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Cdt. Corbeau noir.
Respect diplomatique : 549 30/08/308 ETU 00:51 |
Score : 9
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Rp privé, merci de ne pas poster avant mon accord! ^^ J’ai couru à travers les limbes, à la recherche de réponses… Et sans cesse, je me suis heurté aux non-dits et aux silences… Mais alors où se trouve-t-elle? Celle qui éclairera notre nuit de la Lumière? Celle que nous demandons tous? Elle est dans notre dos, le corps ensanglanté. Et c‘est nous qui tenons le couteau qui a tué, celle que nous appelons la Vérité… Arabas de l’Obscurité Combien de temps cela faisait-il? Où étais-je? Pourquoi seules l‘obscurité et la lumière éclairaient mes paupières? Etais-je mort? Et pourtant, je pouvais encore entendre et sentir mon cœur battre d’un rythme sourd et régulier… Un battement… Un battement… Un battement… J’étais un mort parmi les vivants. J’étais un vivant parmi les morts. J’ai voyagé dans l’immobilité, traversant périls et repos. J’ai rapporté avec moi des souvenirs d’existences qui existent et qui ont existé. Et au fin fond de moi, dors la connaissance des vies qui seront. Aujourd’hui, je cherche le chemin qui me donnera l’échappatoire à ce monde bicolore. A ce monde où seul le bruit de mon cœur résonne et rythme le temps. A ce monde où je erre sans fin, solitaire dans les immensités désertes…. Mon nom? Je ne me souviens pas. Enfin, disons que je ne veux plus me souvenir. Je sais que j’en ai un. Mais il s’accompagne de poids dont je ne veux m’encombrer durant ce voyage. Et grâce à mon apprentissage, j’ai compris que les noms étaient bien peu de choses. Nous nommons les choses pour mieux les dominer. Pour asseoir notre puissance sur eux. Car ce n’est pas nous qui nous donnons notre nom à notre naissance. Mais ce sont nos parents. Pour pouvoir nous contrôler. En fait, tout est régis par le contrôle. Je contrôle le temps pour pouvoir contrôler les cultures d’une population. Si cette population est bien nourrie, elle est heureuse et ne réclamera rien. Si cette population a faim, elle criera sa colère aux dirigeants et les renverseront. Ainsi, si mon but était de devenir maitre de ces lieux, il ne me reste plus qu’à arriver en sauveur pour remplacer celui qui a échoué. Tout est question de contrôle. Et pourtant, je suis ici. Je ne sais pas si je suis debout, assis ou allongé. Je suis, c’est tout. Pas forcément parce que je pense et parce que j’ai conscience de moi. Ou peut-être que si. A moins que je ne sois là que parce que j’ai conscience de sentir mon cœur battre. Sans même avoir l’idée qu’il puisse s’arrêter un jour. Sans même avoir l’envie de me dire que je sais penser à autres choses qu’à mes besoins vitaux. Mais dans ce cas, les animaux ont aussi consciences d’exister et donc ils sont. Mais les plantes existent-elles? Peut-être que nous avons voulus voir des plantes où il n’y en a pas. Peut-être que nous rêvons tous ceci. D’ailleurs, sommes nous réellement nous? Peut-être y a-t-il en fait un seul individus qui gouverne l’ensemble de nos esprits? Ou bien nous sommes peut-être des copies, comme une sorte de rêves parallèles, d’un seul être? Nous disons nous parce que nous voyons des différences dans l’apparence et les pensées. Et pourtant, nous parlons de mêmes espèces et de caractères génétiques identiques. Etranges comme nous nous accordons à dire que nous sommes un mais deux à la fois. Nous voulons être ensemble mais nous faisons tout pour ne pas être réunis. On se bat, on se réconcilie. On se tue et on se reproduit. Diversité dans l’unité, c’est bien ce que nous sommes. Donc je suis là. Il fait peut-être jour ou peut-être nuit. Peut-être qu’il fait chaud ou froid. Tout ceci n’est pas important, il ne s’agit que de sensations purement physiques. Des informations qui ne me serviront peut-être à rien. A la rigueur, je me plaindrais de cela, je dirais qu’il fait trop chaud ou trop froid. Mais mon esprit lui, cela ne lui sert à rien. Je me demande en fait si c’est le corps ou l’esprit qui est le plus important. L’esprit semble dominer notre corps car il peut par exemple le faire tomber malade en réaction à des troubles psychologiques. Mais d’un autre coté, l’esprit ne peut survivre sans le corps et ce dernier est la base même de l’esprit. Ma question pourrait-être formulée comme l’évolution est-elle plus intéressante que la base de cette évolution? A laquelle des deux devons nous porter le plus d’intérêt? Des questions bien étranges… Et pourtant du fond de mes souvenirs, des voix lointaines chuchotent, parlent, crient voire hurlent chacune une réponse. Elles ont toutes une opinion différentes et cela s’apparente désormais à un brouhaha lointain qui résonne sans fin. Mais où est la Vérité alors? »
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Cdt. Corbeau noir.
Respect diplomatique : 549 30/08/308 ETU 00:53 |
Score : 6
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Rose était assise dans le grand fauteuil de commandement de son grand-père. Cela faisait bien trop longtemps qu’il était parti sur cette planète avec Hadji et ces deux généticiens. Aucunes explications, il l’avait juste rassuré en lui disant qu’il transmettrait des messages holographiques aussi souvent que possible. Et elle en avait effectivement reçu. Au moins un par semaine. Le problème était que lorsqu’elle essayait d’envoyer une réponse, l’ordinateur lui disait que les coordonnées était erronée. Et surtout, Corbeau lui parlait d’une planète apparemment habitée et surtout luxuriante or, les coordonnées transmises par son grand-père dans ses messages correspondait à une planète ayant servie à de nombreux essais atomiques… Autant de réponses qui restaient sans réponses. Et parfois une terrible pensée venait effleurer l’esprit de Rose. Et si son grand-père était… Mort? Il avait pourtant réussit à revenir une fois et ses capacités physiques alliés à la puissance génétiques des Sombranasis faisait de lui un être extrêmement dangereux. Alors s’il était mort, comment? Son vaisseau avait-il été détruit? Collision avec un corps spatial? Attentat prémédité? Certes, il avait des ennemis mais s’attaquer directement à sa personne semblait être une pure folie! Ces gens ne connaissaient ils pas l’étendue des capacités de l’Empire de l’Ombre sur le plan militaire? Rose pouvait envoyer plusieurs milliards de kamikazes prendre une seule planète en quelques heures et sans la moindre hésitation. En plus de l’inquiétude qui la taraudait, un immense chagrin l’avait dernièrement frappé. En effet, la jeune Lyru était morte lorsque son vaisseau de transport avait frappé une carcasse de frégates pirates. Aucuns survivants et nulles traces des corps. Rose avait alors fait mettre sous la tutelle de l’Empire toutes les planètes gérées par la jeune et talentueuse économiste tout en décrétant une semaine de deuil. Elle s’était alors retrouvé seule, sans soutien et avec le terrible fardeau de la gestion d’un des plus grand empire qui soit. Et elle n’avait que dix neuf ans… Les funérailles avaient été très simples. Un cercueil en cèdre de sa planète natale, les dirigeants de l’Empire de l’Ombre, quelques amies d’enfances et d’études, ses parents et puis enfin, Rose. Lorsqu’ils s’étaient tous trouvés devant le cercueil qui s’enfonçait doucement dans la terre, elle avait ressenti l’immensité de sa solitude. Personne pour la réconforter de la perte de cette amie, personne pour lui donner des conseils, aucunes épaules sur laquelle pleurer, aucune personne vers qui se tourner pour parler d’elle… Mais la douleur devenait fulgurante lorsqu’elle savait qu’elle devait rester digne de son rôle. Elle était désormais la représentante des Sombranasis. La dernière héritière directe de la Lune Sombre. Celle qui héritait de son grand-père de la responsabilité de plusieurs milliards de vies. Cela lui faisait tourner la tête et l’empêchait de dormir. Tant de questions volaient et tournoyaient. Que devait-elle faire? Quelle politique adopter? Devait-elle revenir sur la scène politique sans son grand-père? Y avait-il encore un espoir pour sa survie? Devait-elle envoyer des recherches? Quel avenir pour l’Ordre des Gardiens sans son représentant? Et puis surtout, devait-elle prendre la suite de son grand-père dans les projet secret de l’Empire. L’historique entier de ces quelques recherches était tenus sous un dossier cryptés du nom de Hisbald. Le seul moyen de l’ouvrir était de faire passer la marque génétique de la famille dans le décodeur. S’il correspondait à la famille Sombranasis, les fichiers pouvaient être lus. Dans le cas où cela ne correspondait pas ou que l’on essayait de forcer leur ouverture, ils s’autodétruisaient. Simple mais efficace pour dissuader les potentiels voleurs… Mais malgré ces inquiétudes, ses pensées revenaient sans cesse vers les derniers mots de son grand-père alors qu’il embarquait pour cette destination inconnue. « Tu es une Sombranasis. Ton héritage génétique et historique est grand et lourd à porter. Mais j’ai confiance dans l’idée que tu puisses devenir bien plus que n’importe lequel d’entre nous. Que tu n’échoueras pas dans cette impasse que nous avons tous rencontré… » Des mots bien étranges et aux consonances mystérieuses. Typique de son grand-père… Après tout, n’était-il pas revenus d’entre les morts pour exécuter la volonté de la Déesse? Elle se souvenait de l’histoire que lui racontait son père. Ils avaient vus arriver dans la salle à manger un jeune garçon aux traits familiers alors qu’ils étaient en plein repas. Les gardes ne l’avaient même pas vus entrer et il s’était approché sans bruit. D’après les apparences, il devait avoir à peine une dizaine d’années et pourtant, son regard semblait bien lui donner un âge avancé. Il s’était approché de son ancienne place et après s’y être assis, il avait prononcé ces mots : « Je suis Corbeau noir. Antéchrist et Elu. Paradoxe de notre temps. Et je suis de nouveau parmi vous. » La panique que cela avait provoqué… Des dizaines de tests de mémoire, génétiques, d’aptitudes physiques, psychiques avaient été effectué et une seule conclusion à la fin. Il s’agissait bien du légendaire Corbeau noir… Et malgré les interrogations des médecins, de son père et même d’elle, personne ne savait comment Corbeau était revenus. Les rumeurs allaient bon train et dans certaines villes, il y avait toujours une ou deux personnes qui prétendaient soit avoir vus naitre l’enfant, soit l’avoir vus descendre des cieux et autres commérages mystiques. Lorsque l’on interrogeait Corbeau sur ce sujet, celui-ci se contentait de sourire et riait doucement avant de partir ou de parler d’un autre sujet. Se pourrait-il qu’il ne s’en souvienne pas lui-même? Rose avait longtemps soupçonné cette possibilité et avec les récents évènements, elle s’était même demandé si son grand-père n’était pas parti à la recherche de ses « origines »… Mais cela non plus ne l’avait pas fait revenir et la Lune Sombre restait muette à ses prières dans lesquelles elle demandait des réponses à ses inquiétudes. Rose était en train de ressasser ces pensées tout en lisant les rapports de la journée. Les productions avaient sensiblement augmentées depuis qu’elle avait fait baisser le temps de travail obligatoires et fait augmenter les fonds pour les loisirs dits « reposants et relaxants ». Les ouvriers étaient ainsi en plus grande forme et devenaient plus productifs tout en travaillant moins. Quelques troubles politiques avaient eut lieu sur la bordure du secteur 9. Des manifestations contre le pouvoir en place et contre la « suprématie d’une famille qui empêchait ainsi toute forme de l’égalité des chances ». Un concept intéressant sauf que ceux qui étaient vraiment performant étaient plus que récompensés. Lyru en était le meilleur exemple… Mais ce genre d’opposition permettait aux gouverneurs de ces planètes de reprendre contact avec la planète mère, Ombrea, tout en étant ainsi stimulé dans l’exercice de leur fonction par peur de perdre leur place en cas de trop gros troubles politiques… Il s’agissait là d’un outil puissant mais qui devait être distillé avec prudence au risque de créer une tyrannie au sein des gouverneurs et de créer par suite d’évènements une opposition majeures qui risquerait de renverser le pouvoir central. Cette conclusion était formulé en bas du rapport par un membre de l’Etude. Conclusion intéressante mais classique et qui avait été maintes et maintes fois confirmées. Surement une personne qui venait d’acquérir un poste et qui avait pensé à se mettre en valeur par l’intermédiaire de ce commentaire. Si jamais ce genre de répétitions venaient à se produire, il faudrait lui retirer ces fonctions. Transmettre des informations inutiles avec comme objectif final un avancement personnel revenait à ralentir les communications et à étouffer un centre de commandement avec des ressources inutiles. Il ralentissait la communauté pour son seul profit. Dangereux sur le long terme… Un élément à surveiller donc. Rose transmit son nom et son matricule au service de transmission pour que ceux-ci lui fassent parvenir ces prochains rapports en priorité sans l’en avertir. Elle improviserait alors… Lorsqu’elle eut fait cela, elle regarda brièvement les quelques rapports qui restait. Rien de bien important comparé à la question qui la taraudait…
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Cdt. Corbeau noir.
Respect diplomatique : 549 31/08/308 ETU 22:56 |
Score : 5
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Devait-elle rendre officiel la passation de pouvoir au sein de l’Empire et ainsi devenir la nouvelle dirigeante de ces nations? Cela revenait à dire implicitement qu’elle croyait son grand-père mort pour de bon et que donc, aucune recherches ne seraient lancées. Cela provoquerait surement un tôlé au sein du Conseil car nombre des Anciens étaient encore acquis à la cause de son grand-père. Mais pouvait-elle leur dire sans craintes ce qui lui passait par l’esprit lorsqu’elle visionnait les messages holographiques de son grand-père? Messages factices et surement enregistré avant son départ afin qu’elle ne s’inquiète pas. Mais quelque chose avait dut mal se passer car depuis le dernier il y a deux semaines, plus rien. Son grand-père avait surement dut penser rentrer à temps ou bien être capable de prendre le relis à ce moment là mais quelque l’en avait empêcher. Certes, leur dire cela ne les feraient pas changer d’avis sur la question d’envoyer des recherches mais si l’on en envoyait, par où commencer? Son grand-père avait pris un navette furtive pouvant contenir un maximum de dix personnes. Il n’y avait aucunes informations sur sa destination ou même m’origine de son entreprise et on ne pouvait espérer sonder tout un secteur si ce n’est plusieurs galaxies! Et durant tout le temps que ces recherches dureraient, devait-elle rester intendante comme cela était en ce moment? Cela ne ferait qu’augmenter l’inquiétude déjà grande de la population et surtout, cela incitait les opposants à tenter des actions d’éclats. Phénomène courant : lorsque l’autorité en place est absente, ces opposants en profitent. Non, il fallait que cette passation ce fasse rapidement. Et surtout, il fallait faire sortir l’Empire de l’Ombre de l’autarcie dans laquelle il vivait depuis que son dirigeant était parti. Le choix était fait et les négociations et discutions devaient cesser. Les opérations devaient être lancées immédiatement. Rose appela sa conseillère principale, Eléanor, pour la faire venir dans le bureau. Lorsque celle-ci se présenta, Rose lui fit un hochement de tête tout en lui murmurant : « Lance les préparatifs. Nous ne devons plus attendre… » Eléanor s’inclina et parti rapidement lancer les annonces aux conseils et aux hauts dignitaires de l’Empire. Dans deux jours tout au plus, elle occuperait ses fonctions officiellement et pourrait affermir son autorité. Mais pour l’heure, un discours à l’Assemblée s’imposait. Lorsqu’elle fut dans la navette de transport, un sentiment assombrit son cœur. Elle ne savait cependant pas ce dont il s’agissait. De la honte? Des remords? De la colère envers son grand-père? Ce n’était pas le moment d’analyser les sentiments qui la tourmentait. Elle devait réfléchir aux premières dispositions qu’il faudrait prendre lorsqu’elle aurait acquis les pleins pouvoirs. Il faudrait sans aucun doute remplacer plusieurs généraux de l’armée de l’Obscurité. Cette armée d’élite était en effet complètement dévouée à Corbeau et l’ensemble des kamikazes de l’Empire venait de cette branche de l’armée. Nombre d’entre eux verrait cette prise de pouvoir et l’abandon de leur ancien chef comme un coup d’état à peine dissimulé… Des représailles étaient à craindre et l’idée d’un putsch allait surement effleurer leur esprit. Rose soupira… Il faudrait peut-être même supprimer cette unité militaire et en créer une autre qui lui serait dévouée. Les conséquences d’une telle modifications seraient simples. Guerre civiles et risques de création d’une tyrannie. Il faudrait être très vigilant sur ce dernier point et éviter à tout prix que certains dirigeants ne fassent du zèle en voulant être trop « dévoués » à leur nouvelle dirigeante. Tout ça pour essayer de prendre du grade… Il faudrait aussi changer ces personnes. Ceux qui cherchaient le pouvoir étaient bien souvent des gens corruptibles et ceux qui auraient été bons à ce genre de postes avaient plutôt tendance à fuir ce genre de responsabilités. Rose écrivit rapidement une note sur son holopad afin de penser à faire exécuter ces changements le plus rapidement possible. La navette se posa enfin sur le tarmac du spatioport de l’Assemblée. Rose avait lu une injonction d’un commandant extérieur à Espoir. Il parlait de la puissance des symboles avec la tyrannie. Des propos pleins de sens. Un commandant à surveiller et à contacter. Il serait peut-être intéressé par l’un de ses projets… Lorsque la navette fut enfin stabilisée, Eléanor arriva pour aider Rose à enfiler la cape sombre qu’elle devait porter en tant que nouvelle dirigeante. L’insigne de l’Empire avait été brodé avec des fils de Sombrargent, un métal qui devenait légèrement luminescence dans l’obscurité. Lorsque ce fut fait, Rose fit un signe de tête à Eléanor et sortit de la navette. Le ciel était sombre et l’air était lourd et chargé en ozone. Il y aurait de l’orage dans quelques heures et elle pouvait aussi sentir les odeurs d’une vie humaine. De la transpiration, des odeurs de cuisine et de déchets, des phéromones, de décomposition… La vie grouillait et cherchait à s’étendre sans cesse et sans cesse… Des pensées qui parasitait son esprit en ce moment. Elle aurait déjà dut avoir un plan de son discours plutôt que de laisser ses pensées vagabonder! Il fallait se ressaisir… Lorsqu’elle arriva dans la salle qu’elle avait fait réservée, les quelques commandants qui étaient là par curiosité et ceux qui l’avaient suivi intrigués se turent. Les regards furent braqués sur elle avec une intensité presque malsaine. Le silence et surtout l’absence de son grand-père avait apparemment été remarqué et Rose avait put juger son importance pare rapport au nombre de messages qui s’accumulaient sur son bureau. Elle ne leur avait bien sur pas répondu, de peur que certains devinent la vérité avant qu’elle ne l’annonce publiquement. Lorsqu’elle fut confortablement installé à l’hémicycle, se yeux firent le tour de la salle à la recherche d’un quelconque soutien. Mais elle était seul devant cette immense gouffre de questions, cette envie de savoir tout sur tout, cette envie de colporter les nouvelles. Eléanor arriva derrière elle et lui posa la main sur l’épaule. Oui, elle devait être forte… Mieux que cela, elle était forte! Après tout, elle avait été formée par son grand-père, un commandant ancien et historique et par quelques personnes aussi importantes dans leurs domaines.
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