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> A propos d'Alderak
Pages : 1
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Cdte. Aube Niflheim
Respect diplomatique : 350 
22/11/1019 ETU 11:13 
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Message édité -
Score : 13
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"Bien. Je suis un peu surprise que l'initiative me revienne mais là encore, je vais mettre ça sur le compte de ma désormais légendaire... Candeur. Appelons cela de la candeur." Aube. Coincée dans ses habits habituels. Pour une fois elle n'affichait ni une expression de colère soutenue, ni un semi-sourire amusé. Non. Elle semblait simplement... Grave. "Je préfère poser la questions en termes simples et exposer ma sensation de manière aussi claire que possible : en l'état actuel des choses c'est tout ce que je peux faire. Voilà : nous avons tous reçus le communiqué gouvernemental rédigé à notre attention par Léthé. J'ose imaginer qu'en dirigeants responsables nous l'avons tous lu. Ainsi je m'excuse d'avance car je vais sans doute la paraphraser et ce en de nombreux point. L'ennemi a un nom, il se nomme Alderak. J'admets que je n'y portais pas vraiment attention à l'époque où mon secteur était fermé, cependant c'est un fait. L'ennemi est là, présent, et nous le laissons faire. Par cette accusation je ne veux pas dire que tous ne font pas ce qui doit être fait pour l'éliminer. Par cette accusation je prétend simplement que nous nous y prenons mal. Alderak. Le nom n'a rien de maudit, et doit être ramené à ce qu'il est : celui d'un pathétique vaurien aux prétentions démesurée. Le problème étant qu'il les a déjà assouvi par le passé, sur d'autres galaxies. Tout les témoignages vont en ce sens et pour ce que j'en sais cela pourrait suffire à attirer à cette ordure les amitiés des plus lâches des ambitieux. Ceux qui confondent grandeur avec possession matérielle et sont prêts à brader jusqu'à leur liberté pour tenter d'écraser les autres. Y a-t-il des survivants de son secteur d'arrivé qui n'ont pas courbés l'échine ? Alors oui, l'ennemi a un nom. Alderak. En doutiez-vous vraiment ? ... La commandante Léthé nous a enjoint à nous organiser pour éliminer l'ennemi. Elle nous a enjoint à nous organiser, à penser nos assauts, nos défenses. J'ai eu le plaisir d'observer une initiative similaire au sein même de mon secteur. Cependant, si nos secteurs agissent seuls, ils n'arriveront à rien. Écoutez-moi je vous prie. L'Histoire du peuple Verre est longue comme deux galaxies. Ma mère en personne fut la leadeuse d'une faction qui entra en guerre totale pour le contrôle de l'Espace. Totale, oui. Chaque habitant de la galaxie ne demeurant pas à l’abri en secteur fermé se battait, finançait, renseignait un camp ou l'autre. Une guerre totale. Je sais donc que c'est possible. Que notre merveilleuse intelligence collective peut s'activer et se donner les moyens de notre victoire. En somme, je sais que nous pouvons nous rassembler et vaincre. Car enfin, si la fille d'une hégémon, pacifiste dans l'âme, est accepte de se battre, si l'Enclave isolationniste que je représente accepte la coopération galactique, tous devraient pouvoir y arriver. Aussi je vous en pris. Faisons-le. Que les plus individualistes se rappellent que sans victoire pas de lendemain, et que les différents secteurs entrent en contact, très officiellement. S'organisent, passent à l'acte. Que les initiatives régionales deviennent une initiative globale. Nous pourrons reprendre nos pathétiques conflits d’intérêt plus tard : pour le moment nous devons nous recentrer sur ce qui compte. Et ce qui compte, c'est que jamais l'ennemi ne l'emporte. Car cet ennemi a un nom, et ce ne sera jamais celui de notre maître." |
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Cdt. Deux-Museaux
Respect diplomatique : 192 
22/11/1019 ETU 13:35
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Message édité -
Score : 12
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Deux-Museaux avait prévenu-informé l'Assemblée depuis longtemps, oui ? Il a été un des premiers à travailler-collaborer avec l'amie Léthé, à essayer d'unir les commandants-alliés. Unité ! Même la galaxie vous a prévenu-mis en garde qu'il faudrait se regrouper. C'était écrit-prévisible. Mais des commandants de seconde zone comme Tarbapapa ou d'autres n'ont pas voulu le croire. Car Deux-Museaux est obsédé, Deux-Museaux exagère, Deux-Museaux est un skaven donc il ment-trompe, hmm ? Ils préfèrent rester au chaud et se disputer-chamailler pour quelques mondes et à se moquer du pauvre Deux-Museaux. Oh non-non. Les skavens se sont battus et l'ont payé cher, très cher. Le Naze-Pokt aussi a subi les coups d'Alderak, même si c'est un Narn fourbe-sournois et cupide qui frappe dans le dos les plus faibles, au moins il a toujours affronté-tenu tête et prévenu Deux-Museaux du danger du Seigneur-Saigneur. Mais Deux-Museaux en a marre ! il souhaite avant tout survivre donc ils vont se débrouiller sans lui, hmm ?! N'ayez pas peur quand il entre dans vos secteurs, n'ayez pas peur quand il prendra la capitale, n'ayez pas peur quand il prendra les planètes des autres commandants. Et alors vous pourrez dire : Quand Alderak a frappé les skavens, je ne me suis pas levé car je ne suis un pas un skaven. Quand Alderak a frappé Léthé, je ne me suis pas levé car je ne connais pas Léthé. Quand Alderak a frappé mes voisins, je ne me suis pas levé car nous avions des différends. Finalement, quand Alderak m'a frappé, il ne restait plus personne pour se lever à mes côtés.
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Cdt. lvy
Respect diplomatique : 90 
05/12/1019 ETU 01:21 |
Message édité -
Score : 9
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Les deux Silicates entrèrent pour la première fois à l'assemblée. Ivy se dirigea dans un coin de la pièce contrairement à Maeve qui se mit au centre. Elle écoutait patiemment le discours d'Aube en faisant tourner un Bowie entre ses doigts. Ivy lui toujours au fond se demanda pourquoi les humains étaient tous aussi peureux. Ils avaient tous peur d'une chose, la mort. Cette peur provoquait des troubles chez les personnes hypers sensibles. Aube semblait avoir peur de quelque chose, surtout de quelqu'un. Alderak, le nom imprononçable pour des dizaines de Commandants. Il suffisait de crier son nom pour que les peuples d'Unité se retrouvent paralysés et terrifiés. Il se souvient encore de Crépuscule, de la porte, de Cassandre qui souhaitait ouvrir cette porte, des convois d'énergie, les pillages, et la prise de pouvoir d'Alderak sur Cassandre. Une Galaxie détruite à cause d'un nom, un cercle vicieux que les Dirigeants d'Unité voulaient arrêter. Mais pourquoi devaient-ils toujours essayer de parlementer. Les humains étaient faibles et ne connaissaient que la terreur. Cet homme en jouait et ça le faisait rire. Il était habile et doté d'une grande intelligence, ce qui était très rare pour sa race. Ensuite venait Léthé. Une femme qu'il n'a jamais aimé, ses discours étaient vides et pathétiques. Elle voulait montrer l'exemple aux membres d'Unités mais elle n'agissait pas. Comme les humanoïdes, elle ne faisait que de débiter des paroles absurdes et n'ayant aucun sens. Sa mort ne sera pas une grande perte pour les civilisations de cette Galaxie. Cette Galaxie était terrorisée et elle n'osait pas se lever contre cet homme qu'ils surnommaient "Le seigneur des ténèbres". Ils auraient tous pu s'allier pour le combattre, mais ce que les humains veulent le plus c'est la gloire. Ils veulent tous tuer Alderak, mais jamais ensemble, ils veulent être les héros d'Unité, mais se cachent toujours derrière leurs planètes. Ils murmurent, et ces murmures Ivy les entendaient. Les êtres non humains rassemblaient les dirigeants d'Unité pour le vaincre, les murmures provenaient de chaque Secteur. Ils étaient tous enterrés en rêvant de la mort d'Alderak. Comment le tuer, comment éparpiller son cadavre en espérant qu'il ne réapparaissent pas même dans leurs pires cauchemars. Ils... Ma belle petite cruche ! OH ! OUI TOI ! TOI AUBE !Tu...nous...E.M.M.E.R.D.E ! Ta petite mamounette n'est plus là ! Soit une grande fille et parle au nom de ton peuple ou soit tu rentres chez toi. Commandante Aube, c'est un plaisir de vous rencontrer. Maeve se retourna et baissa la tête lorsque Ivy prit la parole. Contrairement à sa sœur, il était d'un calme presque surnaturel. Nous avons beaucoup entendu parlé de vous... Et de vos alliés. Votre but est-il de dévergonder ce beau monde ? Je doute que vous puissiez en tirer grand-chose. Je dois bien reconnaitre que votre franc-parler me régale. Il est rare que des dirigeants se montrent à la hauteur de mes attentes. Je ne connais pas votre mère, mais je ne doute pas de son caractère en vous voyant dans cette assemblée en ce moment. Je pense que vous faites erreurs, Alderak n'est pas l’ennemi d'Unité. Le véritable ennemi, est la peur elle-même. La peur n'a pas de nom, elle s’immisce en chacun de vous depuis votre naissance. En découvrant le monde elle s'amplifie et implose. Cette frayeur vous ne pouvez pas la décrire, ni l'inventer alors vous portez vos angoisses sur les personnes les plus puissantes. Votre espèce aime le pouvoir, diriger votre peuple ne vous suffit pas, il vous faut toujours plus. Imaginez que la situation s'inversait... Imaginez-vous au pouvoir, et Alderak à votre place avec une quinzaine de planètes. Le considéreriez-vous comme un ennemi ? Au risque de vous contrarier, je pense que vous parleriez même pas de cette personne ici. Vous auriez trouvé un autre ennemi à abattre, mais je ne peux pas vous en vouloir, il s’agit là de la nature humaine et ça ne changera jamais. Pendant des années les Silicates étaient dirigés par des Vejlin, nos créateurs. Ils étaient terrifiés par ces êtres. Un jour, ils ont décidé de me créer, moi. Un autre jour, j'ai créé Maeve. Une Silicate parfaite qui ne connaît pas la peur, un être simplement heureux. Un être avec des qualités et des défauts, il nous fallait quelqu'un capables de dialoguer avec les êtres humains. Un être capable de les raisonner. Mais ces humains la trouvaient toujours différente, alors je l'ai amélioré. Au milieu d'une foule, personne ne pouvait se douter qu'elle n'était pas humaine, elle parlait comme eux, vivait comme eux et résonnait comme eux. Mais les êtres humains en voulaient toujours plus, nous avons partagé notre savoir mais pour eux nous étions que des simples pirates qui pillaient les honnêtes marchands. Un jour, une guerre a éclaté contrairement à ce qui se disait, nous n'étions pas les êtres qui pirataient les marchands. Mais ils refusaient de nous croire, ils portaient la faute sur les Silicates car nous étions différents. Avaient-ils le droit de détruire notre peuple car nous ne ressemblions pas à des humains ? Durant la guerre, Maeve a été gravement touchée, elle était en miettes. Mais je ne m'étais pas rendu compte qu'elle avait aussi été brisée de l'intérieur, ses émotions ont amplifié jusqu’à imploser. Voyez-vous... La peur d'être détruite, la peur de ne plus jamais faire confiance. C'est cela qui détruit les êtres vivants. Quand un être humains se sent en danger, il devient paranoïaque ensuite la folie s'installe lentement. Elle prend plus de place et finit par devenir la personnalité propre de l’hôte. Si la peur reste enfermée, elle explose. Si vous désignez une raison à cette peur, elle vous libère. Mais ce n'est que pour un temps. La peur est une amie qui vous colle jusqu’à votre mort, la peur ne peut pas être vaincue, la peur triomphe toujours. Nous avons tous nos peurs, elle est en nous tous. Mais la peur n'est pas forcément notre ennemi. La peur est aussi bénéfique, et nous tient tous debout. Elle nous fait avancer et elle nous fait vivre car si vous n'avez plus peur, c'est que vous êtes déjà mort. |
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Cdt. Castellan
Respect diplomatique : 547 
05/12/1019 ETU 01:49 |
Score : 9
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Je vois que tu as continué tes études, Ivy. Ivy pu reconnaitre une voie familière, mais jusqu’à présent absente d’Unité. Une autre Silicate fit son entrée. Pcell. Son ancienne chef avant qu’il ne prenne son indépendance. Elle avait changé depuis leur dernière entrevue. Les tissus cicatriciels, qui avaient recouvert la moitié de son visage, ont eu l’effet escompté : Un visage pâle et une peau synthétique lisse. Son bras avait aussi été remplacé. La Silicate vint se placer au côté d’Ivy. Elle ne souhaitait pas lui faire face. Aujourd’hui, elle ne guidait plus la totalité des siens et se contentait de les observer. Tout comme elle observait Maeve s’agiter au milieu de l’assemblé. J’ai beaucoup apprécié ton exposé. Très intéressant. Surtout la conclusion. Je me suis sentie concernée. J’ai par contre été surprise d’apprendre que Maeve a de nouveau remplacé sa tête. Je ne connaissais pas cette variante. Elle était heureuse ou morte avant ? Je trouve qu’elle a beaucoup changé d’une version à l’autre. Un fin sourire se dessina sur son visage. Son ton était anormalement doux et quiconque faisait l’effort de tendre l’oreille pouvait l’entendre. Je me demande, ou es-tu situé sur le grand fléau que tu décris ? Tu dépeins si bien les causes de la peur et fait entré le loup dans la bergerie. Mhm ? Tu te vois comme son avatar ? Tu serais créé et formaté pour la répandre ou lui correspondre ? J’aimerais bien savoir. Tu n’es pas obligé de répondre tout de suite, par contre, signal à Maeve que même les Silicates ne jouent pas avec les matières premières. Elle fait ce qu’elle veut, comme nous tous, mais pas de gâchis. Tu connais les règles. Elle trouve une utilité à ses éclopés ou elle en devient. Tu as des réflexions en tête ? Je les écouterais dès que j’aurais poliment répondu au thème ici exposé. Je vais faire cours. Sa voie se fit plus forte, plus audible, pour commenter la prise de parole d’Aube Niflheim. Vous avez bien raison, impératrice Niflheim de craindre un tel adversaire. Je ne le connais pas, mais sa réputation le précède. Je doute qu’elle soit démérité. Je ne suis juste pas sûr de la méthode, mais qu’importe tant que l’espoir, ou la peur, vous porte. Je ne peux que vous souhaitez trouver le meilleur. Satisfaite, bien que consciente de ne pas avoir dit grand-chose, ni de ne représenter personne, Pcell s’adossa contre le mur, bras croisé, et repris son échange avec Ivy. Je pense que ce sera tout pour moi. Tu veux ajouter quelque chose ?
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Cdte. Aube Niflheim
Respect diplomatique : 350
06/12/1019 ETU 23:10
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Message édité -
Score : 9
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"Qui a parlé de peur ? Ou même d'espoir ?" Aube. Elle semblait irritée. Bras croisés, menton légèrement levé dans une posture combative. "Je parle de nécessité, de survie au sens animal du terme. Épargnez moi la philosophie de comptoir en m'utilisant comme exemple : je ne suis pas un exemple de femme effrayée. Par Kaiserde, vous est-il seulement venu à l'esprit que si j'avais peur je ne me serai spas exprimée ? Je parle pour ceux plus prudents qui n'osent faire le premier pas. Je parle pour rassembler, pas pour diviser. Et par pitié épargnez-moi les banalités du type "Nous vivons dans une société...". J'ai étudiée mon nihilisme. Je connais les plus grands philosophes du genre et je sais très bien ce qu'est un surhomme Hismérien. La conclusion est la suivante : il n'existe pas de vérité générale viable quand on veut adresser un sujet aussi large que, disons, le comportement humain." Elle lâcha ce qui ressemblait à un petit soupir, et pencha la tête sur le côté. "Commandant Ivy. J'admets être curieuse. Qu'entendez-vous pas "alliés" ? Les divers civilisations avec lesquelles l'Enclave de Verre a été amené à collaborer durant son existence ? Nous n'avons pas de partenaires militaires, économiques ou diplomatiques. Nous nous contentons d'une sereine neutralité - disons. En d'autres termes permettez-moi de m'inquiéter sur l'exactitude des on-dits à mon sujet, auxquels vous faites référence. Du reste, pour vous parler franchement : je n'ai pas le plaisir de vous connaitre ou d'avoir entendu parler de vous. C'est désormais chose faite avec ce premier contact. Maintenant qu'il est acté que nous n'avons rien à nous apporter sur le plan civilisationnel, permettez-moi de souhaiter de plus amples contacts à l'avenir." Elle incline la tête en avant, avec un sourire amical, et décroise les bras. "Permettez-moi aussi de soulever un désaccord. La Peur n'est factuellement qu'une réaction à des problèmes concrets ou imaginaires. Lorsque vous prétendez que l'ennemi n'est pas la menace bien réelle mais le sentiment qu'elle pourrait évoquer, vous faites au mieux un sophisme. Il est loin le temps où ma civilisation s'attardait sur ce genre de biais déplacé. Le problème n'est pas le résultat du problème, mais sa source. Du reste je trouve que les généralités que vous exprimez sont dignes d'un militant xénoraciste à la petite semaine. C'est bien simple : chacun de vos mots dénote d'une incompréhension totale de la nature animale et humaine, ce qui pourrait cependant expliquer la mésaventure à laquelle vous faites référence. Par souci de pertinence permettez-moi de vous reprendre cordialement. Effectivement : si Alderak était plus faible que moi et ne représentait en soi pas un danger pour la galaxie je ne chercherai pas son extermination. Cependant, considérant son passif, il représente par sa simple existence un danger et s'il ne lui restait qu'un monde je m'empresserai de le raser jusqu'au noyau. Soyons pragmatiques. Je ne suis pas opposé à Alderak parce qu'il est plus puissant que moi. Je le suis parce qu'il est plus puissant que moi et est un vecteur irraisonnable de chaos, de destruction et de conquête. Ais-je jamais demandée à abattre Léthée ou Alexia Nilsen ? La moitié des habitants de la galaxie sont bien plus puissants que l'Enclave. Pourtant vous ne me voyez pas les invectiver publiquement à l'assemblée. Pour cause : l'Enclave de Verre n'a d'autre souci que sa sérénité et sa conservation. Nous ne pratiquons pas la guerre, nous ne pratiquons pas le commerce, tout au plus il nous arrive de prononcer tout haut l'évidence même, car notre position nous permets de parler quand d'autres se taisent : nous n'avons rien à perdre et ne représentons pas une cible tactique ou stratégique. Nous faire taire serait une perte sèche. Telle est notre stratégie. Telle est aussi notre stratégie car nous n'avons pas la force de défendre nos opinions. C'est ainsi, et tant mieux en fin de compte. Je vais admettre que vos idées fausses concernant notre fonctionnement sont liées à votre contexte culturel et racial : vous n'avez aucune idée de comment fonctionnent les humains et interprétez de manière simpliste ce que vous percevez. Si cela peut vous intéresser nous partageront avec vous nos archives de sciences psychologiques et historiques. Peut-être que cela vous aidera à complexifier un peu votre raisonnement. C'est bien la moindre des choses que je puisse faire." Et Aube... Inclina la tête en avant, joignant les mains devant-elle. Malgré les aspects cyniques voir moqueur de son petit discours, elle avait gardée un ton d'une impeccable cordialité et un demi-sourire quelque-peu félin. Une chose était sûre : son offre était sérieuse. |
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Cdt. lvy
Respect diplomatique : 90
07/12/1019 ETU 00:30 |
Message édité -
Score : 5
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Ivy ne se retourna pas en entendant le son de la voix de Pcell, il regarda Maeve au loin qui ne semblait pas avoir remarqué la présence de la femme. Pcell, je ne peux pas dire que de te voir ici me réjouit. Que nous vaut cette petite visite ? Tu as perdu ton baume à lèvre ? Quel dommage. Tu devrais plutôt aller chercher du côté de tes maîtres. Non ! Peut-être cherches-tu ton ancien bras que tu as égaré lors de notre précédente rencontre... Ou... Cherches-tu as retrouver ton doux et tendre visage écorché ? Te voir dans cet état m'a procuré le plus grand des plaisirs, tu sais, et je ne parle même pas de la réaction de Maeve quand je lui ai expliqué la bataille. Je t'imagine encore... Là... Sans visage, sans bras et ton corps fondu. Un vrai délice. Mais malheureusement, ça ne peut durer qu'un temps. Comme Maeve, tu as changé... De corps et de tête ? La prochaine fois que je vois Sana, je lui exprimerais toute ma gratitude... Mais cette histoire appartient malheureusement au passé. Pour en revenir au fléau, je ne me place pas. Pourquoi protéger des humains ? Si tu étais vraiment fidèle à ta race, tu saurais que les Silicates ne s'occupent pas des problèmes des humains et évitent de les contacter. Si tu étais fidèle à ta race, tu ne resterais pas avec les Veljin en esclave. Les Silicates se suffisent à eux même et n'ont besoin de personne. Cette fois, il tourna la tête en direction de Pcell pour signifier qu'il la défiait. Tu veux encore essayer de nous donner des ordres ? Hum... Des menaces ? Je suis vraiment... Terrifié. Il n'y a plus de règles, les Silicates font ce qu'ils veulent, quand ils veulent et c'est pour ça que ton peuple m'a rejoint. Donc, je te conseille d'éviter de nous parler des règles à suivre. Si tu veux... Ivy attrapa un Knife qui était sur le point d'atteindre le front de Pcell. Ne pas mourir... Maeve ! AAAAAH ! MAIS PUTAIN DE MERDE, IVY BUTE CETTE PÉTASSE ! En criant ces mots Maeve se cacha derrière Aube. Elle t'aime toujours autant comme tu peux le voir. Entre deux folles, vous pourriez peut-être vous marier. Maeve est très laxiste pour les coutumes humaines. HÉRÉTIQUE ! CHIENNE ! MONSTRE ! SANG IMPUR ! INFIDÈLE ! JE VAIS TE BRULER ! TE METTRE EN MIETTE ! Dans mes rêves... Quand Pcell tourna la tête dans sa direction, elle attrapa Aube pour s'en servir comme bouclier humain. M'APPROCHE PAS ! DÉMON ! Vous voyez Aube, ça, c'est la peur... J'AI PAS PEUR ! J'AI PAS PEUR ! J'AI PAS PEUR D'ELLE ! NON NON NON ! CA NON ! BIEN SÛR QUE NON ! BIEN ÉVIDEMMENT QUE NON ! JE N'AI PAS PEUR ! Oh oui ça se voit. Il regarda Pcell pour une fois un sourire était dessiné sur son visage comme pour se moquer de sa sœur. Maeve, lâche cette dirigeante veux-tu... PAS SI CETTE FOLLE EST DANS CETTE SALLE ! JE TIENS À MA PUTAIN DE TÊTE ! PUTAIN ! Elle ne te... Oh, je laisse tomber... Bon ! Commandante Niflheim. Ivy se tourna vers la jeune femme, il avait perdu son sourire et avait repris son air sérieux, bien que Maeve était toujours caché derrière celle-ci. Mes propos étaient une image, concernant vos alliés, je ne connais que l'Ampire... Et votre souhait de vouloir me tuer. Mais nous ne sommes pas ici pour parler de ça. Mais rassurez-vous, je suis toujours franc, surtout si ça peut toucher un être humain. Oui, c'était une pique gratuite par rapport à vos préjugés sur moi. Je ne pense pas que vous jouirez d’un quelconque contact avec moi malheureusement. Si vous n'avez pas répondu au code "Erreur" Alors Maeve, vous serra attribué automatiquement. Mais vos phrases à vous aussi son inhérentes, vous dite que vous souhaitez rester neutre et maintenant que vous souhaitez détruire Alderak jusqu’à sa dernière planète ? Je... AAAAAAAAAAH ! ... Je pense que vous devriez au moins essayer l’honnêteté, ça pourrait vous réussir. Rassurez-vous, je ne vais pas vous envoyer les Kamikazes de Maeve pour des paroles. Pour moi, seuls les actes comptent. Alors soyez franche, et ne tournez pas autour du pot. Honnêtement, je ne préfère pas recevoir vos archives, les Silicates ne vivent que pour eux-mêmes. Chez l'humain, nous appelons ça l’égoïsme. Vous pensez que je déteste les humains ? Pas vraiment. Nous, Silicates nous nous servons des humains pour nous construire, mais demandez à Pcell elle est passée plusieurs fois par cette étape. |
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Cdte. Marie Autoilette
Respect diplomatique : 196 
07/12/1019 ETU 14:42 |
Score : 7
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L'hologramme de Marie Autoilette apparue... paire de lunettes ronde avec un contour noir sur les yeux. Elle était toujours installée dans le siège rouge vif parsemé de motif filé en or... elle tenait entre ses mains un livre de poche ouvert qu'elle avait l'air de dévorée presque littéralement. Sa tête était penchée en avant se décollant du fond du siège... on voyait très nettement qu'elle se fichait mais royalement du monde qui l'entourait. -Miss ? interpella une voix We apporter le trône ? Elle tourna mollement la tête. He is guère nécessaire in this situation, mon ami. It is pour des situations spéciales. Okay miss, aucun problem. Elle souria au personnage qui lui parlait, puis, elle replongea doucement dans sa lecture dynamique. Au bout d'un moment, elle le referma et demanda en se retournant : One thé jeune homme ! La tasse apparue avec toujours la petite cuillère... Marie se mit à mélanger la boisson doucement en regardant l'assemblée. Comme si c'était sa télé. Puis, elle reposa la tasse sans même avoir avalé une gorgée et en plissant du front : My dear ! Ce character nommé Alderak, que vous a-t-il fait pour vous rendre creazy my friends ?... Qui est-il donc for engage un tel débat in this place ? Elle reprit sa tasse et se remit à touiller le thé doucement... au bout d'un moment, elle avala le liquide verdâtre.
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Cdt. Castellan
Respect diplomatique : 547
11/12/1019 ETU 00:44 |
Score : 5
Détails
C’était étrange. Par le passé, Pcell aurait simplement attrapé la tête d’Ivy pour lui faire manger quelques dalles. D’autant qu’elle était parfaitement remise physiquement et qu’elle bénéficiait même d’améliorations qui avaient encore creusé leurs différence. Mais aujourd’hui. Elle n’en ressentait nul besoin. Etait-ce cela dont les gardiennes lui avait parlé ? L’effet de la netsphère ? Non. Il y avait autre chose. Rien ne la retenait. Alors pourquoi ? Parce qu’elle n’en avait pas envie. Parce que cette provocation facile ne l’atteignait pas. Parce qu’Ivy faisait ce qu’il veut. Parce qu’elle se moquait totalement de ce qui lui arriverait. Pcelle avait craint que la Netsphère ne change quelque chose chez elle. En vérité, c’était sa défaite qui était responsable de ces changements. Ivy se moquait, la menaçait. Avant d’intercepter la tentative de sa sœur Maeve. Pcell l’observa. Pauvre enfant, pensait-t-elle. La folie l’habitait. La peur aussi. Elleaussi avait découvert ce qu’est craindre pour sa vie. Finalement, elle s’en sortait bien. Elle écouta docilement Ivy. Sa posture transpirait la défiance. Il voulait assurer sa domination. Toute fictive soit-elle. Il devait donner le change. Pcell ne voyait pas l’intérêt de le défier. Elle n’était pas là pour ça. Elle ne lui accordait même pas un regard, mais comme à son habitude, sa tête penchait légèrement sur la droite. Ivy savait désormais qu’il avait toute son attention. Tu vois Ivy, c’est ça ton problème, je te lâche la bribe quelques cycles et te voilà à faire n’importe quoi. Tu veux renier nos règles ? Tu peux. Je te l’ai dit non ? Tu es libre. Je n’assure pas que ce soit sans conséquence. Non. Tu t’en doute. Tu es un Silicate. Tu sais pourquoi ces règles existent. Tu sais que je ne m’occupe pas des problèmes humains. Je sais que tu contactes des humains.... Tu as raison, ne respecte pas les règles, surtout pas les tiennes. Tu es vraiment un Silicate ? Alors tu sais aussi très bien pourquoi j’apprends de celle qui m’a vaincu. Tu devrais faire pareil, ça te réussira, j’en suis certaine. Pcell se redressa. Elle était venue observer. Elle avait vu ce qui l’intéressait. Maeve, contente de te revoir toujours aussi vivace. Rassure toi, pas d’estropiassions pour toi aujourd’hui, je suis de bonne humeur malgré les menaces de ton frère. Elle prit alors la direction de la sortie, ce stoppant devant la porte, elle adressa enfin un regard aussi amusé que le lui permettait son nouveau visage. Je termine. Tu devrais éviter les menaces sur plus dangereux, même si tu n’as pas peur. Elle se permit d’attendre un instant avant de poursuivre. Je passerais le mot à Sana, elle voudra peut-être t’en parler plus intimement ? Toi qui a parfaitement raison, quel plaisir de voir l’adversaire démolie devant soi. Tu sais ce qui est encore meilleur ? Ivy, c’est simple, le faire soi-même, en être directement responsable. J’ai un coup d’avance sur toi, je recommence quand tu veux. Elle quitta la salle sans rien ajouter. Son rôle ici était terminé
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