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> [RP Perso] Cauchemar
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Cdt. Immurg-Her
Respect diplomatique : 365 
18/10/307 ETU 21:50 
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Score : 5
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Un vent leger c'était lever sur la tour blanche de Taro. Les lunes avaient commencer leur danse. Il faisait nuit. Garn Trag prenait le premier tour de garde, sur l'enceinte Est; ils s'étaient toujours demander pourquoi il devait le faire, les equipements de securité étaient bien plus efficace que l'oeil humain, et de toute maniere, il y avait Ceux Qui Gardent, et eux, rien ne pouvait leur echapper. Brrrrrr... Penser à eux lui donnait des frissons, ce qu'on racontait sur eux était loin d'être rassurant. Mais au final, personne ne savait à quoi ils ressemblaient, et pour cause: personne ne les avait vu, la partie superieur de la tour, là ou residait l'homme qui dort, est inaccessible aux humains. Personne n'y va jamais. C'est avec ces pensées qu'il rabachait pour la millieme fois qu'il entama son premier tour de garde. Tant qu'il était payé. Il repensa à ce qui s'était passé ces 30 derniers cycles. Beaucoup de chose. Avant, la planéte ne disposait pas de son niveau actuel, chaque village vivait en autarcie avec les moyens du bord, en paix. Avant, personne ne pouvait approcher la tour blanche. Puis la flotte noir était arriver: des vaisseaux semblant avoir traverser les siecles, ce qui était peut être le cas. Il n'avait pas vraiment dû user de la force; l'aura de puissance mystique qui se degageait d'eux avait plier à leur volonté toute la planéte. Les hommes qui étaient descenduent des vaisseaux noirs étaient tous differents, de toute les couleurs, de toute les formes, certains n'était s'en doute pas même humain; tous differents à deux points pres: ils semblaient tous avoir entre 20 et 30 ans, mais semblaient tous en avoir vecu 1000, et tous avaient dans le regard cette même volonté farouche, cette même lueur fatigué mais inflexible. Ils avaient ammener l'homme qui dort dans la tour, qui les avait laisser approcher, et l'avait installer dans la plus haute salle. Puis, une nuit, ils avait installé Ceux Qui Gardent et avaient scellé les portes. Toute l'organisation politique de la planéte avait été refaite; et tous c'était bien passé. Les technologies nouvelle apporté avait parfaitement assimilé par les autochtones. Oui vraiment, il n'y avait eu aucun probleme. Garne regarda sa montre: son tour de garde était terminer, il allait chercher le nouveau et prendre un repos... bien merité ? Il ne se passait jamais rien de toute façon. A peine avait il eu cette penser qu'un grondement ce fit entendre.
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Cdt. Immurg-Her
Respect diplomatique : 365
20/10/307 ETU 14:47
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Score : 1
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Le grondement prit rapidement de l'ampleur, et une lueur rouge se mit à irradier du sommet de la tour. Elle s'entendit bientôt sur toute la voute celeste, cachant les etoiles. Vision d'enfer. Des formes née des pire cauchemar des habitants de la planéte ce mirent à deriver dans le ciel. Horreur. Garn entendit alors un bruit de metal fracassé à l'interieur de la tour. Jusque là, il était resté figé, ne sachant que faire. Il saisit son arme, un fusil à neutrino, le mis sous tension, et se dirigea vers l'entré de la tour. Il y arriva sans probleme, mais sans lever les yeux au ciel, et entra. La tour n'était pas disposé de systeme d'ouverture speciale, et il n'y avait pas de badge ou de code à avoir. Il grimpa rapidement les quelques marches jusqu'à la salle des gardes, epaula son fusil, et avança. La premiere chose qu'il vit était le corps du nouveau:une boullie infame qu'on ne c'était pas contenté de trainé sur le sol, mais aussi sur les murs et au plafond. Tout cela n'avait pas de sens. Il se dirigea vers le dortoire, mais la vision n'y était pas plus plaisante: tous étaient mort, pas dechiqueté; juste mort. De leurs yeux coulaient des larmes de sang, et chacun de leurs visages étaient deformé par un rictus, comme s'ils faisaient un...cauchemar au moment ou la mort avait frappé. Quoi qu'il soit arrivé, il devait protégé le maitre. Il entra donc dans la partie interdite. Un couloir de marbre blanc, en pente douce, eclairé par d'étranges neons. Rien de special; pas de trace pas de bruit. Pas assez de bruit d'ailleur. Garn se figea et tendit l'oreille: non, decidement, il n'aimait pas ça. Le vent dehors avait cessé de souffler, et même le clapotis du sang tombant du plafond avait disparus. Boum boum Boum boum Boum boum Garn sursauta, et mis un moment à se rendre compte qu'il sagissait de son coeur. Il repris son souffle, lui aussi tres bruyant, trop bruyant. Si il y avait un ennemi par ici, celui ci l'aurait sans doute repéré. Puis tout à coup, un autre bruit: Poc Une goutte de sueur était tombé de son front et venait de toucher le sol. Pfffffffou Une tempete ! ... ... ... "Non, je n'ai pas révé, il y a bien un autre bruit." ... ... ... Toc toc toc toc "Des sabots, quelque chose avec des sabot s'approche de moi !!" La lumiere vacilla un instant. Au bout du couloir venait d'apparaitre un de Ceux Qui Gardent. BOUM BOUM BOUM Un chant, ou plutôt une melodie. Boum boum boum...boum...boum. Un rictus aux levres, Garn mourrut.
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Cdt. Immurg-Her
Respect diplomatique : 365
02/11/307 ETU 14:57
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Score : 3
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A quelques dizaines de kilometres de là; complexe Utopia. Le ciel est rouge; et les formes se font plus que terrifiante. Ceux qui dormait sont presque tous morts; et les survivants sont sur le pied de guerre; ils se sont reunis au sein de la grande salle, tous en armes; hommes femmes et enfant. Les medecins s'affairent sur les survivants des cauchemard; la plupart sont aveugles; d'autre sourd; certains ont les oreilles en sang et hurlent sans repis. Le second du commandant du complexe, qui était de garde, prend la parole: "Mes amis; nous sommes confronté à un danger dont ne pouvont mesurer l'ampleur; mais plus que d'habitude, nous devons demeurer soudé. Nous devons atteindre Ville-Dieu; et cela le plus rapidement possible, afin de nous enquerir de la situation, d'offrir notre aide, et bien evidement de pouvoir donner à nos blessés des soins plus poussé. Prions juste pour qu'il ne soit pas arrivé la même chose là bas. -Et pourquoi ne pas leur demander tous simplement ? La radio ne fonctionne plus ? -Non, la communication fonctionne, mais il n'y a personne au bout du fil. C'est plutôt mauvais signe. Bien, prenez les equipements de survie, verifiez les armes aupres du sergent marcus, et rendez vous dans 20 minutes au sas nord. -A pied ? Nous pourrions prendre les vehicules et aller chercher de l'aide, ce serait plus rapide ! -Non, s'il n'y a pas d'aide à prendre justement, cela nous retarderais. On ne peut pas prendre de risque. Bon, depechons !!! 20 minutes plus tards, au sas nord. Tous le monde était là, les civieres gravitationnel avaient été rechargé et chacun avait entre les mains un fusil à neutron, technologie apporté par les scientifiques de l'homme qui reve, on pouvait respirer la peu à plein nez, mais chacun se tenait brave, pres au pire. Sous un ordre du second, les portes s'ouvrirent, laissant apparaitre une tempete de cauchemard. Tous s'avancerent, face à leurs destins. La marche pouvait commencer.
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Cdt. Immurg-Her
Respect diplomatique : 365
04/12/307 ETU 23:08
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Score : 2
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Au millieu de la foret; quelques heures plus tard. Le groupe avançait assez rapidement, malgres quelques incidents mineurs. Un couples de Zarnos les avaient attaqué, blessant à la hanche une jeune fille mais les decharges de neutrons des gardes en avait immediatement eu raison. Le ciel était toujours aussi rouge, et un grondement sourd se faisait maintenant entendre; cela pouvait expliquer la vitesse des survivants du complexe. Le sergent Marcus était anxieux, il s'attendait au pire à ville-dieu. "Quelques heures plus tard; ils firent une pose pres d'un point d'eau; ce n'etais pas une bonne idée. Deux des membres du groupe s'endormirent, ils moururent presque immediatement dans un cri aigu et simultané. On proceda à une ceremonie rapide, puis on se remit en marche. Il y eu encore une perte. Ayant decidé de ne plus faire de pause, le trajet devint une veritable marche forcé; une femme qui n'etait plus dans sa prime jeunesse s'endormit debout. Couic. Puis, enfin, ils arriverent en vu de la plexibulle de Ville-Dieu. Il penetrerent par le sas de secour 654, qu'ils enfoncerent avec une charge de plastique. Lorsque la fumée se dissipa, deux drones de securité les attendaient. Une premiere rafale partis et faucha 3 survivant, la suivante 5. Les tirs de neutrons immobiliserent un des drones, et les soldats s'appretaient à avoir l'autre lorsque celui ci fit demi tour. Une navette monoplace de patrouille se dirigea vers eux à grande vitesse; les soldat, mefiants, pointerent leurs armes. "Excusez nous sincerement, tous nos drones etaient branché sur feu à volonté; les evenements presents nous obligent à la plus grande prudence." Le groupe sursauta, la voix sortant de l'hyperphone etait inatendut. "Et vous croyez que cela justifie la mort de nos camarade ?" Une nouvelle fois, tous le monde sursauta; c'etait le sergent qui avait parlé. "Nous voulons savoir ce qu'il se passe. -Et vous le saurez; mais d'abors, au poste de secours, vos amis en ont besoin."
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