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Une vie... une histoire

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Cdt. Nylan
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30/05/309 ETU 00:48
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Au commencement je n’étais qu’un enfant et au plus loin que je puisse me souvenir je n’ai jamais eu d’attache familiale.
J’étais un de ces enfants que l’on délaisse et qui doit se débrouiller par lui même s’il veut réussir à subsister mais c’était plutôt courant de la ou je venais.
Les souvenirs les plus anciens qui persistent dans ma mémoire me font rappeler de grande étendus urbanisés qui font souvent références aux grandes mégalopoles que l’on peut connaître aujourd’hui à un détail près, l’état des bâtiments… dont mon souvenir l’endroit d’où je venais n’était que désolation, tours dévastés, routes endommagés et tout ce qu’un cataclysme peut produire mais étrangement je n’ai aucun souvenir de guerre ou même de phénomène météorologique qui puisse expliquer cet état pittoresque de mes flashs d’en temps.
Je n’ai jamais eu d’éducation particulière, mais c’était courant pour un gamin délaissé de Songe, alors il a fallut faire avec et apprendre de ses erreurs.
Et quand on est un enfant on en fait des erreurs…mais ça tout le monde le sait.
Je me souviens un jour qu’un commandant soit arrivé sur notre planète, c’était un de ces dirigeant qui venait soit disant rendre le lustre d’en temps de notre peuple, mais nous n’étions pas aveugles ce qu’il voulait c’était étendre ses territoires car comment un illustre inconnu avait connaissance de notre planète alors que moi j’en avais que de légères bribes.
Il ne lui a pas fallu beaucoup de temps pour qu’il réouvre tout les puits qui parsemés notre planète, car chez nous on possédait des métaux, de l’énergie, des diamants mais surtout de l’apotium, mais je ne crois pas avoir connaissance que nous en faisions quelques choses mais d’un autre côté je ne me souviens pas de grand chose avant mon réveille.
Cette réouverture était perçu comme un signe d’espoir pour mon peuple car ils allaient pouvoir recommencer à travailler et donc de se fait à vivre. Pour moi se fut une aubaine aussi ainsi qu’aux enfants dans mon cas, car nos nouveaux colons n’étaient pas très regardant sur l’age de leurs employés, ils ne voyaient qu’on nous que des bras en plus pour faire leur labeur et ça les arrangeaient bien.
Petit à petit la ville se refaisait une santé, on pu assisté à l’inauguration d’une université, c’est la ou je crois qu’ils font travailler les scientifiques mais je ne sais pas ce qu’ils font la-bas, on a pas le droit de rentrer puis ils ont construit un trésor public et plein de différents départements mais la encore je ne sais pas ce qu’ils font la-bas.
Par contre je sais une chose c’est que pendant cette période, ils ont construits plusieurs zones ou l’ont pouvaient dormir, des zones de colonisation, j’ai cru comprendre, mais ils ont dut en construire de plus en plus car les gens afflué de partout pour travailler dans nos mines.
Il y a même eu un jour une nouvelle zone de construite, c’était d’après ce que j’ai compris pour fêter l'arrivée au pouvoir de ce nouveau commandant, mais tout le monde étaient heureux car c’étaient un endroit ou l’ont pouvaient se détendre et penser à autre chose que le travail à la mine, pour moi c’était une véritable zone de loisir.
Et ce que l’on peut dire c’est que les distractions étaient rares de part chez moi, les anciens parlaient d’endroits ou l’alcool coulé à flot et ou les filles n’étaient pas farouches mais moi j’ai jamais vu ça, on me dit que je suis trop jeune et puis en plus je sais même pas ce que veut dire farouche !!
Moi pour passer le temps après ma journée de travail, j’allais dans le parc et je m’allongeais dans l’herbe en regardant le ciel, des fois, il y avait un étrange spectacle qui si produisait comme de grand éclats de lumières de toutes les couleurs qui déchirait la nuit, ça scintillait de milles feux et ça ma toujours intrigué. Il y avait un phénomène étrange aussi le jour qui suivait, on pouvait trouver toute sorte de carcasse fumante qui jonché le sol et tout les anciens se précipitaient en criant VME !!! VME !!! mais leur enthousiasme tombé rapidement quand ils s’aperçurent qu’à chaque fois se n’était que des sondes.
(…)
Cdt. Nylan
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03/06/309 ETU 00:49
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Ce jour resta marqué dans mon esprit et fait irrémédiablement parti de moi, j’en porte même les stigmates ce qui fait que je n’oublierais jamais ce jour.
Cette journée avait un début et bien sûr une fin.
Une matinée qui avait tout pour être ordinaire. Je me préparais pour aller à la mine 18, c’est le gisement de métal ou j’étais affecté. J’avais mes affaires ainsi que mon sac, je suis allé chercher deux collègues du même âge que moi, nous avions pris pour habitude de faire le trajet à pied pour nous offrir quelques minutes de liberté avant le dur labeur qui nous attendais.
Arrivé à destination, nous prenions part à l’appel des différents responsables de cite, ce qui représenté comme une coutume et permettait à chacun de savoir qui allé être ces partenaires de galère pour la journée.
Une fois les équipes constituées, il ne resté plus cas pénétrer dans les boyaux étriqués du gisement qui nous avait été donné pour la journée.
La descente se fit lente et bruyante, il faut dire que nos moyens n’étaient pas des plus élaborés, nous faisions tous confiances à un espèce de monte charge très archaïque pour nous faire monter et descendre dans ces cavités de plus en plus oppressante, mais ça, nous on avions l’habitude, c’est peut être le problème.
La fatigante journée fit son office, tous avez les traits tirés, les mains écorchés mais tous continuaient de creuser pour s’offrir le pain du soir et ça dans des conditions de plus en plus irrespirable.
Je continuais péniblement de travailler ma parcelle de boyau à l’écart afin de trouver un nouveau filon mais en vain, cette journée n’était pas très fructueuse et il y avait fort à croire que tout les mineurs n’avaient pas atteint les quotas fixés le matin même, ce qui força peut être certains mineurs dont moi de prendre quelques risques afin d’accomplir l’objectif.
Deux mineurs étaient restés en arrière préparant ce qui aurait dut nous permettre de gagner notre journée, ils étaient entrain de préparé de légère charge explosive afin de dégager de nouveaux filons que nous n’avions pas encore exploités, mais cette journée qui paraissait si ordinaire changea du tout au tout quand j’entendis un bruit étourdissant suivi d’une épaisse fumée qui se souleva et me projeta face la première sur les pierres brûlantes qui tapissaient la paroi, je senti une chaleur ardente me dévorer une parti de mon visage et là j’ai fermé les yeux me sentant prit au piège, mes membres ne se mettaient même plus en action, j’étais fini…mon cœur s’emballa aussi vite que mon souffle diminua et ça de plus en plus que les secondes s’égrainées.
Une alarme se mit en route, cela voulez dire qu’un problème s’était produit et qu’il pourrait y avoir des blessés et c’était le cas… c’était moi, bloqué dans ma cavité, le visage dévoré par la chaleur du boyau. Je senti ma corde de sécurité doucement me tirer en arrière ce qui me donna un léger espoir, je n’étais plus seul on venait à moi, on venait me sauver de mon calvaire.
Une équipe de secours m’extirpa de la faille et fit remonter les derniers mineurs coincés après la déflagration à la lumière du jour.
Un soulagement pour tous, il n’y avait pas de morts… des blessés certes, mais ce jour la aucuns officiers ne due annoncer à une mère ou une femme la mort tragique d’un être aimé.
Mais il y avait moi, exténué, limite asphyxié par la poussière mais surtout le visage à moitié défiguré par cette roche en fusion, les visages se multipliaient devant moi, les médecins s’afféraient du mieux qu’ils pouvaient pour me promulguer les premiers soins et c’est la que cette journée prit fin pour moi car j’ai perdu connaissance.
(…)

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