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Cdte. Séverine Sylvestrade
Respect diplomatique : 95 ![]() 12/06/1018 ETU 14:11 |
Message édité -
Score : 1
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Séverine pencha légèrement la tête sur le côté, l'air un peu amusé. "Mais il n'a jamais été question du contraire, camarade." Elle sirota une nouvelle gorgée de thé, pensive, et secoua finalement la tête. "Et je m'excuse très sincèrement si mes questions vous ont semblé problématiques ou trop inquisitrices. Il est dans notre culture de chercher à comprendre les choses et dans l'état, une technologie capable de démultiplier la population de nos mondes nous serait bien utile." La syndic suprême eut un petit rire -tout à fait charmant- et présenta un sourire qui l'était encore plus. Elle n'était pas dupe. Ce monde était étrange. Cette population ne pouvait pas être apparue spontanément. Quel était le secret du commandant ? Livraison d'esclaves ? Clonage intensif ? Colons originaires d'une autre faction dont il refusait encore à donner le nom ? Elle finirait par le savoir. "Maintenant, si ça peut vous rassurer : Malgré l'étrangeté de la situation je ne remet pas en cause votre statut de représentant de ce monde. Après tout nous sommes en paix et vous ne me donnez aucune raison de revenir là-dessus !"
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Cdt. Sxreq
Respect diplomatique : 37 ![]() 12/06/1018 ETU 15:01 |
Score : 2
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- Vous m'en voyez rassurer - MADAME ! Il était un peu amusé par la situation, elle cherchait à tout pris à connaître son secret, à savoir comment cette population minuscule avait pu devenir aussi grande en l'espace de quelques années. Comme un homme qui semble de prime abord instable et mystérieux avait-il réussit un tel exploit. Comme un mec venant d'un vaisseau pourri jusqu'à la coque avait-il pu du jour au lendemain accroître sa population drastiquement. Il s'amusait à imaginer ce qu'elle pouvait imaginer. - C'est typique des scientifique de se poser des questions à ~tir la rigo~ (#aucuneidéedecommentças'écrit). Non sans vous offusquer je suis sûr que vous en êtes une de scientifique. Une vrai ratte de laboratoire v'voyez. Elle esquissa un sourire mesquin mais affectif qu'elle pu voir. - VIVONS EN PAIX ! JE VOUS EN SERAIS GRÉ ! Il se remémora alors le processus compliqué mais rapide qu'il avait mis en oeuvre. Il se rappela de la quantité astronomique de choses dont il lui fallait. Non sans mal d'ailleurs puisqu'il a failli perdre l'usage d'un bras à la suite d'une confrontation très musclée. Il se revoyait dans l'espace tel un moussaillon parti conquérir les mers et les trésors sur son rafiot pourri, il faut le dire (#A ne t'énerve pas ! :) ). Se rappeler le bon temps. Perdu dans ses pensées son assistant parlementaire arriva pour le ramener à la réalité. - Monsieur. Il n'entendit pas tellement il était loin, loin dans les méandres des rêves, loins dans les abysses de son intellect pensif. Perdu ailleurs sans nul retour possible, enfin ... NON il revint à lui ! - MONSIEUR ! - AAAAAH ! Quoi ?! - Un message pour vous. Il lit alors le message manuscrit que lui avait remis son sbire. Oui son sbire, il ne faut pas se leurrer sur ses fonctions. Assistant, c'est un larbin administratif. Ils s'appellent assistant, naïf qu'ils sont, ce sont des esclaves des temps modernes oui. Mais bon les représentants on le droit d'en avoir un gratuitement alors bon autant en profiter. - Oui ? Tu veux ma photo ? - Désolé. Il se retira. - Donc MADAME ! Où en étions-nous ? J'ai perdu le fils de la conversation captivante que nous avions. Vous disiez ? Ah oui je me souviens. Il serait agréable, convenable, intéressant, osé, correct, que nous nous rencontrions ou du moins que nous poursuivions cette conversation ma fois forte accomodante. Qu'en pensez-vous ? Rassurez-vous ! Loin de moi l'idée de vous laisser comme une vulgaire chaussette, mais j'ai à faire. Une affaire urgente !
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