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Cdt. Pericles
Respect diplomatique : 340 21/09/1012 ETU 12:35 |
Score : 1
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Sigma Draconis, planète du centre scientifique des Ordos. Son climat glaciaire, lui confère toutes les conditions nécessaires à la recherche génétique. Elle est devenue le berceau de la civilisation du peuple Ordos. Apres de longues recherches scientifiques et de constructions titanesques, le centre de clonage et de sauvegarde du génome Ordos est maintenant totalement opérationnel. Dans un laboratoire génétique du centre, une nouvelle expérience est en cours d’aboutissement. Les Ordos ont fait du clonage leur cheval de bataille. Leur études, ont permit de cloner des humains en tout point et à n’importe quel stade de l’évolution (Nourrisson, adolescent, adulte…) Ils butèrent sur un aspect particulier de la condition humaine : l’esprit. L’esprit ou l’âme était impossible à cloner. Ils trouvèrent néanmoins un moyen de se rapprocher de la copie presque parfaite d’un humain. Ils mirent au point un appareil, le flash-mem qui « flashe » la mémoire humaine, et l’enregistre sur un support informatique. Une fois la mémoire flashée, il est possible de retransmettre la mémoire sur un clone avec le Flash-mem. Dans le laboratoire génétique, deux scientifiques sont sur le point de flasher l’esprit humain… « Encore quelques seconde…Voila ! Il est dans cette zone ! L’Esprit se trouve dans cette région du cerveau ! Regardez le rayonnement qu’il dégage, c’est ce qui nous permet de l’identifier ! » « Bien !, bien ! Paramétrer le flash-mem sur cette zone ! Si on arrive a codé l’esprit on aura tout gagné !! » Les deux scientifiques déposent le flash-mem sur la tête de leur cobaye et commence leur expérience. « C’est bon ! On l’a ! On commence à le flasher !!! » Mais, tout ne se passe pas comme les scientifique le souhaitaient, le cobaye se mit à trembler de tout son corps, et une sorte d’aura se dégagea du corps, elle était d’une lumière blanche aveuglante. Une sorte de spectre pris forme, elle traversa le corps des deux scientifiques, puis traversant les murs, les pièces, de manière incompréhensible, elle se dirigea dans les entrepôts de stockage des clones Ordos ou des millions et des millions de clones étaient en incubation, attendant de remplacer les Ordos défunts. Le spectre s’introduisit à une vitesse incalculable, dans les incubateurs, et traversa les corps l’un après l’autre. Quand tous les millions de corps fut traverser par ce spectre étrange, un silence de mort pesa dans les entrepôts. Le spectre avait disparus, ou du moins il n’était plus visible. L’alerte générale code rouge fut déclenchée. Tous le personnel scientifique commence à évacuer suivant les consignes de sécurité, l’armée prends place dans tous le centre, le condamnant militairement. Dans les entrepôts les incubateurs affichent sur leur écran de contrôle : " Phase de clonage complète " déclenchant ainsi leur ouverture. Les militaires s’approchent des clones, et commencent à installer un périmètre de sécurité, mais subitement la terre commence à trembler, et les clones qui sortent des incubateurs se dressent devant les militaires. « Stoppent n’approchez pas ! N’avancez plus ! Si vous comprenez ce que je vous dis ! » Hurle un soldat Ordos. « Vous êtes peut-être nombreux mais nos armes ont la capacité de tous vous détruire ! Restez tous ou vous êtes ! » C’est alors qu’une chose surnaturelle se produisit. Un clone leva les bras, devant le militaire ce qui eu pour effet de soulever hors du sol le pauvre soldat, il fut projeter avec violence contre un mur. « C’est quoi ce bordel ! Tuez les tous ! » S’écria un gradé Ordos. Mais plusieurs clones, dressant leur bras quasi simultanément, stoppèrent les militaires menaçants, et ce fut une hécatombe, certains soldats étaient projetés sur les murs, d’autres se cognaient violemment les uns contre les autres. Certains clones semblaient pouvoir électrifier de leur main les soldats. De toute évidence, ils étaient dotés de pouvoirs surnaturels, totalement inconnu des Ordos. Il ne restait plus qu’une petite poignée de soldats, reclus dans un coin, entourés de clones. Un silence de mort régnait les soldats apeurés et désarmés, étaient comme paralysés face aux clones. C’est alors que l’un d’eux s’avança vers la troupe de soldats… « Nous vous laissons la vie sauve pour le moment. Vous allez transmettre un message, à vos supérieurs, et surtout à votre « Guide ». Son règne touche à sa fin. Un nouvel Ordos est né en ce jour. Soit il abandonne sans effusion de sang, son poste de « Guide », soit nous viendrons lui enlevé par la force. Qu’il réfléchisse bien, nous avons le contrôle du centre de clonage, tous le savoir Ordos est entre nos mains. A lui de faire le juste choix »…
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Cdt. Pericles
Respect diplomatique : 340 24/09/1012 ETU 15:16 |
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Score : 6
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Coordonnée 2 du système 11 dans le secteur 2. Galaxie de Devenir. A bord d’une frégate ionique, Périclès se dirige sur Sigma Draconis. La planète visible depuis les écrans de contrôle, dévoile toute sa beauté, d’une couleur bleue majestueuse. Périclès fixa la planète, il se tenait debout les bras croisés, son impatience se fait sentir… . Stavros s’avance vers lui et l’interpelle. " Guide, nous avons préparé votre chasseur comme vous nous l’avez demandé. Cependant, j’aimerai que vous réfléchissiez bien, nos études sur ces clones nous prouvent qu’ils ont subi une modification génétique exceptionnelle, vraisemblablement dut à cet « esprit ». L’étendue de leur pouvoir nous est inconnue. Aussi, ne serait-il pas plus préférable que notre armée…" Périclès le stoppa. « Nous en avons déjà débattu Stavros. Vous savez très bien que je suis le seul à pouvoir régler cette affaire. N’oubliez pas que toutes nos connaissances, notre civilisation, notre science, est entre les mains de ces créatures. S’ils mettent leur menace à exécution, c’est toute la civilisation Ordos qui sera en péril. J’ai décidé d’y aller seul, je suis responsable du peuple Ordos, c’est à moi de trouver une solution à ce problème. » « Guide Périclès, pourquoi ne pas avoir libérer quelque Ordos-scanners pour vous aidez, le pouvoir de ces clones à l’air si terrifiant !… . » « Les scanners en liberté sont aussi dangereux que ces clones, vous savez que ce n’est pas la solution, et qui vous dit qu’une fois libres ils feront ce qu’on leur demande. C’est plutôt l’inverse qui risque de se produire ! » « Alors, vous êtes sûr de vous, Guide. C’est votre choix. Je… » « Ne faite pas de sentiment inutile Stavros, contentez vous de suivre la procédure que nous avons établie. Si vous perdez le contact avec moi lorsque je serai dans le centre, vous et les généraux départementaux prendrait la direction gouvernementale. Contactez nos alliés et les tenir informé de la situation, et de toutes évidence, il faudra envisagée des solutions extrêmes, même si Sigma Draconis doit disparaître, il faut préserver notre peuple dans toute la galaxie, et recommencer le processus de clonage à sa phase Alpha. » Une sirène retentie, la frégate rentre dans l’atmosphère de Sigma Draconis. Tout l’équipage s’apprête a atterrir. Périclès sur le hangar des chasseurs, enfile une combinaison de pilote et ajuste son masque respiratoire. La frégate se pose sur le poste militaire avancé de Sigma Draconis situé à une cinquantaine de kilomètre du centre de clonage. Les portes du hangar s’ouvrent et le chasseur bombardier de Périclès décolle à pleine vitesse. Le centre de clonage était désert, le froid glacial de Sigma Draconis n’était pas des plus favorable pour la vie humaine en générale, et les forces militaire Ordos avaient bien du mal à se déplacer dans le secteur. Le chasseur bombardier approche du centre, il se dirige sur la plateforme aérospatiale et se pose sans incident. Le sas du bombardier s’ouvre et un escalier de fer se déplie suite à l’ouverture. Périclès descend les marche une à une et pose ses pieds sur le sol de Sigma Draconis. Le centre semblait fonctionner normalement. Personne ne pouvait dire à vue d’œil qu’une armée de clones aux pouvoirs fulgurants se trouvait prête à mener un combat sans merci. Tout en avançant vers la porte d’entrée de la plate forme spatial Périclès scrute tout autour de lui l’environnement, à l’affût d’une attaque, puis lorsqu’il se trouva devant l’immense porte, une voix se fit entendre dans l’esprit de périclè : « Laissez vous « guider », nous vous conduirons la ou vous devez aller et ne tentez rien contre nous, vous le regretteriez » La voix se faisait entendre à l'intérieur de la tête de Périclès, il n’y avait personne autour de lui. La grande porte s’ouvris, et un petit véhicule de déplacement attendait Périclès. Il monta dans le véhicule, puis la porte se referma. Sur la frégate au poste militaire Stavros suivait les événements. « Nous avons toujours le contact avec le guide, son émetteur implanté est toujours actif général. Nous pouvons voir ou il se déplace dans le centre.» Stavros suivait le moindre déplacement à la loupe. Des gouttes de sueur froides perlaient sur son front. Le petit point sur son écran, sur le vaste plan du centre, s’arrêta au centre même de celui-ci. C’est ici que se trouvait l’ordinateur central qui renfermait tous les gènes, l’histoire, le savoir du peuple Ordos. Le petit véhicule se stoppa devant le sas de l’ordinateur central. La voix se fit entendre de nouveau : « Maintenant descendez, et rentrez ici » Périclès s’exécuta et se plaça devant le sas. Le sas s’ouvrit laissant apparaitre l’ordinateur central. Devant cet ordinateur il y avait plusieurs sièges de commande tout autour, ils formaient un cercle parfait. Périclès fit quelque pas et le sas se referma aussitôt derrière lui. Il aperçut sur un des sièges un homme qui était assis et qui lui tournait le dos. « Avancer jusqu'à moi ! » La voix venait de cette personne. Périclès avança, et on ne pouvait entendre que son souffle saccadé de sa respiration, au travers de son masque. " Vous pouvez vous mettre à votre aise, l’air que vous respirez en ce lieux ne vous importunera pas ! Et j’en suis la preuve!" le siège pivota face à Périclès, lui montrant son visage et, Périclès se retrouva nez à nez avec lui-même ! Le clone de Périclès le regarda fixement avec un sourire ironique. « Vous êtes surpris ? » « Pas vraiment je m’attendais à ce genre de surprise. Comment dois-je vous appelez ? Périclès II ? » « Ho ! Vous vous permettez une pointe d’humour à mon égard, c’est très touchant. Mais vous allez vite déchanté quand vous allez entendre ce que j’ai à vous dire. Vous avez dépassez les limites avec votre science infecte ! Vos clones sont de plus en plus dégénérés, et vos expériences ratées sont le fruit de votre ignorance génétique ! De plus vous créé un conflit spirituel avec vos clones. Vous-même de quoi vous souvenez vous de votre vie ? Ou du moins de la copie de votre vie ? Chaque humain, dispose de son esprit. Un clone est un humain. Cloner un esprit est impossible. » « Merci pour votre leçon sur l’apprenti clonage. Nous avons bien évidemment remarqué ce problème. Mais qui êtes vous au juste ? Vous êtes l’esprit que nos scientifiques ont essayé de dupliquer ? » Le clone se leva et se dressa face à Périclès. « Je ne suis pas cet esprit, je ne suis pas vous spirituellement. L’esprit qui c’est introduit dans tous ces clones n’a fait que réveillez leur esprit en les traversant. Guidez par l’esprit, les gènes des clones ont été modifiés dans le bon sens, annulant vos erreurs et améliorer la génétique de l’espèce humaine Ordos. Un nouvel Ordos est né. Et comme dans toute évolution, l’espèce antérieure doit disparaître. » « Ha oui ! Aussi simple que ça. Mais êtes vous aussi puissant que vous le dites … » Une sensation de lourdeur se fit sentir dans la salle. La respiration de Périclès s’accéléra, puis tout en fixant son clone, Périclès commença à le scanner. (Scanner, c'est-à-dire prendre le contrôle de son système nerveux, de son corps, ce qui lui permet de faire ce qu’il veut de la personne scannée, lui faire dire ce qu’il veut. Résultat d’une amélioration génétique réussit par les Ordos, sur le cerveau humain.) Le clone se mit à trembler doucement, et ses yeux se révulsés. (Typique d’une personne scannée). « Et bien, c’est plus facile que ce que je ne le pensais. Alors monsieur le « nouvel Ordos » à votre tour vous allez écouter ma voix. Vous allez, vous allez… . » Périclès se tût, il se mit à trembler lui aussi. Une puissance exotérique lourde et pesante se faisait sentir encore plus puissante que la sienne. Les deux corps restaient ainsi, tremblotant l’un en face de l’autre. Seule une voix se fit entendre dans l’esprit de Périclès, la voix du clone. « Vous voici dans votre prison Ex-guide Périclès. Vous êtes facilement tombé dans notre piège. Vous voila prisonnier de mon esprit. » Et le corps du clone s’arrêta de trembler. Ses yeux n’étaient plus révulsés. Tandis que celui de Périclès tremblait, sans un mot, on entendait uniquement sa respiration accélérée et stressée de la situation. « J’espère que vous êtes à l’aise dans votre cellule spirituelle cher ami, je l’ai conçue spécialement pour vous ! Nous allons mettre votre corps dans un incubateur de clonage pour le conserver, en attendant que vos généraux nous laissent les clés de votre parlement… . » Depuis son écran de contrôle Stavros qui assiste a la scène depuis les caméra de la salle de l’ordinateur gesticule dans tous les sens. « Prévenez nos alliés ! Réunissez les généraux départementaux ! L’heure est grave ! Nous allons devoir faire un choix crucial ! » Le corps de Périclès est placé avec soin dans un incubateur de clonage. Son corps flotte dans cette substance similaire a du liquide amniotique. Intérieurement dans son esprit, il est comme dans une pièce blanche, infinie, sans mur. Il est seul dans cette prison spirituelle. Sur la frégate ionique Stavros est très inquiet. « Le clone à parler de prison spirituelle. Mais ce n’est pas possible. Comment sortir Périclès de cette prison. » Stavros s’assit sur son siège de commandement. Il réfléchit. Puis il prit une décision seule. Périclès était certes son guide, mais il était aussi son ami. Il devait agir. Il dit au centre de communication de la frégate : « Mettez-moi en relation holographique avec le Commandant Denior, de la civilisation Euphorienne. Tout de suite ! »
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Cdt. Denior
Respect diplomatique : 609 24/09/1012 ETU 17:57 |
Score : 8
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Denior était assis à son bureau, consultant les liasses diplomatiques et adminsitratives. L'empire grandissait harmonieusement et sa masse de travail suivait le même rythme. Il en était content, comme un élève consciencieux désireux de s'instruire. Il aimait à se retrouver dans cette ambiance de sérénité après les heures passées à l'Assemblée galactique. Il était chez lui, à pouvoir réfléchir, se ressourcer, retrouver les siens en quelques lieux qu'ils se trouvent. Soudain, il ressentit un trouble profond. Des âmes s'agitaient de façon anormale, elles semblaient non souffrir mais connaître une évolution profonde,source d'angoisse incontrolée et irrépressible. Denior bien sur ressentait régulièrement des manifestations analogues, mais jamais de cette intensité et jamais de cette forme qu'il n'arrivait pas encore pleinement à percevoir dans son exacte dimension. Ce sentiment était il anodin, lui était il destiné, il n'en savait rien et n'en imaginait pas encore l'importance. Néanmoins, il croyait depuis longtemps aux signes et celui ci en était sans doute un. Dieu lui assignait une mission, il en était sur... Aussi ne fut il pas surpris par l'intrusion de son majordome Tap Monilier, l'informant d'une demande d'audience hallographique du commandant stravros de la civilisation ordos. "-Je vous présente le bonjour, excellence. J'ai échangé quelques fois avec votre guide, Périclès, et je forme le voeu qu'il se porte au mieux. Bien que mes informations à son sujet soient "alarmantes", sans que je n'en connaisse encore pleinement la teneur." Stravos sembla quelque peu surpris de cette entrée en matière. Que pouvez donc savoir cet euphorien qui se prétendait familier des âmes des défunts. Disposait il des dons puissants qu'il revendiquait ou avait il tout simplement pris part à ces événements. Il fallait rester prudent, beaucoup des chefs d'états avec lesquels l'état ordos était en relation au sein de l'ordre humain l'ayant mis en garde contre ce curieux agitateur dont on ne savait finalement que peu de choses... Denior repris: "je sens votre trouble mon ami et je ne chercherais pas pour l'instant à dissiper vos questionnements politiques. Nous y reviendrons peut être un jour. Pour l'instant, il est urgent de rencontrer ces clones auxquels vous avez voulu attribuer un esprit. A jouer les apprentis sorciers on s'expose à des risques bien supérieurs aux gains potentiels mon cher. Je ne vais sans doute pas avoir le temps de vous étayer ma théorie sur l'éthique et la science car le temps nous est compté, non seulement pour sauver Péricles mais aussi pour sauver votre monde... Je n'ai malheureusement pas encore de flottes suffisament rapide pour me rendre avec célérité sur le lieu des événements. D'ailleurs je doute qu'une intervention militaire, même euphorienne, soit pertinente. Je vais donc m'y rendre grâce à mes dons psionniques. Mais pour cela, je vais avoir besoin d'un guide." Stravos se sentit soudain envahi. Il lança bien sur la procédure de scanner afin de parer son adversaire ou supposé tel. A sa grande surprise, la procédure échoua et il entendit bientot intérieurement la voix de Denior lui demandait d'ouvrir son coeur. Il ressentit bientot une chaleur, une quasi béatitude qui lui rappela les heures heureuses de son enfance, l'insouciance et la douceur. Une vive lumière l'entourait et le rechauffait et il s'abandonna. Il aperçut alors son corps à cote du sien qui semblait tel qu'en réalité mais sous forme spectrale. Denior était à ses cotés.... "Bonjour mon ami, heureux de t'accueillir en ton âme. Prépares toi à rencontrer celle de ton guide mais aussi celes de nombreux autres, sans doute ton pire cauchemar et je l'espère ton plus grand bonheur..." En quelques secondes, il atteignirent le laboratoire...
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Cdt. Denior
Respect diplomatique : 609 25/09/1012 ETU 13:10 |
Score : 4
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Les traces des événements étaient encore visibles et l'atmosphère semblait pestilencielle. Sans leur forme psionnique, Denior et Stavros auraient sans doute péri en quelques secondes, voir moins.... Denior ne semblait pas s'en émouvoir. Sa récente aventure sur Wayne 1 lui avait redonné toute confiance en ses capacités et avait éprouvé son coeur. Stavros était lui plus sensible à cet environnement où la mort semblait régner en maître. "- Fermes ton esprit et restes concentré sur le but de ta mission. Celui que nous allons rencontrer est passé maître dans l'art de la manipulation mentale et il n'hésitera pas à t'attaquer au plus profond de ton âme pour te porter les coups les plus percutants.. - je vois que tu m'as percé à jour, vieille baderne euphorienne, tu sembles avoir bien mieux que moi resisté à la dernière apocalypse. Tu as conservé ton corps, tu n'es pas obligé d'occuper celui d'un autre... et quel corps... - je ne crois pas mon cher Périclès II, ou plutot Vladimir, que tu ais à regretter ton précédent corps. Tu lui a fais connaître tant de vicissitudes qu'il n'était sans doute pas le meilleur de ton être. Je ne te cacherais pas que je suis surpris de te voir agir de la sorte, toi qui en dehors de tes petits travers, était pourtant un humaniste... - Et toi, comme toujours, tu penses tout connaître, être au dessus de la mélée, bénéficier de l'infaillibilité. Mais que sais tu en fait de l'histoire des Harkonnen et des relations que nous avons pu nouer avec la civilisation des ordos. Nous n'en avons jamais parlé auparavant et tu arrives ici, appelé par un petit sous fifre que tu n'as pas eu trop de mal à dominer et ainsi à t'accaparer son savoir de cette situation. Mais ce n'est pas à toi que je vais apprendre que toute vérité est forcément relative et avant que de penser que nous fumes des esclavagistes sanguinaires et abusifs, as tu songé seulement à l'oeuvre civilisatrice que nous avons pu entreprendre en ce monde. Sais tu seulement comment ils nous en ont remercie.... Nous eumes rappeles toi une longue conversation sur l'esclavage lorsque j'ai cherché à t'empecher de vendre ton harem Vladimir, mais je croyais à l'époque qu'ils ne s'agissaient que de quelques gitons, pas que ta société fut esclavagiste dans les grandes largeurs. Je pensais l'affaire cantonnée au tyran Simon. J'aurais sans doute du pousser plus loin ton introspection... -si tu l'avais pu, mon cher, si tu l'avais pu.... et je ne suis pas certain que tu le puisses à présent. Et maintenant, ils vont mourir pour le mal qu'ils ont fait...."
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Cdt. Pericles
Respect diplomatique : 340 27/09/1012 ETU 14:08 |
Score : 4
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Depuis quelques heures, des forces se font sentir dans la prison spirituelle de Périclès. Il peut ressentir trois forces spirituelles, une de ces forces dégage une puissance tout simplement extraordinaire. Il ne sait pas pourquoi, mais il a l'impression d'entendre des voix, il reconnait celle de Stavros. Serait ‘il venu l'aider et le libérer? La prison spirituelle dans la quelle il se trouve, commence à se ternir, a manquer d'intensité, comme si un monde parallèle s'ouvrait dans sa prison. Des images apparaissent, des bruits, des voix se font entendre. La blancheur commence à disparaitre autour de lui, et maintenant Périclès peut voir ce qu'il se passe, prêt de lui. Il y voit Stavros et le commandant Dénior de la civilisation Euphorienne, "Le clone " est assis sur un des sièges de contrôle de l’ordinateur central, et au dessus de lui, flotte un spectre…. . Périclès reconnu se spectre à forme humaine, le baron Vladimir Harkonnen. « Lui…encore lui. Ce gros tas puant, cette vermine, ce fou, ce violeur ce…cet… » Pris de colère à cette vision, Périclès se secoua dans tous les sens dans sa prison, il hurla : « Non ! Non ! Pas lui ! Pas eux ! Comment es ce possible ! Nous n’en finiront jamais de cette vermine Harkonnen ! Je…je… » Périclès les bras croisé en forme de croix sur son torse, levant la tête poussa un cri terrifiant, tout en dégageant le maximum de puissance exotérique en lui, comme si il essayait de scanner plusieurs personne en même temps. Sa prison se fissura ouvrant une brèche sur le monde réel. Son esprit comme aspirer par cette brèche, se faufila et disparue, laissant voler en éclat toute la prison spirituelle. Blobloblbob ! Des bulles s’échappent de la bouche de Périclès, qui se retrouve maintenant dans l’incubateur ou les clones l’avaient déposé. S’étant réveillé, l’incubateur programmé pour libérer le clone des sa phase de réveil, commence le processus de libération. Le liquide amniotique est aspiré rapidement, et la cloche en verre de l’incubateur s’ouvre doucement, laissant le corps de Périclès s’effondrer sur le sol. Périclès ouvre les yeux doucement, un visage flou apparait devant lui. Après quelque seconde, il reconnut Stavros… .
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Cdt. Denior
Respect diplomatique : 609 27/09/1012 ETU 15:53 |
Score : 3
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"L'aurais pu ou non, cela n'est pas la question. J'aurais du le faire, c'est tout. Cette inconséquence aurait sans doute éviter tout cela... Mais peut être était ce tout simplement le dessein de Dieu. Lui seul le sait contrairement à d'autres, ses voies sont impénétrables... Ce qui est certain, c'est qu'il est imprudent de baisser sa garde, et fidèle à ta réputation d'inconstance, tu t'es trop engagé dans notre dialogue au point d'en oublier ton prisonnier." Vladimir regarda subitement la délivrance de Périclès. Ses yeux semblaient hagards, du moins pendant un court instant. Denior le ressentit. La force dégagée par leur combat mental était énorme et les deux combattants étaient usés, mais pas térassés. Il fallait encore se méfier, Vladimir avait de la ressource, beaucoup de ressources. "Ne crie pas victoire trop vite.. Il n'est libre que physiquement. Lui et son peuple souffriront tout le mal qu'ils nous ont faut subir..." Périclès semblait éprouver un terreur interne assez vive. Son incosncient paraissait avoir pris le dessus sur sa rationalité. Stavros commençait à être atteint, même sous sa forme psionnique. L'attaque était donc forte, très forte. "Penses tu, Vladimir, qu'en les faisant souffrir, tu apaises ta propre douleur et celle de tes semblables. Crois tu que Dieu est voulu libérer vos âmes à cette fin? n'as tu rien à te reprocher alors que les Ordos ne cessent d'associer les Harkonnens à la source même du mal et qu'ils en ont à ce point pâtis qu'ils en aient jusqu'à voulu gommer la mémoire? " Denior n'eut tout d'abord en réponse qu'une volée d'ondes psionniques d'une violence déclinante. Vladimir semblait s'épuiser.... ou réfléchir
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Cdt. Pericles
Respect diplomatique : 340 28/09/1012 ETU 15:47 |
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Score : 2
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Les Ordos avaient beaucoup souffert, sous la tutelle des Harkonnens. Apres avoir perdue la guerre sur la planète Arrakis, leur planète Sigma Draconis IV, était devenue une planète de souffrance, les Ordos étaient considérés comme du bétail, parqués dans des zones de colonisation Harkonnens, ils n’étaient bons qu’a travailler, les enfants lorsqu’ils ne servaient pas d’esclaves personnels aux hauts dignitaires Harkonnens, étaient formés pour des travaux bien spécifiques dans les extractions minières. Les hommes effectuaient toutes sortes de travaux manuels dans le bâtiment, et la construction spatiale. Les femmes quand à elle, leur rôle, lorsqu’elles n’étaient tout simplement pas en vitrine dans les quartiers malsains des cités Harkonnens, n’avaient qu’une seule fonction, la procréation « d’esclaves Ordos ». Chaque femme devait mettre au monde dix enfants Ordos au cours de leur vie. Ces massacres par millier, ces exploitations humaines, ces moqueries quotidiennes, ces intimidations, ces femmes et ces enfants exploités, ravagés par tous ces détraqués sexuels, toute cette haine envers les Harkonnens, légitime pour le peuple Ordos, faisait face à Périclès et à Stavros avec la venue de l’esprit du baron Harkonnen. Ils ne tenaient plus, Stavros grâce à sa forme psionnique luttait de toute son âme au coté de Périclès. Mais les deux hommes faiblissaient devant la puissance de Vladimir. Dénior reprit son dialogue avec le baron. -« Il est temps de passer à autre chose Vladimir. Vous avez été vaincus par les Atréides, il y a de cela des millénaires, libérant ainsi les Ordos. Ils ont évolué et acquit de grandes connaissances dans le domaine de la science. Tu as profité de leurs erreurs, dans leur espoir de dupliquer un esprit. Laisse les Ordos en paix maintenant. Retourne d’où tu viens ! » Ces paroles étaient accompagnées de grandes ondes psionnique, Dénior, fit explosée toute son énergie, et lança de fulgurantes attaques. Périclès et Stavros, lançait des ondes, en scannant l’esprit du baron, toute la souffrance du peuple Ordos, déferlait sur l’esprit de Vladimmir, Des Ordos souffrants, battus, martyrisés, torturés, exploités. L’esprit du baron commence à se distortionner, vacillant et perdant de son intensité. Ne pouvant plus combattre, l’esprit se réduisit sous forme d’halo, et pénétra le corps du clone assit sur le siège. Exténué Périclès fit quelque pas vers Dénior. « Vous contrôlez son esprit ? » « Il ne peut plus rien faire, il restera dans ce corps jusqu'à la mort de celui-ci » Le clone ouvrit les yeux, il se leva. Les clones qui étaient restés inactifs tout au long de cette bataille, s’approchèrent de leur chef. « Ne craignez rien. Ils ne vous feront aucun mal. Ce sont des esprits Harkonnens qui ont pris refuges dans ces corps Ordos. » Le clone s’avança vers Périclès et Stavros. "J’ai compris votre souffrance. Tout est limpide maintenant. Comme l’a dit Dénior, il est temps de passer à autre chose." Tout en examinant le clone, Stavros sonda son esprit. Tout avait changé, on ne décelait que pureté et amour dans cette âme. Réjouie de cet événement, Dénior lança un sourire au clone. « Ravi de te retrouver Vladimir ! » « -Attendez ! Il ne suffit pas de formulez des excuses ! C’est beaucoup trop facile, je… Dénior posa sa main sur l’épaule de Périclès, et il tendit l’autre sur celle du baron. « Je suis votre lien, vos deux âmes souffrent du même mal. Chassez-le, repoussez le dans les ténèbres, pour que vos deux civilisations retrouvent la paix. » Pénétrez par une sensation de bien être et protectrice, Périclès sentie sa colère se dissipée. Sa haine se dissipait peu à peu. Le baron sourit, étant bercé par un sentiment qui lui était inconnue, l’amour. « Nos deux civilisations peuvent vivre en paix, néanmoins je doute qu’une cohabitation directe avec les Ordos soit envisageable pour le moment. » « On peut, peut-être leur donné notre planète Ordos-1 ? L’antidote viral que nous avons élaboré avec nos alliés de L’Ordre Humain est parfaitement opérationnel. » suggéra Stavros. « Les scientifiques de l’empereur Telo Martius, experts en bactériologie Aliens, ont trouvé l’antidote adéquate à notre problème. Il suffit d’injecter cet antidote à tous ces…Métis-Ordos et ils pourront trouver asile sur Odos-1 ». « Stavros, je ne veux pas un mot de cette histoire au peuple. Ils seront informé de ce qui c’est passé ici au compte goutte. La haine qu’il porte aux Harkonens est trop pesante. Et en ce qui me concerne, je préfère rester distant avec vous baron, et votre peuple. Des corps Ordos habité par des esprit Harkonnens…tout simplement incroyable ! Stavros occupé vous de faire le nécessaire ! Il faut que notre centre scientifique soit de nouveau opérationnel. Je vais me soigner, et je vais retourner au parlement planétaire sur Inoxia. » S’adressant au commandant Dénior : « Grace à vous notre civilisation est sauvée. Le peuple Ordos vous en est entièrement reconnaissant. Suivez-moi donc à l’infirmerie nous y prendrons un apéritif ! »
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