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Cdte. Véronique DUBALIN.
Respect diplomatique : 56 01/09/308 ETU 20:56 |
Score : 5
Détails
Le Commandant Régis GUARBAN, nouvel Empereur Louisien vint se placer au milieu de l'hémicyle, tout à coup, ses yeux brillèrent d'un blanc éclatant, un halo de lumière l'entoura et il prit la parole. "Bonjour à tous, si je suis ici, ce n'ets pas pour vous dire des racontars, loin de là, je suis ici pour vous déclarer la vérité, toute la vérité sur ce qu'il s'est passé pendant une semaine, et comment, ainsi, j'ai pu accéder au pouvoir. Commençons pas le commencement, par l'arrivé au Paradis de Louis et Véronique." Régis se tut, prit un sachet de poudre, en déversa sur le sol, et tout à coup, l'histoire commença. Jour 1, Le Jour des Jours, beaucoup de morts, deux figures emblématiques mortes, le Peuple Louisien presque anéanti. Pourquoi tout cela ? Pourquoi devait-on arriver là pour qu'un homme puisse reprendre le Peuple Louisien en main ? Pourquoi ? Dieu seul le sait ! Au Paradis. "Bonjour Louis. Je vois que je t'ai confié une mission, et que tu t'en aies acquitté, parfait ! Tu as réussi ce que je t'avais demandé, et pourtant, ce ne fût pas facile ! Tu as failli être perdu Louis, mais ta conscience, plus forte que les ténèbres, a réussi à reprendre le dessus. Tu as tué Véronique, elle t'avait elle aussi porté un coup mortel, mais tu es ici, pour une vie éternelle. Soit le bienvenue dans ta nouvelle vie !" "Merci, ô Divin Créateur ! Mais, même avec cela, je suis quand même très malheureux..." "Ah bon ? Et pourquoi ?" "Vous devez certainement le savoir, mais je vais le dire, voilà, Véronique n'a pas encore été jugée, n'est pas avec moi, et je ne sais pas si elle sera un jour avec moi... En tout cas, je souhaite la voir à son jugement, et essayer de lui montrer la bonne voie." "Le cas de Véronique est perdu, mais si tu souhaites la revoir une dernière fois, je ne suis pas contre. Alors reste ici. Faites entrez Véronique DUBALIN !" Un ange ouvrit la porte et Véronique entra. "Véronique DUBALIN, tu sais pourquoi tu comparais, n'est-ce pas ? Tu es morte, et maintenant, ton jugement va avoir lieu." Dieu prit l'âme de Véronique, et la mit sur une Balance. Voyant le résultat, il regarda, pensif, mais la Balance pencha d'un côté... "Hmmm... Plus de mauvaises choses que de bonnes choses... Véronique, je sens que..." "Noooon !" Véronique fondit en larmes. "Noooon ! Merveilleux Créateur, ne me faites pas cela, s'il vous plaît ! Je n'y peux rien si un Démon s'est emparé de mon corps et en a profité pour faire pleins de mauvaises actions, je ne voulais pas cela ! Pitié ! Ne m'envoyez pas en Enfer ! Je ne veux pas de cela, je n'ai jamais voulu de ces mauvaises actions ! Pitié mon Dieu ! Pitié !!!" Voyant Véronique toujours à genou entrain de pleurer et de supplier Dieu, Louis intervint. "Permettez-moi de vous dire, ô Divin Créateur, que cette femme, qui était mon épouse, était bonne, avant que des Démons s'emparent de nos corps... Oui ! Véronique était une bonne Impératrice, et une fervente croyante en VOUS ! Oui, elle a toujours crû en VOUS, et j'espère que vous pouvez lui pardonner les actes qu'elle a commis, car moi-même, je les lui pardonne..." "Je vois... Je vois... Faites entrer les personnes qu'elle a tué !" L'Ange ouvrit la porte et les personnes entrèrent. "Tenez ! Mais regardez qui voilà ! La Véronique ! Celle qui adorait nous tuer en nous torturant, maintenant, elle se met à pleurer ?" "Elle n'a pas hésité à nous tuer horriblement, et maintenant, elle demande notre pardon ?!" "Cette femme doit être jetée en Enfer avec certains d'entre-nous qui y sommes !" "A mort ! A mort ! A mort ! A mort !" "Moi, je lui pardonne, ainsi que tout ceux qui m'entourent..." "Hein ?!" "Ce gars est malade !" "Ouais ! Qu'elle vienne plutôt brûler avec moi et ma bande !" "Franchement, pouvoir lui pardonner, à ELLE !!!" "Oui, nous lui pardonnons, c'est mon avis, ainsi que celui de mes collègues. Véronique, ne va pas en Enfer, viens plutôt au Paradis, ce que tu l'as fait, tu l'as fait, et ça ne peut être rattrapé, mais tu étais possédée, tu n'y pouvais rien ! Rejoins-nous donc !" "Bien... Bien... Je vois... Très bien ! Vous pouvez sortir !" Ils quittèrent tous la salle. "Alors ?" "Alors, elle est pardonnée... Véronique, bienvenue au Paradis ! C'ets très rare, mais tu es acceptée !" "Merci mon Dieu ! Merci ! Merci !" "Merci à vous, Dieu, sincèrement Merci." "Bonne vie éternelle ! Cependant, allez voir le Temple que je t'avais montré Louis, et regarde Régis GUARBAN, tu verras, ta mort n'a pas été vaine." Le Créateur a accepté Véronique, ça a été long, mais il a accepté, maintenant, revenons-en sur la Capitale Véroniquienne, de l'époque... Je regarde autour de moi, je ne vois que des morts et des démons suivient d'humains bougeant dans tous les sens. Que faire, mon Dieu ! Que faire ? Si je bouge, ils me tuent, si je ne bouge pas, je mourrais... Je regarde à droite, je vois une main bouger, profitant d'un instant où il n'y a personne, je m'approche à plat ventre, je touche sa main, j'entends qu'il dit: < Qui est-ce ? >, je lui réponds: < Régis... Régis GUARBAN >, il me dit: < Tu es encore vivant, après tout ça ? > Je lui dis: < Oui, mais il faudrait penser à se tirer d'ici au plus vite ! >, entendant une patrouille, nous fîmes les morts, et une fois la patrouille passée, nous nous leveons. En me levant, deux autres personnes de l'équipe m'imitèrent, nous étions donc quatre survivants sur l'équipe de cinquante hommes ! Un vrai miracle avait dû se produire pour que nous soyons encore en vie, ou alors, de la chance ! Nous courrûmes dans le Palais, et nous nous arrêtâmes dans un coin, profitant de cela pour discuter. "Maintenant, il serait temps de penser à trouver un coin pour dormir. Je propose les catacombes du Palais, ainsi, nous dormirions en tout tranquilité, possédez-vous encore des armes ?" "Oui, moi, je possède un Pistolet de défense." "Une Mitraillette Laser, ça devrait aider." "Et moi, j'ai trouvé quelques grenades, en plus de mon pistolet, ça devrait aller !" "Bon, très bien ! Suivez-moi, et pas de bruit ! Il ne faut pas qu'ils sâchent que nous soyons encore en vie, du moins, pour le moment. Je conduisis ma troupe jusqu'aux catacombes, et là, surprise ! D'autres Louisiens avaient fait de même, et nous nous retrouvâmes à dix dans les catacombes. Cependant, ils me dirent qu'ils avaient vu d'autres personnes en vie encore combattre, se faire achever ou tuer ou fusillier, ou trouver des cachettes. Nous devions être encore nombreux en vie, mais il me dit aussi que plein de Démons s'en allèrent car il n'y avait plus rien, et qu'un grand incendie commençait à détruire la Capitale. On entendit de nombreux explosions, et on décida de dormir, attendant le lendemain pour entreprendre une sortie.
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