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Cdt. L'ordre d'héra
Respect diplomatique : 20 10/11/1019 ETU 22:12 |
Score : 10
Détails
Dans un secteur encore reculé de la galaxie, sur une petite planète sans grand intérêt, des festivités allaient commencer. Tout le monde s’afférait à sa tâche, organisant la, une des nombreuses fêtes du feu de l’ordre. Mesdames et messieurs, levez-vous pour accueillir, en ce jour de fêtes, la sainte trinité ! 3 personnes venaient d’arriver sur la tribune, encapuchonné laissant entrevoir une partie de leur visage. Le premier est un petit bonhomme pas plus grand qu’un enfant. Sa démarche sautillante et ses gestes impulsifs trahissaient son hyperactivité. Son expression était indescriptible laissant apparaître tout de même un manque d’intelligence évident. Il est parfois difficile de voir ou s’arrête ça psychopathie et ou commence sa réelle folie. Ce qui est sûr, c’est sa passion pour le feu. La deuxième était une jeune femme, d’environ 1 mètre 70 de haut pour 1 mètre 50 de large. Ou peut être l’inverse, difficile à dire… Autant dire que la cape munie de sa capuche ne cachait pas grand-chose vu le physique, disons peu athlétique, de la demoiselle. Sous la capuche, on pouvait apercevoir un visage rustre maquillé à outrance donnant des envies de régurgitation. Son décolleté ne laissait que peu de place à l’imagination. Et puis qui serait assez tordue pour imaginer une telle horreur ? Le dernier était sec, le visage creusé. Sa capuche ne laissait entrevoir que ses yeux jaunes et quelques cicatrices. A dire vrai, comparer aux deux autres lascars, c’était le seul à pouvoir compter 2 par 2 et lasser ses chaussures. Même une tortue pourrait y arriver… De loin comme de prêt, c’était vraiment le seul doté qu’un quotient intellectuelle capable de réellement gouverner. Dans un silence, presque macabre, que le seul les crépitements des bûchers n’osaient déranger, la foule s’exécuta levant les yeux vers la tribune. Personne n’aurait oser ne serait-ce qu’éternuer et ainsi s’attirer leurs colères. Personne ne voulait non plus baisser les yeux sur les bûcher ou se trouvait encore les restes de quelques malheureux. WOUAAAAAAAAAAAAAAAAAZAAAAAAAAAAAAAAAAA ! C’est l’pied putain ! J’aime l’odeur de l’hérétique cramé au petit matin. Ya pas à dire, ça fou la pêche !! Calme-toi mon chou, tu fais peur aux fidèles. Je dois dire que leurs petites mines effrayées sont vraiment à mon goût. Je me demande quel beau male aura la chance de passer la prochaine nuit torride avec tata Marguerite ! Hérétique au bûcher !!!! Cette odeur de cochon grillé ça m’donne faim, la vache ! Aller hop ramenez moi de quoi grailler ! Et grouillez-vous, ya l’feu ! Ha ha ha ha ha !! Vous me désespérez tous les deux, et toutes ses futilités ne m’intéresse pas. Je vous laisse gérer la suite. Et pas de dérapage cette fois, après on se demande pourquoi la démographie baisse…
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