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Cdt. Shi De San
Respect diplomatique : 236 16/08/309 ETU 12:06 |
Score : 2
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Le Destroyer Stellaire de Classe-Venator, sous le commandement de Shi De San, poursuivait sa route dans la voie hyperspatiale. Le Maître observait les grandes traînées blanches que formaient les étoiles défilant sous ses yeux. "L'hyperespace, quelle merveilleuse chose", se dit-il devant la grande baie en transparacier de sa proue de commandement. Les expériences qu'il avait vécues ce dernier mois avaient remodelé son esprit, et lui avaient apporté une vision plus globale du monde. Mais l'univers verrait bientôt ses nouvelles découvertes, en temps voulu... Soudain, l'espace se figea, et les étoiles redevinrent immobiles, dans le ciel d'un noir d'encre. L'Aayhan avait stoppé sa course, et l'imposant vaisseau était revenu en Firmament. Shi De San décida de sonder la Force, comme le Comte Dooku l'appellait. Peur, souffrance, confusion. Pas de doute, il était revenu en Firmament. Mais il était bien décider à changer ça... Il sentit l'Amiral Appo s'approcher de lui. Il lança à son attention : Activez mon holotransmeteur Amiral. Message crypté pour toutes les Assemblées Galactiques : Commandant(e)s. Je suis heureux de revenir parmi vous. Après une absence d'un mois, j'ai décidé de reprendre la gouvernance de mon peuple en mains. La personne que j'avais chargée de me remplacer était....une incapable. Nous avons donc subi des attaques, et reçu des MP auxquels nous n'avons pu répondre, et je m'en excuse devant vous. Je vous informe donc que je sus de retour, à la disposition de celles et ceux qui me solliciteront. Merci de votre attention. Maître Shi De San. L'Amiral Appo sortit, et le Croiseur fit route vers une planète isolée, méconnue de tous.
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Cdte. Usushesha
Respect diplomatique : 837 17/08/309 ETU 10:31 |
Score : 3
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- Hey Clitis, c'est qui lui ? - J'sais pas mais en tout cas il est revenu. - Ah... parce qu'il était parti ? Cool... - Bah ouais, 'faut croire. Nan mais ils sont marrants quand même. Les mecs, ils disent qu'ils reviennent, mais ils disent pas qu'ils partent. - Puis bon, on s'en fout, non ? - Ouais. 'Faut dire qu'on s'emmerde tellement...
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