Shinku était au pied d'une falaise, l'endroit sentait la mer, et seul le bruit des vagues au loin perçait le silence. Il était escorter par deux personnes qui l'avaient récupéré un peu plus loin, dans une ville à quelques Kilomètres. Il y avait une faille dans la falaise qui s'apparentait à une porte. Shinkū y entra et découvrit un ascenseur. Son escorte resta en bas. Mais le jeune homme rentra dans l'ascenseur et appuya sur le seul bouton présent.

Quelques instants plus tard, les portes de l'ascenseur s'ouvrirent et Shinkū pu en sortir. Il se trouvait dans une grande salle ressemblant à un salon... ou une salle d'attente. L'endroit avait un unique canapé, plusieurs petits fauteuils et une table basse vide. La pièce avait pour seule issue l'ascenseur par lequel il était arrivé et une porte. Le jeune homme s'assit sur le canapé en attendant l'arrivée de son frère pour commencer à discuter, mais personne ne vint...

Shinkū qui attendait Light depuis quelques minutes déjà, ce leva pour aller le chercher lui-même. Debout dans le salon, Shinkū se dirigea vers une porte, il toqua sans succès. Il entre alors dans une pièce semblable à une chambre, il y avait un bureau accompagné d'une chaise, un lit et une table de nuit. La décoration était plutôt neutre, cette pièce ressemblait plus à une chambre d'ami qu'autre chose. Shinkū se dirigea alors vers l'entrée où se trouvait deux portes, l'une n'était qu'un simple placard à balai, mais l'autre débouchait dans une cage d'escalier que Shinkū ne tarda pas à monter. 

La pièce était un simple bureau, comme toutes les autres pièces, la décoration n’avait rien d’extravagant. Il y avait quelques étagères remplies de tout et de rien, ou simplement vides. Un balcon qui, on le jurerait, finissait juste sous la fenêtre de la chambre, des fenêtres, et une dague d’un métal inconnu accrochée à un mur. Light était assis à un bureau juste à gauche de l’entrée, et tourna la tête quand Shinkū ouvrit la porte.

La porte s’ouvrit et à peine Light avait aperçut son frère qu’Abysse essaya de lui sauter dessus, ni une ni deux, il se précipita pour rattraper son dragon depuis la chaise sur laquelle il était, et se cassa la figure par terre avec la chaise. Il gémit, se releva, remit sa chaise à sa place, et retourna vers Shinkū comme-ci de rien n’était.

Il se dirige vers la porte pour redescendre, emmenant son frère avec lui.

Sortant à peine de la pièce, Shinkū répondit à son frère,