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Cdt. Joseph Müller
Respect diplomatique : 119 29/09/1017 ETU 11:14 |
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Score : 5
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RP privé *Palais du Tribunal de Müller* Josep Müller était à son bureau en train de signer des condamnations à morts, soirée tout à fait banale pour lui pensait d'ailleurs son ministre Helmut Rattenhuber. En effet, Joseph Müller avait rêvé la nuit précédente d'une loi sur l'obligation des habitants libres sous sa direction, qui les invitaient à le saluer avec déférence vu qu'il était exceptionnellement bon avec eux. Le matin, alors qu'il faisait sa ballade matinale avec son ministre, il avait remarqué que très peu de ceux qu'il croisait ne le saluait et plus encore avec trop peu de déférences. Seuls deux nobles qu'il affectionnait particulièrement, avaient embrassés ses chausses comme d'habitude, ce qui lui semblait tout à fait normal. En rentrant au palais, il avait demandé à son ministre de récolter les noms de ceux qui ne l'avaient pas, ou pas correctement salués. Le soir même, ils signait donc leurs condamnations à mort, pour 2 généraux, une dizaine d'officiers de son Etat-Major, d'une vingtaine de gardes qui s'étaient mis au garde à vous et donc qui ne lui avaient pas embrassé les pieds, ainsi que de nombreux nobles. Finissant de signer la dernière feuille, il sonna avec une clochette. Quelques secondes plus tard, un colonel attaché à son service entra et s'inclina. Müller lui tendit les papiers en lui disant : "Veillez à ce que demain, tout soit fait." Le colonel prit les feuilles et commença à lire. Son visage blêmit quand il reconnut son nom, et se mettant à genoux, il supplia le grand juge : "Ô grand et vénéré juge, bien aimé, ô sage et bon juge, pitié pour votre misérable serviteur qui n'a pas su vous servir convenablement. Faites de moi votre esclave je vous en prie." Müller se leva et se plaça face à lui, le regardant de haut avec cet air méprisable et tendit son pied droit. Le colonel l'embrassa avec fougue en de multiples endroits puis regarda le grand juge. Celui-ci dit avec condescendance : "Bien, dans ma grande clémence, je vous octroie ceci. Vous mourrez rapidement, je demanderai au bourreau que pour vous, il aiguise bien sa hache." Après quoi il sortit, laissant derrière lui le colonel tout tremblant. Se relevant, il quitta le bureau, et alla dans la salle des gardes. Il retrouva les deux généraux condamnés et leur montra leur condamnation. Quelques heures plus tard, ils quittaient le palais avec l'ensemble des condamnés, rejoindre l'opposant, le vrai Joseph Müller.
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Cdt. Joseph Müller
Respect diplomatique : 119 01/10/1017 ETU 11:57 |
Score : 6
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*Quartier général du Front de Libération du Peuple Libre* Au milieu d'un camp de tentes dressées s'en trouvait une rouge avec quelques étendards. A l'intérieur, quelques personnes discutaient autour d'une vaste carte. L'une de ces personnes, Maria, colonel, prit la parole : "Herr Müller, les troupes ennemies ont pris position sur les hauteurs à l'Est pour le 1er Corps, et à l'Ouest pour les deux autres corps. De plus, nous ne savons pas où se trouvent les deux autres Corps d'armés. J'ai donc envoyé quelques soldats en éclaireurs près du lac du Sud et de la plaine du Nord." Le Herr Müller en question se redressa et réfléchit. Il prit une pièce située sur la carte, la plaça à l'Est, il en prit deux autres qu'il plaça à l'Ouest, et prenant les deux autres, les fit tourner entre ses doigts. Il prit alors la parole écouté avec attention par les autres. "Chacun de ces Corps pourrait nous vaincre, et nous voilà encerclés, et ce n'est pas la défection de la garde de l'usurpateur qui va nous aider grandement. Si aucun miracle ne vient nous sauver, c'est la mort qui nous attend, sur le champ de bataille, ou entre ses mains." Les officiers présents se regardèrent, mais la détermination se lisaient dans leurs regards. Ils savaient pourquoi ils étaient présents. Le rabat de la tente s'ouvrit et un jeune lieutenant s'approcha de Müller et lui murmura quelques mots à l'oreille. Müller prit alors la parole : "Mesdames, Messieurs, une mauvaise nouvelle, mais aussi une bonne. La plaine du Nord est coupée, c'est là que se trouvent les deux derniers corps ennemis." Il plaça les deux dernières pièces sur la carte et reprit : "Quant au Sud, il semblerait que sur les rives du lac, de nombreux vaisseaux se soient posés, et une petite armée ait formée un cordon de sécurité. Ils ne font pas partie de l'armée ennemie, et portent un insigne que je ne connais pas, une lance dans un soleil orange. Si on peut les lier à nous, on doit essayer. Je vais donc y aller de suite, colonel Maria, prenez le commandement de l'armée et du camp, continuez d'envoyer des éclaireurs vers nos adversaires, on doit connaître le moindre de leurs déplacements." Il salua les officiers présents, et sorti, suivi des généraux et colonels. Montant dans des véhicules, ils partirent vers le Sud.
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Cdt. Joseph Müller
Respect diplomatique : 119 01/10/1017 ETU 12:27 |
Score : 6
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*Rive Sud de la grande plaine* De nombreux vaisseaux, croiseurs, corvettes, chasseurs de tous types, et transporteurs se posèrent. Immédiatement, de très nombreux gardes coururent afin de créer un vaste cordon de sécurité ne sachant s'ils allaient être accueillis ou non. Un jeune homme portant un uniforme descendit et commença à distribuer des ordres. La trentaine,, cheveux blonds et le regard sûr, il savait se faire obéir et se faire aimer de ses troupes. Rapidement, ils détectèrent des mouvements autour d'eux, et quelques véhicules arrivèrent. Des officiers en descendirent et Verinus Junior s'approcha d'eux. Il remarqua un homme d'à peu près son âge qui n'avait pas de vêtements militaires mais qui lui semblaient être le chef? Il s'en approcha et lui tendant la main, lui dit : "Général Verinus junior, de la nation de Dorne, je viens en paix avec ces hommes et leur chef, le Maréchal Verinus, actuellement blessé, et demandons l'autorisation de rester ici un moment." L'homme en question le dévisagea, puis regarda autour de lui. Il voyait des appareils bien plus perfectionnés que les siens et voyait de quoi constituer quelques corps, bien plus que tous ce à quoi il pouvait rêver. Regardant de nouveau le général, il lui répondit : "Je suis Herr Joseph Müller, Grand juge. Nous sommes actuellement en pleine guerre civile contre un usurpateur totalement fou mais qui bénéficie du soutien de la majorité de l'armée. Si vous nous soutenez, et que nous remportons la guerre, non seulement vous pourrez rester ici, mais je vous offrirai la nationalité. Que pensez-vous de mon accord ?" Le général le regarda fixement, et l'espace d'un instant, tout s'arrêta. Puis Verinus junior prit la main tendue de Müller qui lui dit : "Mon armée va venir ici, nous seront attaqués rapidement je pense, mais je ne doute pas de la victoire avec ces appareils.
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Cdt. Joseph Müller
Respect diplomatique : 119 09/10/1017 ETU 14:18 |
Score : 3
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*Grande plaine d'Escarion* La grande plaine donnait un panorama normalement magnifique avec une belle verdure, une petite rivière que l'on pouvait passer à gué sur presque toute la surface de la plaine, un pont large en pierre avec des statues. Sur cette plaine, trois fermes se dressaient de ci et de là, au milieu des montagnes, de la forêt du Nord, et du grand lac du Sud. Ce n'était pas ce que voyait Eldarion. Lui voyait un vaste champ de morts où les cris des blessés couvraient seulement ceux des corbeaux qui commençaient à tourner dans le ciel. Le pont avait été détruit, de nombreux appareils calcinés jonchaient le sol, et les corps étaient amoncelés, certains encore entiers, d'autres moins lorsque les pièces de chars roulaient dessus. Regardant à droite, il vit des appareils qui poussaient les corps afin d'en faire des tas. Cette vision fut intenable pour lui, et se retournant, il retourna dans sa tente où son frère, Alcar, souffrait de son bras touché par une balle lors de la bataille. Le veillant une partie de la nuit, il ne s'endormit qu'au matin. De son côté, le général Verinus junior discutait avec les généraux du Grand juge et avec le Grand juge Müller. Observant la carte, ils étaient tombés d'accord sur le fait que la capitale tomberait s'ils l'attaquaient. Cependant, l'attaque de la ville pouvait causer la mort de milliers, voire de millions d'habitants. Finalement, le rapport estimant le premier chiffre des morts tomba, 20 000 en tout, soit près de 15 000 du côté de l'usurpateur et 5 000 du côté de Joseph Müller et des alliés dorniens et de la Garde. Prenant connaissance de ces chiffres, ils se mirent d'accord pour marcher immédiatement sur la capitale afin de déloger l'usurpateur. Au petit matin, l'armée se retrouva prête, bien que diminuée. Un corps d'armée du général Verinus junior resta au camp afin de protéger les équipements et les blessés, tandis que le reste de l'armée se mit en route pour environ 3h de voyage.
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Cdt. Herr Vador
Respect diplomatique : -1 09/10/1017 ETU 17:21 |
Score : -7
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Guten tag, mein freund, ach, che ne savais pas qu'il existait des personnes un tant soit peut semblables à moi dans cette galaxie!!!
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Cdt. Joseph Müller
Respect diplomatique : 119 09/10/1017 ETU 20:54 |
Score : 1
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*Capitale planétaire* L'armée était arrivée devant la ville sans coup férir, recueillant des groupes de soldats qui se rendaient, ne voulant guère retourner défendre le grand juge. En effet, ce dernier, dans ce qu'il appelle un éclair de lucidité, avait fait voter par lui-même une loi qui condamnait à mort tous soldats défaits qui se réfugieraient dans la capitale. De plus, il avait mis sur pied de guerre la ville en incitant les citoyens à tuer les ennemis du Grand Juge sans sourciller ni pour leurs vies, ni pour celle de leurs familles. Ces derniers décrets ajoutés à l'espérance d'une libération prochaine avait fini de retourné le peuple et la police locale en faveur du véritable Joseph Müller, et lorsque les premières troupes furent entrées, elles furent accompagnées en ovation jusqu'à l'entrée du palais. Là, quelques coups de feu avaient retenti, mais la Garde personnelle du général Verinus junior avait rapidement pris le contrôle de l'entrée fortifiée du palais. Verinus junior marchait à présent dans les couloirs et entra dans le grand bureau du juge. Celui-ci se tenait assis à son bureau et écrivait. Sans lever la tête il demanda : "C'est quoi votre nom ?" Verinus junior fut surpris mais répondit : "Général Verinus junior, je vous mets aux arrêts, veuillez me suivre je vous prie" L'homme griffonna quelques mots, signa, et se levant, quitta le bureau afin de suivre les gardes de Verinus junior. Celui-ci, curieux, alla voir ce texte et tomba sur la dernière condamnation à mort de l'usurpateur, avec son nom. En riant, il prit le papier, le roula, et prit la main de justice posée sur le bureau. Sortant à son tour du bureau avec son aide de camp, il sortit du palais, où il rencontra Joseph Müller, le vrai. Inclinant la tête, il lui remis la main. Ce dernier refusa et dit : "Général, vous me la remettrez plus tard, lorsque tous pourront voir ce geste." Verinus junior le laissa passer puis le suivit dans les entrailles du palais.
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Cdt. Joseph Müller
Respect diplomatique : 119 10/10/1017 ETU 14:49 |
Score : 2
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La Grande Salle avait été nettoyé des derniers débris de la bataille du palais. Les statues à l’effigie de l’usurpateur avaient été enlevé, ainsi que les tableaux, à l’exception d’un qui représentait le palais avec les bannières. Quelques serviteurs s’affairaient à nettoyer la salle et finissaient de polir le siège du juge. Sortant tous, la salle se remplit subitement d’une population bruyante, et diverses, nobles, bourgeois, ou encore des religieux divers et variés, les plus surprenants étant ceux qui portaient une hache ensanglantée sur la poitrine. Les officiers entrèrent, et se placèrent sur les côtés de l’estrade du siège de justice, et se mirent au garde à vous. Enfin, un homme entra. Assez jeune, il portait un costume noir sur chemise blanche avec un nœud papillon noir. Ses yeux, d’un bleu vif, jetaient leurs dévolus sur l’Assemblée dont la gente féminine se trouvait troublée. Montant sur l’estrade, il resta debout devant le fauteuil et attendit. Une musique se fit entendre, transmise par les hauts parleurs de la salle et un jeune homme entra. Il s’avança à travers la foule, jetant un regard de méfiance envers les religieux, et arriva devant l’estrade. Montant les deux marches, il se plaça face à Joseph Müller. Prenant la parole, il dit : "Je suis le détenteur de la main de justice, de quel droit êtes-vous debout ici ?" Joseph Müller lui répondit : "Par le droit de naissance, et celui d’aînesse, mon père était Grand Juge sous le nom de Herr Müller ainsi que mon grand père et mon arrière grand père." Verinus junior reprit : "En tant que fils du Grand Juge, c’est de droit que vous devez recevoir ce même titre. Faites le serment !" Joseph Müller prit la main de justice que lui tendait Verinus junior, celui-ci se plaçant à sa droite. La levant, il reprit devant tous : "Je jure par devant le peuple de servir, honorer, et protéger les peuples sous notre obéissance. Je jure d’observer la justice de la fédération dans son plus strict droit, de la conserver secrète aux étrangers, et ouverte aux peuples de la fédération." Abaissant la main, il la pointa vers Verinus junior et reprit : "Voilà mon premier décret officiel. J’offre la nationalité au général Verinus junior et à ses troupes pour le soutien qu’ils m’ont apporté durant cette guerre meurtrière. Mon second décret officiel concerne les partisans de l’usurpateur. Je vous offre la clémence du peuple, soyez en paix avec vos frères et vos sœurs." Relevant la main, il descendit de l’estrade tandis que s’élevaient les premières acclamations de la bourgeoisie notamment, les religieux de la hache ensanglantée maugréant sur ces premiers décrets, ce que ne manqua pas d’observer le colonel Eldarion. En arrivant à la sortie, face au peuple rassemblé, les acclamations redoublèrent d’intensité. Joseph Müller appela Verinus junior qui se plaça à sa droite, et d’autres cris s’élevèrent afin de l’acclamer. Enfin, ils retournèrent dans le palais. Là, il ouvrit le projecteur holographique officiel et s’y plaça, apparaissant subitement à l’Assemblée galactique. Notes : Verinus junior : https://drive.google.com/open?id=0B6-4mR7ltGVgaWJ5cmxoUnpfeFk
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