Apocalypsis Archives > gamma1 > Galaxie 4 > Forums > La Sage Folie des Songeurs > La quête de l'infini

La quête de l'infini

Pages : 1

Cdt. Isami Kondô
Respect diplomatique : 51

Avatar
22/02/308 ETU 17:17
Ce(tte) commandant(e) soutient Apocalypsis.
Score : 6 Détails Prévenir Dieu
0 : orthographe insuffisante
0 : présentation bâclée
0 : hors sujet
0 : hors role play
0 : message insultant
efforts visibles : 0
message adapté : 0
message remarquable : 0
humour décapant : 0
role play intéressant : 6
Le samouraï était dans la vaste pièce de l’assemblée galactique. Il aimait bien y aller pour regarder, observer et se documenter. Elle possédait en effet une grande bibliothèque. Elle se situait à coter de la grande salle, sur la droite, passant une petite porte étroite que peu de monde voyait.
Il était habillé d’une simple tunique lui recouvrant tout le corps avec un léger ceinturon où était positionné son sabre. Il ne portait son habit traditionnel que pour les combats.
Isami avança dans la salle sans se préoccuper des personnes qui s’y trouvaient. Il alla au fond de la pièce et la regarda dans son ensemble. Il la trouva particulièrement belle malgré ses mures quelques peu jaunit par le temps. Cela laissait évidemment un effet non négligeable sur la beauté des lieux.
Une beauté qui était là depuis beaucoup plus longtemps que tous les commandants réunit alors que la galaxie elle-même ne savait pas qu’elle n’en était une, du temps où les hommes et les femmes étaient encore dans les cavernes, sculptant des petits dessins sur les murs. Alors qui avait fait tout cela, qui voulait que tout ce passe ainsi ?
Le samouraï ne savait que répondre et ne pensa pas pouvoir trouver. La seule chose que ce brave homme savait, était qu’il ne croyait pas en une divinité, quelque soit sa forme ce qui lui avait valu beaucoup de mépris de la part de ses amis.
Qu’est ce qu’une divinité finalement se dit t’il intérieurement ? Quelque chose au dessus, de nous, quelque chose qui nous regarde et nous laisse un libre arbitre tel que les peuples se massacrent…
Beaucoup pensait qu’il ne croyait plus en Dieu à cause de tous les morts qu’il avait vu au cours de sa longue vie mais lui savait que ce n’était pas cela. Il ne croyait pas depuis son tout jeune âge. Quand ses anciens camarades passaient leur dimanche à prier le créateur lui allait dans la forêt s’entrainer à l’art de la guerre… Ne jamais penser que les choses surnaturelles existaient, tel était sa devise et tel il avait comme image un dieu dont il ne croyait pas.
N’empêche il avait des doutes… Comment et par qui cette assemblée avait été crée… Plusieurs fois il s’était posé la question sur ce faite mais jamais il n’avait trouvé de réponse qu’il conservait réellement. Peut être une forme d’être plus développé et plus intelligent qu’eux.
Il regarda autour de lui. Beaucoup de commandants discutaient entre eux de sujet divers, certain qui faisait polémique d’autre nom. Il ne comprenait pas comment on pouvait polémiquer aussi longtemps. Cela ne lui était jamais arriver et il détestait cela.
Il avança lentement au milieu de la grande salle, contournant les tables et les chaises qui gisaient par terre. Le regard dure et nonchalant ne voyant personne autour de lui juste un point qu’il fixait de l’autre coté de la pièce, une petite fissure minuscule sur le large mur noir gris.
Il avança aussi vite qu’il le put. Une fois arrivé là-bas il prit son petit couteau qu’il avait du coté gauche, le mit dans sa main droit en le tenant de ce geste rituel qu’il avait tant fait par le passé puis creusa dans la petite fissure.
Cette petite fissure devint un peu plus grande à mesure que le temps découlait. Puis une fois arriver à taille où le couteau pouvait passer à l’intérieur il l’enfonça délicatement puis le retira aussi délicatement qu’a l’entrée. Finalement très peu surpris il découvrit un peu papier jaunit.
Au fond de lui le samouraï était content. Il n’était pas fou… La folie qui avait tendu à le submerger par le passé mais qu’il avait réussit à surmonter avec Annabelle.
Il ouvrit le papier et découvrit une écriture qu’il ne connaissait pas. Il pensa tout de suite que c’était les fondateurs de cette assemblée qui l’avait laissé là mais écarta vivement cette idée qu’il trouva sortir de son imagination superflus.
Il fixa l’endroit ou il avait trouvé le papier et découvrit quelque chose qu’il n’avait pas vu tout de suite. Les goutes perlèrent le long se son froid et ses jambes commencèrent à faiblirent. Il s’approcha du mur et prit sa lame dans sa main droite. Il la mit oblique à celui-ci de façon à ce qu’elle serve de loupe.
On pouvait voir un petit symbole qui ressemblait à trois éclairs tous parallèles entre eux.
Il s’écarta du mur et se mit la main dans les cheveux. Il avait complètement oublié que celle-ci était sale. Le samouraï marchand pesta et l’agita dans l’air ambiant comme si cela allait faire partir la saleté de ces mains.
Il partit dans la direction opposé et alla s’asseoir sur une petite chaise. Une fois assit il entendit un petit bruit sous celle-ci et constata vivement que celle-ci venait de se tordre. Pestant de façon démesuré il comprit que ce n’était pas sa journée.
Après quelques essaies qui n’avait rien donné, l’homme chercha à faire le vide dans son esprit. Se retrouvant dans une petite salle toute noire au coin de sa tête, entendant des voix de commandants de plus en plus loin murmurer des phrases inaudible, des spectres de son enfance venant vers lui et repartant immédiatement dans le sens inverse. Puis il n’entendit plus personne dans la petite salle noir. Seule sur sa chaise. Il revoyait à présent le bout de papier jaunit qu’il avait découvert, puis le symbole en forme d’éclair et enfin la poisse qu’il avait eu au cours de la journée. Après beaucoup de difficulté, il réussit à la chasser de son esprit pour essayer de chercher une solution à son problème, se disant qu’une énigme qu’elle qu’elle soit aurait été plus facile à comprendre.
Il essaya de faire une autre approche en essayant de chercher une solution au lieu de se creuser la tête sur le problème qu’il avait à comprendre. Il pensa aussitôt à un homme qu’il connaissait bien et qui était spécialiste en langue ancienne.
Voila un problème de résolu se dit t’il intérieurement.
Il se leva et se dirigea vers la sortit de l’assemblée. Une fois arriva là-bas il repensa qu’il n’était en faite qu’un hologramme. Il oubliait souvent se point qui n’était pourtant non négligeable. Il prit le boitier qu’il avait à son ceinturon et appuya sur le petit bouton qui le dirigea sur sa planète natal.
Cdt. Isami Kondô
Respect diplomatique : 51

Avatar
24/02/308 ETU 13:28
Ce(tte) commandant(e) soutient Apocalypsis.
Score : 4 Détails Prévenir Dieu
1 : orthographe insuffisante
0 : présentation bâclée
0 : hors sujet
0 : hors role play
0 : message insultant
efforts visibles : 1
message adapté : 0
message remarquable : 1
humour décapant : 0
role play intéressant : 3
L’homme venait de rentrer chez lui. Une simple maison finalement pas si petite que cela mais très loin des magnifiques palais qu’avaient les autres commandants, pensa t’il. Il alla dans la cuisine, ouvrit une petite trappe dans le mur et sélectionna un sandwich jambon beurre sur la liste qui se présenta devant lui. Une fois arrivé il le prit, referma la trappe et mordit langoureusement dans la divine nourriture. Il n’avait pas mangé depuis hier soir et avait une faim de loup. Un début de rhumatisme dans le dos lui avait coupé l’envie de tout repas.
Il alla dans la chambre et mit une tenu de voyage moyennement chaude. La fin de l'hiver n’était pas à négliger…
Une fois dehors, il mit la selle sur son cheval et partit au gallo en direction du temple du commerce où étaient entreposés les vaisseaux nouvellement achetés.
Arriver là-bas, il descendit de son cheval, l’attacha et monta les escaliers menant à la grande porte. Il la fit coulisser et rentra à l’intérieur du vaste bâtiment.
- Bonjour, je peux vous aider ?
Le samouraï marchand se tourna vers elle, le regard vide et froid. Il n’aimait franchement pas cette femme qui ne le reconnaissait jamais, à croire qu’il ne venait jamais dans le bâtiment.
Il plongea dans le regard de la réceptionniste. Se plongeant dans un premier temps dans ses yeux, puis passa au travers puis encore plus loin pour arriver dans cette petite pièce toute noir qui s’appelait bizarrement l’âme. Il aimait aller là-bas étant donné que c’était le chemin le moins ambigu menant vers la vraie personnalité des hommes. A mesure que les images défilaient le long de la petite pièce noire, allant et venant comme des spectres hantés, il remarqua que ses préoccupations étaient pour le moins… Débile…
Il vit que la femme l’avait en faite reconnu mais ne l’aimait pas. Simple cause d’une machination qui durait plusieurs semaines. Il sortit de sa tête et continua sa route ne pensant qu’a la stupidité des réceptionnistes et des femmes en général.
L’homme passa plusieurs couloirs jusqu'à arriver vers un grand entrepôt. La première partit, était composé de bureau. Des hommes se chargeaient de comparer toute une sorte de paramètres influant sur le marché de la contrebande. Continuant sa route il s’arrêta devant le bureau d’un homme écrivait sur une vaste feuille toute une sorte de chiffre.
Isami s’arrêta là et alla s’asseoir en face de l’homme.
- Tu devrais te reposer Jonso, tu es là depuis hier soir et je peux voir ta fatigue de chez moi.
- Tu ne peux même pas t’imaginer comme les derniers découvertes sont impressionnantes. J’en apprends de jour en jour.
Isami se gratte le rebord droit de son nez puis lui répondit :
- As tu fais les essais sur les corvettes ?
- Oui, on peut voir qu’un certain pourcentage des unités perdu revient à la contrebande du secteur mais je n’ai plus les chiffres sous les yeux.
- Et pour les ressources que donnent les tests ?
- Rien, impossible de savoir d’où vienne les ressources qui arrive à la contrebande. Je viens de regarder sur nos derniers rapport, aucune taxe n’a été prélevé aujourd’hui.
Bizarre. On peut alors penser qu’un pourcentage d’unité perdu revient en ressource à la contrebande ?
Peut être…
- Continuer vos recherches Jonso mais après avoir fait une bonne nuit de sommeil.
- Très bien...
Il se leva et continua son chemin avant d’aller dans un autre bureau.
- Bonjour Osaka. Qu’as-tu à me proposer comme vaisseau ?
- Nous venons d’acheter des frégates pirates mais nos technicien n’ont toujours pas réussit à les faire fonctionner.
- Quoi d’autre ?
- Nous venons de recevoir une corvette sonar. C’est la première fois que nous en voyons une.
- Très bien je vais la prendre.
- Hangar B55…

Pages : 1