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Les tracas de Mimi.

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Cdt. Les suceuses de Sang
Respect diplomatique : 340

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12/04/1017 ETU 12:59
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[HRP : RP strictement privé]
Toute contente de sa nouvelle accession au pouvoir réussi, Mimi se dirigea, accompagnée de son homme de main, en direction de ses quartiers. Les alarmes à répétition sur sa tablette ne lui importaient guère. Rien ne bien grave ne pouvait arriver. Arrivée dans l'édifice, Mimi prit la peine de finalement regarder les notifications. Montant les escaliers elle constata avec horreur la disparition de son jouet ... La Capitale Jouvence© N'était plus ...
"-QUOOOIIIIII !"
Elle décida de se rendre en vitesse vers son bureau pour essayer d'avoir plus amples explications. Elle ne trouva qu'un seul garde à la porte, qui eut la bonté de lui ouvrir. Elle entendit des bruits forts inquiétants émanant d'une des pièces de la résidence. À mesure qu'elle s'approchait de sa destination, les cris s'intensifièrent et prirent l'aspect de cris de plaisir. Elle constata l'absence de sa coincée de secrétaire et il n'en fallu pas plus pour entrevoir la suite. Cette guenon batifolait sur le meuble de Mimi. Cette guenon était entrain de se faire prendre par un garde sur la table. Elle ouvra la porte et sa crainte se confirma. Elle ne su d'abord quoi faire. Son entrée dans la pièce n'eut aucun effet sur les deux amants qui s'adonnaient à des amourettes encore plus sauvages et brutales qu'elle n'aurait pu l'imaginer. Elle trouva les jambes écartées de sa "secrétaire" et l'un de ses gardes s'en occuper, manifestement comme il fallait.
Elle s'avança encore un peu et je mis à hurler tellement fort que c'était à se demander si tout le palais ne l'avait pas écouté.
"-ZA VUTCH' URRAYN !!!!"
(je vais vous tuer)
Les deux ordures, car il n'y avait pas d'autre nom pour qualifier des bêtes pareil, se mirent au garde à vous devant Mimi, à poil pour l'une et à demi couvert pour l'autre. L'édifice pointé à minuit (ou midi).
Elle constata son bureau dévasté, les boutons de commande tous à moitié enfoncés et ne semblant plus vouloir sortir. Elle venait de comprendre pourquoi ses efforts si durement acquis s'étaient envolés en une fraction de seconde. Cette salope, couchée sur le meuble en bois, écrasa la plupart des boutons sous le poids de son corps et les secousses à répétitions. Elle essaya tant bien que mal de voir si l'un des bouton allait remonter ... sans succès. Cette guenon a trouver le moyen d'enfoncer l'un des boutons à ne surtout pas toucher.
Elle remonta ses lunettes, regarda les deux individus, une colère noire l'habitait. Elle leur passa une engueulade dont ils n'allaient pas sortir vivant.
"- JE VAIS VOUS TUER !"
Un je vais vous tuer à en faire exploser les tympans. Mimi avait une voix aiguë ...
"- Espèce de trainée ... comment as-tu osé me voler mon jouet ... Comment as-tu osé venir ici, sur mon bureau, te faire attraper par se type sans cervelle. Comment as-tu pu être aussi conne !!!
Je vais te tuer, et toi aussi, je vais vous tuer tous les deux en public, pendu comme des prisonniers de guerre de l'ancien temps."
Elle prit la décision de punir personnelle la secrétaire, laissant au garde avec des couilles à la place du cerveau reprendre sa place, son sort sera réglé plus tard. Elle ordonna à ses gardes personnels d'escorter la péripatéticienne hors de sa vue. Dans une cage à la mesure de sa condition dans un de ses vaisseaux. Elle ne voulait pas choquer les civilisations étrangères par une exécution public en pleine assemblée.
Elle s'assit sur ton fauteuil. La mine défaite, n'ayant que les yeux pour pleurer. Son nouvel ami tenta de la réconforter. Mimi se mise à parler toute seule sans faire attention à qui que se soit.
"-Za devina, za xotesh. Protch'ak ? Protch zne ta clavna breyan't brigands planet Capiale Jouvence© ??? ... Drazvnya !"
(J'en ai marre, j'en peut plus. Pourquoi moi ? Pourquoi a-t-elle donné la planète Capitale Jouvence© aux brigands ?? ... Vengeance !)
Cdt. Les suceuses de Sang
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13/04/1017 ETU 11:25
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[HRP : Dans un soucis d'authenticité et de cohérence, les informations contenues dans ce post son là pour alimenter l'histoire RP de Mimi. Ces informations ne peuvent servir d'arguments ou de sources à d'autres interventions. Merci de votre compréhension.]
Mimi était assise dans un coin de la pièce, la mine pensive. Le regard était tourné sur l'extérieur. La fenêtre donnait sur l'espace. Dans ses yeux, les couleurs harmonieusement réparties et très diversifiées se confondaient avec ses pensées. Impossible de savoir lesquels des deux la préoccupait vraiment.
Elle se dirigeait vers le Sénat de l'Assemblée galactique. De retour après l'exécution de la traitresse. La scène se répète encore et toujours dans sa tête. Cette pauvre fille, baisant sur le bureau et se retrouvant désormais morte, prête à rejoindre les autres cadavres acheminés jusqu'à l'usine.
Sa mort fut brusque et sans détour, la pendaison. Exécutée en place public, à la vue de tous. Le sort de celle-ci était réglé. Mimi sentait au plus profond d'elle même que malgré sa décision irrévocable, les choses auraient pu se passer autrement. Elle aurait très bien pu faire en sorte que personne n'est eut accès à cette pièce pendant son absence. Elle aurait pu faire en sorte que cette coincée soit dans des conditions plus respectables, plutôt que sur un bureau. Elle sombra dans ses pensées et ses doutes sans pouvoir manifestement en sortir. Soudain la porte s'ouvrit, la ramenant à la réalité. Son fidèle et loyal serviteur vient lui apporter de quoi se restaurer.
Il constata l'état de Mimi, un peu pâle et désorienté.
"-Madame ? Tout va bien ?"
Elle mit du temps à répondre, le décalage était encore présent. Elle tourna la tête et envisagea de parler.
"-Oui. Oui, oui ça va. Rien de spécial. Je pensais juste à des trucs sans importances."
Sur un petit chariot, se trouvaient bon nombre de plats et de nourritures, des boissons entreposées dans des carafes en verre. Mimi ne bougea pas d'un poil. La petite tablette devant elle ferait l'affaire. L'envie ne se prêtez pas à l'appétit.
"-Madame ? Vous avez faim ?"
Elle le regarda dans les yeux.
"-NON ! Mais puisque de toute façon vous n'allez pas quitter cette pièce sans me voir manger, je suppose que je n'ai pas le choix ??"
Il avança jusqu'à elle. Elle se servit en viennoiseries et jus d'orange. Une tasse sur le rebord de la table allait lui servir pour y verser son Thé à la Menthe. Son regarda croisa de nouveau le sien.
"-Assis et manges !"
Sans rien dire, il s'exécuta. Ils se retrouvèrent désormais l'un en face de l'autre, à manger dans un silence glacial, à couteaux tirés. Plusieurs fois l'homme voulu dire quelque chose mais à la dernière minute, il se retenait. Ne sachant pas comment Miranda réagirait, il préférait la laisser s'alimenter paisiblement.
§
La planète Capitale Jouvence© était en vu. Bientôt, elle retrouverait ses appartements, ses fonctions et son fauteuil ! Voyant un peu de lumière émanant du soleil proche de la planète, le sourire lui revient et comme par magie, comme une étincelle dans ses yeux, elle était de nouveau elle-même. Son côté morose se dissout et Mimi la vaillante réapparu.
"-Debout ! Allons retrouver mes quartiers. Mes fonctions m'attendent et j'ai des culs à botter."
Il esquissa un sourire. La voire heureuse de nouveau le réconfortait. Son côté un peu fo-folle, combiné avec sa taille et son espèce de posture, donnait Mimi un genre bien à elle. Le mystère l'habitait. Mimi, qui es-tu Mimi ??
Quelques minutes plus tard, c'est sur le sol de la planète que l'on retrouvait la directrice du D.E.I.G Jouvence©. De nouveau dans les parcs, foulant une nouvelle fois ses terres comme au premier jour. La vue du palais la rendait de plus en plus surexcitée à tel point que Tom (oui son chouchou s'appelle Tom), dû essayer de la calmer un peu.
"-ARFFF ! Mais laisse moi savourer mon retour crétin. Tu vois pas que de nouveau, je me sens chez moi. Je vais finir par écraser ses sales moucherons de malheurs qui me tournent autour. Il va y avoir du ménage ! Mais avant, je dois voir par moi-même cette nouvelle installation. Je dois voir si ce réparateur a réussit à me récupérer mon jouet !"
Durant son voyage, Charlen Miranda, avait contacter le réparateur et investit plus de 500Mo£ dans la rénovation et le changement du système de contrôle. Ses fonctions ne seraient plus dirigés par des boutons encastrés dans un fichu meuble servant quelque fois de nid à plaisir. Elle avait prit le soin de clarifier un point avec lui. Elle voulait retrouver son bébé.
Sur la façade du Palais, trônaient deux magnifiques drapeaux, ses drapeaux, celui qu'elle avait choisi pour représenter le gouvernement galactique ! Pour le moment, certains détails n'apparaissaient pas. Il fallait encore du temps. La peinture se faisait à même la toile à des dizaines de mètres au dessus du sol par des pauvres travailleurs risquant horriblement leur vie pour accomplir cette tâche qui aurait pu se faire sur sol. Pour le moment on trouvait le J© Parfaitement jaune et inscrit en plein milieu.
Elle arriva sous le pavillon de la porte.
"-Ah merveilleux, enfin nous sommes à la maison. Bébé, j'arrive !"
Les portes s'ouvrirent devant elle et une armada de personne, travaillant de nouveaux sous ses ordres étaient là à l'attendre. Un comité spécialement venu pour l'accueillir. Un tonnerre d'applaudissement pour Mimi. Mimi la vaillante. Mimi la magnifique. Et Mimi l'imprévisible.
§
Désormais dans son bureau, elle posa ses fesses sur l'assise et se sentit comme au paradis. Un meuble parfait pour elle, une vue toujours aussi magique et son nouveau système de contrôle.
"-OHHH ! GÉNIALE ! AHAHAHAH!
OH ! Juste ciel, c'est du génie pur et dur."
Elle avait désormais un système entièrement informatisé tournant sur son propre réseau et sur son propre système d'exploitation. Des lignes de codes écrites uniquement pour son joujou et une interaction possible avec toutes les machines dans la galaxie. Deux nouvelles tablettes l'attendaient, avec un système de verrous hors norme. Impossible de prendre les deux à la fois. Ce système permettait en cas de retrait de l'une des tablettes, la disparition de la seconde. Les commandes, elles, étaient contrôlés avec des neuro-capteurs, comme un petit patch que Mimi se collerait à la tempe et qui lui permettrai d'exécuter ses moindres désirs en une fraction de seconde. Pure merveille.
"-Que la fête commence."
Dit-elle d'un regard sadique.
"-Maintenant que j'ai récupéré mon joujou, ça va saigner !"
Elle sourit.

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