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Cdt. Misral Quilam
Respect diplomatique : 99 05/12/1019 ETU 22:42 |
Score : 6
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Depuis plus d'une heure, Misral patientait dans les jardins du palais royal avec son aide de camp ainsi que deux porteurs d'une grande caisse, observant en contrebas le travail des artisans dans les marchés à ciel ouvert, le passage des processions religieuses dans les temples, et tout ce qui composait les activités urbaines de la grandiose Adash. Plus grande et prestigieuse cité de tout le monde connu selon ses habitants, trou perdu et arriéré même selon les critères du très lointain secteur VII pour les rares s'y étant aventurés. - Le roi s’apprête à vous recevoir. Un homme du palais conduisit Misral et sa suite à l'intérieur du gigantesque bâtiment. Quelques minutes supplémentaires devant les portes de la salle du trône avant que celles-ci ne s'ouvrent enfin, laissant sortir un groupe de riches commerçants et pèlerins accoutrés à la façon d'un royaume voisin. - Misral Quilam, maître des armées de Vilmat et des terres orientales ! Aussitôt annoncé, Misral s'avança à très grandes enjambées, traversant la salle du trône devant les nombreux ministres et prêtres, pour prestement aller se prosterner devant le roi, pratiquement allongé, face contre terre et bras tendu vers ce dernier comme l'exige la coutume. - Oh, Ur-Algam, roi des rois ! Je me présente à vous tel vous me l'avez ordonné. Engoncé dans sa longue et volumineuse robe dorée et ornée d'une multitude de joyaux, le roi resta immobile et silencieux pendant quelques secondes, avant d'en sortir un rouleau de papier. - J'ai lu le rapport sur les événements de Vilmat, mais je veux l'entendre de votre propre personne. Misral se releva et chercha ses mots quelques instants après avoir constaté l'air fortement contrarié de son roi. - C'était lors de la troisième journée de la lune Trasane. Une nef volante des pillards célestes a survolé à trois reprises la ville, usant de ses canons de lumière à l'encontre de nos hommes d'armes sur les remparts, avant de se poser sur une place du centre-ville et de débarquer. - Commandiez-vous la garnison à ce moment là ? - Oui. Nos hommes se sont équipés aux armureries et j'ai sonné l'ordre d'attaquer les pillards lorsqu'ils ont assailli le trésor de la ville. Furieux, le roi se leva de son trône et commença à faire les cent pas autant que le lui permettait sa robe. - C'était de la folie ! Neuf cent hommes blessés ou tués contre seize pillards ! Défendre vaillamment votre ville est une chose, mais c'est là un massacre inutile et sans résultat ! Si le Royaume de Sirion venait à apprendre que notre principale défense dans la région a été décimée, il leur suffirait de traverser la mer pour faire vaciller toutes les terres orientales d'Adash ! - Il est vrai, ni flèche ni javelot ne put traverser leurs armures. Quant à nos épéistes, il est possible qu'aucun ne soit parvenu ne serait ce même qu'à les approcher tant qu'ils étaient armés. - Vous êtes maître des armées, vous ne pouviez ignorer auparavant le danger de leurs armes à lumière ! - Justement, c'est la raison même pour laquelle j'ai agi ainsi. Notre garnison disposait de deux de ces armes de lumière, saisies lors de raids passés et à n'utiliser que dans le cas d'une situation désespérée. J'ai jugé que la situation n'était certes pas désespérée, mais pouvait nous apporter bien plus que nos pertes. Je ne conteste pas que les pertes sont graves, mais il nous fallait à tout prix défendre les porteurs de ces armes, et les ramasser au plus vite si ces derniers tombaient. Le combat fut rude, même les armes de lumière ont du mal à percer leurs armures, mais le sacrifice de nos hommes n'a pas été vain. Nous avons bataillé longtemps, ils ont abandonné leur butin, puis leurs blessés, mais jamais ne se sont rendus. Si vous me permettez, oh roi, constatez vous même par ce juste dû que je viens vous livrer. Misral fit signe à ses deux porteurs de venir et d'ouvrir la caisse, tout en cessant de parler pour attirer la curiosité du roi. Deux gardes s'approchèrent pour en vérifier le contenu, surpris, en sortirent le contenu pour le montrer au public. De nombreux blasters et puis enfin l’impensable : des armures modernes portés par les brigands. La cour tout entière fut figée de stupéfaction et même la colère du roi disparu. Il y avait dans cette caisse des armes d'une technologie au-delà de tout ce que les Adashi pouvaient espérer concevoir même en des siècles, probablement suffisantes pour faire vaciller même les plus grandes forteresses des royaumes voisins. - Pardonnez-moi, oh divin roi, si mes actes furent inconsidérés ... - Tu as bien agi, Misral Quilam. Je réfléchirai à une juste récompense, pour toi ainsi que pour la cité de Vilmat pour les pertes qu'elle a subie. Le roi retourna lentement vers son trône, mais s'arrêta en cours de route, se retournant avec un air de suspicion. - Une dernière chose ... D'autres rapports m'ont fait part que vos hommes d'armes se seraient introduits dans la nef astrale. Qu'en est-il réellement ? - En effet, d'après le comptage des dépouilles, il semblerait qu'une dizaine d'hommes seraient potentiellement entrés dans la nef avant que celle-ci ne décolle. J'ignore ce qu'il est advenu d'eux, mais ils n'étaient pas équipés d'armes de lumière, je doute donc qu'ils soient parvenus à quoi que ce soit ...
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Cdt. Misral Quilam
Respect diplomatique : 99 12/12/1019 ETU 19:55 |
Score : 3
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Une populace titanesque était amassée au pied de la grande ziggurat du temple d'Eikal, emplissant même les places, les jardins et les rues adjacentes. Perdu au milieu de cette masse grouillante, Athar Ninuk, aide de camp de Mirsal Quilam, bravait tant bien que mal la foule pour rejoindre ce dernier. Un point de rendez vous avait été fixé à l'ombre d'une statue de Kesh'Adel, déesse des secrets et patronne des sciences théoriques. - Athar ! Misral Quilam était déjà au lieu attendu, mais vétu de façon très simple, d'une tunique traditionnelle que portent les habitants d'Adash. - En votre qualité de maître des armées, nous aurions pu nous trouver au sommet de la ziggurat, et vu vos exploits précédents, probablement même aux portes du temple lui-même, non loin du roi ... Aurions nous des raisons de nous cacher ? - Aussitôt les prêtres auront annoncé la dernière révélation de l'oracle, tu iras préparer tes effets personnels. Nous partirons immédiatement. - Vos gardes et vos chariots ont-ils été avertis ? Il faut également rassembler en urgence des vivres pour les six semaines de voyage jusqu'à Vilmat. - Ce n'est pas nécessaire. Et nous allons partir loin, beaucoup plus loin que Vilmat. Enfin ... cela dépendra du grand-prêtre. Comprenant que Misral allait encore lui cacher ses secrets jusqu'au dernier moment, Athar se résigna à attendre que la cérémonie se termine sur la ziggurat. Il n'était pas possible d'observer la cérémonie sur le parvis au sommet de la ziggurat d'Eikal, celle ci étant haute de deux cents mètres, elle surplombait l'intégralité de la ville, à la seule exception de la ziggurat du palais royal, à peine plus haute. En revanche, le temple était visible, coiffé d'une tour sur laquelle un grand feu commençait à décliner peu à peu : le sacrifice était terminé. La cérémonie touchait à sa fin et il ne fit nul doute que les paroles de l'oracle d'Eikal avaient été importantes : une dizaine de serviteurs commençèrent à dévaler les centaines de marches pour transmettre rapidement les ordres de leurs maîtres. Puis enfin ce fut au tour du cortège des nombreux prêtres et des porteurs de symboles sacrés d'entamer la longue descente de l'escalier principal de la ziggurat. L'interminable descension avait laissé le temps à la foule de prendre un silence religieux, lorsqu'enfin le grand-prêtre arriva aux dernières marches. Un crieur du temple répéta les paroles autrement inaudibles de ce dernier. - Eikal nous a parlé ! Grandes ont été ses paroles, et grandes en seront les conséquences ! Eikal, dieu des dieux, ne saurait accepter que la stagnation s'installe en sa création ! Une nouvelle couronne sera offerte par Eikal au peuple d'Adash ! Celle-ci enceindra la création toute entière et sera portée par l'élu d'Eikal en personne ! Il nous mènera au travers du cosmos et fondera le plus grand royaume que nul ne saurait même concevoir ! Car les voyageurs Adashis sauront traverser le cosmos aussi aisément qu'ils franchisent les mers. Au milieu d'une foule choquée et extatique, Athar avait compris quelles avaient été les manigances de Misral. - C'est impossible ... Comment avez vous fait ? Est ce une vraie prophétie ?! - Il faut croire que tout a un prix, même le grand-prêtre d'Eikal, le plus riche homme de tout Adash après le roi. Misral affichait un large sourire, satisfait de voir ses plans se concrétiser. Et cela n'aura coûté qu'une promesse ! - Au nom d'Eikal, l'élu fondera bien plus qu'un royaume, il fera du cosmos tout entier un gigantesque temple digne du dieu des dieux et de tout le divin panthéon ! Ainsi Eikal parla à l'oracle. Aux derniers mots de la prophétie, une grande agitation prit la population, entre commentaires incrédules et litanie de tous les dieux. Alors que beaucoup se précipitaient pour pouvoir faire des offrandes aux prêtres dans l'espoir que les dieux leurs réservent un meilleur destin dans les changements à venir, Athar et Misral s'éloignaient le plus rapidement possible. - Nous partons avec le grand-prêtre d'ici une heure. Le roi sera furieux et va très vite comprendre ce qu'il se passe, si ce n'est déjà fait. La nef volante nous attend à trois semaine de marche vers l'est, dans le désert. Si les prêtres n'alourdissent pas trop notre convoi et que les cavaliers du roi ne nous rattrapent pas, nous n'aurons plus rien à craindre. ✽ ✽ ✽ Le 03/12/1019 ETU, du sol d'une lointaine planète du secteur VII s'élève une frégate corsaire sommairement repeinte, emportant avec elle en orbite les tous premiers Adashis à rejoindre l'espace depuis plus d'un millénaire après la colonisation de ce monde par de lointains ancêtres oubliés. Alors que leur planète natale s'éloigne petit à petit d'un équipage pantois n'ayant pour la plupart jamais quitté leur région natale, un rassemblement de prêtres devant un sas récite leurs prières en boucle. Dans le sillage du vaisseau est largué une statuette du dieu Eikal, suintante d'huiles sacrées, piégée à jamais dans l'orbite d'Adash, plaçant cette dernière sous les bons augures des dieux, de ses prêtres et de celui qui allait bientôt être son élu.
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Cdt. Howard Karringan
Respect diplomatique : 207 19/12/1019 ETU 09:56 |
Score : 0
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Bonjour à vous, Permettez-moi de me présenter : Howard Karringan, Président de la république de Lémuria, aux côtés du royal félin Liass. Je vous écris car je crois avoir détecté votre signal dans un secteur fermé... probablement le secteur 5 ? Je souhaitais donc entrer en contact avec vous afin, déjà, de rencontrer d'apprendre à connaître d'autres civilisations, mais aussi d'en apprendre plus sur la situation de votre secteur. Tandis que la galaxie s'est majoritairement ouverte sur l'extérieur, certains endroits restent bien heureusement encore à l'abri des tumultes à venir. Impossible même de savoir si votre contrebande, laquelle permet d'ouvrir le secteur, est encore dans les mains des Brigands, si vous êtes en secteur 6. En espérant que ce message vous parviendra, et au plaisir d'échanger avec vous. Si je ne peux pas encore vous apporter de soutien, matériellement par exemple, cela sera envisageable plus tard, si bien sur vous en exprimez l'envie. Si mon aide doit aller quelque part, ce n'est pas vers les puissants, mais plutôt vers les peuples plus jeunes, bien que recouvrant des potentialités qu'on aurait tord de négliger si l'on croit un avenir pour la galaxie. Bien à vous, Howard Karringan
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Cdt. Misral Quilam
Respect diplomatique : 99 27/12/1019 ETU 11:18 |
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Score : 5
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♫ https://www.youtube.com/watch?v=HsC0Erteteg (en très légère musique de fond) Grand atlas des civilisations sectorielles. Par Lord William Davidson, explorateur et anthropologue. Publié avec approbation et privilège de sa majesté la reine Marie. Volume III : La civilisation Adashi ※ ⁜ ※ Chapitre III : Gouvernement S'il y a encore quelques années la planète Adash était encore divisée en des dizaines d'état, généralement sous la forme de monarchies héréditaires, la planète fut unifiée récemment sous la gouvernance de Misral Quilam en tant qu'élu des dieux. Désigné par un oracle, ce titre officieux proclamé à plusieurs reprises dans l'histoire planétaire permet de réclamer un pouvoir divin et absolu sur tous les croyants. Le gouvernement ne fait alors plus qu'un avec la religion, comme l'entend sa désignation actuelle en tant que "Culte Adashi". Bien que les anciennes structures étatiques monarchiques continuent d'exister comme des composantes majoritairement autonomes, le réel pouvoir est en réalité concentré dans les différentes branches du clergé ayant un très grand contrôle de la population et suivant à la lettre la volonté de l'élu tant que celle-ci reste fidèle aux dieux. L'histoire politique d'Adash est ainsi composée de longues dynasties monarchiques entrecoupées de brèves périodes théocratiques plus ou moins abouties, résultant régulièrement de guerres civiles pour le maintien ou l'obtention du pouvoir par l'un ou l'autre système. ※ ⁜ ※ Chapitre IV : Religion La religion est l'un des éléments principaux de la culture Adashi, englobant tous les domaines de la société, de la plus basse piété populaire jusqu'aux instances gouvernementales composées majoritairement de membres du clergé. Celle-ci est composée d'un vaste panthéon de dizaines de dieux aux cultes et aux interprétations variables selon les époques et les régions. Il est néanmoins possible de distinguer quelques divinités majeures avec des traits universellement reconnus : Eikal, grand créateur du cosmos, dieu des dieux. Créateur de l'univers, il engendra une grande partie des dieux connus pour l'assister à poursuivre sa création, chacun disposant d'un art particulier pour combler sa perpétuelle volonté de changement. Il est surnommé à ce titre "l'éternel insatisfait", adoré par les masses populaires qui espèrent un changement dans leur existence et craint des puissants se satisfaisant de leur situation. Le culte d'Eikal dispose de rites axés sur de grandes fêtes populaires dont la plus grandiose est lors de l'alignement des deux soleils d'Adash. Aucune représentation du dieu ne semble faire l'unanimité, à l'exception de symboles alternant des éléments considérés comme opposés, illustrant le changement permanent désiré pour satisfaire le dieu. Kesh'Adel, déesse des secrets et mystères. Instigatrice des "savoirs subtils" – les sciences –, son culte est omniprésent chez l'élite cultivée et est voué à une passation du savoir par l'enseignement de ses mystères. Représentée par une vieille femme masquant d'un voile toute la partie supérieure de son visage, son culte se déroule secrètement en petit comités et reste malheureusement pratiquement inconnu des non-initiés. Voir chapitre X. Ikush, dieu du voyage et des échanges bénéfiques. Particulièrement célébré sur les colonies lointaines par les explorateurs et les commerçants, Ikush est invoqué lors de la signature de chaque contrat où les partis doivent promettre au dieu qu'ils accompliront leur part. Contrairement aux temples des autres cultes cherchant à s'élever haut dans le ciel, au sommet de ziggurats pour les temples les plus riches, ceux dédiés à Ikush sont aisément accessibles, placés dans des artères principales de communication avec de vastes esplanades servant de marchés et de débarcadères pour les vaisseaux marchands. Le dieu orne généralement ces derniers comme figure de proue, sous la forme d'un cheval toujours au galop. Anabal, dieu de la guerre et des conflits. Dieu des professions martiales, peu nombreuses et généralement pauvres sur Adash, le culte d'Anabal s'est adapté en disposant d'un clergé et de reliquaires très mobiles, capables de partir en campagne dans des régions touchées par la guerre où le dieu sera abondamment prié. Ces expéditions religieuses sont également accompagnées de nombreux mercenaires proposant leurs services, voire même d'ordres militaires monastiques qui composent ce que les Adashi ont de plus près de forces spéciales, entièrement équipés d'armes modernes. Le développement de vaisseaux spatiaux a également révolutionné le culte d'Anabal, permettant désormais de pouvoir accompagner d'un temple céleste toutes les grandes expéditions militaires, qui sera par la même occasion le premier à s'implanter sur les mondes nouvellement conquis. Anabal est représenté par un soldat brandissant ses armes, presque toujours avec les traits d'un généreux donateur ayant trouvé la mort sur le champ d'honneur. De nombreux autres dieux peuvent être cités, mais étant des divinités moins majeures et au clergé moins développé, une grande variété de dénominations et de croyances peuvent s'appliquer, parfois même contradictoires selon les régions. Il peut-être tout de même être cité : Ar-Mekesh, dieu de l'industrie et de la prospérité. Mushtura, déesse de l'agriculture et des saisons. Ashtanal, ancien élu élevé au rang de quasi-dieu pour sa rigueur morale. Mekt'Ani, seul à avoir été roi et élu des dieux, élevé en tant que figure de paix. ※ ⁜ ※ Chapitre X : Technologie Une grande particularité de la société Adashi comparativement au reste de l'univers est sa disparité technologique entre les classes inférieures et ce dont à accès les élites religieuses. La civilisation Adashi avait atteint un niveau de régression technologique extrême, de l'ordre de ce qui pourrait être aisément considéré comme plusieurs millénaires de recul, lorsqu'elle eut – accidentellement – de nouveau accès à l'espace. Néanmoins, contrairement à d'autres civilisations ayant pu connaître le même cas de figure, cette situation ne s'améliora que marginalement après leur accès aux technologies spatiales. La technologie est aujourd'hui encore considérée comme un mystère de la création des dieux, généralement révélé aux hommes par la déesse Kesh'Adel et reste ainsi jalousement gardé par des sociétés restreintes. Il n'est ainsi pas possible de connaître le véritable avancement technologique d'Adash. Alors que les plus pauvres peuvent mener une vie entière sans voir le moindre élément technologiquement avancé à l'exception des quelques vaisseaux marchands les survolant, d'un autre côté certains temples sont de véritables technopôles développant des savoirs régulièrement inégalés de tout le secteur mais qui n'en sortiront parfois jamais. La collaboration entre les différents cultes permettent néanmoins d'en savoir davantage sur quelques domaines technologiques, tel que le culte d'Ar-Mekesh extrêmement décrié par celui d'Anabal pour son incapacité à lui livrer des armes laser personnelles d'une qualité supérieure aux copies médiocres d'armes brigandes actuelles. De même, les vaisseaux commerciaux utilisés par les adeptes d'Ikush révèlent également un usage intensif de réutilisation de technologies étrangères et d'assemblages de divers éléments fabriqués sous licence. Il est estimé que cette situation de disparité technologique ne pourra pas s'améliorer aisément avec le temps, le culte Adashi ayant besoin de saper ses propres fondations religieuses s'il voulait espérer agir favorablement sur ce problème.
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