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> OPEEEEEENNNNNN BAAAAARRR
| TROP BIEN !!! J'adore les cow-boys ! | 4 | |
| M'ouai ! Pourquoi pas ? | 1 | |
| Hein... t'as dit un truc ? | 4 | |
| Mais... ça va pas être l'anarch... qu'est ce que je raconte, c'est trop cool ! | 5 | |
| On va tous crever ! | 3 | |
| Total : 17 vote(s) | ||
Pages : 1
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Cdt. Infernum Corp.
Respect diplomatique : 151 
11/04/1018 ETU 12:59 |
Score : 1
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Bon, vu qu'on semble vouloir me les casser alors que ça fait à peine vingt-quatre heures que je suis à la capitale, je vais faire une chose simple : maintenant c'est COW-BOY ! Tu veux un truc ? Prends ! Mais si un autre te flingue parce que t'as pris le dit truc... tempis, pas mon problème. C'est pas moi qui vais jouer au shérif. Juste une dernière chose : s'il y a un duel, je veux en être informé pour organiser des paris ! Ça vous rapportera des thunes. Des objections ? Si oui, je m'en tape ! Tchao !
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Cdt. La Kabbale
Respect diplomatique : 87 
17/04/1018 ETU 22:12 
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Message édité -
Score : 6
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Trop de cycles se sont écoulés depuis que Lokoganoth avait choisi d'ouvrir le bac à merde qui lui servait de bouche et provoqué la colère d'Owen. Trop de cycles se sont écoulés depuis que Ressaïa avait été laissée pour morte, enfouie des dizaines de mètres sous le Temple de Naburimbel. Trop de cycles se sont écoulés depuis la révélation que le Dieu Honni Aioniótès étaient encore en vie. Trop de cycles se sont écoulés depuis la clôture de l'Apocalypse et le début de l'Existence. Silencieusement, l'hologramme de Lokoganoth s'était faufilé dans les rangs de l'Assemblée et il discutait avec chaque commandant qu'il croisait le long du chemin qui l'amenait au centre de l'hémicycle. « Si l'on remonte suffisamment loin dans le Temps, on peut simplement résumer l'Histoire de la Vie à ces quelques mots : trop de cycles se sont écoulés. Voilà bien trop longtemps que certains de nous portent un masque et il serait peut-être temps de songer à l'enlever. » Se faufilant subrepticement entre les rangées avec la grâce d'un reptile, le guerrier marquait un court laps de temps entre chacun de ses pas, tentant de laisser planer un simulacre de doute quant à sa destination. À chaque fois que son pied touchait sol, il le faisait claquer, afin de diriger toute l'attention de la salle envers sa personne. Il toucha l'épaule de Ryva Hojnnojhn avec un sourire bienveillant et le remercia de l'avoir prévenu de la menace imminente qui pesait sur sa tête avant que celle-ci ne se fasse publique. Lorsqu'il atteint le centre de l'hémicycle, il porta sa main à sa nuque et passa plusieurs secondes à défaire les liens qui nouaient le crâne d'Ecetivor qui surplombait le sien ; le masque tomba et se brisa à terre, dévoilant les traits d'un jeune homme approchant, comme Ressaïa, la trentaine d'années. Son visage était peint et d'épaisses lignes noires le ceignait du front au menton. « Je n'ai fait que parler Owen. Je vous ai pris pour cible verbalement, uniquement, je n'ai pas essayé de vous canarder lâchement dans le dos. Mais de théorie, c'est ça la loi de cow-boy que vous avez décidé d'instaurer sous votre gouvernement, celle où le culte de la personnalité doit régner et quiconque vient à l'éborgner doit payer les conséquences d'avoir eu la langue trop leste. J'ai essayé d'arranger la situation Owen. Je vous ai promis des excuses si vous les acceptiez, mais vous n'en avez eu cure. Mais apparemment, c'est ça la loi de cow-boys que vous avez souhaité instaurer, celle où le pardon est intolérable et où l'erreur se doit d'être si fatale que lorsque quiconque ose s'opposer à votre personne il ne mérite que de finir pendu en place publiques. J'ai pourtant fermé les yeux Owen. Je vous ai gracié des premières agressions que vous avez commis à notre encontre, mais mes mots se sont perdus dans l'immensité de l'espace et n'ont su trouver d'oreille attentive. Mais sans aucun doute, c'est ça le gouvernement de cow-boy que vous avez d'ores et déjà instauré, celui où lorsqu'un homme tombé à terre vous tend la main, vous décidez d'écraser celle-ci ; et lorsque celui-ci vous pardonne, vous choisissez d'écraser la seconde. Je n'ai pas menti Owen. J'ai répondu à la trainée de mensonges que vous avez semée à propos de ma personne et j'ai même suggéré que mentir sur des sujets aussi sensibles n'était pas grave, tant que cela ne se reproduisait plus et que vous n'initiez plus aucun acte militaire à mon encontre. Mais encore une fois, je réitère votre vision du monde qui consiste à penser que tirer sur tout ce qui ne vous appartient pas est la meilleure solution pour contrôler les populations autochtones de la Galaxie de Paradoxe. » Lokoganoth semblait las, fatigué de devoir encore et toujours tenter de raisonner une tête brûlée qui avait un tempérament aussi incendiaire qu'une arme hyperatomique projetée à bout pourtant sur sa cible. Des heures, il n'en avait pas beaucoup à perdre et aurait souhaité les passer autrement qu'à se présenter lassablement devant l'hémicycle alors que ce devait être le rôle de la prêtresse Ressaïa. Il s'arrêta de tourner autour de la scène. Au même moment les écrans de l'Assemblée jouèrent une vidéo capturée le jour-même. Des dizaines d'escadrons de frégates portenefs et ioniques balançaient par milliers des obus explosifs et canons blasters sur tant de millions d'habitations et laissaient dans le sillage un nombre incalculable de cadavres. Le feu s'engouffrait dans les habitations et les citoyens, effrayés, tentaient vainement de s'enfuir pour connaître leur démise quelques mètres plus loin. Le sang inondait les plaines vertes et il ne subsistait que ruines des anciennes cités de lumière. Lokoganoth pointa un index inquisiteur en direction du dénommé Owen, capitaine de l'Infernum Corporation. Dans ses yeux se mélangeaient la tristesse et la rage. « Mais trop c'est trop Owen. J'ai eu beau essayer de raisonner, j'ai eu beau essayer de m'excuser, de fermer les yeux et j'ai même aussi essayé de pardonner, rien n'y fait. Vous vous êtes fixés dans l'idée que j'étais votre ennemi et que j'en avais après vos fesses, que par je ne sais quelle façon, je souhaitais nuire à votre commerce alors que je n'en ai cure. Vendez, achetez, dilapidez votre argent, ça ne me regarde pas. Sachez, en revanche, que ce qui me regarde c'est ce que vous faites de nos gens, c'est la mort que vous semez dans nos rangs, c'est votre incontrôlable désir de sang. Lorsque vous avez pointé vos canons sur nos flottes militaires, envoyées en reconnaissance, je n'aurais pas dû chercher à vous laisser une seconde chance. Désormais que vous avez envahi nos planètes, nui à nos populations, lancé des attaques sur des flottes entières, nous ne vous laisserons plus aucune chance. Au nom de la Kabbale, Owen, je joue le jeu de votre gouvernement, je relève le duel que vous m'avez lancé et je vous déclare une guerre infinie qui ne prendra fin qu'au décès de l'un de nous ou de la capitulation totale et sans conditions de l'un de nous. »
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Cdt. Ougrah
Respect diplomatique : 200 
18/04/1018 ETU 13:49 |
Score : 0
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OUGRAH!! ATTENTION OUGRAH KABBALE !! TOI PAS VOLER OUGRAH GLOIRE OUGRAH!!
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Pages : 1