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Au plaisir de vous féconder.

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Cdt. A.T.L.A.S
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10/06/1017 ETU 18:16
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[HRP] : A la base, cet échange devait avoir lieu par COM-X, mais on s'est dit que quand-même, ce serait bien que tout le monde en profite. Néanmoins, si on le poste ici, considérez que cet échange est privé, et qu'aucun de vos personnages n'est au courant que ça a eu lieu.
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C'était une de ces belles journées artificielles sur la station A.T.L.A.S ; une de ces belles journées où Andrew, une fois de plus et en tant que bienfaisant maître de l'univers et plus si affinité, avait décidé, dans sa titanesque mansuétude, de prendre congé.
Depuis ses appartements, il s'était habillé d'un simple peignoir, et s'en était allé sur son balcon depuis lequel il observait les superbes jardins suspendus de l'hypercologie gouvernementale.
Il y avait cet espèce de lierre alien, totalement floral, qui emplissait l'air d'un parfum assez jasmin. Andrew poussa un soupire amoureux que d'aucuns diront dégueulasse au possible ; puis, l'on frappa à sa porte.
"M'sieur Andrew ! Hephep !"
C'était Opale, sa nouvelle conseillère en communication. Le vieux bougre en avait besoin, et depuis qu'elle avait pris son poste, il n'avait pour ainsi dire plus dit un seul mot à l'assemblée. Et décidément, ça semblait être une bonne stratégie, qui était plus qu'utile au bien-être de tous et de toutes.
"Vous v'nez m'ouvrir, oui ou merde ?!"
Il soupira encore, appuya sur une touche depuis son HUD, et la porte de ses quartiers s'ouvrit.
"Sur le balcon."
Il tira la moue, tandis que la Seelie marcha jusqu'à lui, en traversant des sales toutes aussi luxueuses les unes que les autres. Le balcon d'Andrew était, en fait, plutôt un genre d'énorme terrasse, malgré le fait qu'il la qualifiait de balcon, mais ça, c'était bien car il avait un vocabulaire très limité, comme la suite de cette aventure nous le prouvera. La terrasse, donc, était assez large pour que, dessus, on y trouva une piscine, une cuisine en extérieur avec un pizzaïolo automatisé ainsi qu'un kebab, et toute une chiée de transat qui étaient soit vides, soient couvertes de prostiputes. Fort heureusement, ce n'était, pour une fois, pas le cas.
Andrew sortit un paquet de clope, en tendit une à son interlocutrice qui refusa poliment, explicitant qu'elle avait arrêté de fumer, et ensuite, s'en grilla une en soufflant dans le vide.
"Qu'est-ce-qu'il y a ?
- Eh bien, vous m'avez fait mander. Comme d'habitude, j'ai cru que c'était encore pour une connerie dégueulasse, toi-même-tu-sais comme dirait l'autre, mais comme pour la première fois vous avez utilisé le mot "important", j'ai jugé que ça valait la peine que je me déplace, d'autant plus que ça semble assez privé pour que vous vouliez me voir en tête à tête. C'est quelque chose de... Secret défense ?
- On peut dire ça.
- Oui, eeet... ? Vous allez aborder le sujet, oui ou merde ?"
Le concerné lui envoya un air profond, sombre et mélancolique pour seule réponse. L'air sévère, grave, il apposa son index et son majeur de sa main gauche sur son front, avant de prendre un air toujours aussi profond quelque méditatif, et poussa un énième soupir profond, avant de mirer l'horizon.
La Seelie tiqua.
"Putain mais ça veut dire quoi, ça ?! C'est pas une réponse !
- Opale.
- Quoi !"
Courte pause, grande tension.
"Je crois que je suis amoureux."
La Seelie fit deux pas en arrière, avec un sourire à la fois exaspéré, tordu, et gêné.
"Ok, ok. Bon. Ok. J'en ai déjà trop entendu. Putain, je... Non. Juste, non. Je ne veux rien savoir de plus. Rien entendre. Et encore moins considérer que vous envisagiez très sérieusement d'avoir une progéniture. Déjà que les responsabilités ne sont pas faites pour vous, alors des gosses... Juste, non. Je... Je vais oublier ce que je viens d'entendre, démissionner, et continuer ma vie comme si rien de tout cela ne s'était jamais passé. On dit qu'on fait comme ça, ok ? Hein ?"
La conseillère en com' fit deux trois pas en arrière, pénétrant dans la salle attenante avec pour projet de foutre le camp de la baraque de cet espèce de sale taré. Quoique, elle s'arrêta, et fit demi tour pour retourner vers la terrasse, où elle s'adossa à une porte vitrée qui était ouverte ; elle fixa son boss en fronçant les sourcils et en croisant les bras.
"Hemmm... Simple curiosité malsaine, qui est la malheureuse élue ? J'ai cru que vous parliez de moi, hein, mais sachez que mes remarques précédents s'appliquent à tout être conscient susceptible d'être appréhendé par votre humble personne. J'dis ça, j'dis rien. Du coup, c'est qui ?"
L'autre ne répondit pas immédiatement, et lorsqu'il recommença à parler, c'était toujours avec cet air beaucoup trop profond et mélancolique, tandis qu'il faisait de grandes gestes théâtraux de la main droite.
"Mon amour de toujours que j'ai cru à tout jamais perdue !
- Tout ceci n'a aucun sens.
- MON AMOUR DE TOUJOURS QUI LE PRINTEMPS M'A FAIT LE RAPPELER !
- On est dans l'espace, il n'y a pas de saisons.
- MON AMOUR DE TOUJOURS QUE POUR BAISER JE VAIS PAYER !
- Une énième prostituée ?
- MON AMOUR, MA MOUMOUNE, ALYSE NILFHEIM II !"
Opale hocha de la tête à trois ou quatre reprises. D'un index, elle se frotta machinalement un oeil, hocha encore la tête, et considéra ce qu'elle venait d'entendre. L'information mit bien cinq à dix secondes à être appréhendée, calculée et considérée, et Opale arriva à la conclusion que toute cette histoire allait très, mais alors, très mal finir, et qu'il n'était aucune itération de la réalité où la suite des événements allait bien pouvoir se passer.
"Vous déconnez j'espère ? Vous ne comptez pas la payer, ou je ne sais quoi ?
- Pas besoin. Je sais qu'elle cédera à mes avances. Mais, vous savez, les femmes aiment les cadeaux. Les beaux bijoux, de telles choses. Alors, oui, alors, je vais lui offrir quelque chose. Mais, ne sachant, je me suis dit que, vous, qui disposez d'un vagin et êtes, de fait, une femme, sauriez ce qu'elle aimerait.
- Je suis obligée de répondre à cette question tordue ?
- Vous êtes payée pour.
- Putaiiin... M'ok. Mmh. Difficile à dire, disons que tout ça, en fait, ça me passe un peu au dessus de la tête. Je ne suis pas de ces coconnes un peu superficielles que l'on peut acheter comme ça.
- L'impératrice en fait parti.
- C'est comme ça que vous la voyez ?! Quoique, remarque, c'est pas inex-Tttsss, bref. On parle de l'impératrice ? Etant donné que vous êtes un de ces principaux fournisseurs, je doute que vous puissiez lui offrir quelque chose qu'elle n'ait pas déjà eu de vous. Je sais qu'elle aime les armes et les légions de clones, ainsi que le fast et le luxe, mais... En vrai, même si on dirait pas, elle fait parti de ceux qui aiment et qui savent s'éclater, alors... Bwarf. C'est une grande fille. Je sais pas, moi, putain, arrêtez de me regarder comme ça ! Vous pouvez lui offrir, heh... Un monde ? Une planète préparée rien que pour elle avec son nom terraformé dessus ? Non, ce serait un peu kitsch. Vous pourriez... Vous pourriez..."
Elle garda les bras croisés, et baissa la tête.
"Vous pourriez... Hm. L'inviter à din- Non, oubliez, vous n'en seriez pas capable sans que ça dégénère totalement, c'est trop tôt. Vous voulez lui livrer un truc, c'est ça ?
- C'est ça. Point encore de rapport charnel, pas dès le début.
- Je pensais à un dîner. Pas à...
- C'est bon, j'ai une idée. Je sais ! JE SAIS ! JE VAIS ECRIIIIIRE... UN POÈME !
- Malgré le fait que je sois votre conseillère com', je refuse de participer à cette mascarade.
- N'AYEZ CRAINTE, TOUT BON ROMANTIQUE QUI SE RESPECTE DOIT LE REDIGER DE LUI-MÊME ! ET AVEC CE POEME, OUI, JE LUI FERAI PARVENIR QUELQUES PRESENTS !
- Certes...
- Merci pour vos conseils, très chère. A présent, vous pouvez disposer."
La Seelie haussa les épaules, l'air de dire "eh, mais je n'ai servi à rien, là, vous savez", mais, sans commentaire, quitta la sale. Andrew, quant à lui, alla s'allonger sur un de ses transats, et observa le ciel artificiel de la station, dont les nuées se mouvaient à la vitesse d'un vent absent.
Puis, il commença à écrire.
~ ~ ~
" target="_blank" rel="nofollow">https://www.youtube.com/watch?v=fQNzAMDrFNs
Tel fut le com-x que l'impératrice reçut.
Ô mon impératrice,
Au regard de génisse,
Me voila, serviteur dévoué,
Toujours prêt à vous ausculter,
Le printemps m'évoque l'odeur de votre parfum,
Le printemps appelle mon sexe, ce monstre inhumain,
Gourmande, qui veille à votre chasteté,
L'on se demande ; l'amour est débridé,
Ici, débridé comme la monture que je suis,
Qui, après être passé derrière, vous essuie,
On dit : "ah, le vieil Andrew,
qu'est-ce-qu'il a mis dans le trou !"
On la surnomme Alyse-la-fesse-blanche,
On le surnomme Andrew-le-grand-centaure,
On la surnomme Alyse-dévore-le-manche,
On le surnomme Andrew-le-chibre-d'or,
Chaque jour qui s'écoule, je sue, voyant votre mine,
Ça coule, je sue, devant vous céleste praline,
Un amour qui se met à table de vierges arables,
Mirant beauté vaginalement motocultables,
Quatre hectares de terre, trois chèvres, deux pots de miel, han !
Un compte minecraft, plus encore, tels sont mes présents,
Et dix milliars de leems, de votre cavalier,
Qui, crinière au vent, s'en ira vous chevaucher.
~ Avec amour, sucre et pralinée,
~ Votre dévoué serviteur, Andrew l'homme de grâce.
[Avec ce poème arriva un cargo transportant quatre hectares de terres, trois chèvres, deux pots de miel et un compte minecraft, ainsi que dix milliars de leems, ce qui était une petite somme, mais plus que suffisante pour s'acheter quelques bagues de fiancés. L'offre était de toute évidence sérieuse.]
Cdte. Alyse Niflheim II
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10/06/1017 ETU 19:46
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https://youtu.be/cCrKncOpE7Q
"Bon."
Alyse se tenait droite, entourée de Scylla et de l'amiral Teclys. Ils étaient installés sur une petite plateforme suspendue à côté de la carlingue rutilante d'un énorme cargo A.T.L.A.S. L'appareil était arrivé depuis moins d'une heure et des drones avaient commencés à décharger. Si les militaires semblaient quelque-peu circonspect, l'Impératrice, elle, se contentait de fixer l'infinie d'un air oscillant entre la simple lassitude et le mélancolie profonde.
Un drone passa devant le trio, ses pinces étaient refermées autour des côtes d'une chèvre qui salua l'impératrice d'un bellement hystérique, faisant au passage pivoter sa tête selon des angles extrêmes.
"Sans vouloir me montrer insolent, majesté, est-ce que... Hm... Vous savez ce que c'est que ça ?"
La monarque de Verre lui indiqua que oui d'un hochement de tête. L'amiral fit la moue.
"Ah."
Une seconde chèvre passa, bientôt suivit par des caissons débordant de terre. L'amiral haussa un sourcil et Scylla enchaina.
"Est-ce que c'est encore un de vos paris avec monsieur Andrew ?
Elle fit signe à sa favorite que non, et celle-là hocha à son tour la tête, compréhensive.
"Je vois."
"Peut-on faire quoi-que ce soit pour vous, majesté ?"
L'Impératrice ne répondit pas. Dans la minute qui suivit, elle était parti en direction de son bureau.
....
"Andrew.
Premièrement, comme vous êtes furieusement incompétent en toute chose, un incapable complet, impressionnant de par la constance totale de son échec, je ne peux pas imaginer que l'homme à l'origine de ce glaviot littéraire soit autre-chose qu'un nègre.
Je veux l'identité de l'auteur qui a écrit ce remarquable ensemble d'insanité pour vous. En d'autres conditions j'aurai estimé qu'il s'agissait d'une arnaque bien sentie, mais compte tenue du client, l'homme a fait un travail remarquable. Ce genre de talent pourrait m'être utile dans un avenir proche, car je crois qu'il n'existe au final pas beaucoup de grands auteurs capables d'un tel talent mimétique.
Secondement, j'ose estimer que c'est une plaisanterie de mauvais gout. L'Impératrice n'a qu'un amour, et c'est l'Empire : Je ne me prostitue pas pour dix milliards.
Ceci étant dit, je veux qu'en toute chose, vous vous souveniez de celle qui vient : Quelque-soit le lieu, la situation, la condition. Quelque-soit le jour, l'heure et le moment.
En aucun cas, et d'une manière que ce soit, vous ne me baisez. Voyez vous il y a un ordre naturel qui dit que ceux possédant les moyens dominent, et je possède justement les moyens de vous dominer. Alors oui, notez bien et souvenez-vous qu'en toute situation, en toute heure, c'est moi qui vous baise.
Par ailleurs, voici un petit virement de quelques quinze milliards de leems. Je sais que vous allez épancher votre inépuisable soif de débauche, de sexe violent et de plaisir malsain dans des prostituées de luxe. En tant qu'amie profonde et dévouée, je peux au moins vous les payer.
Du reste, si cet argent était resté en ma possession, je crains qu'il ne soit arrivé malheur à votre siège social. Dix milliard, après tout, c'est suffisant pour financer des opérations de sabotage, et après l'Arche Kaiserdienne, nous savons vous comme moi que le démantèlement d’hyper-structure est l'une de nos spécialités.
Amicalement.
En tout bien tout honneur.
Et sans agressivité aucune.
Alyse.
P.-S: Si vous me répondez et que votre réponse contient une phrase dont le sens ou la forme s'approche d'une manière ou d'une autre de "C'est grâce à nous", je vous envois Scylla.
P.-P.-S: Je suis sérieuse. Ne me tentez pas, je n'aurai aucun remord à le faire."
P.-P.-P.-S: Au début j'envisageai de vous répondre en vers, mais il s'est avéré que l'arrivée imminente de votre employée du mois, Harvest, ne m'en a pas laissée le temps. Vous m'en voyez sincèrement navrée.
Cdt. A.T.L.A.S
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17/06/1017 ETU 04:17
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La réponse arriva bien rapidement.
"" Impératrice Alyse-la-blanche-fesse-Niflheim II
J'ai lu votre précédent courrier, et je dois bien avouer que, contrairement à ce que j'espérais, il ne m'a pas tant tiré une éjaculation, mais plutôt des éclats de rire : votre éternel caractère de mauvaise perdante doit, je dois bien l'avouer, faire tout votre charme.
Allons. Je relisais votre lettre, et j'ai beaucoup apprécié le fait que vous y ayez retranscrit la vérité, qui est qu'il y a un ordre naturel disant que ceux possédant les moyens les dominent , et de fait, il semblerait que moi, oh centaure, soit, par extension, le mâle dominant.
Je m'explique : c'est grâce à nous. Faites donc preuve de bon sens et reconnaissez l'être formidable que je suis, ainsi que les axiomes suivants :
C'est grâce à nous que votre empire en est là où il est aujourd'hui, grâce à nos financements multiples que jamais ni Wotek, ce sombre attardé, ni Michel, ce je-ne-sais-quoi, sauront égaler.
Et ouais ma cocotte !
Si votre dévotion et votre amour est dévoué à l'empire, alors rappelez-vous que celui-ci devant sa situation de mon fait, alors il est dans l'ordre des choses que vous reconnaissiez que toute votre grandeur et votre gloire est issue du porte-monnaie de moi : et, de fait, vous me devez amour, dévotion et compréhension.
Pour aller dans ce sens, qui est celui de la matière dominant l'esprit (je n'ai jamais réellement compris la métaphore contraire), voici un petit virement de vingt milliards de leems, visant à surenchérir, afin de vous montrer, ici, qui c'est qui porte ses couilles d'homme viril au torse velu, lequel virement saura vous rappeler qui est-ce-qui tient la barre (et cela n'est pas un euphémisme masturbatoire, bien évidemment).
Aussi, au lieu de gâcher cette somme en me la renvoyant majorée, conservez-la une fois de plus pour les conflits à venir. N'oubliez pas que la protection de votre peuple prévaut, et étant pour ma part attaché à vous, cette protection prévaut aussi à mes yeux. C'est très sincère.
Enfin, je comprendrais que, ayant perdu notre joute intellectuelle et de bon sens, votre égo vous pousse à m'envoyer Scylla : je vous invite à le faire, au plus grand bien de cette dernière, car une fois en ma possession, je saurai faire de cette vieille frigide une gourgandine dévergondée comme peu auront émergé cette génération.
Avec fidélité,
Constante et inconditionnelle,
Et pour voir à nouveau votre sourire,
Andrew Kachisky, président de conseil, fondation A.T.L.A.S.
"
P.-S : Je tenais à revenir sur cette citation : "en aucun cas, et d'une manière que ce soit, vous ne me baisez. Voyez vous il y a un ordre naturel qui dit que ceux possédant les moyens dominent, et je possède justement les moyens de vous dominer. Alors oui, notez bien et souvenez-vous qu'en toute situation, en toute heure, c'est moi qui vous baise." Sachez une chose : il n'est pas question de "c'est moi qui te baise"/"non c'est moi". Il est question de faire l'amour, alors arrêtez de vous comporter comme une goujat lubrique. Salope va."
Cdte. Alyse Niflheim II
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17/06/1017 ETU 04:24
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La réponse fut envoyée quasi-instantanément.
"Scylla est en route.
A bientôt, mon amour :)
P.-S : Je vous ai envoyé quelques 30 milliards de leems, pour payer les opérations qui suivrons son arrivée."
Cdt. A.T.L.A.S
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17/06/1017 ETU 04:38
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HRP : J'ai pas trouvé d'upvote pour "je flippe ma race", alors je t'ai mis un bon gros "effort visible" =D
~ ~ ~
"Oh Impératrice.
Je suis attristé de vous annoncer que Scylla, votre favorite, portera mes enfants lorsqu'après sa défaite militaire, un de mes clones de fonction lui fera une saillie symbolique.
Aussi trouverez-vous en virement la coquette somme de trente-cinq milliards de Leems. Nous apprécions d'avoir le dernier mot.
Ça en fait, des achats chez nous."
Cdte. Alyse Niflheim II
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17/06/1017 ETU 04:44
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"Andrew.
J'espère que vous vivrez bien cette tape amicale sur l'épaule que je vais vous infliger via mes forces armées.
Voici quelques 40 milliards de leems pour que vous organisiez vos défense. Je ne veux pas que les meilleurs de l'Empire soient déçus du voyage."
Cdt. A.T.L.A.S
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17/06/1017 ETU 16:43
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"Alyse.
Vous attesterez de l'échec flagrant de votre invasion éclair en A.T.L.A.S#Alpha, qui ne fait qu'était de l'incompétence notoire de votre favorite, Scylla.
Aussi, acceptez ce virement de quarante-cinq milliards de Leems. Il va vous être plus qu'utile, ahahuhu.
J'ai gagné."

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