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Cdt. Alderak
Respect diplomatique : 174 ![]() 07/12/1018 ETU 22:18 ![]() ![]() |
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Score : 5
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L'avant dernier cruel jeu commence... maintenant. L'ombre n'a pas bougé. Elle reste silencieuse quelques instants encore. Nulle grande et odieuse présentation... non, cela n'est douloureusement pas nécessaire... ...car le jeu se trouvera dans son odieuse conclusion. Le voile d'ombre commence à se condenser cruellement, tournillant légèrement autour de la créature qui semble daigner accuser quelques cruels mouvements. Ces derniers sont sobres par rapport à tous les virevoltes de masse de ténèbres qu'elle imposait dans toute la pièce jusqu'ici. Tout comme la cadence des murmures qui se veut encore plus posée et lente que d'habitude. Trois cycles. Pas un de plus. Pas un de moins... pour imposer aux cruels esclaves l’infâme dilemme qui se présente à eux. Voici le cruel jeu : si aucun esclave ne m'envoie d'ici trois cycles le cruel Com-X comprenant au minimum les mots : "Je le veux." Oui, si personne ne le fait, et que je n'entends pas ces cruels mots de la part d'un douloureux esclave d'ici trois cycles... alors... tous les esclaves bénéficierons d'une cruelle réduction de temps de servitude de six cycles ou de la moitié de leur temps de servitude en cours, à leur avantage du maximum de la cruelle valeur entre les deux. Le silence envahit la pièce. Quelque murmure. C'est étrangement généreux. Trop même. Pourtant, les mots sont dits... mais tous attendent le "Mais". Car c'est bien connu, il y a toujours un "Mais" quelque part... toujours. Enfin, la vraisemblance de la cruauté du personnage le voudrait surtout ici. Ce serait vraiment très clichés, mais... Mais... à l'inverse, si je reçois le dit et cruel Com-X de la part d'un unique esclave, alors... celui-ci sera immédiatement affranchi, et recevra en cruel cadeau supplémentaire le droit exclusif de douloureuse colonisation du nouveau secteur brigand, à savoir le 25. A l'inverse, tous les autres cruels esclaves recevront deux cycles de servitudes supplémentaires, pour compenser la cruelle émancipation de leur pair. ... il se confirme. Le murmure est cependant assez clair pour ne laisser aucune doute quant à l'audition du message. Le silence reprend. Et perdure au milieu de quelques murmures. C'est tout ? Peut-être, car le silence s'ancre encore, un certain temps, avant... Cependant... si je reçois le cruel Com-X de la part de plus d'un esclave, alors, la cruelle récompense sera douloureusement perdue. Tout simplement... même pas une cruelle punition supplémentaire à craindre. Alors, le temps va maintenant être à votre douloureuse réflexion... j'ose espérer que vous n'êtes pas assez stupide, oui cruellement stupide, pour douloureusement méprendre toute l'étendue et odieuse signification de cet avant-dernier jeu... collectivement, les esclaves auraient douloureusement intérêt à ne pas trahir leur semblable... mais personnellement, tous ont douloureusement intérêt à cruellement les trahir dans leur propre perspective de douloureux avenir... si aucun autre n'y pense cruellement aussi. Mais peut-être que cette cruelle analyse est douloureusement fausse... quoi qu'il en soit, nous ne sommes pas là pour en discuter... mais pour constater. Sachez donc que tout cruel commentaire publique d'esclave sur ce jeu en ces lieux sera réprimandé d'une peine supplémentaire de 10 cycles de servitudes. Nul ne pourra se défendre de ne pas avoir été odieusement prévenu... même si ne pas l'avoir été n'y aurait douloureusement rien changé, vous connaissez assez les Seigneurs pour cela. A présent, pour cet avant dernier jeu, il est douloureusement temps que je pose la cruelle question aux douloureux esclaves. Enfin... Ça y est. Ils le reconnaissent. Ce sourire qui se dessine lentement alors que l'odieux murmure envahit leur esprit. Voulez-vous que l'infamie soit votre cruel espoir dans cette odieuse Galaxie ?
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Cdt. Alderak
Respect diplomatique : 174 ![]() 11/12/1018 ETU 00:36 ![]() ![]() |
Score : 3
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Tiens, lui ? Ce burlesque personnage ? Souvent là pour assurer la comédie Seigneuriale ? Pour une occasion si sérieuse ? C'est étonnant. Pourtant, c'est bien lui qui vient d'entrer dans l'Hémicycle, applaudissant lentement comme il se l'entend actuellement. Bravo... bravo... Pourtant, son ton n'a rien de similaire aux dernières fois. Car l'amertume se lit sur son visage. Il marche lentement. ... il y a donc bien un cruel vainqueur... étonnant n'est ce pas ? Tellement étonnant... que le Seigneur Alderak a jugé bon de cruellement m'envoyer l'annoncer à sa propre place. Félicitation. Un unique esclave a répondu à l'odieuse offre... et se voit donc récompenser par son affranchissement et son droit d'accès au secteur 25... une flottille devrait bientôt lui être affrété pour sortir de sa geôle alors qu'un cruel monde lui a déjà était proposé dans un autre secteur pour autoriser sa douloureuse expansion en tant qu'être libre. Il tape du pied sur sol, comme coupure nette dans sa phrase. Oui... voilà ce qui aurait dû être... et... Il lâche un sourire provocant, comme à la fois satisfait de cette cruelle boutade, mais frustré de la situation. ... qui sera, à cause de cette odieuse règle qui l'impose... ce qui est dit a été dit, alors, c'est bel et bien ce qui est et sera fait... pourra bien en témoigner la concernée. Ce sera tout quant à la déclaration officielle. A une prochaine fois, malheureusement. Il s'en va. Ses bottes résonnent à chaque pas. Pourtant, il ralentit peu à peu avant la sortie, jusqu'à se figer totalement. Il a l'air de vouloir parler, hésite longuement, puis finalement, après un silence pesant, se lance. Sans même se retourner. Ne profitez pas trop longtemps de votre satisfaction et de ce que vous pourriez ressentir comme un "succès"... ce serait là bien méprendre les Seigneurs, mais surtout leurs cruels jeux et intentions... mais, peut-être que l'histoire vous apprendra tout cela un jour. A vos dépends je l'espère... Le dernier murmure a pourtant été clairement perceptible... volontairement ? Sur ce... je vous souhaite bonne chance pour le cruel prochain jeu qui viendra bientôt. Oh oui... bonne chance... vraiment. Ses talons claquent son départ. Il quitte l'assemblée. Pourquoi ? Pourquoi un personnage si burlesque de ses apparitions communément admises afficherait-il aujourd'hui tant de sérieux ? Un sérieux qui plus est non simulé. Oui... pourquoi ? Se pourrait-il que... ?
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