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> Extrait de la revue "Science et Univers"
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Cdt. Lee
Respect diplomatique : 594 
22/12/1018 ETU 14:32 
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Extrait de la revue "Science et Univers" Article du n° de Décembre 1018 -- On a longtemps cru sans pouvoir le montrer que le temps s'écoulait de manière linéaire tel l'eau d'une rivière, ne pouvant revenir à la source. Einstein, le précurseur préhistorique de toute ces théories affirment que s'il est possible de "regarder" dans le passé par courbure de l'espace-temps, y voyager y est impossible. Malheureusement, ces questions théoriques ont longtemps été restée sans réponses et constitue une base solide à l'imagination des auteurs de science-fiction préhistorique. Kramer nous explique : La science considère souvent les théories fumistes des auteurs de science-fiction préhistorique comme l'expression du caractère primitive de leur mode de pensée. Mon équipe a cependant voulu trancher avec ces idées en partant du postulat que les croyances primitives cachaient peut-être des réalités scientifiques. Nous avons donc très rapidement travaillé sur des méthodes de courbure de l'espace-temps afin d'invalidé ce caractère sacrée et immuable d'écoulement temporel. Oui, seulement voilà, outre l'énergie colossale à mettre en œuvre dans cette expérience, les moyens techniques actuels de canalisation d'une telle énergie n'étaient jusque pas suffisants. Depuis quelques temps, nous savons créer une quantité d'énergie colossale et destructrice avec les bombardements utilisant de l'apotium, mais nous ne savions pas les effets réels de ces bombardements. Ce que nous a révélé notre étude est tellement monstrueux. C'est par ces mots qu'a commencé la conférence de I'o'rhin, l'associé de Kramer.: Dans tout l'univers, des cataclysmes galactiques se produisent, ainsi que des catastrophes dites naturelles à l'échelle sectorielle. Selon les études de Kramer et I'o'rhin, ces catastrophes n'auraient rien de naturelle. Nous avons toujours su que la dégradation spinorienne intervenant lors de la transition des niveaux hyperfins de l'apotium au cours de l'explosion (cf n° de septembre 1017) provoquait une émanation d'énergie impensable et que ceci avait pour conséquence une agitation du subespace, un peu comme les vaguelettes qui se produisent à la surface de l'eau au passage d'un bateau. Ce que nous ignorions c'est, et vous allez voir que la comparaison est bonne, c'est qu'il se produit un phénomène analogique à celui de la cavitation que nous avons appelé singularité de Kramer-Rhin. Cette singularité provient d'une courbure trop intense de l'espace à un point précis correspondant au potentiel maximal de l'explosion. Selon les théories classiques, la dérivée de la courbure en ce point tend vers l'infini ce qui en mécanique classique est impossible. Dans la théorie subliminique, prolongement des cordes aux sub-espace, cela a pour conséquence une rupture de l'espace-temps, comme un trou dans une nappe. Imaginez un trou dans une napper - reprends I'o'rhinla - conséquence directe, est immanquablement la fragilisation de la structure du tissu: votre nappe s'effiloche. Ici c'est pareil et la répercussion, traversant le sub-espace, peut se produire dans un secteur très éloigné de celui de l'explosion, voire, et l'expérience nous l'a montré, peut retentir à l'échelle galactique complète sous la forme d'un cataclysme gravissime. Cette étude a porté un coup important à l'industrie de l'armement qui évidement dénonce le caractère avant-gardiste des théories mises en jeu. Il semble qu'il faudra de nombreux cycle avant qu'une législation voit le jour. En effet, le nombre de scientifique compétent pour comprendre les théories sublimique des cordes se compte sur les doigts de la main. Science et Univers suivra bien sûr les recherches de ces scientifiques de demain.
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