Archives
>
gamma1
>
Galaxie 4
>
Forums
> La Sage Folie des Songeurs
> L' Union Sacrée
Pages : 1 2
|
Cdte. Moïra
Respect diplomatique : 557 
27/04/308 ETU 20:18 
|
Score : 10
Détails
Le départ précipité et inexpliqué de Moïra en avait intrigué plus d’un. Ses bras droits, Bizet et Philibert avaient du prendre la relève au pied levé. Leurs tâches avaient été lourdes et difficiles et, ils ne s’en étaient pas trop mal sortis. Mais, ce qui les dérangeait le plus, c’était le départ en vacances du Roi Leif, aussi soudain que celui de leur dirigeante…..Pourtant, le chasseur de classe Thor, matricule FPT-01 de la flotte siriathienne, avait atterri sur 15.18. Puis aucune nouvelle sauf la disparition de Moïra et de Bud…… En quinze jours, les Siriathiens comme les Salluviens s’en sont donné à cœur joie. Des histoires aussi rocambolesques les unes des autres. Il y en a même qui racontaient que Bud et Moïra s’étaient donné la mort, d’autres qui pariaient sur une discussion houleuse entre les deux chefs d’état ….et ceux, qui, au détour d’un couloir, avaient vu le Roi frapper à la porte des appartements privés de Moïra, avec un énorme bouquet de roses rouges……2603, pour être exact. Quel chiffre saugrenu ! Rien que ce fait a préoccupé les habitants des deux peuples, c’est vous dire ! De leur côté, pendant prés de deux semaines, Rutt Mösje et le Commandant Bizet ont tenté de percer les raisons de cette absence commune. Un bon ou un mauvais présage ? Rutt espérait revoir son neveu radieux, encore fallait-il que les rumeurs se confirment. Une fois leur petite affaire réglée, Moïra et Bud, heureux à en faire pâlir plus d’un, avaient décidé de sortir de leur petit cocon et de reprendre les affaires courantes de leur Empire tout en réfléchissant aux évènements futurs décidés en commun. Bien évidemment, il leur était extrêmement difficile de dissimuler leurs projets et surtout, de cacher cette magnifique bague, frappée aux armoiries des Erikssen sertie d’un diamant exceptionnel et discret, qu’exhibait Moïra depuis peu. ‘J’ai hâte de te revoir, mon amour.’ Lui avait-elle lancé lors de son départ, impatiente de s’enfuir avec lui…..pour de bon, cette fois. Il était convenu que Le Roi devait lui-même annoncer la nouvelle ainsi, Moïra ruminait d’impatience mais elle était des plus angoissée. Elle allait devenir Reine, cela l’effrayait.
|
||
|
Cdt. Bud Willis
Respect diplomatique : 653 
27/04/308 ETU 20:20
|
Score : 11
Détails
Le roi Leif Erikssen entre dans l'Assemblée tenant Moïra par le bras. Ils s'avancent dans le couloir central jusqu'à l'estrade d'un pas léger sous les chuchotements et les regards interrogateurs des parlementaires présents. Une fois au pupitre,Leif baise la main de Moïra,saisit le micro et prend la parole d'un ton joyeux: "Mesdames et messieurs les parlementaires,chers citoyens de Songe. moïra et moi avons une grande nouvelle à vous annoncer.Vous vous êtes sans doute interrogé sur l'ambiance joyeuse qui règne dans les délégations siriathiennes et salluviennes;et bien c'est très simple,la merveilleuse jeune femme qui se tient à côté de moi m'a fait l'honneur de m'accorder sa main! Nous n'avons pas encore établi une date ni un lieu pour la cérémonie,mais vous êtes d'ores et déjà cordialement invités." Se tournant vers sa fiancée,il lui baise à nouveau la main, lui fait un clin d'oeil et dit;insistant sur les titres de sa bien-aimée: "Si Son Altesse Sérénissime,la Princesse Moïra veut ajouter quelques mots..."
|
||
|
Cdte. Moïra
Respect diplomatique : 557
27/04/308 ETU 20:25
|
Score : 8
Détails
Il venait de tenir sa promesse : annoncer à tous qu’il était fou d’elle. Son cœur battait la chamade. Elle qui était si lasse de sa vie venait de trouver un nouvel élan. Elle était heureuse et ne voulait rien ajouter après l’aveu de Son Roi, si ce n’est et en murmurant à son oreille : ’Mon Amour, ils ne seront pas tous invités. J’espère que tu comprendras certains de mes choix.’ Elle déposa un doux baiser sur la joue de son futur époux. Elle était folle de lui.
|
||
|
Cdt. Bud Willis
Respect diplomatique : 653
27/04/308 ETU 20:26
|
Score : 9
Détails
"Bien sûr ma chérie,nous n'allons sûrement pas inviter des gens que nous avons du mal à supporter... Ce doit être le plus beau jour de ta vie,hors de question que leur présence ne te le gâche."
|
||
|
Cdt. FCU
Respect diplomatique : 374 
27/04/308 ETU 22:45
|
Message édité -
Score : 9
Détails
L’hologramme de l’Amiral apparu. Un grand sourire ornait son visage. « Commandante Moïra, camarade Erikssen, je tiens à vous féliciter chaleureusement. Il est heureux de voir de nos propres yeux deux êtres s’unir dans l’Amour, et à travers eux leurs Peuples. J’espère que le bonheur que vous ressentez en ce moment saura perdurer aussi longtemps que vous resterez ensembles. C’est la meilleure chose que je puisse vous souhaiter. » L’hologramme sortit d’une de ses poches un petit cube noir. « En mon nom et en celui de la Fédération des Citoyens Unis, je tiens à vous faire un cadeau, aussi modeste soit-il. » L’hologramme tendit la main, et, étrangement, une légère brume rosâtre, venu des quatre coins de la pièce, se rassembla autour du petit cube noir. La brume se compacta et s’opacifia, et, pendant quelques secondes, elle brilla d’une lumière intense. Puis elle se dispersa, laissant apparaître un cube noir bien réel, cette fois-ci, lévitant tranquillement dans les airs. Le cube s’approcha du couple, et, une fois arrivé à proximité, l’une de ses faces s’ouvrit, laissant apparaître son contenu, deux simples anneaux métalliques argentés. « Ce sont des anneaux de communion. Ceux qui les portent peuvent ressentir les pensées et les émotions de l’autre porteur d’anneau. J’espère qu’ils vous seront utiles. »
|
||
|
Cdt. Sendorn
Respect diplomatique : 339 
28/04/308 ETU 01:56
|
Score : 10
Détails
Sendorn affichait une moue écoeurée par un tel deferlement de guimauve. Mais il se garda de tout commentaire, tant il savait que les us et coutumes de sa planète d'origine différaient fort de ceux du commun des mortels ; en effet, sur la planète Baesh'rell, les soirées romantiques se résument à discuter entre amants de sujets pervers et excitants tels que "Autant pour moi ou au temps pour moi?", ou encore "ceux qui clôturent les débats méritent-ils une balle dans la tête ?". Toujours est-il que Sendorn ne pensait pas être invité à cette grand messe qui s'annonçait ; de toutes façons, si la cérémonie se déroulait selon les usages de Dame Moïra, chaque invité serait executé sur place dès la présentation de son carton d'invitation, de peur qu'il ne cache un dangeureux pirate qui profite de la cérémonie pour piller le buffet de petits fours et le stock de Berri Champ.
|
||
|
Cdt. Anudar Bruseis
Respect diplomatique : 222 
28/04/308 ETU 09:59
|
Message édité -
Score : 7
Détails
Après deux semaines d'absences pendant lesquelles le peuple de Théra n'avait pu prendre de nouvelles du monde extérieur, l'Arkhonte Anudar Bruseis fit son retour à l'Assemblée Galactique et découvrit aussitôt qu'une grande nouvelle avait été annoncée. Se rendant aussitôt à la délégation de la Reine Moïra, il fit le nécessaire pour que lui soient remis un message et un présent : "Chère Moïra, recevez toutes mes félicitations et mes voeux de bonheur dans cette union que vous êtes en train de former. Je n'ai pas le plaisir de bien connaître votre futur époux mais je ne doute pas, vous connaissant, qu'il s'agit d'un homme de la plus haute qualité. "Vous trouverez avec ce présent message de voeux un gage modeste de l'amitié que mon peuple vous porte : quelques flacons de l'hormèse la meilleure, distillée par la patience de mon propre travail. Qu'elle apporte la longévité à vos corps ainsi qu'à votre union." La caisse de bois galba qui accompagnait le message - à elle seule une oeuvre d'art, car le bois vert émeraude lisse et solide à l'égal du diamant était ouvragé de formules de bonheur et de fertilité en fine et délicate écriture elladique - contenait un millier de fioles d'hormèse translucide. La garantie, sans doute, de trois siècles de vie prolongée.
|
||
|
Cdte. Moïra
Respect diplomatique : 557
28/04/308 ETU 13:20
|
Message édité -
Score : 6
Détails
‘Merci mon Ange.’ Leur liaison étant désormais connue de tous, ils devaient s’affairer aux préparatifs du mariage. L’organisation d’une telle réception représentait un travail colossal et tous deux tenaient à ce que chacun de leurs invités soit choyés et heureux d’assister à un tel évènement. Aussi, quand l’Amiral les félicita, ils furent émerveillés par son tour de magie, qui ne pouvait que prolonger leur bonheur. Les anneaux deviendront leur talisman, symbole de leur amour indéfectible renforcé par l’hormèse de l’Arkhonte, source de longévité. En cette période, rien ne pouvait atteindre Moïra. Les sarcasmes, les railleries, les interprétations idiotes et infondées de son comportement, pas même la méconnaissance répétée de certains, sur les habitudes des Salluviens. Ils ne savent rien du chemin qui avaient mené le Roi Leif et Moïra vers une telle décision……Elle vivrait sa vie en faisant fi de ceux qui ne méritent que du mépris tant ils sont irascibles, suffisants et imbus. Une épine en moins dans le pied de Moïra, elle qui souhaitait pourtant la diversité, au moins l’affaire est entendue. Les deux tourtereaux quittèrent l’assemblée en prenant soin de saluer ceux qui s’étaient montré ravis pour eux.
|
||
|
Cdte. Moïra
Respect diplomatique : 557
12/05/308 ETU 17:10
|
Score : 9
Détails
Il y a maintenant 12 cycles…… Après la fin de sa conversation, Moïra décida de se mettre à l’aise et s’installa confortablement dans la petite chambre de sa corvette privée. Elle était impatiente de le retrouver, de le choyer, de le toucher, de le sentir…et s’endormit, le visage satisfait. En posant le pied sur Consulat VI, vêtue d’un jean indigo et d’un petit pull bleu ciel, elle avait en tête de trouver des petites douceurs nécessaires à un bon petit déjeuner en amoureux. L’heure matinale la laissait croire que son Roi dormait encore à point fermé, et, avec l’aide de Philibert, qui avait mené sa petite enquête, elle se dirigea sans aucune hésitation dans une petite boulangerie typique siriathienne. Les bras chargés, elle rejoignit les appartements de Leif, la porte était surveillée par un garde qui la laissa entrer bien évidemment. Philibert, quant à lui, entama une conversation avec le garde. Consciente de n’avoir jamais mis les pieds dans ce lieu, tâtonnant dans la cuisine, elle fouilla tous les coins et recoins afin de trouver le matériel nécessaire à un réveil en douceur. Un quart d’heure plus tard, Moïra poussa délicatement la porte de la chambre. Elle retira ses chaussures afin que ses talons ne réveillent pas Bud qui dormait encore. Elle portait un immense plateau sur lequel étaient disposés des chocolatines, des croissants, des petits pains aux raisins dans une magnifique corbeille en osier. Se trouvaient également deux bols, du jus d’orange fraichement pressé, du café, du lait, de l’eau chaude, du chocolat en poudre et des sachets de thé, le tout agrémenter par une jolie rose blanche Inutile de préciser que le poids du plateau laissait présager la qualité du futur petit déjeuner…..aussi, elle le déposa soigneusement à terre. Elle demeura quelques minutes à observer son amour, inconscient et ne s’attendant pas à la voir….dans sa chambre. Elle sourit tout en enlevant son pantalon pour mieux se glisser dans les draps soyeux de ce qui pourrait être leur futur lit conjugal. Cependant, elle restait prudent, ne voulant ni choquer et brusquer le Roi qu’elle aimait tant. Délicatement, elle se lova contre lui et commença à l’embrasser tendrement sur l’épaule tout en remontant dans le creux de sa nuque….. ‘Mon Ange, je suis enfin là.’ Heureux, ils étaient heureux ensemble, en toute simplicité. Et, quand le Com-X portable de Bud retentit et qu’il la quitta pour quelques minutes, elle ne se doutait pas qu’il ne reviendrait pas……… Paniquée, angoissée, récluse dans le bureau de son bien-aimé, elle n’était plus que l’ombre d’elle-même avec dans sa tête, la même ritournelle. ... Pour ce qui est des anneaux, ne nous remerciez pas. Remerciez plutôt les scientifiques Fédéraux... *rire* Par contre... Soyez très prudente avec eux. Ils sont à double tranchant : En les portants, vous ne pourrez plus rien vous cacher. Vous pourrez connaître le moindre de vos secrets. Vous n’aurez plus d’intimité, plus de jardin secret. En réalité, en portant ces anneaux, vous ne formerez plus qu’une seule entité. Votre relation ne pourra plus être que fusionnelle. Êtes-vous sure de pouvoir le supporter ? Alors, Moïra ouvrit la petite boite magique et glissa son anneau sur son doigt tremblant, celui de Bud n’était plus là. Elle espérait de tout son corps qu’il le portait également. ‘Mon Amour, ma vie ne tient plus qu’à un fil, celui de l’espoir de te revoir un jour. Si tu ne me reviens pas alors, je disparaitrai.’
|
||
|
Cdte. Moïra
Respect diplomatique : 557
21/05/308 ETU 14:10
|
Message édité -
Score : 5
Détails
Il y a maintenant 6 cycles…… Plongée dans ses pensées et dans ses craintes, la jeune princesse fut soudainement dérangée par une vielle dame à l’allure austère. Lorsque Moïra vit entrer l’inconnue, elle sursauta sans lever la tête. La vieille femme semblait l’archétype même de la grenouille de bénitier, symbole typique de tous les mauvais côtés que les Salluviens allaient avoir du mal à avaler concernant la religion Siriathienne. Son maquillage outrancier laissait toutefois transparaitre des yeux inquiets mais déterminés. Face à l’aplomb et à l’affront de cette vieille rombière, la jeune Princesse n’eut qu’une seule envie, se rebeller et quitter les lieux en envoyant tout en l’air. Mais par Amour et uniquement pour Leif, elle ravala sans fierté tout en prenant soin de laisser transparaitre quelques bribes de son caractère à celle qui deviendrait bientôt son chaperon. Visiblement, cette étrangère méconnaissait les circonstances de son repli dans ce bureau et elle avait bien l’intention de le lui faire comprendre. Lorsque Moïra leva enfin la tête, le visage embué de larmes, le cœur de la Révérende-mère se serra un peu plus, mais elle ne radoucit qu'à peine son regard réprobateur. ‘Ma Dame, vos paroles brutales ne me touchent guère dès lors que je ne sais pas qui les profère. Qui êtes-vous ? Que faîtes vous ici ? Qui vous a autorisé à pénétrer dans l’intimité de mon Amant ? J’aurais pu me trouver dans une situation bien plus délicate que celle-là !’ Reprenant sa respiration pour ne pas devenir impolie, Moïra, incrédule, reprit sur un ton plus calme. ‘Je ne sais qui vous êtes mais je crois que vous n’avez pas été informée de mes craintes. Le Roi Leif m’a quitté pour 5 minutes et il n’est jamais revenu. Croyez-vous que mon angoisse ne soit pas justifiée ? Croyez-vous que partir, sans même dire au revoir est une façon de rassurer son Aimée ? Me pensez-vous si stupide pour qu’il n’est pas jugé bon de me prévenir de ce départ soi-disant inexpliqué ? Si je suis ainsi recluse, c’est non seulement par tristesse et peur de perdre celui qui est mon souffle, mon unique raison de vivre mais aussi parce que des évènements inquiétants se sont déroulés au cours des 18 derniers cycles. Ma Dame, du haut de vos 1m50, avez-vous eu vent de cette invasion des Sans-visages ? Alors, vous pouvez déverser tout votre colère, je suis ici pour surveiller les comptes-rendus alarmants qui tombent tous les ½ heures, je suis ici parce que je suis malade, malade de son absence, malade de son silence, Et pour être honnête, si Leif franchissait cette porte à l’instant même, il serait heureux de constater que mon amour n’est pas vénal, ni superficiel, ni même princier. Il constaterait que je l’aime profondément, un point c’est tout !’ Par fierté, Moïra se releva, noua ses cheveux en catogan et continua de parler à cette inconnue désormais familière. ‘Vous savez, moi j’aime Leif et je me fiche du protocole. Je suis humaine, je vis, je ressens des émotions mais je suis également apte à administrer un peuple, le mien ! Si je souhaite épouser le Roi, ce n’est nullement pour subir les obligations de représentations protocolaires ! J’espère qu’il vivra suffisamment longtemps pour me faire de magnifiques enfants capables d’assumer ce rôle. Moi, je ne suis pas née pour cela. Princesse, Altesse Royale ou peu importe, comprenez donc que je me fiche de mon image, comprenez donc que je ne suis pas ici pour cela. Maintenant, si vous estimez que je ne suis pas digne d’être présentée aux Siriathiens comme leur Reine, faîtes le moi savoir mais, je doute fort que Leif partage votre opinion car lui, au moins, il sait parfaitement que je n’ai nullement l’envie de relever le défi de la ‘potiche qui ne fait que sourire ou……pleurer. Alors non, je ne suis pas une vulgaire ménagère, je suis une dirigeante de haut rang qui a su apporter bonheur et prospérité à son peuple. Cela n’est sans doute pas suffisant pour votre petit protégé ? Dans ce cas, nous rentrerons dans un conflit ouvert et franc bien que je ne sache toujours pas qui vous êtes.’ Puis, elle se souvint de cette vielle tante adorable dont Bud lui avait tant parlé, Rutt Möjse, qui avait tapé dans l’œil du gros Bizet, on réalise pourquoi d’ailleurs. Et désormais consciente à qui elle s’adressait elle lança. ‘Si je suis une souillon et que je dois me comporter comme une Reine, allez donc vous-même me faire couler un bain, je ne sais où se trouve la salle bain….Et pas trop chaud je vous prie, nous pourrons ensuite, pendant ma détente, parler du mariage.’ Mais, pour parler mariage, encore fallait-il que Bud lui revienne……Elle avait bien reçu des signaux dans ses radars mais, rien de concret pour le moment.
|
Pages : 1 2