De la Communauté Galactique Universelle (C.G.U.)

Pages : 1 2

Coa. République de Songe Respect diplomatique : 90 29/01/309 ETU 18:21	Score : 1 Détails 0 : orthographe insuffisante 0 : présentation bâclée 0 : hors sujet 0 : hors role play 0 : message insultant efforts visibles : 0 message adapté : 0 message remarquable : 0 humour décapant : 0 role play intéressant : 1 Démosthène, La République par le biais de ses représentants vous félicite de votre engagement pour la paix universelle et vous apporte son soutien. Malheureusement, aucun prix ne peux récompenser les personnalités de votre genre qui aspire à la prospérité et au bonheur des peuples. Nous espérons que nombreux seront ceux qui soutiendront votre opinion. Avec tous nos respects.
Cdt. Lorendoras Respect diplomatique : 403 29/01/309 ETU 20:07	Score : 0 Détails 0 : orthographe insuffisante 0 : présentation bâclée 0 : hors sujet 0 : hors role play 0 : message insultant efforts visibles : 0 message adapté : 0 message remarquable : 0 humour décapant : 0 role play intéressant : 0 Lorendoras éclata d'un rire tonitruant, s'attirant les regards des autres sénateurs. "Vous avez raison Sargan. Démosthène mérite bien le prix du Grand Guignol !"
Cdte. Witch Respect diplomatique : 2607 01/02/309 ETU 15:21	Score : 2 Détails 0 : orthographe insuffisante 0 : présentation bâclée 0 : hors sujet 0 : hors role play 0 : message insultant efforts visibles : 0 message adapté : 1 message remarquable : 0 humour décapant : 0 role play intéressant : 1 Malgré ses désillusions et sa fatigue, Witch était venue écouter... Elle n'en pensait pas moins. Démosthène, tes idées sont porteuses d'espoir et de mansuétude. Nombreux sont ceux, dans ta taverne qui te font des risettes mais œuvrent pour le contraire en Songe. Ainsi, je suis la cble d'une rumeur persistante qui ferait de moi une comploteuse contre les écumeurs... Mais cela n'a pas marché. Alors, HiveTyrant est entré en scène, attaquant le commandant Draezerak, mon ami, dont je ne rougis pas. Comme ce n'était pas suffisamment spectaculaire, un autre écumeur l'a attaqué... le commandant Albatore1. Draezerak s'est défendu et a contre-attaqué. Alors, maintenant, nous sommes accusés, tous sans discrimination de vouloir la guerre... Jusqu'au Commandant Bérurier Noir, qui, pour la destruction d'un kamikaze sur un PC1 me déclare ouvertement la guerre par mp... Oui, ils la veulent la guerre ! Non, ils n'ont jamais travaillé pour la paix, sauf en façade abjecte !!! Démosthène, je t'en supplie, ne te commets plus avec ces commandants hypocrites et belliqueux, incapables d'oubli... car ils finiront par avoir ce qu'ils veulent.
Cdt. Démosthène Respect diplomatique : 655 03/02/309 ETU 06:48	Score : 4 Détails 0 : orthographe insuffisante 0 : présentation bâclée 0 : hors sujet 0 : hors role play 0 : message insultant efforts visibles : 0 message adapté : 0 message remarquable : 4 humour décapant : 0 role play intéressant : 0 C'est un Démosthène attristé, voir en proie à la douleur qui monta à la tribune de la CGU... Mais dans son regard, on lisait encore la force de la conviction ! La démocratie fait du consentement des personnes humaines la règle du droit national, international et Galactique. La CGU veut organiser la collectivité humaine mais ce n’est pas une organisation de contrainte et sous la loi générale de justice et d’harmonie qui préviendra toute tentative d’exploitation, il laissera aux nations la libre disposition d’elles-mêmes dans l’humanité, comme aux individus la libre disposition d’eux-mêmes dans la nation, Or, dans la paix, la croissance de la démocratie est certaine. D’une guerre peut jaillir la révolution, et les classes dirigeantes feront bien d’y songer mais il en peut sortir aussi, pour une longue période, des crises de contre-révolution, de réaction furieuse, de nationalisme exaspéré, de dictature étouffante, de militarisme monstrueux, une longue chaîne de violences rétrogrades et de haines basses, de représailles et de servitudes, Et nous, nous ne voulons pas jouer à ce jeu de hasard barbare, nous ne voulons pas exposer, sur ce coup de dé sanglant, la certitude d’émancipation progressive des Planètes, la certitude de juste autonomie que réserve à tous les peuples, à tous les fragments de peuples, au-dessus des partages et des démembrements, la pleine victoire de la démocratie. C’est pourquoi, nous membres de la CGU, sans qu’aucune personne humaine puisse nous accuser d’abaisser le droit, nous répudions à fond, aujourd’hui et à jamais, et quelles que puissent être les conjectures de la fortune changeante, toute pensée de revanche militaire contre les belligérants, toute guerre de revanche. Car cette guerre irait contre la démocratie, elle irait contre le peuple, elle irait donc contre le droit des nations, qui ne sera pleinement garanti que par le peuple et la démocratie. Le monde apaisé sera plus riche de diversités et de couleurs que le monde tumultueux et brutal. C’est la guerre qui est uniformité, monotonie, refoulement : « L’arc de paix » avec toutes ses nuances est plus varié que le violent contraste de la nuée sombre et de l’éclair dans le déchaînement de l’orage. Quand on fait appel pour diversifier le monde et pour relever l’homme à une aristocratie nouvelle, il oublie de se demander sur quelle base économique s’appuierait, dans le monde transformé, cette aristocratie de privilège et de proie. Mais enfin ce n’est pas dans l’enceinte de nationalités exclusives et jalouses que l’on prévoit le large développement des individualités humaines. On affirme sans cesse que l’homme nouveau doit être avant tout « un bon Citoyen », que nos galaxies vont vers l’unité, et qu’il faut qu’elles y aillent. Mais comment pourrions nous nous-mêmes nier que c’est l’action du Peuple qui est dès maintenant, et qui sera de plus en plus la force décisive d’unification de L’Univers ? Et ceux-là aussi qui ont proclamé que la guerre est la nécessaire et sévère éducatrice des hommes voient leur idéal se dérober. Car les générations s’écoulent dans l’attente inquiète de la guerre sans en recevoir la rude discipline. Les vastes collisions deviennent trop rares, malgré tout, et trop incertaines pour avoir une vertu. Le militarisme n’est guère plus, durant de longues périodes, qu’une bureaucratie énorme dont les facultés techniques subsistent peut-être encore, mais dont le ressort moral se dissout dans l’équivoque d’une fausse guerre et d’une fausse paix. Les hommes sont pliés sous le fardeau de la paix armée, et ils ne savent pas si ce qu’ils portent sur leurs épaules, c’est la guerre ou le cadavre de la guerre. La haute probabilité du péril prochain, la certitude du sacrifice imminent, la fréquente familiarité de la mort joyeusement acceptée ne renouvellent plus dans le militarisme administratif les sources de la vie morale. La somnolente barbarie de la paix armée est comme un marais dormant, où plonge l’illusoire reflet de nuées ardentes. Quand donc la CGU s’organise pour assurer la paix entre les peuples par la suppression du privilège à envoyer des milliards d’individus au combat, ce n’est pas seulement contre l’injustice et la violence qu’elle s’efforce ; mais elle lutte aussi contre les ambiguïtés et les contradictions qui faussent à la longue la vie morale des peuples. Pour cette grande œuvre de révolution sociale et morale, les Peuples peuvent beaucoup par leur union, par leur action commune. Notre devoir est haut et clair toujours propager l’idée, toujours espérer, toujours lutter jusqu’à la définitive victoire de la démocratie, créatrice de justice et de paix. Vive la C.G.U !

Pages : 1 2