Cdt. Gimli II le Grand
Respect diplomatique : 125 07/06/1017 ETU 10:36 |
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Score : 11
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RP Privé sauf Oberyn Martell. Pour tous personnages en lien direct avec cette histoire, s'il y en a encore, me contacter... Dans le palais sectoriel, existait une galerie. Agencée en demi-lune, avec de grande baies vitrées, elle donnait sur le magnifique paysage qu'offrait cette contrée verdoyante. A l'extrémité de cette galerie se tenait un homme. Cet homme avait du être grand, car son visage était emprunt de noblesse, mais une noblesse quelque peu fanée maintenant. Le temps et les épreuves avaient marqué son visage et sa grandeur s'était voûtée sous le poids des années. De fait, il était courbé, appuyé sur une canne. Ses cheveux long, qui laissait entrevoir une blondeur passée, blanchissaient. Néanmoins, sa peau, restait tout aussi lisse qu'au jour de sa naissance. Ses yeux bleu semblaient se perdre dans l'immensité du paysage. Il pensait. Toutes ses années passées comme conseiller auprès de son ami défilait devant ses yeux. Aujourd'hui, il était toujours là pour son Roi. Il servait le fils de son ami maintenant. Il ferma les yeux et revît ce qui l'avait conduit là. Une armada de vaisseau s'éloignait des planètes de l'empire Nain. Révolution venait de sombrer dans l'apocalypse, le compte à rebours s'était inversé. Le Grand Roi était fier, son peuple avait survécu. S'engageait maintenant une odyssée. Le Grand Roi Gimli Ier se tenait face à la baie principale du vaisseau. Il regardait nostalgique cette galaxie qu'il avait temps aimé. A ses côtés se tenait un jeune garçonnet qui sanglotait. "Ne pleure pas mon garçon, ni ton père, ni ta mère, paix à leurs âmes, n'auraient voulu te voir triste. Sois digne d'eux. Toujours. Allez va maintenant, retrouve ton ami, prends un peu de repos." Le garçon parti avec son serviteur. Le grand Roi appela son conseiller. "Lourde charge que l'on m'a confié là que de mener ce garçon à son tuteur. C'est un tord qu'a eu Verinus que de nous laisser sa charge le temps qu'il enterre son maître et son illustre épouse. Ah, si elle nous avait fait quelque peu confiance, si elle avait su... Part mon ami, prend les dignitaires et rejoint mon fils sur sa navette. Je souhaite rester seul avec le garçon et lui conter la grandeur de ses parents. Va." Le conseiller obéit. Il prit avec lui Grapin le juge, Balin le diplomate et tous les membres du conseil. Ils empruntèrent alors une navette et suivirent la direction de la navette princière, en queue de cortège. En chemin, le conseiller gardait les yeux fixé sur la navette Royale, seule en tête. Lorsque qu'une lueur intense l'obligea à fermer les yeux. Quand il les ré-ouvrit, la navette royale avait disparu. Un vaisseau Salusien s'éloignait. " Ce n'est pas possible" hurla le conseiller. A cet instant un message tomba : "Qu'il en advienne de même à tous ceux qui trahissent l'Empereur. Le bien vous laisse à vous la vie sauve peuple du traître, mais vous ne devez pas vous rendre en Catharsis ou vous subirez le sort du misérable qui vous servait de roi" Ces souvenirs douloureux firent monter des larmes aux yeux du vieil homme. C'était ainsi que lui, son peuple et son nouveau roi s'étaient retrouvés dans cette galaxie, loin de leurs anciens amis. Il murmura cinq noms tout en serrant un collier orné d'un diamant. "Gimli, Jon, Chrysalide, Tekoa, Houarin... quel gâchi ! " Puis il leva les yeux au ciel. Une lueur de haine traversa son regard... "Flavius..."
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Cdt. Oberyn Martell
Respect diplomatique : 215 07/06/1017 ETU 10:32 |
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Score : 8
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De l'autre côté de cette fameuse galerie se tenait un homme, un vieil homme. Il arborait une tenue d'officiers dorniens ce qui prouvait son importance malgré son âge quelque peu avancé. La sagesse n'avait pas agi que sur la couleur de ses cheveux, d'un blanc immaculé puisqu'il se trouvait dorénavant dans le Conseil du seigneur Oberyn. Debout et l'allure fière, il tenait de sa main droite une canne ressemblant à celles de maréchaux. Il marchait en repensant aux événements passés... Relève-toi merdeux ! Oberyn se releva difficilement, pour prendre un coup de bâton dans le ventre. Il étouffa un cri et se releva, reprit son bâton et se remit en garde. Ce n’est pas parce-que tu as douze ans que tu dois tomber, où ils te tueront. Du doigt, il montra quelques gardes à la mine sévère qui scrutaient les jeunes éphèbes à l’affut des faibles qui seraient pris le soir, et égorgé au-dessus de la falaise du palais, les faibles n’ayant pas leur place dans l’armée d’Elvar. René, car c’était lui l’entraîneur, le laissa et dit : Toi ! Va face à ce jeune là et entraînez-vous, je veux voir du mouvement, je veux voir de la sueur, je veux voir du sang, mais si je vois des larmes, je m’occuperai moi-même de vous ! Et ainsi les années passèrent jusqu’à ce qu’Oberyn atteigne ses 17 ans, la majorité dornienne. Des enfants de son âge, soit 358 958, il n’en restait que 76 809 en vie. Les autres étaient soit morts, soit esclaves qui était la seconde option de la faiblesse reconnue, soit, pour les jolies femmes qui auraient fait preuve de faiblesse, d’esclaves domestiques et sexuelles. Et ainsi, il intégra en tant que sous-officiers l’armée d’Elvar le Terrible. Ils pillèrent les rares peuples qui n’étaient pas encore sous domination du roi de Dorne, tuant, égorgeant, violant les populations, brûlant et volant les plantations, prenant quelques places fortes qui étaient reprises peu après cependant. Un jour qu’il était dans l’un de ces pillages en tant que commandant car il avait pris du galon, et qu’il venait de tuer un rare soldat ennemi encore présent, il sentit une présence derrière lui. Se retournant, il prit une mine de surprise en voyant un vieil homme armé d’un pistolet mitrailleur laser d’une technologie bien plus avancée que la leur pointée sur lui. Le vieil homme le fixait. Puis, voyant quelque chose que même Oberyn ne voyait en lui, il lui dit : Suis-moi et tu auras la vie sauve. Alors Oberyn le suivit. Ils entrèrent dans le bois bordant le village, et entrèrent par un soupirail caché sous un buisson dans un complexe souterrain. Là, il arriva dans une vaste salle où se trouvaient des centaines d’hommes, certains le connaissaient et lui firent des sourires. Alors tout changea pour lui.
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Cdt. Gimli II le Grand
Respect diplomatique : 125 07/06/1017 ETU 21:37 |
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Score : 3
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"Comment en sommes-nous arrivé là ?" Le vieil homme était songeur. Il revoyait le commencement de tous ces ennuis, de la trahison qu'aurait commise le grand Roi. Il était allé un jour vers Jon. Plusieurs fois ils avaient essayé de réformer ensemble avec une autre grande commandante de rendre le pouvoir plus accessible à tous. Cette commandante, épouse de Jon avait perdu ses illusions en l'empereur en même temps qu'elle fut déçu par un procès retentissant. Inutile procès... Jon et le grand roi s'était éloigné d'elle et rapproché de l'empereur. De zélés serviteur assurément. Cela cachait bien des choses... Une coalition. PAM : Pacte d'Alliance Mutuelle, contracté entre Jon, Houarin et le Grand Roi, avec pour but résister secrètement à l'empereur et préparer la suite. Ainsi, dans un secteur caché, que Gimli Ier et Jon avait réussi à faire protéger par l'empereur lui-même, une coalition était née, pour mutualiser les stocks secrets d'apotium des trois alliés. Pour protéger ce stock d'un espionnage qui aboutirait à une dénonciation, ils firent en sorte d'éloigner ou d'éliminer tous ceux qui pourrait représenter un danger. Ainsi ils se brouillèrent et s'éloignèrent de leurs anciens amis, ils leur firent même la guerre, trouvant prétexte pour que l'empereur les suivent, voir les précèdent en se coupant ainsi lui aussi de ses autres appui. En façade une loyauté sans faille au système, derrière, une violation grave de la loi impériale avec au final un stock accumulé lors de l'apocalypse de 2500 apotium. C'est ce qui avait permis au Grand Roi de s'échapper. A quel prix, la mort de Jon, la mort de sa marraine,... et puis sa propre mort,poursuivi par la vindicte inutile d'un despote mesquin Un nouvelle larme roula sur la joue du vieillard. Il avait été aux premières loges de ce double jeu politique qui s'était avéré si coûteux. Mais son peuple pouvait être fière de son Grand Roi, toujours il avait suivi sa ligne politique, ses amis et son peuple d'abord. L'empereur avait été de ces amis, mais un jour tout avait basculé. Ce jour-là, le Grand Roi avait perdu deux de ses amis... Le vieillard avança de quelques pas.
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Cdt. Oberyn Martell
Respect diplomatique : 215 08/06/1017 ETU 13:15 |
Score : 2
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L’homme dans la galerie s’arrêta. Il remarqua qu’il se trouvait devant un panorama remarquable. Le paysage se découpait en collines abruptes verdoyantes. Certains animaux étaient visibles, et il cru voir même un dahu. En riant parce qu’il savait que cela n’existait pas, il repensa au passé… C’était quelques mois après avoir rejoint les rebelles à l’autorité d’Elvar, et il avait prit le commandement d'un groupe. En l’espace de quelques jours, ils avaient tenté d’attaquer de multiples forts, avec succès, mais avaient déclenché l’ire du roi Elvar. Ils avaient donc dû reculer, mais le vieil homme avait prit une tenue noire, totalement noire avec un large manteau de la même couleur. Il rassembla les hommes et femmes en déroute totale dans les souterrains en faisant un discours : « Dorniens ! Votre peuple souffre ! Vos enfants et vos vieillards, vos maris, vos amants, et vos proches sont esclaves d’une domination immonde ! Voulez-vous subir le même sort que ceux-ci ? Irez-vous implore le pardon de celui qui vous tuera sans sourciller ? Vous savez le sort qui nous attend si l’on perd, la mort. Aujourd’hui, nous avons perdu des organisateurs autoproclamés chefs mais dans les combats, c’est un chef, un seigneur qui s’est révélé à nous. Moi, Verinus, bras armé de la Garde de Nuit sous le commandement du Lord Commandant Stark, je vous le dis sans détour, je ne suivrai que cet homme, je ne remettrai mon arme à son étui que lorsque le Seigneur Oberyn sera à la tête de Dorne ! Suivez-moi mes frères, reprenons le combat, pour les hommes, et pour Dorne ! » Les hommes se retournant, prirent la suite d’Oberyn Martell qui gagna ce jour une éclatante victoire. Et cette victoire fut complète lorsqu’ils s’aperçurent que c’était Elvar en personne qui avait été tué au milieu de ses troupes. Oberyn fonça alors sur la capitale soutenu par les rebelles et les rares nations encore indépendantes et prit le pouvoir. Verinus esquissa un sourire et reprit sa marche dans la galerie...
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Cdt. Gimli II le Grand
Respect diplomatique : 125 08/06/1017 ETU 14:07 |
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Score : 6
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Le vieillard fit encore quelques pas, perdu dans ses pensées. Il avisa dehors sur arbre dehors, un pommier, un petit nid. Sur une des branches se trouvait un petit nid avec à l'intérieur un poussin. La mère oiselle vint le nourrir. Cette image de mère et d'oisillon fit remonter chez le vieillard le souvenir de l'enfant... Leur enfant... Il naquit loin du tourment politique régnant alors dans la galaxie, dans un vaisseau de la Garde. Sa mère s'éloignait de ses anciens amis, emportée par la déception envers l'empereur. Cette déception était à la hauteur de l'espérance qu'elle avait en lui. "Une trop grande idéaliste" avait dit le Grand Roi à son ami. Leur rapport s'était dégradés, la digne mère, fidèle à ses principes avait rompu avec tous. Son ancien mari, toujours au fond épris d'elle avait voulu la mettre dans la confidence. "Elle trop honnête et trop droite pour accepter ce que nous faisons. Elle devra subir les conséquences de ses choix, nous devons poursuivre notre route. Trois peuples ont plus de valeur que les souffrances d'une dame" avait dit le Grand Roi. Son peuple... c'était la raison d'être de ce monarque qui longtemps esseulé loin des siens dans sa prime jeunesse, avait pour sa patrie un amour surdimensionné. Il aurait sacrifié sa vie pour son peuple, alors la vie d'une étrangère... Pourtant cela s'était calmé petit à petit, mais le Grand Roi refusa jusqu'au bout de mêler l'ex femme de Jon à la résistance passive engagée contre l'Empereur. Le plan était trop audacieux pour y mêler une personne scrupuleuse. Ce plan, le vieillard inclina alors la tête, la culpabilité le rongeait, il en était l'artisan... Alors que le peuple nain avait lancé un journal défendant les positions impériales aux détriments de tous les opposants, secrètement le Lord Stark et le Grand Roi s'étaient rencontré avec Houarin. Le conseiller Légolas avait proposé un plan visant à faire cesser le despotisme impériale. Le plan était sournois et audacieux, il contenait deux volets. A : Établir un stock d'apotium derrière le dos de l'empereur. Un stock qu'il protègerait sans même le savoir, des alliantistes qui eux pourraient flairer le complot. Ce stock, s'il arrivait à 5 000 apotium servirait à une révolte anti-salusienne. B : Le stock n'était pas suffisant, nous partons alors en G9 en parfaite alliance avec l'empereur. Une fois sur place nous nous établissons dans un même secteur, au nom de l'Alliance, et là, nous l'attaquons par surprise, nous le jugeons, nous le tuons. Dans le plus grand secret. Version officielle : l'empereur n'a pas survécu au voyage, deuil, tristesse, etc... De puis l'évènement, Jon et Gimli haïssaient l'empereur, même si ils admiraient au fond certains aspects de son action. Mais le plan échoua. Jon plus amoureux que jamais de sa femme, car à l'amour s'était ajouté la culpabilité de l'avoir laissée ainsi que leur fils, décida de terminer son existence près d'elle. Ils avaient tout de même confiés leur enfant à Verinus, le bras droit de Jon. Ce dernier avait croisé le convoi du peuple nain et avait demandé immédiatement audience à Gimli Ier. Il lui confia l'enfant. Il voulait retourner près de son maître afin de l'enterrer dignement. Il fixa un lieu de rendez-vous en G9 et quitta le vaisseau royale. C'est là que l'espion qui trahi le Grand Roi auprès de l'empereur réussi a quitter le cortège. Le conseiller appris plus tard qu'il s'agissait d'un partisan de Von Nel, passé au Thorium, et voulant se venger de ceux qui avait prit part à la guerre contre lui. Le vieillard fit trois pas de plus, regarda le ciel, soupira "Flavius... si seulement tu avais tenu tes promesses..."
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Cdt. Oberyn Martell
Respect diplomatique : 215 12/06/1017 ETU 09:17 |
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Score : 3
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Verinus sourit, et se dit intérieurement que c’était ce discours qui lui valait sa place actuelle. Mais tout cela, cette histoire, son histoire, elle venait de bien avant, dans une autre galaxie… Une dizaine de cycles avant l’apocalypse de la galaxie Révolution, il avait reçu l’ordre de son Lord Commandant de rejoindre la capitale à bord d’un vaisseau. Et ce vaisseau là avait survécu, un vrai miracle. Mais Jon avait péri, chez son épouse, une illustre commandante qu’il avait toujours admirée. Avant l’apocalypse, il avait recueilli leur enfant, Tekoa, et son serviteur, Close. Peu après ce moment, Verinus était descendu sur la planète où ils étaient morts, afin d’honorer leurs dépouilles et de les enterrer dignement. A cette fin, il avait confié l’enfant et son serviteur au Grand roi Gimli en disant : C’est le fils de Jon et de sa femme, prenez-en soin comme de votre fils, on se rejoint dans l’autre galaxie. Il était donc descendu avec quelques rares hommes survivants, et avait trouvé les dépouilles qu’il avait honorées. Puis, il était reparti, mais la flottille dont il disposait ne l’attendait plus, elle n’était plus présente, il n’existait plus que son croiseur Fregger. Au loin, il remarqua que des vaisseaux s’éloignaient, mais il ne put discerner à qui ils appartenaient. Il fit l’inventaire et ne trouva qu’une dizaine d’unités d’apotium mais s’en servit pour rejoindre la galaxie 9, Catharsis. Cependant, durant le voyage, quelque chose de curieux se produisit, ils entendirent de nombreux bruits de carrosseries, et des pannes d’éléments se ressentaient. Puis, ils se sentirent happés par une atmosphère et s’écrasèrent plus qu’ils n’atterrirent sur une planète tempérée dans la galaxie Clairvoyance et là, les quelques rares hommes à avoir survécu furent recueillis par un peuple qui disparut avant qu'ils ne repartent vers Lancehélion I. Et c’est là qu’il rencontra les rebelles puis le seigneur Oberyn. Verinus avait cherché par tous les moyens de savoir à qui appartenait les vaisseaux qui avaient détruit sa flottille, mais plus il cherchait, et moins il trouvait, jusqu'à ce qu'un jour, en regardant la vidéo de son croiseur dont il avait récupéré les enregistrements et les boites noires, il fit un zoom et découvrit sur l'un des vaisseaux un fragment non caché de l'emblème salusien. Verinus, de surprise et de colère dit pour lui-même : Flavius, toi et moi, l'un de nous deux mourra Le regard sombre, il reprit sa marche, il arrivait presque à la moitié de la galerie.
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Cdt. Gimli II le Grand
Respect diplomatique : 125 12/06/1017 ETU 09:58 |
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Le vieillard fit encore quelque pas... Un ombre était visible sur le sol. Il hésita à appeler. Qui pouvait être là? Il ne fit rien. Il verrait... Ses souvenirs remontaient, plus douloureux les uns que les autres... Cet évènement qui a tout fait basculer... Le Grand Roi venait d'obtenir son royaume, ami de Jon, il fut introduit à l'assemblée. Plein de confiance envers l'empereur et le conseil, il les suivit dans la répression du complot des commandant de la Galaxie 7. Puis il y eu le procès. Le réveil de Chrysalide, révoltée contre la manière d'agir de l'empereur. A ce moment, le Grand compris que la manière d'agir de la commandante ne pourrait mener qu'au martyr et à rien d'autre. Il trouva Jon et ils établirent qu'il fallait trouver une forme de résistance bien plus sournoise. C'est ce qu'il firent lorsque qu'ils eurent la certitude que le dit complot était une opération montée de toute pièce par l'empereur et l'ancien dictateur de Galaxie 7. Le Grand Roi essaya de montrer à l'empereur qu'il n'était pas dupe de cela en faisant juger et condamner l'ancien dictateur. Loin de se démonter, ne voyant pas que la condamnation de son complice était un aveu de la culpabilité impériale (Le condamné Londo n'avait aucun intérêt à agir seul) l'empereur ne se laissa pas perturber et joua la victime. Personne ne fut dupe. Le vieillard était songeur. Ce complot minable visant à accroître un pouvoir bien grand déjà... Voilà ce qui avait conduit à la mort de deux grands commandants et de leur fils, à la mort du Grand Roi, à l’exil du peuple nain. L'ombre grandissait. Un instant le vieillard mis la main sur le manche de sa lame. Puis il renonça. Il ferma un instant les yeux, puis d'un pas décidé, il fit le choix d'aller au devant de son destin. |
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Cdt. Gimli II le Grand
Respect diplomatique : 125 12/06/1017 ETU 10:00 |
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Score : 2
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Il se lança. Il se retrouva face à un homme de sa taille, avec une canne lui aussi. Le soleil l'empêcha d'abord de distinguer son visage. Il s'avança, plissa les yeux, ce fut un choc... Verinus !
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Cdt. Oberyn Martell
Respect diplomatique : 215 12/06/1017 ETU 10:06 |
Score : 2
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Verinus entendit d'abord des bruits de pas de l'autre côté de la galerie. Comme il s'appuyait sur sa canne, il la serra un peu plus de manière à faire attention, et toucha au bouton qui pouvait dévisser la canne et en faire sortir une arme à feu. Ce qu'il vit lui cloua le bec, il n'en croyait pas ses yeux : Verinus ! Verinus changea son regard noir pour un nouveau pétillant et un large sourire et lui répondit : Légolas ? Oh ben mince alors, qu'est-ce que tu fais là ? Raconte-moi tout
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Cdt. Gimli II le Grand
Respect diplomatique : 125 12/06/1017 ETU 10:29 |
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Hrp : https://www.youtube.com/watch?v=m3KpEMyl-oY snif snif... (à garder jusqu'à la prochaine) Légolas prit un air sombre. Il avait à l'esprit la perte du fardeau que lui avait confié Vérinus. Nul doute que les explications concernaient l'enfant qu'ils n'avaient pas su protéger. Il avisa un banc... Il alla s'affaler dessus. Il réussi à articuler, Pardonne-moi Vérinus, pardonne-moi...
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