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Cdt. Parangon
Respect diplomatique : 87 10/06/1012 ETU 19:21 |
Score : 3
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Zhu, date inconnue Une aube de mort se levait sur la planete Zhu. Le vent poussait une odeur de cadavres et les quelques râles de victimes a l'agonie venait rompre le grognements des charognards venus festoyer. Zhu etait perdue, la planète qui ne plie jamais avait finalement connu son echec en la manifestation d'une apocalypse : un phénomène cosmique de nature inconnue qui survenait de façon cyclique, sans toutefois avoir une constance mesurable dans le temps. Les anciens disaient en riant "tant que l'apo s'ra pas la demain". Et finalement, "l'apo" arriva bel et bien. Un jeune soldat contemplait ce désastre sans nom, ressentant toute l'impuissance de sa condition face au désastre. Sous le choc, pris par une terreur indicible, ayant le sentiment d'avoir tout perdu, il avançait dans le champs de ruine a la recherche de quelque chose, quelqu'un a secourir. Mais c’était peine perdue, partout ne rôdait que la mort, et l'image de cette femme écrasée par les décombres, tenant encore dans ses bras quelque chose qui avait été un petit corps.. Il poussa un hurlement, si terrible que les animaux s'enfuirent alentours. Les larmes coulèrent, se mélant au sang, a la fumée et aux cendres sur son visage. Il prit son blaster, les mains tremblantes, et le pointa contre sa tempe.. ******************************************* "Il est l'heure Commandant, Ce matin vous avez votre premiere allocution holovisuelle, puis, vous avez rendez vous avec l'assemblée galactique pour la présentation officielle de Zhu's Hope. Il est l'heure Commandant, Ce matin vous avez votre premiere..." Parangon se reveilla en sursaut. Le drone secretaire activa les écrans de bords, projetant une lumiere verte dans la chambre. Parangon regarda la pièce : une chambre d'officier en transit vers la Capitale, modeste, fonctionnelle, adaptable au gout de chacun grace a un catalogue d'ustensiles qui permettaient de ne pas ressentir le mal du pays durant le long voyage jusqu’à la planete Assemblée. Il passa machinalement le doigt sur sa cicatrice, longue estafilade qui courait de son épaule droite a la courbe de son menton. "Encore un rêve" se dit-il. Il etait couvert de sueur, et un frisson glacé lui parcouru l'échine. Il fit quelques étirement, quelque pompes, et se dirigea vers la douche. Aujourd'hui etait un jour important, il le savait : c’était le 350e anniversaire de la déclaration officielle d'indépendance de Zhu envers les esclavagistes Zentarims et ce, après de longues decennies de guerilla urbaine et intra-systemiques. Parangon se souvenait qu'a l'occasion, Zhu avait été rebaptisée en Zhu's Hope, message d'espoir, et volonté de tirer un trait définitif avec le terrible passé post-apocalyptique. "Il est l'heure de rentrer sur scène, ma petite Zhu, tachons de faire bonne impression." Parangon s'habilla, puis rejoignit le mess des officiers.
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Cdt. Wolf O Donnell
Respect diplomatique : 126 10/06/1012 ETU 19:32 |
Score : 3
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700 longues années. C'est le temps écoulé depuis que le soleil avait disparu, masqué par une épaisse brume opaque bloquant tout rayonnement. La nuit éternelle était la accompagné du grand froid Qui aurait pu penser que cela durerait autant de temps ? La température était en chute libre et nous avons eu les premiers mort d'hypothermie sur les bras... La population se réfugia très vite dans les abri-antiatomique. Les plus fous ont tentés leurs chances à bord d'un vaisseau pour quitter la planète mais les perturbations magnétiques qu'engendrait cette calamité ne faisait que provoquer un crash magistrale des vaisseaux. Les abris était auto suffisant et idéalement placé sous terre pour exploiter au mieux le système de géothermie Les fermes hydroponique produisaient nourritures et oxygènes. Les générations se succédèrent et vécurent toute leurs vies sans presque jamais sortir des abris. Les plus jeunes rêvaient avec les récits des plus vieux concernant la surface de la planète et le légendaire astre lumineux source de toute vie. une journée qui s'annonçait tout aussi ennuyeuse que les autres, les rapport météorologique externe montrait une hausse conséquente de la température. Cela n'étais jamais arriver en 700 ans. Les premiers rapports des expéditions ne furent pas long à arriver. Pour la premiére fois il n'y avais plus besoin de vision nocturne pour se déplacer dehors. Les faible lueur qui traversait la brume laisse apparaitre un paysage urbain recouvert d'une épaisse couche de glace étincelante au rayon du soleil à mesure que la brume se dissipe. Ce fut la premiére vision du monde extérieur qui est évoquer dans divers livres et comptes. Curieusement cette glace n'étais en rien naturelle, elle fondait mais n’engendrait aucun liquide. était-ce donc l’œuvre d'une entité supérieur ? Cela expliquerais pourquoi aucun scientifique n'est pu donner d'explication rationnel concernant le commencement de cette ère glaciaire. Aujourd'hui la plus part des systèmes et des infrastructures sont hors service. un gouvernement planétaire s'organise lentement tant bien que mal. Les premières instruction ont été de rétablir le réseau électrique et les les communications longue portée. Des signaux d'autres civilisations et d'une assemblée galactique ont été capté. Le cdt. O Donnell fut nommée responsable des relations étrangères. Il se prépare à représenter sa planète d'origine Corneria devant cette assemblée ou s'amasse petit à petit différente personne issue d'autres civilisations ayant aussi subit 700 années d'isolement.
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Cdt. L'Allumé
Respect diplomatique : 800 11/06/1012 ETU 23:27 |
Score : 6
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-------------------------------------------------------------------------------- Galaxie 1, Secteur Y, Système Z, PC 3, Planète Zippo. -------------------------------------------------------------------------------- 700 ans. C’est fou comme L’Allumé aurait préféré passé 700 ans à reconstruire Zippo plutôt que sa situation actuelle. L’Allumé, sans mauvais jeu de mot, était pris entre deux feux. Il était en train de devenir malgré lui le représentant officiel de sa planète alors que tout ce qu’il avait de plus que les autres c’était un bon paquet de fric et une pointe de chance. Il fallait l’avouer, le fait que sa compagnie puisse échanger avec l’Assemblée Galactique était un gros avantage. Mais le fait qu’il ait choisit de se lancer dans les combustibles était quand même un hasard qui aujourd’hui lui permettait d’avoir une avance supplémentaire sur tout les autres états de sa planète. Toutes les unités qui sortaient des hangars utilisaient sa technologie pour être propulsées dans l’espace. Tout cela déplaisait à beaucoup de monde, et dans certains coins du monde sa tête avait été mise à prix. A coté de cela il y avait tout ces nouveaux commandants échangeant sur l’avenir de la Galaxie. Très peu savaient vraiment de quoi ils parlaient. Les brigands étaient présent un peu partout, et L’Allumé avait envoyé ses sondes sur le terrain. Le constat pouvait être alarmant pour certains : les brigands était dans chaque système visité. Il ignorait la puissance de leur flotte et si ces vaisseaux avaient un chef commun. Dans le cas inverse, la menace était moins grande. Les brigands faisaient beaucoup parler, et deux types de personnes s’étaient distingués. Ceux qui voulaient anéantir cette menace, et ceux qui pensaient qu’il fallait attendre d’être sur des agissements de ces individus pour prendre une décision. Malheureusement pour lui L’Allumé avait plutôt de bonnes relations avec chacun des partis. Il avait bien sa petite idée sur comment régler tout ça mais il était sûr qu’il serait le seul à être pour. Dernière chose pour rajouter à son mauvaise humeur générale : il n’avait pas réussi à dormir correctement depuis 3 jours. La fatigue commençait à s’accumuler et les journées s’écoulaient au son du café qui tombait dans tasse. La nuit il n’arrivait pas à trouver le sommeil, il avait l’impression d’être observé. Il sentait une présence autour de lui qui l’empêchait de se laisser dormir. L’Allumé ne savait pas encore si cela était de la pure paranoïa ou bien quelque chose de réel. Cependant, avant d’essayer en vain de trouver le sommeil qui lui manquait tant il devait encore prononcer quelque mot à l’Assemblée. On attendait un message de sa part, mais lui-même ne savait pas quoi dire. Les débats étaient stériles, et si cela n’avait tenu qu’à lui il aurait reporté cela à demain. Quelque chose lui disait qu’il devait prendre la parole à l’Assemblée ce soir, et cela même s’il n’en avait pas envie. L’allumé se leva du bureau sur lequel il avait médité une bonne partie de la soirée puis quitta la pièce. Il fit signe à ses collègues en sortant puis partit en direction de la salle d’émission.
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Cdt. Calico Blackman
Respect diplomatique : 132 12/06/1012 ETU 14:26 |
Score : 2
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Les facéties du destin ou d’un dieu omnipotent avaient décidées que la révolution devait se faire. L’Age Sombre était une fois de plus revenu, ce grand Orobouros. Les hommes s’étaient de nouveau terrés dans leurs cavernes attendant des jours meilleurs. Cette attente n’avait durée que 700 ans pour cette fois. La vie avait repris son cour durant les siècles suivant le Grand Feu d’ Artifice. C’est comme cela que Calico aimait se représenter l’Apocalypse, d’avant il n’en avait que des histoires. De toute façon il s’en fichait d’avant. Ce qui était important pour lui, c’était aujourd’hui. Son peuple avait connu ces dernières années des percées technologiques en retrouvant les artefacts des feux civilisations, ils étaient dorénavant capable de voyager dans l’espace. Et quoi de plus jouissif pour un marin que de naviguer aux grès des vents stellaires parmi les champs d’étoiles. Et dans ces champs d’étoiles, il y avait d’autres peuples. L’horizon était décidément radieux.
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