combattait régulièrement contre le Peuple Louisien
Ultrème rebaptisé Véroniquien. De 1 Milliard d'individus, le Peuple Louisien venait de passer à 1 Million d'individus, quant au Peuple Véroniquien, de 80 Milliards, il venait de passer à
seulement 70 Milliards... Beaucoup de morts pour une guerre de quelques semaines... Profitant d'un moment de répis, Louis convoqua les Chefs Louisiens.
"Mes chers fidèles et amis, l'heure est grâve. Nous avons perdus au moins 999 Millions d'hommes en quelques semaines, et le Peuple Véroniquien n'en aurait perdu que 10 Milliards.
A la prochaine attaque, nous tomberont donc... Qu'avez-vous à proposer ?"
Un long et lourd silence pesa sur la salle.
"Vous n'avez rien à dire ? Vraiment rien ???"
Nouveau silence.
"Bien, alors voilà ce que j'ai décidé. Nous devons partir demain matin très tôt, nous aurons 2 Jours pour arriver sur la Capitale Véroniquienne, attendre la nuit, débarquer sur le
Palais, et reprendre le contrôle."
"Empereur Louis, comment voulez-vous que nous réussisions une telle mission ? Nous sommes peu, et nous n'avons même pas d'engins furtifs !"
"C'est ce que vous croyez ! Mais moi, j'ai retrouvé de vieilles frégates furtives, volées à des ex-pirates, ou achetées à des ex-pirates..."
"Admettons. Et combien même elles voleraient, seraient-elles vraiment furtives ?"
"Ecoutez ! C'est un risque à prendre, vous préférez mourir la bouche grande ouverte en ayant rien tenté ? ou mourir en ayant tenté une mission commando ?"
Un colosse se leva et prit la parole.
"Je préfèrerai mourir en ayant tenté une action commando ! Il n'y a rien de plus humiliable que de mourir en ayant rien tenté, même l'arme à la main ! Je vous suivrai, Empereur
Louis, et ce, même si je devais mourir bêtement, même si l'on devait tous y passer ! Je vous protègerai, et j'aimerai même être le dernier à vous avoir protégé ! Empereur Louis, ayez
confiance en moi !"
Louis afficha une mine satisfaite, et les autres chefs acceptèrent la mission de Louis. Ils sortirent donc tous, ordonnèrent au Peuple de se préparer pour l'Ultime Combat, et
d'être prêt à mourir ! Le Peuple Louisien partit donc très tôt le matin et les deux jours de voyage passèrent sans encombre. Maintenant, ils étaient en orbite de la Capitale de l'Empire
Véroniquien, et miraculeusement, aucune Corvette Sonar ne les apperçue. Ils attendirent donc la nuit, et amorcèrent leur descente.
Plus tard.
Ca y est ! Les frégates escortant la frégate de l'Empereur Louis venaient de se poser sur le sol Louisien, devant le Palais, et toutes les autres frégates s'étaient posées à des points
stratégiques sur la planète, maintenant, l'attaque pouvait commencer ! Louis sortit de sa frégate le premier, une mitraillette laser au point, ses hommes le suivirent, armés de la même
façon, et ils étaient en armure dorée à l'or fin, mais très résistante. Ils avaient fièrement une épée portée sur leur cuisse droite, et un bouclier sur le bras gauche, maintenant,
Véronique et ses sbires pouvaient craindre ! la vengeance et la reprise sera terrible et sanglante ! Des tas de Véroniquiens sortient avec des armes en fer blanc, des gourdins, des
blasters ou tout autre arme en main, mais les hommes de Louis ne tombaient pas si facilement ! Louis, avec une compagnie, fonçait vers les portes principales du Palais, les
cassèrent, et entrèrent. Pendant ce temps, c'était la panique et la guerre sur la Capitale véroniquienne ! Chaque endroit stratégique était en proie à de violents combats, et de gros
massacres. En une demi-heure, 446 894 723 Véroniquiens étaient tombés pour seulement 94 560 Louisiens. Du jamais vu !
Cependant, profitant des combats dans la Capitale, les enfants de Véronique et Louis, Alphonse, Luis, Valériane et Pauline, ayant grandit à l'hormone de croissance pour
avoir 18 ans s'étaient concertés ainsi que plusieurs personnes, encore Fidèles à l'Empereur Louis, ils avaient décidé de partir pour une autre Galaxie, et de ne jamais revenir... Ils
fuyaient l'Ultrémisme, car ILS connaissaient la vérité, et ne voulaient plus voir leur mère, ni se faire tuer... Personne ne remarqua ce groupe de 100 000 personnes qui se dirigeaient
vers les hangars. Profitant de la panique générale, ils se ruèrent sur les premiers vaisseaux venus, embarquèrenet, et partirent vers l'Assemblée Galactique annoncer qu'ils partaient
de la Galaxie.
Pendant ce temps, au Palais Véroniquien.
Louis et son escouade, ainsi que le Chef Collossal nommé Bartabor, venaient d'entrer dans le Palais, massacrant littéralement les premiers gardes.
"Empereur Louis ! Regardez ce qui nous attend ! Une mitrailleuse lourde à plasma placée en batterie ainsi que des troupes avec des armes lourdes, que faisons nous ?"
"Hum... A couvert !!! Grenades fumigènes et feu de couverture ! Je vais essayer de m'en occuper."
"Sûr ?!?"
"Sûr !"
"Louis ! Laissez-moi aller avec vous !!!"
"Hors de question ! toi, tu restes ici, et tu n'en bouges pas ! Allez ! Go go go !!!"
Les soldats Louisiens firent un feu de couverture. Louis fonça tête baissée, épée en main, bouclier devant lui. Arrivé à une certaine distance, il s'arrêta. Dit un mot en
latin, sa main droite ouverte placée devant lui. Une explosion aveuglante eue lieu, plusieurs hommes étaient morts pendant le feu de couverture, et ceux qui purent ouvrirent les yeux
virent le massacre que Louis venait de causer. Des centaines de morts derrière ce qui était des barricades. Et tout à coup, une autre lumière aveuglante apparue.
"Impossible ! Ce ne serait pas une nouvelle explosion !..."
"Non ! Ca n'y ressemble pas !"
"Louis ! Louis !"
Louis traissallis de bonheur en entendant cette voix.
"Parlez, maître. Votre créature écoute."
"C'est le Créateur !!!"
"Louis. Tu dois retrouver Véronique et t'occuper de son cas, si tu ne la tues pas, elle deviendra la plus cruelle de toutes les femmes de l'univers ! Tu dois mettre fin à sa
vie, et d'ailleurs, je vais t'y aider. Tu as dû remarquer ce que tu as fait, éh bien, c'était moi qui t'y aidais, je vais te donner de puissants pouvoirs, et des ailes d'un blanc
pur vont te pousser dans le dos, tu vas recevoir un grand pouvoir, et cette fois, tu devras vaincre Véronique ! Réussie ta mission, Louis ! C'est tout ce que je te demande."
"Bien, Créateur. Bon, vous avez tous entendu ? On continue, on trouve la salle du trône, et j'entrerai seul..."
"Des ennemis arrivent dans toutes les directions !"
"Occupez-vous d'eux ! Moi je fonce à la salle du Trône, bonne chance !"
"Bonne chance Empereur ! Allez les gars ! On se les fait !!! MOURRONS TOUS POUR LOUIS !"
"OUAIS !!!"
Pendant que Louis se dirige vers la salle du trône, les Louisiens commencent à prendre les objectifs, ou à faire sauter ce que Louis avait demander de détruire. Une heure
de combat dans la Capitale, 983 172 500 Véroniquiens tués, pour 345 621 Louisiens. Près d'un tier de l'armée Louisienne y est passée, mais ils sont morts en héros.
"Ne laissez pas ce Louis passer ! TIREZ !!!"
"Vous croyez pouvoir m'arrêter ? Franchement, vous êtes drôles."
"On va te tuer, petit oiseau à plumes blanches ! Et on va te les tâcher, tes jolies plumes !"
Louis dit une formule en latin correspondant à: Pics Glacés purificateurs de démons ! et des pics d'eau bénite glacés sortirent de sa main droite, et vinrent frapper les
démons. Une fois les pics ayant fini leur travail, Louis sortit son épée, et décapita les démons. Poursuivant son chemin, il arriva devant des grandes doubles-portes, les fit
voler en éclats, et entra dans la vaste salle du trône. Voyant quelqu'un d'immobile sur le trône, il s'approcha, l'épée en main. Il reconnut Véronique entrain de dormir, s'approcha
d'elle, et lui transperça la poitrine à l'endroit du coeur. Du sang gicla et le tâcha, mais de l'autre côté de la salle, on entendit un rire sinistre.
"Mwahahahahahahah ! Tu me croyais sans doute assez stupide pour me mettre sur le trône et me laisser tuer ? Pfff... Tu me déçois, Louis ! Ce n'était qu'un clône que tu
viens de tuer, finalement, je me demande si tu me valais, stupide sous-être !"
Se mettant toute nue.
"Crois-tu que tu pouvais avoir une belle femme comme moi ?"
"Vé... Véro... Véronique ! Arrête ! Je t'en supplie ! Je n'ai pas envie de devoir te tuer, même si c'est ma mission !!!"
"Mwahahahahahahah ! Ainsi, tu crois pouvoir me tuer ? Arrête de me faire rire ! Viens te battre, si tu t'en sens capable ! En tout cas, si je te tue, j'aurai de belles
cornes en acier inoxydable sur ma tête, ah ! depuis le temps que j'attends cela... Je vais te combattre nue ! et je vais te montrer que je suis une démone, je vais faire sortir
mes ailes. Maintenant, prépare-toi à mourir, ex-mari !"
"Véronique... Non !!! Enfin, puisque je n'ai pas le choix, je ne te ferai pas de cadeaux ! Meurt !!!"
Et les deux ex-époux se ruèrent l'un sur l'autre, prêts à se découper en rondelles. Pendant ce temps, des vaisseaux venaient de décoller depuis 20 minutes, et
arriveraient à l'Assemblée Galactique dans quelques heures.
Le choc fût violent, Louis et Véronique fûrent projetés chacun de l'autre bout de la salle de leur côté. Se relevant rapidement, Louis profita d'un moment
d'inattention de Véronique pour s'envoler et fondre sur elle, l'épée en avant. Véronique le cherchant partout, et levant d'un coup la tête se reçut l'épée dans le bras gauche,
du sang coula à flot sur le sol, mais Véronique se ressaisit aussitôt, sauta sur un meuble, et bondit sur Louis qui était toujours en vol. Accrochée à ses jambes, elle lui
lacéra les jambes avec sa main droite. Louis hurla de douleur, mais réussie à se sortir de son étreinte en lui décochant un bon coup de poing dans la mâchoire, lui brisant
net quelques dents.
"Ordure ! Tu as osé toucher à mon beau visage ! GRMPFFFVBDGXXXZZZ !!! Oeil pour oeil ! Dent pour dent ! Espèce de petit oiseau !"
"Si tu continues, ce n'est pas que ton visage que je vais abîmer..."
Véronique fonça tête baissée sur Louis, Louis se râtant, il tomba à la renverse et gît presque inanimé. Véronique jubila, elle sortit une dague, ses yeux rouges
de démon prirent une couleur de sang noir, elle s'approcha de Louis, se baissa, leva la dague, et...
Louis lui prit immédiatement le bras et lui planta son épée dans un endroit mortel, Véronique tomba sur le sol, Louis prit de l'eau bénite, se baissant pour lui en mettre,
elle en profita pour lui taillader des veines, condamnant donc Louis. L'Eau Bénite tomba donc sur Véronique et la purifia. Toussant, crachant, le démon sortit de son corps,
et Véronique redevint donc Véronique.
"Lou... Lou... Louis ? Ô Louis ! Pardonne-moi ! Je n'étais... plus moi, j'étais... démoniaque... Pardonne-moi... Louis ! Je t'ai... causé... tant de mal... Et
maintenant... on va... mourir... tous les deux..."
"Je te pardonne... Véronique, je te... pardonne... Je sais que... tu n'étais plus... toi... Mais... je te pardonne... Ne t'inquiète... pas... Ce n'est pas grâve...
si on meurt... tous les deux... au moins... on ne devrait... plus... être séparés... pour l'Eternité..."
"Louis !... Si tu savais... comment... j'ai pensé... à toi... en espérant... que ce démon... ne te tue pas... *sanglots* Louis !... Notre vie... est fichue...
*sanglots*"
"Ne dis pas... cela... Véronique... Tout était prévu... et notre vie... va devenir... éternelle !..."
"Non !... Je suis... sans doute... maudite par... Dieu... Tu le sais... très bien... Il n'aime... pas... ceux qui sont... démoniaques..."
"Je t'ai... sauvé... ton âme... normalement... Meurt en paix, Véronique..."
"Louis !... NOOOON !!!... Louis !..."
Véronique et Louis poussèrent un dernier soupir, cependant, un obus tomba dans le Palais et explosa, bloquant la porte de la salle où les deux époux
mourrurent. Le Colosse prit contact avec Louis, mais aucune réponse. La section qu'il dirigeait ne comptait plus que 3 hommes, ils allaient bientôt tous mourrirent, et
il voulait savoir où était Louis. Tout à coup, des ennemis surgirent de tout côté, et la section mourrut en combattant brâvement.
Sur la Capitale Louisienne, presque tous les Louisiens étaient morts, seul quelques-uns résistaient encore, quant aux Véroniquiens, 3,5 Milliards d'entre-eux y étaient
passés, une véritable hécatombe...

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