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Pages : 1
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Cdt. Leïko
Respect diplomatique : 20 
11/10/1017 ETU 23:03 |
Message édité -
Score : 2
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"Un être humain est une partie du tout que nous appelons "Univers"... Une partie limitée dans le Temps et dans l'Espace" Un grand ayant éclairé le monde pour longtemps. Quelque part dans l'univers. S'est arrivé comme une fracture. Dans un bruit sourd et soudain, tout s'est éteins. Difficile de dire ce qu'il s'est passé. Mais une anomalie dans l'espace temps s'est produite quelque part dans l'Univers... Serais-ce un trou noir ? Une apocalypse ? Ce fut bref et long à la fois. Comme un bruit sourd qui s’interrompt et dont on prend seulement conscience une fois le silence devenu roi. Qui peut dire aujourd'hui quand cette rupture s'est produite ? Il y a des années là-bas ? Des mois ailleurs ? Ou bien seulement un instant ici ?... Un bref instant qui ne dure guère plus que le temps d'un souffle passionné entre deux amants... Vous vous le savez-vous ? Vous y étiez... là-bas ? De notre temps, en Clairvoyance. Un vrombissement de cataclysme secoua Clairvoyance. Un son indéfinissable et inaudible pour ceux proche de la source déchira les tympans de nombreux secteurs galactiques. Ce bruit déchira le ciel, doucement, péniblement pour enfin laisser une étoile sortir du néant et traverser la voie lactée. La brèche se referma aussitôt. Au sein de la nation Veljins. L'étoile s’écrasa avec violence sur un monde récemment acquis par les Veljins. Sans trop tarder, des patrouilles de reconnaissance allèrent sonder le cratère provoqué par l'impact. Impact en cours d'analyse. Zone de plusieurs kilomètres, recentrage. Centre de la zone... Analyse. Anomalie... Scan... Organisme vivant... Détecté. Transmission... En cours. Au centre du cratère. Leïko grogna... Au bout d'un temps infini, il ouvrit un oeil. S'étira et porta la main sur le haut de sa tête. Putain mais j'suis où là ? Vetu de sa tenu d'Adam. Il entreprit de verticaliser sa carcasse secouée par l'impact et commença à songer qu'il serait peut etre utile de monter la pente du cratère. Une fois debout, il tourna la tête. Serais-ce le bruit de l'appareil de reconnaissance Veljins qu'il aurait entendu ? Impossible, il se trouvait à plusieurs kilomètre... Pourtant, il regarda dans cette direction quand il marmonna. Il semblerait que je puisse trouver quelqu'un sur ce foutu cailloux... Mais fais chier, qu'est-ce que je fou là bordel ? Rapidement un vaisseau Veljins se retrouva au dessus du cratère et grâce à son rayon tracteur, en moins de temps qu'il lui fallu pour comprendre ce qu'il se passait, Leïko se trouva à bord du vaisseau. Au milieu du pont principal du vaisseau, nu comme un vers, il se retrouva entouré de nombreux Veljins le scrutant de partout. Comme une créature étrange. Pas étonnant en même temps pour un peuple scientifiques de s’intéresser à un être venu de l'espace, ayant provoqué un cratère sur une planète sans même une carcasse de vaisseau pour expliquer l'impact. Leïko regarda ses interlocuteurs d'un oeil étrange. Il semblait plus surpris par leur apparence que par le fait qu'il se soit retrouvé à bord de leur vaisseau. Il fit une sorte de grimace en les regardant avec de leur adressé la parole. Pourquoi vous vous mettez ces trucs là dans le crane ? C'est un peu dégueu'... Il mit la tête sur le coté pour observer ces gens étrange et ses cheveux tombant en bataille sur ses épaules s'écartèrent, laissant entrevoir son cou. Au mileu du cou, au niveau de la jugulaire, un tatouage à l'encre noire marquait sa peau blanche. Ce tatouage attira l'attention des Veljins. Il représentait des barres collées de différente taille, formant ce qui semblait être un equaliseur. Seulement la barre centrale n'était pas comme les autres. C'était une barre qui se pinçait au milieu pour former un... Sablier. Les yeux écarquillés, les Veljins entamèrent pour la première fois la conversation avec Leïko, sous le choque, ils oublièrent même les présentations et les politesses. Quel est ce tatouage ? D'un geste de la main désinvolte, Leïko, qui semblait très à l'aise completement nu devant un équipage entier répondit tranquillement à la question. Marque de famille, rien de bien important. Les Veljins ne répondirent pas et s'agitèrent tous dans tous les sens. Le vaisseaux était en effervescence. Certains courraient au centre de communications, d'autres aux machines, tout le monde semblait sur le départ. Leïko ne comprenant pas bien se qu'il se passait se racla la gorge. Dites, j'veux pas vous chambouler dans votre petite entreprise, mais je veux bien un froc. Et puis une petite paire de lunettes, j'vois pas grand chose. S'vouplait.
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Cdt. Castellan
Respect diplomatique : 547 
13/10/1017 ETU 18:21 |
Score : 4
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L’alerte avait été lancée. Les astronautes et responsable de la surveillance spatiale étaient incapable de dire d’où venait ce corps céleste qui allait s’écraser. D’après les calculs faits rapidement, au beau milieu de nulle part. Quelle chance. Surtout quand personne n’avait rien vu venir. Comme s’il était apparu, matérialisé en orbite pour mieux atteindre son objectif : la surface. Tout fut suivit de loin, des appareils étaient maintenus en état d’alerte, en vol comme au sol. Une fois l’OVNI ayant touché terre, l’équipage du premier vaisseau de sureté fut surpris d’y trouver un être humain. Le plus marquant étant tout simplement qu’il ait survécu à sa traversée de l’atmosphère et à son crash. Ce qu’aucun être, normalement constitué ne devrait pouvoir faire… Pas sans équipement adapté. Tous les scanners et bloc d’observation étaient focalisés sur lui. Emettait-il des particules ? Des radiations ? Représentait-il un danger. Finalement, son calme motiva l’officier du vaisseau à répondre à ces interrogations qui, jusqu’à présent, avaient tendances à s’écraser contre un mur. Ca, et la marque caractéristique que portait l’homme devant eux. Marque qu’ils reconnurent sans trop de difficulté. Quel est ce tatouage ? La réponse n’entraina aucune remarque, pas d’autres questions. Ou plutôt, seuls les Vejlins avaient pu entendre les ordres donnés. Les pilotes entrèrent les coordonnées de la capitale planétaire. Les holotechniciens contactèrent le palais présidentiel. Le personnel s’activa à préparer une pièce plus convenable à l’accueil. Et quelqu’un apporta enfin des vêtements. Ainsi qu’un petit appareil. Nous n’avons pas d’implant pour vous, mais mettez ça devant vos yeux, je m’occuperais de vous fournir de quoi retrouver la rue. Une fois tout cela fait, le nouvel invité se trouva seul avec l’officier. Avant qu’il ne pose la moindre question, il débuta. Votre ‘’famille’’ est importante pour les nôtres. Mais vous n’êtes pas au bon endroit pour notre hiérarchie. Nous allons vous conduire en ville, dans un lieu plus propice… Et habillé. Jusqu’à ce que vous puissiez rencontrer quelqu’un de plus compétent que moi, vous êtes notre invité. Vous êtes libre de refuser bien entendu… Mais je crois qu’un gardien du temps souhaiterait retrouver les siens… Et pour ça, vous êtes sur la bonne planète. Je suis le capitaine Vendrix. Bienvenu à bord.
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Cdt. Leïko
Respect diplomatique : 20
15/10/1017 ETU 16:39 |
Message édité -
Score : 5
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Leïko accepta volontiers la paire de lunette qu'il se mit tout de suite sur le nez. Son visage se crispa lorsque le capitaine du vaisseau Veljins mentionna un gardien temps. Il était monté sur ce vaisseau contre son grès de prime abord, puis il avait finalement jugé que ce n'était pas si mal au final de se faire transporter. Au fond, c'était déjà une belle réussite d'être tombé sur quelqu'un de vivant, et en plus ils allaient le transporter. Il était un peu perdu, semblait ne pas trop comprendre ce qui lui arrivait, jusqu’à ce que le capitaine mentionne le nom de "gardien du temps"... Merci pour ça... Et euh...pour les vêtements... Capitaine Vendrix. J'accepte d'être conduit vers vos dirrigeant... Je vous remercie. Après un long silence, il posa enfin sa question au Veljin. Dites, capitaine ? Vous parlez de Gardien du temps... Vous avez l'air d'avoir reconnu mon tatouage... Je ne comprends pas... Se pourrait-il que vous ayez rencontré dans votre vie un gardien du temps ? Oui monsieur. Je ne lui ai jamais parler directement, mais je l'ai déjà vu comme je vous vois. Je l'ai vu lui, et sa civilisation. Mais... Votre tatouage ? Vous dites que c'est une marque de famille... Vous n'êtes pas un gardien du temps ? Pourtant le sablier... il ressemble tellement au sien... Leîko essayait de recoller les monceaux d'un puzzle dont il ne possédait visiblement pas toutes les pièces. Son coeur battait la chamade. Ses yeux étaient dilatés et son regard se perdait dans le vide. Son cerveaux tournait à plein régime. Il tenta une nouvelle question. Comment s'appelait ce gardien ? Ekko monsieur. Le connaissez vous ? Il parait qu'il a disparu mystérieusement, du jour au lendemain. Personne ne sait ce qu'il s'est passé. Il y a bien des rumeurs, mais aucune d'elle n'est fondé, puisque l'on ne l'a jamais retrouvé. Leïko était sous le choc. Si un simple capitaine de vaisseau de reconnaissance avait connu Ekko, c'est probablement que toute la civilisation Veljin avait côtoyé le gardien du temps... Et sa civilisation... Il débuta sa phrase la voix cassé. Il s'interrompit, le temps de se racler la gorge afin de retrouvé une tessiture normale, et reprit. Je suppose que vos dirigeant l'on connu si vous... Vous le connaissiez... Amenez moi... Il me faut comprendre. Vous connaissiez donc le seigneur Ekko ? Leïko soupira. Il releva la tête afin de croiser le regard du capitaine de ses yeux turquoise. Oh oui je le connais... C'est mon frère.
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Cdt. Castellan
Respect diplomatique : 547
18/10/1017 ETU 17:53 |
Score : 3
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Si le capitaine Vendrix était surpris de cette révélation, il n’en laissa rien transparaitre. Un inconnu se définissant comme le frère du gardien du temps. Voilà qui était étrange. Pourtant, malgré la grande amitié qui ont lié et lies encore nos civilisations, nous étions totalement ignorant quand à votre existence. Le seigneur Ekko avait-il d’autres membres de sa famille encore en vie ? Par ailleurs, et même s’il me va falloir vérifier vos dire : comment dois-je vous appeler ? L’officier attendit la réponse avant de continuer. Bien, si vous permettez, je vais vous laisser un instant, j’ai un rapport à faire et beaucoup de paperasse pour que tout soit prêt à votre arrivée. Il tendit une tablette au jeune homme. J’ai pensé que vous auriez des questions. Je ne saurais répondre à tous. Et comme vous n’avez pas d’accès à la netsphère, vous devriez trouver grossièrement ce qui est arrivé à l’empire du temps Vendrix parti s’affairer à ses obligations. Bien entendu, le pouvoir central était déjà au courant et les remous de la netsphère ne tarderais pas à atteindre toute personne connecté et capable d’accéder à ce genre d’information. Ce qui représentait tout de même des milliers de personnes à travers la galaxie. Il avait cependant été décidé de ne pas encore mettre au courant les derniers survivants de l’Empire du temps. Les Vejlins ignoraient leurs réactions, de même que les motivations de leurs invités. La prudence était donc de mise, et cela même si la simple affiliation au gardien Ekko permettait aux militaires d’accorder une grande confiance à Leïko. Ce dernier se trouvait donc seul, un long moment, avec pour seul compagnie une tablette de donnée contenant les archives concernant les siens. Du moins, du point de vue des Vejlins. Sans grande surprise, rien de bien choquant, mais plutôt les rapports des actions de coopérations, les ‘’funérailles’’ du gardien du temps et l’accueil de la civilisation du temps. Le temps qu’il finisse sa lecture, l’officier revint vers lui, lui annonçant. Nous sommes arrivés. Malheureusement, notre président n’est pas sur la planète, ni les haut responsable diplomatique. Par contre, il y a quelqu’un qui accepte de vous parler et d’écouter vos questions. Le vaisseau pouvait encore se poser en plein centre de la capitale planétaire. Ce monde encore vierge, ne disposait que de peu d’infrastructure. Et comme personne ne s’attendait à recevoir des invités, la construction du centre planétaire n’était pas terminée. Les efforts avaient été placés sur la grande université. Dont Leiko pouvait maintenant fouler du pied, l’herbe du campus. Vendrix l’accompagnait, ou plutôt, le guidait. Les couloirs étaient vide, le bâtiment n’avait pas encore l’activité qui allait avec sa fonction. Après avoir emprunté plusieurs couloirs, ils entrèrent dans une petite salle de surveillance vidéo. Une jeune femme en tailleur noir, observait, assise, un hologramme sur lequel on pouvait apercevoir deux étudiantes en classe. Madame, votre invité est là. Elle se retourna, Leïko pouvait maintenant voir son visage. D’un ordre silencieux, elle congédia l’officier qui avait dorénavant rempli sa mission. Ce n’est qu’une fois le militaire parti qu’elle daigna se lever. Voici donc le frère d’Ekko. Leïko. Étrangement, ce n’est pas comme ça que je t’aurais imaginé. tu permets que je t’appelle par ton prénom ? Et tu peux m’appeler Sana. Je vais servir d’intermédiaire direct avec la présidence. Elle revint vers l’hologramme, qu’un appareil fit passer dans une sorte de lentille à peine plus grande qu’un monocle. Le plaçant devant son œil droit, elle ajouta. Excuse-moi, j’ai aussi, en parallèle, une surveillance à effectuer. L’hologramme n’était plus visible pour Leïko, le monocle paraissait désormais parfaitement transparent. Bien. A toi maintenant. Avant d’enclencher la communication, j’aurais peut-être des questions. Mais avant tout, toi, en a tu ?
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Cdt. Leïko
Respect diplomatique : 20
24/10/1017 ETU 22:07 |
Message édité -
Score : 3
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Leïko se retrouva seul face à la jeune femme. Elle était bien apprêté et semblait sure d'elle. Elle devait être un personnage important. Il redressa ses lunettes d'un petit geste de la main avant de s'adresser à elle. Si j'ai des questions... Bien entendu que j'ai des questions. Je ne sais pas où je suis, je ne sais pas qui vous êtes, je ne sais pas à quelle époque nous vivons et vous semblez connaitre mon frere. Alors oui en effet, j'ai deux trois questions à vous poser. Au vu de votre réaction, je crois que vous n'étiez pas hostiles à mon frère. Ce qui est une bonne chose, parce que connaissant le personnage, c'est pas forcément gagné gagné... Mais j'ai besoin de recoller les morceaux. Il me faut savoir dans quel contexte vous l'avez cotoyer, ce qu'il s'est passé, où il vivait lors de votre rencontre, si il a disparut au même endroit, a quelle échelle de temps, si il avait des ennemies, si il a traversé des espaces temps instables, si il a fait quelque chose perturbant le cours du temps comme abuser de ses pouvoir pour ramener quelqu'un à la vie en remontant le temps c'est interdit et c'est très dangereux même avec la maîtrise qu'il avait de sa magie ça expliquerai peut être pourquoi il a dispa... Leiko s'interrompit. Il venait de prendre conscience qu'il avait entamé un monologue de questions sans réponses. Son regard était tourné vers Sana, mais en réalité son regard s'était perdu pendant tout ce temps dans le vide. Lorsqu'il retrapa le regard de la jeune femme, elle avait une expression hébétée, la bouche ouverte. Son expression de visage était plutôt comique et Leiko éclata de rire. Je suis désolé... Oui j'ai quelques questions... En effet. Co... Comment s'appel Votre président ? Enfin une question simple qui appelait une réponse simple. Sana sauta sur l'occasion. CASTELLAN ! Elle avait presque hurlé son nom. Il faut dire à sa décharge qu'il y avait eu pas mal de questions sans qu'elle puisse répondre. Celle là, elle connaissait la réponse, elle n'avait pas voulu raté le coche ! Elle rougie un peu devant sa maladresse et alluma rapidement la transmission pour passer à autre chose.
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Cdt. Castellan
Respect diplomatique : 547
08/11/1017 ETU 15:36 |
Score : 3
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Sana rougissait. Et c’était une des réactions qu’elle détestait de son corps. Rien de plus perturbant que d’apparaitre gênée quand on ne l’est pas vraiment. Mais comme elle ne pouvait aller à l’encontre de ce grand ‘’programme’’ qu’est la vie organique, elle passa outre. Par contre, ce qui était vraiment gênant, c’était une action dont Leïko n’avait pas pu voir. Et ça, elle ne pouvait pas laisser passer. Elle porta alors sa main à son oreille et annonça doucement. Ross, ma chérie, je n’ai pas le temps de jouer et tu sais qu’il t’est interdit de d’essayer de forcer un terminal. Surtout le mien. Alors recommence et je te laisse deux heures en zone blanche, tu es prévenue. Son attention se reporta enfin sur Leïko. Pardons, revenons-en à tes questions, la transmission holographique est en cours, mais tu comprendras que Mr le président n’est pas si facilement joignable. Donc… Oui, Castellan. Wyn Castellan pour être exacte. J’ignore tes connaissances en terme Vejlin donc, pour être bien sûr, Castellan ou président, c’est du pareil au même. Chez nous, celui qui accède aux plus hautes fonctions abandonne son nom pour prendre celui de Castellan. Mais, comme notre Castellan actuel est en poste depuis le début de la conquête spatiale, c’est assez facile pour les autres peuples de faire l’erreur. Ils n’ont connu que lui. Pour le reste, je n’ai pas connu perso… Ah… Forcément, c’est maintenant qu’il est disponible. Vous allez devoir changer de lunettes. Elle tendit à Leïko une paire de lunette. A peine l’eut-t-il mis qu’il put voir Wyn Castellan en hologramme. Nul doute que ce dernier voyait Leïko de la même façon. Mr Leïko, c’est un honneur de rencontrer le frère de mon ami le seigneur Ekko. Je suis Wyn Castellan. Mais je pense que vous le savez. Ekko… pardonnez-moi, le gardien du temps Ekko, ne m’a jamais parlé de sa famille. Jusqu’à aujourd’hui, j’ignorais jusqu’à votre existence… Et je crois que votre peuple l’ignore aussi. Vous devez avoir de nombreuses questions et la première réponse que je vais vous donner n’est pas heureuse : votre frère a disparu peu après l’apocalypse de la galaxie nommée Révolution. Personne ne sait ce qu’il est devenu. Les conseiller de votre frère ont parlé d’appel du temps, me prévenant qu’il était fort probable que nous ne le retrouvions jamais. Je suis désolé. Concernant le peuple du temps… Certains ont embrassé la vie de nomade, d’autre se sont éparpillés à travers les galaxies. Les derniers, sont avec nous. D’ailleurs, la planète sur laquelle vous vous trouvez abrite la majeure partie d’entre eux. Nous répondrons à toutes vos questions, mais nous avons aussi les nôtres. Par exemple, d’où venez-vous ? Pourquoi maintenant ? Et surtout, que voulez-vous faire maintenant que vous êtes ici ?
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