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Cdt. Tharqua
Respect diplomatique : 561 12/03/309 ETU 20:59 |
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Score : 5
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[RP]Pauvre de moi Journal écrit par Tharqua de Terrafie #Jour 1 Introduction Où je suis, Qui je suis, D’où je viens. Voici trois questions banales dont je n’ai pas trouvé la solution. Les médecins m’ont dit que je devais écrire un journal sur une machine appelé « naviborg » (c’est un bidule greffé sur la peau de l’avant-bras gauche) dans le cadre de ma trithérapie contre la schizophrénie à tendance parano-dépressive et amnésique (je vous dois de préciser que ce charabia médical ne m’a absolument pas éclairé sur mes symptômes). Dans tous les cas, je suis malade et je souffre d’amnésie totale ; les médecins disent que c’est une chance que je n’ai pas perdu la connaissance de mon environnement (ils devaient parler du langage) en plus bien-sûr de cette « schizophrénie à tendance parano-dépressive » qui, encore d’après les médecins, serait très rare et provoqué par un puissant choc émotionnel négatif (je marque fidèlement ce que l’on m’a dit et même moi je n’arrive pourtant pas à tout comprendre). Ainsi soit-il, il paraîtrait que je me nomme Tharqua de Terrafie (elle serait la Capitale d’un empire dans lequel je vivais), j’ai dans la trentaine et je me trouve dans l’établissement Psychiatrique Principale de Marinia sous la tutelle de l’Imperium (ce fameux empire ayant un procédé dictatorial d’après mes « camarades »). D’après mon naviborg, Marinia (ce nom me dit quelque chose mais je ne me rappel plus) est une petite planète glaciaire dans un coin perdu d’une galaxie nommée Aurore (nom qui proviendrait du fait que l’on observe des phénomènes astrophysiques comparables à des aurores boréales) ; le complexe souterrain qui abrite la psychiatrie s’étant sur et sous des kilomètres. Il était à la base chargé de mission de surveillance mais il a été transformé en zone de soin après une réforme. Après cette parenthèse, revenons à nos moutons : les psys ont bien voulu me dire que j’étais un colonialiste, l’élite très riche de la population de Terrafie qui est dans le gouvernement, et que j’avais un poste de Gouverneur sur une colonie ; on m’a transféré ici après un traumatisme très violent suite à un accident d’aéronef. J’ai aussi une femme paraît-il, j’aimerais bien la raconter mais les médecins disent que je devrais attendre d’avoir finit la première étape de mon traitement. C’est bête car j’ai comme la sensation que sa m’aiderait et qu’on ne me dit pas tout... Mais bon, je ne suis pas médecin et comme ils sont dis : « vous avez une tendance parano-dépressive » alors mieux vaut attendre la suite de mon traitement. Ah, je vous laisse, c’est l’heure du déjeuner je continuerais mon introduction après ma séance de psychiatrie seule ou avec un groupe.
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Cdt. Tharqua
Respect diplomatique : 561 14/03/309 ETU 21:28 |
Score : 5
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*** Finalement j’ai eu une séance particulière avec mon psy, c’est un drôle de type avec une drôle de barbe ; je lui ai dit que j’avais l’impression de le connaître et il m’a répondu avec un sourire bizarre qu’il avait aussi été mon psychiatre pendant ma « période de convalescence ». Bref, comme je viens de sortir de cette fameuse « période de convalescence », je dormirais dans une nouvelle salle d’observation spécialement aménagé pour enregistrer mes rêves ; un med est venu me voir pendant la séance pour m’expliquer comment sa se passera : tout d’abord en me mettra une sorte de bonnet qui sera relié à un CIEG, je vous copierai la définition, et cette machine enregistra mes rêves. CIEG ou Capteur d’Image EncéphaloGraphique : Appareil de mesure permettant de capter et de traduire sous forme numériquo-visuel la pensée actuelle d’un patient. Le CIEG utilise un capteur d’ondes électromagnétiques et une unité IA qui permet de traduire sous forme d’image le plus fidèlement possible la pensée. Les meds disent que mes problèmes sont dus à mon subconscient qui suite au traumatisme est devenu « malade » et a pris le dessus sur mon conscient, ce qui a provoqué l’amnésie. Cette prise de pouvoir a ensuite « corrompu » ce qui restait à ma mémoire, le résultat est que, toujours d’après les meds, je possède des souvenirs de ma vie qui ont été exagérés suivant ce que tout être humain désire inconsciemment le plus : la gloire, la richesse et le pouvoir. En gros, j’aurais sûrement un souvenir normal comme mon élection à la tête du gouvernement d’une planète qui sera transformé en une élection impériale dont je serais sorti vainqueur (pour les incultes et d’après mon naviborg, une élection impériale est l’élection des candidats au glorieux poste d’Empereur à vie de l’Imperium). Le but disent-ils, est de localiser tous mes souvenirs de démagogues et de calculateurs pour ensuite agir en conséquence ; dès qu’ils auront localisé un souvenir de fois (ne me demandez pas comment), ils forceront par le biais de médocs ma mémoire à faire le tri et ils obligeront mon inconscient par le biais de PEC (photo-électro-catalyseur, encore un nom sorti tout droit d’autres esprits malades) de réparer les erreurs. En gros, le domaine de l’inconscient va être transformé en usine de manutention. Que de belles choses à l’horizon ! La pensée de se retrouvé avec des explosions atomiques dans le crâne est réjouissant... Demain je vous raconterais comme sa c’est passé et comment était ma « période de convalescence » d’après les médecins (ou meds si vous n’avez pas compris^^).
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Cdt. Tharqua
Respect diplomatique : 561 19/03/309 ETU 15:16 |
Score : 2
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#Jour 2 Le CEIG Je ne me souviens que de certaines images et impressions imprimées dans ma tête... Je me souviens de cette cellule blanche, sans vie, où je récitais de vieille chanson populaire ayant traversée les millénaires... On me gavait de médicaments aussi... Était-ce pour mon bien ? Je ne sais pas, je ne sais plus... En tous cas, je me rappelle de ce coup de feu de l’image d’un pistolet et de ce moment atroce où on me donnait des coups de... De ? Black-out. Aucun souvenir sur l’arme de mes bourreaux. J’en ai parlé à mon psy, il a dit que j’étais très violent à cette époque et on devait m’administrer de force ainsi qu’en grande quantité tout un tas de calmant différent comme de le dithrécyne... Ensuite ils ont dû m’injecter une sorte de produit qui efface la mémoire pour ne pas que mon subconscient « corrompu » ne les utilise contre moi... Pour expliquer encore mieux leur geste, il a affirmé que grâce à « l’effaceur de mémoire » j’aurais la possibilité de mieux comprendre et jugé mes actes passés. Pour finir, il m’a indiqué que l’action pourrait être annulé grâce à l’injection d’un autre produit ; je recevrais cette piqûre quand le CIEG aura traité tous les souvenirs « corrompus » . Je me demande à moi-même : comme une partie de soi-même peut-être endommagé vulgairement comme une simple carte MCC (Mémoire multi-couche, qui peut stocker un Téraoctet par centimètre carré) ? J’y répondrais quand j’aurais réussi de convaincre les meds de me laissé pénétrer dans une simple bibliothèque qui est aussi surveillé qu’un coffre contenant une bombe hyperatomique ; enfin, je crois... Chiotte ! J’avais oublié qu’on m’accordait le droit de visité la zone où je vivrais encore pendant quelques années sûrement....
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Cdt. Tharqua
Respect diplomatique : 561 21/03/309 ETU 12:04 |
Score : 1
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*** Drôle d’établissement psychiatrique... Les couloirs sont des calmes... mortels. Il y a un gardien tous les mètres carrés, c’est incroyable ! Cela ressemble plus à une prison qu’à un centre de psychiatrie et la plupart des entrés portent la mention « zone interdite » ou « accès interdit ». J’ai ouvert une porte avec une des deux inscriptions et la conférence se tenant dans ladite salle ressemblait plus à une réunion de militaire qu’à une réunion de psy (la différence n’est pas très flagrante car les deux ont les mêmes gueules). Sinon sa c’est plutôt bien passée, le self n’a pas l’air très agréable (sa ne change pas de la nourriture apporté dans ma chambre à part que C’EST apporté dans ma chambre) et mes « camarades psychiatriques » n’ont plus... J’espère que les années vont vite s’écouler, je ne devais pas être habitué à temps d’inconfort avant que je n’entre ici. Bref, je ne crois pas vous avoir parlé de ma première séance nocturne avec le CIEG ? Tout c’est passé normalement. J’ai mis le casque à électrodes –qui est « relativement » agréable en passant- et je me suis couché ; les lumières se sont éteintes et plouf ! Je me suis endormi normalement, incroyable ? J’ai fait un rêve bizarre : je me retrouvais dans une immense piscine de £eems qui en contenait des milliers ! Et encore plus bizarre, je nageais dedans ! Comme à mon habitude, j’en ai parlé à mon psy ; il en a déduis que j’avais confondu l’eau et les £eems, ce rêve rentrait donc dans la catégorie « richesse ». A se moment là, j’ai vraiment cru qu’on me prenait pour un gros con (même avec un mental défaillant, je sais ce que veux dire mes propres rêves). Pour ouvrir une parenthèse, je dois dire que l’écriture de se journal me prends le plus clair de mon temps, sa me donne l’idée qu’on ne m’a pas demandé sa par hasard... Fermé la paranthèse. Bon, je crève la dalle (où ais-je donc trouvé cela ?) et ensuite, j’ai ma première séance de thérapie de groupe ; sa promet !
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