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> La prise d'Aztlan
Pages : 1
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Cdt. calandil
Respect diplomatique : 143 
21/07/311 ETU 12:23 |
Score : 4
Détails
Le 29 Quellë 6912 (106.994) de l’ère du règne du basileus Annarion Tal anargue I er, l'amiral de la flotte le seigneur Elenkil d’Amaltanetep, sortit du titanesque et gracile Elnalcar, le vaisseau amiral de la cent vingtième flotte, un vaisseau runique conçu à l'aide de très anciennes runes de pouvoir, c'était l'un des fleurons de la de la flotte impériale. L'amiral était escorté par une trentaine de hauts eldars, des guerriers d'élite alkandirs, mais l’accompagnaient aussi deux archimages et cinq mentats impériaux de premier anneau, ainsi que d’un haut prêtre de l’Ordre. Le sage et prudent amiral Elenkil était réputé pour son calme et son sang froid, et il ne montrait aucun signe d'inquiétude, il se dirigea vers le vaisseau naugrim, un puissant Kazr azrar de troisième génération, c'était un vaisseau très imposant mais qui était de faible envergure comparé à l'immense vaisseau amiral. Le commandant naugrim du puissant destroyer le Kzar s'avança et fit une révérence devant l'amiral: "Seigneur Elenkil, recevez mes salutations, Amiral." D'un ton calme l'amiral haut elfe lui dit: "Veuillez faire votre rapport commandant Glorim." Le sévère commandant nain, semblait très fort, revêtu de sa belle armure ouvragée en seor noir caressant sa longue barbe ce qui lui conférait une autorité naturelle et un air de sagesse, à la vue du légendaire amiral s’était dressé de toute sa hauteur et s'approcha d'une table où se trouvait une pierre sombre. Le général toucha la pierre à l'aide de son bâton de commandement couvert de runes et une image apparut soudain, montrant ainsi à volonté ce que souhaitait montrer le vieux militaire à son supérieur: "Les opérations sur la planète d'Aztlan se déroulent bien. Nos troupes ont rencontré de la résistance mais il s'agit essentiellement d'une résistance terrestre, les phalanges Systes, du général Vril ont pris le contrôle de la capitale de la principale puissance militaire de la planète, et ont repris l'offensive vers le sud pour prendre le premier port de la région situé sur un isthme que les autochtones nomment isthme de Slin, c’est un lieu stratégique pour contrôler cette région. Cela nous permettra ainsi de maîtriser la mer du nord et de verrouiller tout le sud du continent principal. Les opérations devront se poursuivre encore quelques semaines, mais nous sommes persuadés que les troupes impériales du maréchal Ilderion d'Olenderia seront à la hauteur, mettront l'ennemi en déroute, et parviendront à les encercler." Les vaisseaux sous mon commandement se chargent de surveiller le bon déroulement des opérations et d'appuyer l'action des fuldin de chasse, et des croiseurs Irpharazon. Nous n'avons trouvé qu'une faible résistance que nous avons vite circonscrite, et éradiquée par des bombardements ponctuels."Le général invita de la main l'amiral à s'approcher de la carte virtuelle projetée par la sphère de vision. "Voici amiral Elenkil, quelle est la situation. Comme vous le savez nos ennemis sont armés d'armes assez évoluées, et sont nombreux, mais ils ne font pas le poids face à nos troupes d'assauts et à nos fuldins. Voici en résumé la position de nos forces et leurs mouvements, le maréchal Ilderion mène les opérations, il nous rejoindra très bientôt. Trois points stratégiques cruciaux, doivent être conquis au plus vite par nos troupes, afin de nous assurer la victoire. Ces trois points sont les trois villes principales de l'empire de Krin. L'empire de Krin contrôle, comme vous pouvez le voir l'essentiel du continent central et constitue donc la base fondamentale pour la conquête de cette planète. La prise de ces dix villes assure la maîtrise des points névralgique de l'empire de Krin, dont la maîtrise elle-même assure celle du continent dont la possession permet celle de la planète toute entière. La conquête de cet empire constitue, selon la définition que vous avez donné la première phase la conquête. Nous troupes après de féroces combats sont parvenues à se déployer et à établir un large front menaçant ainsi chacune dix villes. A la tête de ses 7.000.000 de systes, le général Durik a pris d'assaut le réseau fortifié situé à l'ouest de gbur aeb qui est la troisième ville de ce continent. Ce réseau est le verrou qu'il faut faire céder pour prendre possession de ce point stratégique, c'est une zone fortement fortifiée et bien défendue par une puissante armée bien entraînée et fort bien armée. Les troupes du général Durik après un assaut furieux, ont effectué une importante percée à l’ouest, il y a dix jours ce qui a permis de soulager le front sud, obligeant l'ennemi d'arrêter son offensive, qui avait réussi à faire reculer les troupes du général Moctehuoc. L'ennemi fut forcé d'envoyer ses divisions d'attaque du front sud pour stopper en urgence l'avancée des troupes du général Durik, qui reçut l'appui des 400.000 troupes d'élites d'alkandir du général Alnaril d'Innilethiel. L'ennemi cherchait à empêcher l'encerclement et à faire la jonction avec le front sud. Le général Moctehuoc d'Enaeril sur les ordres du maréchal Ilderion avec les 5.000.000 d'hommes de la trente cinquième armée tient la position au centre afin d'empêcher cette jonction par tous les moyens. Les 2.000.000 de guerriers systes du général Grond, ainsi que les 900.000 des chevaliers alkandirs du général Dénerelion d’Aratala mènent une offensive par le nord sur la capitale, avec l'appui des cinq divisions de seandirs, du général Cildelen de Vin teorn." Le général nain fit un sourire sarcastique et ajouta: "Je dois dire amiral que je ne soupçonnait pas la puissance des nouveaux seandirs, mais ces blindés runiques, construits dans les forges d'Altlaia par ceux de votre race, sont redoutables, l'ennemi a tellement été pris au dépourvu par la violence de l'offensive que dès les premières heures de l'offensive lancée par le général Cildelen a permis une percée fulgurante et rendu possible, au bout de trois semaines, la capitulation de deux armées sogdiennes dans leur totalité, à la bataille de Bog Tirnos ." Reprenant son sérieux le général nain reprit: " quoiqu'il en soit, nous pensons pouvoir percer au nord et prendre la capitale d'ici trois mois et nous poursuivons la percée à l'ouest, pour atteindre la capitale de l'empire de Krin. Après quoi l'ennemi n'aura d'autre option que la reddition étant donné que la capitale et ses environ regroupe tout le potentiel industriel qui reste aux mains de l'empire de Krin. Au sud du continent la situation est moins favorable et nos troupes ont été ralenties dans leur avancée, c'est un climat rude et un relief montagneux, les blindés runiques ont peine à manoeuvrer dans les petits défilés, et seuls les troupes alpines systes sont aptes à progresser dans cet environnement. Mes croiseurs Irpharazon ont procédé à des bombardements, et les sorciers ont préparé l'avancée de nos troupes créant au travers de la montagne un large tunnel souterrain qui permettra d'ici deux semaines de prendre l'ennemi à revers. Une fois les montagnes maîtrisées, nous serons en bonne position pour repousser la contre-offensive menée par l'ennemi contre nos troupes installée dans la ville de Bga egdos qui est la seconde ville de l'empire Krin et un point stratégique fondamental, permettant la maîtrise de nombreuses sources énergétiques des Sogdiens. C'est sur ce front qu'ont eu lieu les combats les plus acharnés, et nous avons été à plusieurs reprises repoussés par l'ennemi, qui s'est battu avec férocité, mais nous lui avons fait subir des pertes et des dommages considérables. Notre contre-offensive sur le flanc à partir des montagnes par le nord finira par balayer les restes de résistance dans cette poche et nous permettra d'encercler l'armée principale, soit près de 12.000.000 de Sogdiens. Qu’en pensez-vous amiral ?" L'amiral haut elfe avait écouté avec attention le vieux commandant naugrim. Il regardait impassible les mouvements de troupes que montrait la carte enchantée, l'avisé amiral Elenkil alors s'adressa au commandant Gloril: « J'ai lu les rapports que vous aviez rédigé commandant pour aider à la préparation de l’opération dont j’ai la charge"répondit l'amiral Elenkil. Ce récit ma rappelé les batailles de l'ancien temps... Au temps où je n'étais qu'un simple lieutenant. Je m'en souviens comme si c'était hier.... Les Sogdiens sont un peuple brave, ils ont déjà perdu au combat des centaines de milliers de guerriers, mais ils continuent de faire face aux redoutables cohortes de systes, phalanges d'alkandirs, et aux puissantes légions d'hommes et de naugrim de l'armée impériale. Leur bravoure est digne d’éloge et les combats qu'ils mènent aujourd'hui ils les mènent avec bravoue. Sans aucun doute nos bardes en feront le récit dans les chants qu'ils composeront sur cette guerre." La voix de l'amiral bien que parfaitement maitrisée trahissait une pointe d'une émotion, et dans ses yeux gris, l'on pouvait lire une indéfinissable admiration pour le peuple que l'armée impériale avait ordre de vaincre. "Vous avez raison amiral, les Sogdiens sont une race emplie de bravoure, nous autres naugrim avons tous été frappés d'admiration lorsque les Sogdiens ont pris d'assaut nos lignes fortifiées. Ils ont fait preuve d'un tel acharnement et d'une telle détermination que nous avons même dû envoyer au combat les Oldrurs et puis finalement nos cinq bataillons de Gologs d'élite que nous tenions en réserve précisément au cas où un assaut aurait surpassé les défenseurs des lignes fortifiées. Nous les avons finalement repoussés, mais quelle bravoure, nous les naugrim nous sommes fiers d'avoir eu à combattre de tels adversaires. Les Oldurs, les cherche la mort, accompagnés des bataillons Gologs parvinrent dans un furieux combat de tranchées à exterminer tous les assaillants de cette vague. Aucun des Sogdiens qui avait pris part à cet assaut ne recula d'un pas et tous moururent les armes à la main emportant avec eux de nombreux braves parmi nos soldats. Les Gologs firent merveille et ils exterminèrent sans pertes les derniers survivants Sogdiens. Nos pertes ce jour-là furent lourdes et mais ne pouvions repousser l'assaut prévu pour la semaine suivante et attendre des renforts, pour compenser nos pertes, car l'ennemi attendait de son côté des renforts plus importants encore, il fallait enfoncer les lignes ennemis au plus vite. Ce que firent nos troupes en faisant preuve d'une vaillance et d'une ténacité sans égale." S'etant repris l'amiral renchérit: "Oui c'est notre devoir que de vaincre. Cette planète est stratégique pour le prise de ce système qui lui-même est fondamentale pour l'expansion de l'Empire, et sa survie. Concernant la contre-offensive sur le flanc sera repoussée à mon avis, et voici donc mes ordres si l'on ne prévoit pas une attaque en vague, de plus il faut créer une diversion pour dégarnir les défenses, il faut faire croire à l'ennemi à une manoeuvre de couverture. Pour renforcer cette ruse, nous enverrons non pas vers le sud-ouest le long des montagnes mais vers le sud une force blindée rapide pour donner l'impression de vouloir renforcer le mouvement enveloppant, en réalité au lieu de bifurquer vers l'ouest pour compléter le dispositif enveloppant, les 10.000 blindés de la trentième division du général Oseln iront occuper le petit port de Lins, dont l'occupation est indispensable à la troisième phase de l'invasion selon la stratégie que nous avons élaborée. Gardez une réserve importante de 30.000, au cas où quelque chose se pasait mal. Les Sogdiens pourraient nous réserver des surprises. Je pressens que nous ne sommes pas au bout de nos peines, et même je puis vous asssurer qu'ils nous préparent un piège, mais je ne sais pas encore quelle forme il va prendre. Ils sont ne sont pas que braves commandant, comme vous avez pu le constater. Vous enverrai le long des montagne une colonne de 50.000 véhicules de transports vides au minimum, avec une colonne de 20.000 blindés légers en couverture pour donner l'illusion d'un mouvement enveloppant par le sud. Lorsque l'ennemi aura mordu à l'hameçon, il faudra à l'aide de l'artillerie lourde bombarder les défenses puis envoyer simultanément par les flancs et et par le centre trois vagues d'assaut de 30.000 chacune soutenues par 10.000 des chasseurs bombardiers dans des assauts rapides sur la ligne de défense pendant que l'aviation bombardera la ligne de défense et coupera la route aux troupes d'interception parties vers le sud pour empêcher le mouvement enveloppant par le sud. N'oubliez pas de lancer lors de a première vague les unités de Gologs. Leur rapidité et leur résistance seront un élément déterminant de votre réussite. envoyer ensuite les unités Olurs pour vider les dernières poches de réistances, tandis que la première vague d'assaut continuera sa progression jusquà la ligne d'artillerie pour la mettre hors d'état. Une fois cette ligne de défense le long des montagnes enfoncée, il sera facile de prendre à revers la forteresse de la passe de Sdeol, à l'aide de la colonne de blindés venant par le sud de l'aviation et de l'infanterie qui viendra du nord vous encerclerez cette position sans difficulté. Avec le reste de la division de légionnaires partie à l'assaut des fortifications le long des montagnes vous vous dirigerez vers le nord-est en direction des ports. Ainsi tout le flanc sud sera protégé, et toute l'industrie du sud ouest sera entre nos mains." Le prudent militaire, était plongé dans ses pensées pensant au plan de bataille du commandant naugrim, puis revenant à lui-même reprit: "Cependant n' y-a-t-il pas un risque que l'ennemi attaque dans notre dos avec l'armée du général goer dgilos, si ce dernier renonce à défendre les colonies de l’empire de Krin sur la côte, et au lieu de cela fasse débarquer ses troupes au nord de notre position, afin de nous prendre à revers? ». « Je partage votre analyse amiral, c’est pour cette raison que j’ai moi-même positionné plusieurs escadres d’interception, constituées de chasseurs fuldin, de croiseurs et de frégates de combats au sud du continent afin d’assurer nos arrières. Une flotte de submersibles a aussi été placée dans l’océan sud a été téléportée. Cependant nous n'avons pas de renseignements précis sur les capacités navales dans cette zone de l'ennemi, selon nos estimations aucun débarquement d'envergure n'est envisageable, cependant par prudence, j'ai pris mes dispositions.» "Excellent commandant, japprouve vos dispositions, il me faut néanmoins vous mettre en garde et vous donner quelques recommandations. " dit Le seigneur haut elfe. Il souleva la cape qui recouvrait son armure et la rejeta sur son épaule, pour se mouvoir avec plus d'aisance. Lorsque le commandant Glorim vit l'armure du haut elfe, il fut surpris et reconnut immédiatement la célèbre armure des seigneurs hauts elfes de la maison d'Irieldor, cela ne fit qu'accroître son respect pour l'amiral Elenkil. Ce dernier était réputé pour ses talents de stratège, et que l'on surnommait l'amiral aux milles ruses. La famille d’Irieldor était une ancienne famille de guerriers, connue de tous pour ses exploits miliaires dans le passé, ils avaient été des adversaires dans le passé des naugrim, mais ces derniers respectaient en eux les anciens et valeureux adversaires, et aujourd’hui ils pouvaient admirer leurs talents en tant qu’alliés. "Nous avons envisagé cette possibilité. Nous avons prévu à cet effet l'intervention des archimages pour bloquer l'avancée de l'armée ennemie qui sera bloquée pendant des semaines, voire des mois, le temps que nous puissions préparer une contre-offensive." Sortant de sa rêverie l'Amiral Elenkil d'Amaltanetep, s'adressa solennellement au général nain: "Commandant Gloril , je vous prie de bien vouloir donner des ordres pour que le général Dénerelion d’Aratala soit informé que j'ai besoin qu'il mette à ma disposition deux divisions de chevaliers alkandirs ainsi qu'une division de systes pour m'accompagner afin de mener à bien la mission que m'a confié l'empereur. Je dois me rendre dans le continent sud de cette planète, c'est la raison de ma présence, j'attendrai les troupes sur l'Elnalcar, lorsqu'elles seront prêtes envoyez les ici, aux coordonnées 36 lat 69 lon". L'amiral rangea son bâton de commandement et se dirigea de nouveau vers l'aire d'atterissage du puissant vaisseau amiral. L'amiral accompagné de légionnaires impériaux et de sa garde, monta sur la plateforme en irdiacer et prononça l'incantation magique:"Talen indeurn coleandris", alors la plateforme s'éleva dans les airs, admirant au passage les milliers d'antiques runes gravées sur les flancs de son vaisseau, le désormais légendaire Elnalcar, et ses puissants canons runiques, puis il rejoint le poste de commande et fit décoller l'immense vaisseau de guerre, qui s'éleva dans un grand silence à grande vitesse. Une heure après on signalait à l'amiral que plusieurs grands transporteurs de troupes, étaient au point de rendez-vous. Un des officiers sur le pont salua l'amiral: "Amiral, nous venons de recevoir un rapport de la part de l'observatoire impérial des mentats signalant des combats aux limites de de notre système. Ce message a été transmit à toutes les flottes, afin de nous tenir informés de la situation." Le seigneur Enlenkil reçut impassiblement cette nouvelle." Pilote, dirigez le vaisseau aux coordonnées 120 lat 450 lon, et transmettez ces coordonnées aux vaisseaux de transports." « Selon vos ordres amiral de Sa Majesté" répondit l'officier pilote, en frappant sa poitrine, du salut militaire. » La flotte en quelques secondes se trouva aux coordonnées, l'amiral donna ses ordres afin que les troupes d'assaut soient prêtes à entamer l'opération puis il se prépara à être téléporté dans le centre de commandement par les mentats avec sa garde personnelle et les membres de ses officiers en second, laissant à bord le commandement à un jeune commandant. L'amiral avant de se voir téléporté dit au commandant de garde: « Prévenez l'état major que l'opération Elnirin vient de débuter. Maintenez le vaisseau à portée, vous appuierez l'assaut, comme nous l'avons prévu, commandant Ilnorieldil. » Sur un dernier signe de la main aux mentats de bord, il disparut ainsi que tous les officiers qui devaient l’accompagner dans cette campagne. L’amiral Elenkil, fit se déployer ses troupes après les avoir fait débarquer dans la vallée de boes ferdun à une vingtaine de kilomètres des ruines dont devait s’emparer l’amiral. Tandis que les troupes manoeuvraient au sol les vaisseaux ennemis tentèrent d’effectuer des bombardements pour affaiblir les troupes impériales et stopper leur avance. Mais l’amiral avait prévu cette attaque et le dispositif défensif qu’il avait mis en place, à l’aide de chasseurs Irdiel, alfardur il repoussa l’attaque sans peine infligeant de lourdes pertes à l’ennemi. Les alfardurs prirent par surprise les bombardiers Sogdiens et firent une hécatombe, tandis que les Irdiels en plusieurs vagues attaquèrent les chasseurs Sogdiens désorganisés, et débordés obligés de défendre les bombardiers lourds de leur flotte. Les troupes avancèrent et marchèrent sur la cité de Moedn et la prirent d’assaut, l’assaut furieux des systes appuyés par les divisions de seandirs prirent les faubourgs de la cité sans peine, mais arrivés dans la cité même les combats devinrent très durs, et la progression devient plus difficile, les sogdiens réagirent et organisèrent une contre-offensive mais ne purent stopper l’avance de nos troupes. Les Sogdiens défendirent la cité avec une bravoure incomparable pendant trois jours, mais les systes étaient des guerriers très puissants, quant aux chevaliers alkandirs ils étaient de terrifiants adversaires, ne laissant derrière eux que les cadavres des ennemis. Les Sodiens étaient aussi grands que les systes mais ils n’avaient ni leur force ni leur compétence au combat. Les combats de rues se faisaient souvent au corps à corps. En trois jours les cent mille Sogdiens chargés de la défense de la cité avaient été réduits à néant, les Sogdiens ne connaissaient pas le concept de la reddition et se battaient toujours jusqu’à la mort. Mais le trentième cénacle à la tête de deux cent milles légionnaires impériaux. archimages parvinrent à faire des prisonniers, dont plusieurs officiers Sogdiens. De puissants sortilèges vinrent à bout des dernières poches de résistance. S’enfonçant dans les ruines les troupes impériales parvinrent à localiser l’objectif de l’expédition, une antique tour aux milieu des ruines d’un ancien temple sogdien, plus ancien encore que les plus anciennes constructions Sogdiennes. L’empire venait de retrouver l’un des lieux de retraite du puissant archimage Idras le sage, qui avait vécut il y a fort longtemps, et qui avait fait d’étonnantes découvertes dont certaines intéressaient l’empire au plus haut point. Les Sogdiens n'avaient jamais pu pénétrer dans cet édifice à leurs yeux resté enigmatique. De vieux sortilèges très puissants devaient résider cachés dans les grimoires de cette antique tour. Cette tour avait été construite par l’archimage des millénaires avant l’arrivée des premiers colons Sogdiens. L’amiral n’entra dans la tour qu’avec quelques uns de ses gardes et deux officiers, mais il se fit accompagner des enchanteurs, l’entrée était gardée par de puissants sortilèges, mais qui étaient devenus depuis le temps d’Idras, des sorts enseignés dans les académies impériales de magie, les puissants enchanteurs hauts elfes n’eurent aucun mal à les dissiper. Pendant que les eldars enterraient les Sogdiens morts, l’amiral et une colonne de légionnaires impériaux entreprit de fouiller la tour, les enchanteurs et le haut prêtre ainsi que sa garde personnelle suivaient le seigneur Elenkil. La haute tour était très ancienne et il leur fallut se déplacer avec prudence à l’intérieur. A l’intérieur s’étaient réfugiés des troupes Sogdiennes, il fallut faire appel à la puissante magie des archimages hauts elfes pour les neutraliser sans compromettre l’intégrité de la tour. Après plusieurs heures il fut possible d'entrer sans danger dans la tour. Quelques heures après, avec l’aide des mentats et des archimages les trésors de la tour furent mis à jour. Le vaisseau amiral, le puissant Elnalcar, vint se placer position stationnaire au-dessus de la tour tandis que l’on transportait à son bord à l’aide de petits vaisseaux de transports les trésors de la tour. Les troupes devaient être évacuées avant que l’ennemi n’envoie une armée pour reprendre cet avant poste, qui n’avait pas d’intérêt stratégique majeur, mais que les Sogdiens voudraient sans doute reprendre. La flottille de vaisseaux de chasseurs et le vaisseau amiral, prit alors le chemin pour rentrer sur Theotihuacan. Bientôt l’empire serait apte à traverser les espaces intersidéraux et à sortir de son propre système solaire, et bien d'autres secrets des enchantement du légendaire Idras devaient grandement l'Empire dans l'avenir.
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