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Cdt. Alderak
Respect diplomatique : 174 ![]() 10/10/1018 ETU 21:08 ![]() ![]() |
Message édité -
Score : 9
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---------------- SUJET - Odieux accueil des invités - ---------------- La cruelle ombre... hurler... approche... craindre... regretterons... souffrance... alors tous... horreur... ceux qui... effroi... ne se soumettront... douleur... pas à son... désespoir... infâme volonté. Il est déjà trop tard. Le murmure se veut alors de plus en plus intrusif dans l'oreille de chacun. Ou la pensée. Car le caractère de l'échange laisse étrangement l'esprit interpréter d'odieuses pensées entre chaque mots... suggérés ou intuités. La sensation désagréable que procure cette communication à demi-mot ne manque d'ailleurs pas aux absents, dont l'hologramme grésille en oscillant au rythme de leur perception de ces non-dits... et de ce même sentiment que tous partagent... celui d'être observé, de près. Je suis le Seigneur Alderak. Celui qui vous dispensera maintes souffrance et tourment. Soyez cruellement les bienvenus en cette Galaxie. Enfin. La silhouette se moue aux travers des ombres de la pièce, donnant clairement signe de sa présence, sans jamais n'être perceptiblement discernable. Les quelques lueurs restantes, faisant office de coruscation dans cette pénombre, n'en permettent d'en distinguer qu'un grand être totalement dissimulé sous sa longue toge, et aux formes rachitique inhumaine. Elle glisse sans un bruit entre chaque recoin. La souffrance est une constante qui me tient odieusement à cœur. Sortir de l'ombre pour en faire odieusement l'éloge est un cruel privilège qui ne vous sera guère plaisant : cela sera affreusement douloureux. Nul cauchemar plus crédible n'existe que de rencontrer un Seigneur, car ce que vous avez vécu jusqu'ici m'indiffère tout aussi douloureusement que votre caractère pathétique et stupide : le simple fait que vous y ayez douloureusement survécu pour réussir à venir jusqu'ici tenir des propos en vous croyant digne et nos égaux est la cruelle preuve qu'il vous reste encore beaucoup à souffrir. Une tâche qui me tient cruellement à cœur d'accomplir... et à partager Cruelle et ignoble Galaxie... avec nos invités venus d'ailleurs... j'ai l'infâme plaisir de vous présenter nos futurs esclaves... ceux dont vous pourrez odieusement jouir à votre cruelle convenance sous mon horrible gouvernance. J'espère que l'odieuse approche de mon faux représentant sur place vous aura permis de jeter un première œil cruel sur la marchandise. La cruelle pondération des qualités respectives des produits se fera en même temps que l'odieuse ouverture du Marché des horreurs, annoncée pour très prochainement. AhAhAhAhAhAhAh ! Un odieux et cruel ricanement, s'inscrivant encore dans l'esprit. Mais résonnant pourtant à la fois de manière stridente et acide dans la pièce, celui-ci accompagne les ténèbres mouvantes de la salle qui semblent s'agiter avec la même cruauté et engouement que la créature. Alors, esclaves de cette odieuse Galaxie, il vous reste un cruel et horrible choix à faire : Refuser votre cruel destin et nouvelle condition, et ainsi subir les tourments inimaginables que les Seigneurs réservent aux cruels objets défectueux que vous représenteriez. Et un Seigneur sait parfaitement comment s'y prendre avec la douloureuse cruauté parfaite : mon infamie ira même jusqu'à répercuter ma cruauté sur vos proches. Je n'hésiterai d'ailleurs pas à sacrifier certains d'entre vous pour cruellement montrer l'exemple aux autres... ne considérez donc pas votre douloureuse et odieuse planète cachot comme acquise de droit. Et pour ceux me donnant l'argument que le temps leur permettra d'y échapper comme toutes les odieuses conjoncture des autres Galaxies... quelque soit le cruel futur de cette Galaxie, mon ombre restera omniprésente pour vous interdire définitivement tout avenir en ces cruels lieux : je suis cruellement assidu... et capable dans ma tâche cruelle. Voulez-vous en prendre le douloureux pari ? L'odieuse et inquiétante silhouette se fige dans un coin. Ou bien... douloureusement accepter l'infâme volonté de vos maîtres et vous y soumettre... pour en subir la pleine souffrance. Alors, après les ignominies imposées et les cruels divertissements que vous nous aurez procuré, vous serrez digne de la cruelle souffrance, et vous pourrez alors odieusement prétendre après un temps à rejoindre vos anciens maîtres dans les douloureux enjeux Galactiques en tant que cruel citoyen à part entière... soit un douloureux affranchissement. Un temps qui ne dépendra que de votre odieuse docilité... cruauté... et douloureux succès aux divers divertissements qui vous seront imposés pour notre plus cruelle et plus odieuse joie ! Ce sera d'ailleurs là la cruelle occasion de différencier les douloureux êtres stupides de ceux ayant vraiment mérite à exister : que vous souhaitiez survivre ou tout simplement pouvoir cruellement disposer de pouvoir en cette odieuse Galaxie un jour, cela ne passera que par cet odieux choix de soumission. Pensez-y, pour le dire cruellement et sans détour : si votre cruelle intention l'est, vous aurez bien plus de douloureuses possibilités de vous venger en tant qu'êtres libres que les Seigneurs ne restreindront plus et libéreront avec des moyens, plutôt qu'en tant que vermine disparate dont nous noierons tout émergence dans leur propre sang. Le cruel temps est maintenant à votre décision. La difforme silhouette se glisse au centre de la pièce, du moins, c'est l'apparence qui s'en dessine : la pénombre y ayant convergé. Mais le cruel regard rouge ne trompe pas quand à sa présence. Ainsi que les infâmes craquèlements d'os et de chair inattendus : la créature lève lentement une appendice, semblable à un long bras. Quelques griffes seulement dépassent de la toge noir. Soumettez-vous à votre nouvelle condition, présentez-vous ici et maintenant à moi en tant qu'esclaves dociles pour votre douloureux sort, pour ainsi vous promettre un odieux avenir après maintes souffrances... Les griffes se referment lentement dans un autre craquèlement, rentrant à nouveau sous l'ombre de la toge... en même temps qu'un bruit ignoble semblable à une lame s'enfonçant dans une chair. Quelques goûtes d'un liquide noir tombent au sol. ...ou refusez, et assumez en les cruelles et douloureuses conséquences. Odieuses et horribles conséquences. La promesse en est cruellement faites, et serra tenue, quoi qu'il arrive... l'infamie et la souffrance domineront. L'hallucination d'un large et terrible sourire se dessine alors lentement dans ces ténèbres omniprésent. Monstrueux et cruel, une animosité sadique et infâme s'en dégage, et un sentiment malsain apparaît alors plein d'évidence : la créature est... heu... souff...reuse...rance. Cruelle Galaxie, et vermines d'esclaves... nous nous retrouverons à l'odieux marché. Suivez très attentivement les cruelles communications gouvernementales de l'ombre... en manquer une seule pourrait dramatiquement vous devenir odieusement douloureux.
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Cdt. Kasparov
Respect diplomatique : 134 ![]() 11/10/1018 ETU 19:51 ![]() ![]() |
Score : 5
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Ho, ho, ho... Quelques légers applaudissements retentirent près de la porte d'entrée. Le roi Kasparov, accompagné de la reine Vassilisa venait enfin d'arriver à la capitale. C'était la première fois que les deux s'aventuraient ensemble à la capitale galactique, et surtout la première fois qu'ils venaient sans escorte ou aucune suite de servants. "Beau discours... Vous m'avez pré-mâché le travail, cela sera rapide au moins... Ho, ho, ho... Le roi avança à travers la pièce à l'aide d'une canne suivit de près par la reine, dont le regard ne laissait encore une fois trahir aucune émotion. Le roi tourna la tête vers les hologrammes de réfugiés extra-galactiques et les salua d'un mouvement de tête. Bonjour chers... compagnons d'infortune... Pour ceux qui ne me connaissent pas, je suis le joueur d'échecs, le roi Kasparov... Souverain du royaume du même nom. Royaume autrefois glorieux, aujourd'hui... existant... c'est déjà ça... ho, ho, ho... Je viens ici pour me soumettre et accepter ma condition d'esclave... Ceux qui ont un peu suivis la géopolitique de cette galaxie ont peut-être eu vent de mon "conflit"... avec le seigneur Alderak. J'aimerais vous dire ici que le royaume a résisté vaillamment et que des voix se sont levés à travers tout paradoxe pour nous aider à combattre le seigneur. Mais ce serait vous mentir. Nous avons tout juste réussi à nous enfuir et à nous réfugier dans des secteurs derrière des barrages atomiques, qui ont tenu un temps... avant que nous soyons trahi... et que la bête soit invité en nos demeures; Je sais reconnaitre lorsqu'une partie est perdue. J'avais le choix entre l'extermination et la soumission... J'ai choisi. Je crains qu'à terme, vous serez forcés de faire de même. Dit-il à l'intention des extra-galactiques avant de détourner la tête. Ceux qui me connaissent savent que j'ai toujours cru en la loi du plus fort. Que les forts doivent dominer et diriger et que les faibles doivent se contenter de se taire et de suivre dans leur sillon.... Je tiens toujours cela pour une vérité absolue. Seul mon statut a changé. Je reconnais donc ma défaite et accepte volontiers ma nouvelle condition d'esclave. Je me présente comme convenu avec ma reine devant le seigneur Alderak et les siens pour goûter à ce qu'il appelle souffrance. Il jeta un dernier coup d'oeil, cette fois en direction de la commandante Alexia Nilsen. Une nouvelle partie est sur le point de commencer... J'espère qu'il y aura de nombreux joueurs...
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Cdt. Olorìn...
Respect diplomatique : 599 ![]() 11/10/1018 ETU 20:10 |
Score : 4
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L'hologramme d'Olorìn s'activa. Elle apparut le front barré d'une ride, l'air visiblement ennuyé. "Décidément, je ne comprends rien à ce que vous voulez. Vous souhaitez qu'on se présente ici, ou qu'on attende votre marché ?... Soyez un peu plus clair la prochaine fois, je vous prie. "Ce n'est pas tout d'ordonner. Encore faut-il savoir se faire comprendre. Devenir maitre d'une galaxie, cela ne s'improvise pas, vous savez. Je vous montrerai comment faire, un jour. J'ai déjà, un élève, je peux en prendre un deuxième... "En attendant, et dans le doute : Coucou !!" Et l'hologramme s'éteignit.
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