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Coa. Déa
Respect diplomatique : 31 19/06/1017 ETU 15:50 |
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Score : 9
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Du Guizangile de Déa Chapitre 1 : De la création Au commencement il eu l'obscurité, du noir elle était constituée. La déesse vit cela, ce n'était pas bon. Elle chanta et la lumière apparue. Elle appela cette lumière étoile, elle les fit se multiplier. Il y eu un midi, il y eu un minuit et Déa fut satisfaite. Le second jour, Déa chercha à manger. Mais le néant dominait, alors Déa se dit, je vais créer la planète. Et celà fut fait. Elle créa quatre planètes : la tempérée pour y manger du gibier, la désertique pour y trouver des fruits, la glaciaire pour y manger l'hiver et la luxuriante pour satisfaire les plus gourmands. Déa vit que cela était bien, elle les multiplia. Il y eu un midi, il y eu un minuit et Déa fut satisfaite. Le troisième jour, Déa s'ennuya. Elle voulait qu'on l'adula. Elle créa toutes sorte d'être, pas à son image mais selon son imagination, et elle peupla les planètes, elfes, hommes, nains, et même gobelins. Il y eu un midi, il y eu un minuit et Déa fut satisfaite. Le quatrième jour Déa satisfaite s'asseya. Elle n'allait pas se reposer, elle décida de chanter. Que l'on m'adore du matin au soir en chantant, et moi Déa je garanti paix et prospérité aux peuples de ma création.
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Cdt. Oberyn Martell
Respect diplomatique : 215 19/06/1017 ETU 16:52 |
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hrp : dsl erreur de post
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Coa. Déa
Respect diplomatique : 31 19/06/1017 ETU 16:29 |
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Score : 3
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Chapitre 2 : De la descendance des premières espèces Déa avait créé les hommes, les elfes, les nains et les gobelins. Ils vivaient en harmonie louant sans relâche Déa, mais l'un d'eux, l'homme, n'avait pas d'enfants, sa femme étant stérile. Il priait, et avec lui les trois autres, la déesse Déa de lui en donner un, mais elle ne lui répondait pas, lui envoyant la foudre parce-qu'elle n'entendait les louanges. Au bout de trois ans, voyant que l'homme ne désespérait pas à prier et se rendant compte que s'il mourrait, elle perdrait une race qui la louerait, elle intercéda et le mit enceinte. Mais, voyant qu'il souffrait, elle lui enleva l'enfant et le mit dans le ventre de sa femme Teka'a. Elle mit au monde un fils, auquel elle donna le nom de Déla en l'honneur de la déesse qui avait été si bonne pour elle.
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Coa. Déa
Respect diplomatique : 31 19/06/1017 ETU 17:02 |
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Score : 5
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Teka'a eu le bonheur de recevoir de Déa deux autre enfants. Cette dernière c'était aperçu combien il était agréable que de chanter pour des enfants qui l'adulait. Teka'a eut une fille qu'elle prénomma Teka'aa et un second fils que l'homme nomma Délo en l'honneur des bienfaits de Déa. Déa décida de mettre l'homme à l'épreuve. Elle lui dit : "Tu as deux fils, amène le premier aux bord de la plus haute falaise que tu trouveras et tu me l’offrira en sacrifice." "Comment puis-ja faire cela, répondit l'homme, il est ma chair, jamais je ne pourrais lui faire du mal ?" " Je vais faire que tu chante mal, tu chanteras pour ton fils jusqu'à ce qu'il se jette dans le vide. Fais-le ou je retirerais ma main de dessus-vous, laissant ainsi les malheurs vous atteindre." L'homme fit comme Déa lui avait dit, mais au moment ou son fils pris la résolution de sauter, l'homme impuissant à la volonté de Déa cessa de chanter. Déa lui dit " C'est bien tu m'as obéi presque en tout point, je te laisse ton fils, mais pour avoir douter tu seras puni. Chaque homme portant ton nom chantera désormais faux, à jamais." Ainsi l'homme vécu sous la protection de Déa jusqu'à la fin de ses jours, mais ainsi qu'elle l'avait dit, tous ceux qui portaient ou porteraient son nom : Jéromus, n'avaient aucuns don pour le chant ou la musique.
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Coa. Déa
Respect diplomatique : 31 21/06/1017 ETU 15:08 |
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Score : 2
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Chapitre 3 : De l'Exode sur Salusa La descendance de Jéromus fut nombreuse et prospéra planète après planète, galaxie après galaxie. L'homme était devenu famille, la famille se fit peuple : le peuple de Déa. Un jour pourtant, des païens vinrent. Ils étaient trop nombreux pour être repoussés par le chant. Le peuple divin trouva refuge auprès d'un grand monarque à la tête d'un peuple adorant une idole, mais pacifique. Le peuple fut accueilli de manière bienveillante, les chefs furent conviés à siéger près du souverain. Ce peuple adorant une seule idole, les grands prêtres déiste crurent qu'ils purent convertir ce peuple à la bienveillance de la sublime Déa. Mais le monarque ne l'entendait pas ainsi. S'il avait convier les chef du divin peuple, c'était pour mieux les asservir. Ainsi le peuple fut réduit à la servitude par ce monarque qui s'avéra tyrannique, puis par ses descendants. Durant des siècles, le peuple implora Déa, et l'implora encore en chantant. Mais la servitude ne permettait pas de se consacrer au chant rituel du lundi. Le peuple chantait faux. Or un jour naquit parmi les esclaves une fille que l'on prénomma Feriela. La fillette grandissait paisiblement parmi les esclaves lorsqu'elle fut admise pour ses cinq ans au service du monarque. Elle montra tant d'intelligence que le souverain décida de l'élever près d'elle, comme sa propre fille. Ainsi grandit Feriela. Les ans passèrent et Feriela montra un certain talent pour le chant. Elle passait son temps à chanter. Elle fit cela tant et si bien que les prêtres de Salusa, l'idole locale, mirent en garde le Roi. Le peuple de Déa était faible et esclave, ne risquait-il pas de reprendre confiance avec les chant de la princesse ? Le roi appela Feriela près de lui et lui demanda de ne plus chanter. Soucieuse de plaire à son père adoptif, Feriela fit de son mieux pour ne plus chanter. Mais un jour, alors qu'elle se promenait dans la capitale, elle se mis à fredonner une chanson d'enfance. Or passait par là sa mère qui reconnut la chanson qu'elle fredonnait enfant à sa fille : frèro Jacquo. "Pardonnez moi altesse de vous aborder, mais d'où tenez-vous cet air ? s'enquit la mère. - Je crois que je l'ai toujours su, répliqua la princesse - C'est important pour moi altesse, pardonnez mon audace, mais c'est ce même air que je chantais à ma fille disparu. - C'est ma mère je crois qui me le fredonnait également - Mais alors tu es ma fille ?! - Sans doute pas ! s’offusqua la princesse comment oses-tu ?!" La princesse s'éloigna brusquement de la femme, comme épouvantée. " Mais, insista la mère, cet air, c'est moi qui l'ait inventé par la grâce de notre déesse Déa ! " La princesse répliqua : "Il suffit, garde ! Qu'on l’amène hors de ma vue" Bouleversée la princesse retourna au palais demander des explications à son père adoptif. Celui-ci admit que ce qu'avait dit la femme était vrai, mais que Feriela avait bien meilleur vie ainsi. Le soir venue, Feriela prit la décision de s'enfuir. Elle erra deux ans de planète en planète jusqu'à s'échouer sur une planète rocheuse où elle vécu seule dans une grotte.
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Coa. Déa
Respect diplomatique : 31 21/06/1017 ETU 15:33 |
Score : 3
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Feriela vivait et chantait seul dans la grotte lorsqu'un matin, le soleil venait de se lever et ainsi commençait une belle journée avec son ami : Ricora (une bestiole à quatre pattes adoptée depuis peu) une lumière éblouissante lui parvint du fond de la grotte. Un voix enchanteresse, chantante s'adressa à elle. " Feriela, dit la voix, tu as laissé mon peuple souffrir." " Qui êtes-vous ? , demanda Feriela - Je suis celle qui chante, la déesse des hommes, des nains, des elfes et des gobelins, je suis Déa " Feriela se prosterna. "Tu va retourner en Salusa et libérer mon peuple, continua Déa - Mais comment ? Qui suis-je pour faire cela ? - Comment doutes-tu de moi ?! Ne suis-je pas celle qui chante matin et soir ? Tiens prends cette cithare, par elle tu accomplira mes prodiges. Maintenant va ! " Feriela reprit le chemin de Salusa et se présenta devant le Roi. Celui-ci fut joyeux de la revoir. Il ordonna trois jours de festivité. Au troisième jour, Feriela, se présenta devant le roi et lui dit : "Père, Déa m'envoie te demander de laisser partir son peuple. " " Je ne connais pas de Déa, dit le roi, je ne laisserais pas partir ton peuple. Ainsi c'est pour cela que tu es revenu? Eh bien tu diras à ton peuple que dorénavant sa charge de travail sera doublé avec interdiction de chanter ! " "Père, répliqua Feriela, ne fait pas cela, Déa m'a transmis ses pouvoirs" Elle posa la harpe au sol et celle-ci se mit à jouer un air de Pascale Obispi. L'attaque était rude, mais le Roi ne céda pas. Six fois, Feriela vint au roi, six fois il refusa. Pourtant le répertoire se corsait : Brassesse, Caliguero, Renardot, Pokiri, Sardis, Shimes. La septième fois, elle prévint le roi que le prochain serait dévastateur pour la population Salusienne. Mais le cœur du souverain était de pierre, il ne laissa pas fléchir. Alors Déa envoya le châtiment suprême, la voix de Bruellius retenti dans la galaxie durant deux jour et deux nuits. Déa avait pris garde de rendre le Divin peuple sourd. Au bout des deux jours, le Roi se décida à laisser le peuple partir. Joyeux le peuple se mit en route en chantant. Mais le roi se ravisa et lança ses vaisseaux à leur poursuite. Alors Feriela posa un dernière fois la cithare au sol et les cieux se fendirent permettant au Peuple de partir.
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Coa. Déa
Respect diplomatique : 31 21/06/1017 ETU 15:43 |
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Score : 2
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Feriela mena le peuple dans une nouvelle galaxie. Là, elle choisi une planète et alla sur la plus haute colline méditer avec Déa. La méditation dura plusieurs années et le Peuple, las d'attendre c'était fabriqué une idole en plâtre. Lorsque Feriela redescendit elle entra dans une grande colère et détruisit l'idôle. Avec le plâtre elle fit fabriquer une boîte en forme de piano pour mettre à l'intérieur les commandements que lui avait inspiré Déa : 1- Tu n'adorera pas d'autre déesse que Déa la magnifique 2- Juste tu chanteras, sauf si Jéromus tu t'appellera 3- Après minuit point tu ne mangeras 4- Après minuit point tu ne te mouilleras 5- Dans la paix tu vivras mais tes ennemis dans la joie tu zigouilleras 6- Pour Déa une matinée par semaine tu chanteras (Les nains dispensé en seront) 7- Les elfes tu ne voleras 8- Les hommes sans raisons tu ne tueras 9- Les nains tu enrichiras 10- Les gobelins tu n'aimeras Les lois énoncés, Feriela envoya le peuple coloniser la galaxie, elle-même s'établissant sur la colline qu'elle déclara sacrée.
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