Chers concitoyens,j'ouvre ce débat afin de statuer sur ce que le Conseil doit faire en cas d'usage de faux en écriture.

Encore une fois,j'invite chacun à exprimer un avis afin de dégager un premier brouillon de loi à ce sujet.

Bien à vous!

Pour ma part,j'estime qu'il faut faire une distinction entre le parjure et l'utilisation de documents falsifiés dans les relations entre commandants,ce qui n'exclut en aucun cas des peines sévères,mais le parjure est à mes yeux ce qu'il y a de plus grave.

‘Mes Chers Compatriotes,

Plusieurs d’entre vous ont déjà eu part de mon avis sur cette épineuse question de falsification de preuve.

Alors, je crois simplement que chacun a le droit inaliénable de liberté d’expression. Ainsi, si un Commandant choisit volontairement de tronquer la vérité, c’est à lui d’en assumer les conséquences s’il est démasqué.

Vous savez, la manipulation a toujours eu sa place, pourquoi cela cesserait ?

Donc, pour les Salluviens, la falsification de preuve est une manœuvre politique comme une autre mais attention à ‘ne pas se faire prendre’ !

Venons en justement à ce fait. : ‘ne pas se faire prendre’. Quelles sortes de preuves sont recevables ? Devons-nous seulement nous en tenir aux simples copies de Com-X ? Ou est la limite de vouloir absolument une preuve fiable à 100% ?

Pour l’exemple que nous possédons et en tant que membre du Conseil, j’ai plus tendance à sanctionner la façon dont une preuve est trouvée plutôt que le mensonge délibéré. Vous l’aurez donc tous compris, je soutiens sans mesure les Commandants Raizzor et FCU.

Voici mon humble avis et, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, je m’interroge juste sur les limites à ne pas dépasser dans une enquête même par souci d’honnêteté.

Merci de m’avoir écouté.’

Haboo pense que les deux pratiques ne valent pas mieux l'une que l'autre ! Le mwensonge est l'une des spécialités de l'humain, si Haboo ne se trompe pas. En plus d'être parfois bworné, égoïste, vénal, méchant et bien d'autres choses encore !

Dans un cwonflit, il n'est pas rare que l'une des parties avance quelque chose qui ne reflète pas ce qui s'est passé... Après twout, et c'est l'avis de Haboo, ce n'est pas interdit de mentir !

En plus, ça peut pwimenter l'histoire ! Ce serait comme jouer à trouver le boulon pourri dans le noir ! Quoi ? Vous n'avoir pas compris ma blague ? Ah... Haboo continue alors... Seuls les témoignages de personnes extérieures au cwonflit pourraient renverser la vwapeur... Mais encore faut-il pwouvoir vérifier les informations !

Et à moins que ce ne soient des cwurés ou autres qui ont théoriquement, une ligne de conduite cworrecte, il n'y aucun moyen de le faire... Sans compter que l'un n'empêche pas l'autre et pour défendre, prwotéger un être cher, certains sont prêts à faire twout ce qu'ils peuvent, même si cela n'est pas très honorable.

Enfin, les dwocuments écrits, les photos et vidéos, ne sont pas vérifiables non plus... Parce que nous pouvons fwacilement créer des faux, à cwondition de s'y cwonnaitre un minimum, et d'avoir les outils pour.

Aucune loi ne peut obliger les gens à twoujours dire la vérité. Comme aucune pwossibilité de vérifier à 100% les informations récoltées. Le débat risque d'être long, jusqu'à ce que quelqu'un trouve un moyen réel et faisable pour cwontourner ces pratiques. Et seulement de là, il sera temps de trouver les 'punitions' pour ces menteurs...

Haboo pense donc qu'il ne reste que la bonne foi et la réputation du Cdt...

Le mensonge et le faux & usage de faux n'est pas interdit dans les rapports entre commandants ou coalitions, et n'est donc pas à ce titre condamnable (note de Sendorn non inclue dans la proposition de loi : sauf si bien évidemment on a un honneur à tenir et une once de sens moral).

Lorsqu'un commandant ou une coalition intervient à l'Assemblée Galactique dans le cadre d'une plainte ou d'une investigation conduite par le conseil, toute falsification de pièce à conviction sera punie immédiatement par la perte de la citoyenneté du coupable (Cas de parjure).

Si une accusation de falsification de pièce à conviction devant l'Assemblée Générale est lancée, le commandant l'ayant lancée doit présenter la version qu'il certifie originale de la pièce à conviction. Si le coupable ne reconnait pas les faits (c'est la parole de l'accusateur contre la parole de l'accusé), chacun a le droit, s'il le souhaite, de fournir ses codes d'accès d'archives centrales à un membre du conseil de son choix. Si l'autre commandant ne reconnait toujours pas les faits (membre du conseil corrompu ?), c'est au gouverneur de trancher en allant au besoin consulter les pièces à conviction en personne.

Cotoka reprit alors son souffle ,il regarda le pingouin vert et fut étonner par son don de parole mais continua .