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Cdte. Jeillie
Respect diplomatique : 58 12/01/1020 ETU 23:52 |
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ஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐ Début du Jour 1 ஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐ Des troupes étaient en position sur le champ de bataille, des armes à la main, ils attendaient l'ordre pour attaquer le peuple qu'ils venaient de découvrir. Ils s'étaient avancés dans les terres pour explorer la planète. Pour le moment, aucune ville ne s'élevait à l'horizon, seul des forêts et des champs s'étendaient à perte de vue. Les hommes avançaient dans les plaines,après avoir passé la journée à marcher, ils tombèrent enfin sur un village. Ils s'étaient cachés durant la nuit en attendant le chef des opérations. Commandant, au rapport. À vous. Nous arriverons au niveau des troupes dans quelques instants, veuillez patienter le temps que les Freijs arrivent. À vous. Très bien Commandant. Plus d'une heure, plus tard, les vaisseaux Freijs arrivèrent au prêt des troupes qui s'étaient dissimuler aux yeux du village. Des troupes beaucoup plus avancé sortirent des Freggers, plusieurs Kamikazes suivit les Freggers et se déposèrent au prêt des hommes déjà sur place depuis le matin. Alors ! Tous en rang ! Une femme sortit d'un des Kamikazes et s'adressa aux jeunes combattants. OUI CHEF ! Les hommes se mirent en ligne en attendant les directives de la femme. Les Kreijs ! Montez dans les Kamikazes, le premier que je vois décoller du sol, je lui fais péter son vaisseau ! C'est clair ! OUI CHEF ! Nous sommes ici pour quoi ! POUR PRENDRE LE CONTRÔLE CHEF ! Le contrôle de quoi ! DE CE MONDE CHEF ! Seulement ? ET D'ENVAHIR TOUTES LES CIVILISATIONS ÉTRANGERES CHEF ! Voilà, là ça me plaît ! Allez-y ! Les Kreijs entrèrent dans les Kamikazes à disposition. Pendant ce temps les Freijs devaient briefer les Mreijs, les nouveaux soldats. Écoutez-moi, soldats ! Vous n'êtes rien ! Vous ne serez jamais rien ! Vous n'aurez jamais de femme ou d'enfant ! À partir de ce jour, vous serez à la disposition de vos supérieurs ! Vous ne pouvez que compter sur vos frères d'armes ! Nous sommes les seuls à décider qui vivra et qui mourra ! Vous voyez ces hommes ! Il montra les Kamikazes. Ils vont être puni pour avoir tenté de désobéir aux ordres ! Alors faites un seul faux pas, et vous serez enfermé dans ses vaisseaux, attaché et coller à ce putain de siège ! Ai-je bien été clair ! OUI COMMANDANT ! De son côté, la femme préparait l'assaut des Freggers sur le village. Les Kamikazes ! Fermez vos vaisseaux ! Elevez vous.... Elle monta sur un rocher pour prendre plus de hauteur. Chargez vos bombes ! Elle jeta un dernier coup d'œil au village et donna le premier ordre qui allait faire d'eux, des vainqueurs. Butez-moi cette civilisation ! Les Kamikazes foncèrent sur le village, un seul faux mouvement et les vaisseaux s'entrechoquaient. Au loin, les différents soldats virent jaillir des flammes au cœur du village,le premier Kamikazes avait atteint sa cible. Freijs ! Tous avec moi ! Elle se dirigea avec les soldats les plus gradés dans les Freggers qui commençaient déjà à décoller. Une fois dans les airs, elle se permit de regarder à travers les hublots pour voir ou en était ses hommes. Le village était maintenant en feu, les maisons de bois prenaient feu et se propageaient sur les autres habitations. À nous de jouer ! ALLEZ Y ! Les Freggers se dirigeaient en flèche en direction du village. ARMEZ LES BOMBES ! Les canons sortirent du bas du vaisseau, les bombes venaient d'être armée pour pouvoir tirer sur toute cible en mouvement. Moi, j'dis ! Il faut le faire ! Tirer directement avec des bombes ! Pourquoi ne pas utiliser des mitrailleuses ? La femme se retourna en fixant l'homme qui venait de commettre l'erreur de prendre la parole. Elle se leva et se dirigea dans sa direction. Debout ! L'homme la regarda et baissa la tête. Oui chef... Écoute moi bien sombre merde ! Elle appuya sur le levier pour ouvrir la porte du vaisseau qui était en vol. Elle le saisit par le col et le pencha dans le vide. Nous utilisons des bombes... Car... C'est plus frappant dans l'esprit des villageois ! Nous montrons notre force et nous tuons les familles pour leur montrer qu'il faut se soumettre ! Tu veux mitrailler ces hommes ? Tu veux leur laisser une chance de survivre ! Non...Non...Non... Alors moi ! Je ne te laisse pas la chance de survivre ! Elle poussa l'homme du Freggers, elle regarda l'homme chuter et s'écraser au sol. Quelqu'un à d'autres a une réflexions à faire ? Elle se tourna vers les hommes qui avaient tous baissé la tête. J'AI RIEN ENTENDU LÀ ! NON-CHEF ! Les hommes s'étaient redressés, ils ne voulaient certainement pas finir comme leur ancien compagnon. ஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐ Fin du Jour 1 ஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐ |
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Cdte. Jeillie
Respect diplomatique : 58 13/01/1020 ETU 20:52 |
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ஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐ Début du Jour 2 ஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐ L'aube commençait à se lever, durant la nuit, le village avait arrêté de flamber. Les habitations étaient en cendre, il ne restait plus rien. Les architecture étaient dévastées par les bombes de l'armée Urasiennes. Les Kamikazes présents au début de l'attaque étaient maintenant étalés au sol en plusieurs morceaux. Les Freggers eux venait d'atterrir pour laisser sortir les Freijs, après que ses hommes soient descendu, la femme sortie elle aussi d'un des vaisseaux. L'armée se mit en ligne en attendant les ordres de leurs chefs. Le Commandant se posta en face d'eux et parla d'une voix forte et clair pour que tous les soldats entendent ce qu'il avait à dire. Freijs, Kreijs, Mreijs ! Pour ce combat, vous serez tous unis ! Prenez les armes ! Si vous voyez un seul survivant, vous devez faire quoi ! LES ABATTRES COMMANDANT ! La femme se rapprocha du Commandant en souriant. Tu les as bien dressés ! Il se tourna vers elle et eu un léger rire. Oui, je sais. MON COMMANDANT ! L'homme se mit droit en attendant que sa supérieure l'autorise à prendre la parole. Oui ? Il ne prit pas la peine de regarder son homme et sortit de son sac un paquet de cigarettes, il prit le soin de le déballer soigneusement et d'en retirer deux. Il en tendit une à la femme. Je ne veux pas me détruire la santé avec cette connerie. Il la regarda et éclata de rire. Tu sais, avec la fumée que le feu à provoqué, nos bombes et le reste, ta santé est déjà niqué ! Comme nous tous d'ailleurs. Non, je préfère ça ! Elle sortit de sa poche un objet encore inconnu pour le Commandant. C'est quoi ? Elle lui tendit en souriant. Tire dessus, ça se fume. Il porta l'objet à sa bouche et appuya sur le bouton, de la vapeur en sortit. Il aspira la fumée et la recracha en toussant. Putain ! C'est quoi cette merde ! À son tour, elle éclata de rire. Aucune idée, ils appellent ça une cigarette électronique ! Pratique, tu n'as pas besoin de feu ! Jeillie... Elle ne marche plus là ? Elle regarda l'objet et le secoua. Effectivement, il n'y a plus de batteries. Bonne chance pour trouver les câbles pour recharger ça dans les décombres. COMMANDANT ! QUOI ! Le soldat baissa la tête, il ne voulait pas prendre la parole alors que le chef des opérations parlait. Parle Mreijs ! Je... Nous aimerions savoir, comment monter au niveau des Kreijs. Il regarda ses coéquipiers et reprit. Nous avons suivi les ordres, mais nous aimerions maintenant gravir les échelons ! Tu... Tu veux monter en grade ? Dis moi. Combien d'hommes as-tu tué ? Je ne sais pas chef ! Depuis combien de temps es-tu au niveau 1 ? C'est ma troisième année Chef ! Et en trois ans tu penses pouvoir évoluer ? Très bien... Freijs amenez moi les survivants ! Les Freijs rapportèrent 3 hommes, 7 femmes et 1 enfant. Bon... Tue l'enfant ! Le soldat la regarda horrifier, l'enfant lui tremblait de tous ses membres. Non-pitié ! Ne touchez pas à mon fils ! Il est trop petit ! Je vous en pris ! Ne touchez pas à... Jeillie sortit son arme et tira dans la tête de la femme. Oups ! Elle a perdu à la roulette russe ! Pas de chance ! Je...Je... Le soldat pointa son arme sur l'enfant en tremblant. Après plusieurs minutes, il baissa son arme. Je ne peux pas... JE NE PEUX PAS ! Jeillie soupira et s'approcha de l'enfant. Dis-moi mon garçon, quel age as-tu ? L'enfant était en larmes, mais en tendant l'oreille Jeillie pouvait entendre ses paroles. Tu as 5 ans... Hum... Vous avez tué ma maman..Non, ta maman est allée faire un voyage dans le ciel. Ta maman t'a abandonné, elle a préféré te laisser là, comme ton papa. Dis-moi mon petit, veux tu devenir un homme fort plus tard ou être faible comme tes parents ? Elle ne lui laissa pas le temps de répondre et lui déposa une arme entre ses mains. Elle s'approcha de l'oreille de l'enfant. Si tu abats cet homme, tu auras une nouvelle famille. Un nouveau papa et une nouvelle maman qui t'aimeront. Tu pourras découvrir plein de planètes ! Tu aimes l'espace ? Tu aimerais conduire des vaisseaux ? Je te vois déjà dans un Kamikaze. L'enfant releva la tête et essuya ses larmes. C'est quoi un Kamikaze ? Chut... Il mit son doigt devant sa bouche et reprit. Tu verras, c'est magnifique, ça fait de beau feu d'artifice. Tu n'as qu'une chose à faire, pointé ce jouet sur l'homme en face de toi et appuyer sur ce bouton. Elle s’écarta de l'enfant et sourit au soldat en face d'elle. Un bruit sourd se fit entendre et l'homme se fit transpercer le crâne par une balle. Jeillie sursauta et se tourna vers le petit. Finalement, oublie les Kamikazes ! Tu vas devenir un des meilleurs tireurs ! Ne sois pas choqué, les hommes meurent et c'est comme ça. Tu es le seul à avoir le pouvoir sur leurs vies. L'enfant tendit son arme à Jeillie. Elle le prit et tendit la main à l'enfant. Soldat, si quelqu'un décide de ne pas suivre mes ordres, vous aurez la même fin que votre ancien compagnon ! Est-ce que je me suis fait bien comprendre ! OUI CHEF ! Le village avait été minutieusement ratissé pour trouver d'autre survivant, mais les bombes avaient calciné les autres corps. Les heures avaient passé depuis l'aube, le soleil tapait sur le soldat, Jeillie leur accorda une pause. Elle se dirigea vers les soldats les plus haut gardés. Nous allons faire quoi maintenant ? Coloniser cette planète. Elle regarda l'enfant qui était toujours accroché à sa main. Dis moi. Tu peux me dire ou se trouves la plus grosse ville ? Le centre du monde ? Là ou il y a le plus d'habitant ? L'enfant la regarda en souriant. Maman m'a toujours interdit d'aller dans la ville, elle dit que les citoyens sont des monstres qui ne veulent que le pouvoir. Elle le regarda en souriant. Alors nous détruirons ces monstres avides de pouvoir ! Tu pourras habiter dans la ville ! Tu te vois être dans une grande tour ! Avec une vue magnifique sur la grande ville ! OH OUI ! L'enfant sautilla de joie ce qui fit sourire réellement Jeillie. Alors tu habiteras avec ta nouvelle famille dans la plus grande tour ! OH OUI ! Tu veux être ma nouvelle famille ? Les Freijs éclatèrent de rire, le Commandant lui regarda Jeillie en hochant la tête. Je... Non ! Je ne peux pas être ta nouvelle famille. Ma place n'est pas dans une tour ! NI DANS UN LIT ! AHAHAHAHAAHA ! Jeillie regarda ses hommes et se força à rire avec eux. Seul le Commandant n'avait pas pris part à cette blague. Dis ! Pourquoi tu es la seule fille ? Un des gardes se leva. Car les nanas n'ont pas le droit d'être sur un champ de bataille, mais elle, tu vois ! Il montra Jeillie du doigt. Elle est une PUTAIN de nana ! Elle dans une maison avec un homme et des enfants ! Elle les casseraient en deux rien qu'en leurs mettant des baffes ! Ce n'est pas une meuf, c'est un Ninja, petit ! Elle te sort le cric la bombe lacrymogène ! Et elle te nique la gueule ! OH ! Tu peux te calmer là ? En fin de soirée, les soldats prirent la direction de la fameuse ville décrite par l'enfant. Jeillie, elle devait toujours se coltiner le petit qui s'était installé dans ses bras pour dormir. Tu veux que je le prenne ? Elle hésita un instant et regarda l'enfant. Non, ça va aller. Merci Kyllian. Tu vas vraiment le faire entrer dans l'armée ? Oui, pourquoi pas ? Ce n'est qu'un enfant Jeillie... Et alors ? Elle le fixa comme s'il venait de dire la plus grosse connerie de sa vie. Nous recherchons des tireurs d'élite, il faut juste lui apprendre correctement. Tu préfères quoi ? Qu'il devienne un Kreijs et qu'il entre dans un Kamikaze ? Il la regarda en hochant la tête. Oui... Jeillie, ses parents, ont été massacré par nos troupes. Quand il sera plus grand, il comprendra... Il se retournera contre nous... Elle mit sa main devant le visage de Kyllian comme pour le faire taire. Ça, ce n'est pas sûr... Il est encore jeune. Tu te souviens de ton enfance toi ? Le jour ou les gardes sont venus te chercher ? Non.. Mais... Alors voilà. Tu te souviens que d'une partie... Ce petit aura donc les même souvenir. Il oubliera. Les heures avaient encore passé et cette fois la nuit était tombée, seule la lune éclairait la grande plaine. Ils ne savaient pas combien de temps allait durer le voyage jusqu'à la Capitale, mais ils étaient prêts. ஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐ Fin du Jour 2 ஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐ |
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Cdte. Jeillie
Respect diplomatique : 58 14/01/1020 ETU 11:08 |
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ஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐ Début du Jour 3 ஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐ SOLDATS ! Tous en rang ! Le Commandant se trouvait devant les troupes qui venaient de se ranger en colonne en face de lui. Mreijs ! Préparez vos armes ! Nos Navettes viennent de nous avertir que la Capitale se trouvait derrière les montagnes ! OUI COMMANDANT ! Kyllian ? Tu me reçois ? Il porta sa main à son oreille pour essayer de comprendre Jeillie. Oui, mais quelque chose brouille ton signal. Ils... Chemin... ant... Il tapota son oreillette, mais le son ne parvenait pas à être clair. Jeillie, tu es trop haute, je n'arrive pas à entendre ! ... là...a... Jeillie de son côté essayait de prévenir Kyllian. Ils sont sur le chemin ! Part maintenant ! Kyllian ! Dégage de là ! Ils sont armés ! Elle se leva de son siège et se dirigea vers le pont du vaisseau et regarda à travers les vitres. Bordel ! Kyllian ! BOUGE DE LÀ ! BOUGE DE LÀ ! Kyllian tenait son oreillette et leva la tête. II vit dans le ciel un point gris se rapprocher. TOUS À COUVERT ! À COUVERT ! Les soldats se dispersèrent dans la plaine à la recherche d'une position où ils pouvaient se mettre à couvert. Ils avaient pensés à tout sauf à cette éventualité. La ville possédait un réseau de canons de ce qu'ils voyaient, ils étaient très bien armés. Jeillie ! Envoie les Kamikazes ! Nous devons les distraire ! Non ! Pas maintenant ! Il faut attendre ! Si nous attendons ! Nous seront tous mort ! Lance les ! NON ! Mettez-vous à couvert ! Nous ne pouvons pas ! Nous sommes dans une putain de plaine ! Tu veux que l'on creuse des tunnels ! Alors passe nous des pelles pour commencer à préparer nos tombes ! Jeillie arracha l'oreillette la jeta dans le Freggers. Il y a quoi ? Elle se retourna pour fixer l'enfant. Rien... Va à l'arrière avec les soldats d'accord ! Mais moi je veux... J'AI DIS ! TU VAS AVEC LES SOLDATS ! Elle prit les commandes du Freggers et ordonna aux troupes de protéger les soldats qui étaient sur le terrain. Les premiers canons venaient d’atterrir sur les Mreijs, elle regarda la scène sans même voir ou elle se dirigeait. NE RESTEZ PAS ENSEMBLE ! DISPERSEZ-VOUS ! Malgré les ordres de Kyllian, plusieurs soldats restaient là sans bouger et tremblant de peur. Une bombe atterrit sur les soldats qui étaient restés statiques, Kyllian secoua la tête. BANDE DE CONS ! Il courut le plus loin possible pour essayer de sortir de la plaine, mais en vain, il avait l'impression qu'elle s'étendait à perte de vue. Donne l'ordre aux Kamikazes d'attaquer ! Il ne savait pas si elle pouvait entendre ses mots, mais il fallait quand même essayer, mais à l'instant où il dériva son regard sur le Freggers de Jeillie, il ouvrit grand la bouche, comme si elle pouvait l'entendre d'ici. Jeillie regardait la scène, ses hommes se faisaient massacrer, elle devait intervenir. Elle quitta la ligne de Freggers et prit la tête du bataillon, elle s’éleva le plus haut possible dans le ciel en espérant que les canons ne l'atteignent pas. Problème détecté Ouverture en cours QUOI ? Elle regarda ses écrans et vit que la soute arrière venait de s'ouvrir. Allez reste droit ! Elle activa le pilotage automatique et se leva de son siège et courut en direction de l'arrière du Freggers. Il se passe qu... Le vaisseau vibra, Jeillie s'accrocha aux poignées des murs pour rester debout. Une deuxième vibration se fit ressentir, cette fois, beaucoup plus puissante que la première et elle tomba au sol. Après plusieurs minutes, elle était enfin arrivé au sas pour savoir d’où provenait le problème qu'avait détecté l'ordinateur. Au moment de l'ouvrir elle vit à travers les vitres sécurisées l'arrière du vaisseau exploser. Le vaisseau eu une violente secousse et se pencha. Elle glissa et se heurta la tête contre le mur. Elle ne voyait plus rien, seul le noir régnait. Les cris se dissipaient au fil des secondes, et là tout s’arrêta. Kyllian regarda le Fregger tomber, il se redressa et courut en direction du vaisseau qui chutait en direction de la Capitale. Dans sa course, un Freijs l'arrêta. Commandant ! Vous ne devez pas aller par là ! Je ne la laisserai pas ! Commandant ! C'est de sa faute ! Elle a quitté la ligne ! Elle a fait d'elle une cible seule ! N'allez pas dans cette direction ! Le vaisseau va se cracher en plein sur la ville ! Comman... POUSSE TOI ! Kyllian poursuivit sa course après avoir poussé un des soldats, au loin il vit une énorme explosion. Le Freggers venait de toucher le sol à cet instant, il s'arrêta net. Il connaissait la procédure de Jeillie. Les Freggers qui touchaient le sol en plein combat allait être détruit pour protéger les données de la civilisation Urasiennes. Commandant ! C'est l'occasion ou jamais ! Le Freijs venait de le rattraper, il était essoufflé, mais ne paraissait pas choqué par la situation. COMMANDANT ! Le Freggers de Jeillie à percée le mur ! Nous pouvons envoyer nos Kamikazes pour détruire les flottes et les canons ! Les soldats au sol pourront passer à travers la brèche et entrer dans la ville ! Je... Elle a voulu attendre... Commandant ! Elle vient de nous permettre d'entrer dans la Capitale ! Elle a réussi sa mission ! Une vie pour en sauver les milliers ! Elle voulait attendre pour être sûr que les Kamikazes ne servent pas à rien ! Non... Commandant ! Vous êtes maintenant le chef des opérations ! Vous êtes celui qui doit nous guider ! Les soldats ne nous écouterons pas ! Vous devez donner l'ordre ! Kyllian était ailleurs, il ne distinguait plus la réalité. Comment le Freggers avait-il pu s'écraser ? Il avait beau regarder en arrière, il n'y avait aucun canon à extérieur de la ville. Le vaisseau ne pouvait pas avoir été touché par-derrière, c'était impossible. Commandant, vous m'entendez ! Que devons-nous faire ? La voix provenait de son oreillette, il regarda les Kamikazes qui était au-dessus de lui et ordonna aux vaisseaux de s'abattre sur les canons de la ville. La nuit commençait à tomber, les kamikazes se rapprochaient de plus en plus de la Capitale, beaucoup se firent détruire pas les canons encore présent. Une explosion se fit entendre, Kyllian tourna la tête, le premier Kamikaze venait d'atteindre sa cible. Il ne restait plus que les autres suivent le mouvement, et plus rien ne pouvait les empêcher de passer. ஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐ Fin du Jour 3 ஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐ |
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Cdte. Jeillie
Respect diplomatique : 58 17/01/1020 ETU 04:06 |
Score : 6
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ஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐ Le début de la fin ஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐ Les soldats venaient d'entrer dans la Capitale, la bataille avait fait plus d'un millier de morts, mais les hommes continuaient à se battre. Ils ne devaient pas abandonner. Jamais. Kyllian regardait les scènes qui se déroulaient sous ses yeux au ralenti. Les enfants se faisaient tirer dessus et tombaient en silence couvert par le bruit des armes à feu. Il ne pouvait pas donner l'ordre d'arrêter, les soldats avaient pris leurs indépendances quand le Freggers transportant Jeillie était tombé. Les soldats les plus haut gradés faisaient en sorte de ne pas le voir quand ils abattaient des familles entière qui n'étaient pas armé. POUR NOTRE CHEF ! Un des Kreijs mit une balle dans la tête à une femme agenouillée qui le suppliait de laisser sa famille en vie. Kyllian ne pouvait rien faire pour empêcher ce massacre, il n'était que le Commandant et non le Chef des opérations. Les Urasiens avaient la victoire assurée, mais continuaient de suivre les anciens ordres donnés au village; tirer sur toute cible en mouvement. Ils allaient détruire une civilisation qui s'était rendu, Kyllian regarda du côté des remparts de la ville qui avait été démolie par le Freggers, lâcha les armes et alla dans sa direction. Les flammes réchauffaient sa peau, le Freggers était entré dans la phase une d'auto-destruction. Il avait l’impression que le temps s'était arrêté, l’impression que seul des fantômes habitaient maintenant les lieux. Le crépitement du feu était comme assourdissant, et la fumée qu'il respirait devenait de plus en plus étourdissent. Comme une drogue qui infiltrait ses poumons à chaque inspiration. Plusieurs fois il eu des vertiges et il dut s'agripper aux parois du vaisseau. Il se dirigea là ou tout avait commencé, à l'arrière du Freggers. Il ne savait pas combien de mètre, il devait encore parcourir, mais chaque bouffée était une souffrance. Il se rendit compte que les projets qu'il avait après la fin de la guerre n'étaient que des projets chimère. Aucune de ses idées n'allait réellement émerger. L'inanité de l'être qu'il représentait lui permit d'ouvrir les yeux. Le futur autrefois évoqué n'était qu'éphémère, une invention pour rassurer les esprits et se donner bonne conscience. Il n'avait pas conscience qu'il s'approchait de plus en plus du fond du vaisseau. Il ne pensait qu'à une chose, qu'allaient-ils devenir ? Il ne savait pas s'ils allaient s'en sortir ensemble, Jeillie, lui et l'enfant. Il devait déjà les trouver alors que le vaisseau commençait à tomber en miette. Il s'écrasa au sol et porta ses mains à sa tête, que devait-il faire ? Cherchait-il en vain ? S'il retrouvait les corps, qu'allait-il faire ? Surement sombrer avec eux. Sombrer avec elles. ...an... Il releva la tête et manqua de se taper contre le mur en se relevant. Devenait-il fou ? Il suivit le son de la voix qui semblait appeler à l'aide, il venait enfin de rentrer à l'arrière du vaisseau. Il regarda autour de lui et comprit ce qui avait provoqué l'explosion. Trois Kamikazes étaient éparpillés en plusieurs morceaux, pourquoi étaient-ils là ? Ma... Il regarda d’où provenait le son et identifia le lieu. Il s'y dirigea et souleva les débris de Kamikaze. L'enfant le regardait apeurer et en larme. Kyllian prit le bras du garçon et l'extirpa de sa prison d'acier. Où est-elle ! Ma...Maman... Il secoua l'enfant comme si c'était une vulgaire poupée de chiffon. Où est Jeillie ! Le petit pointa du bout du doigt la direction du sas. En se levant, il remarqua que l'enfant avait la jambe cassé, il respira un coup et le porta. En quelques secondes, il avait atteint le sas ou était, d'après l'enfant, actuellement Jeillie. Contrairement aux autres pièces, elle était restée intacte. Il déposa l'enfant au sol et se dirigea vers le corps inerte qui était plus loin. Il s'approcha doucement et s'accroupit au niveau de la femme allongé sur le sol. Jeillie ? Il la retourna et regarda son visage qui était en sang. En regardant de plus prêt, il remarqua qu'elle s'était ouverte la tête, sûrement en tombant. Il la prit doucement dans ses bras et la secoua. Réveille-toi, nous avons besoin de toi... Il caressa son visage et comprit que le pire était arrivé, elle n'allait pas se réveiller, plus jamais. Reste avec moi, je t'en prie... Ne me laisse pas... Pas toi... Tout en disant ces mots, il se balançait en avant puis en arrière. Tu te souviens... L'avenir... Ensemble... S'il te plaît, ne me laisse pas tomber... Il se pencha sur le corps et déposa un tendre baisé sur ses lèvres, les larmes lui montaient aux yeux, ils avaient prévu l'avenir ensemble, pour eux, pour... C'est quoi ça ? Monsieur, il y a du bruit dans le mur ! Kylllian leva la tête et détacha son regard du corps de la femme. C'était votre amoureuse ? Il ne répondit pas à la question du garçon et déposa doucement le corps par terre pour voir d’où le son provenait. Il poussa le petit et tapa sur le mur, celui-ci sonnait creux. Il retira un collier qu'il portait autour de son cou, le bout ressemblait à une petite clé. Il l’inséra dans le mur et la tourna. Une trappe s'ouvrit et un nuage de fumée l'aveugla quelques secondes, il s'essuya les yeux et tata l'intérieur du mur et sentit les flammes ronger ses mains. Il sortit quelque chose et le colla contre son corps. Il se leva douloureusement et regarda le petit garçon. Reste avec Jeillie... Je vais revenir vous chercher. L'enfant fit un signe de tête et Kyllian prit le chemin de la sortie. Kylilian arriva à la sortie du vaisseau. Ca ne doit jamais ce savoir... Freggers KJ12, programmer la phase final de l'auto-destruction. AUTO-DESTRUCTION DE NIVEAU DEUX AMORCÉ Il repensa à l'enfant que Jeillie avait sauvé, mais il devait rester sur sa première idée. L'enfant allait se souvenir, alors il était pour lui une menace qu'il fallait éliminer. Il ne devait penser qu'a une chose maintenant, à elle. Il sortit la chose qu'il avait sortie du mur du vaisseau et la contempla. Les soldats n'avaient pas le droit de prendre une femme, ni d'avoir d'enfant, ils avaient réussi à la cacher aux yeux de tous pendant 3 mois. Que devait-il faire ? Les autres soldats avaient l'ordre d'éliminer toute la population alors s'il faisait passer sa fille pour une native, alors il la tuerait. S'il avouait que c'était son enfant, les soldats les tueraient les deux. Il n'y avait qu'une seule solution, cacher sa fille en attendant que le Gouverneur des Urasiens donne l'ordre de stopper la guerre. Il cacha de nouveau l'enfant et se dirigea hors de la Capitale et rebroussa chemin en direction du village qu'ils avaient attaqué il y trois jours. La route était longue et les cratères laissés par les bombardements devaient le faire dévier du chemin d'origine. Il ne devait pas se perdre, et surtout il devait faire survivre sa fille. C'était sa seule priorité maintenant. S'il y avait un futur, c'était elle. Après une journée de marche sans se reposer, il arriva enfin à sa destination. Les Urasiens avaient déserté les lieux, le village était complètement dévasté, mais il n'avait pas le choix. Arrivé à l'intérieur il se réfugia dans une des maisons, ou ce qu'il en restait et se déshabilla. Il prit des vêtements qui traînaient par terre et se rhabilla pour se fondre dans le décor. Il sortit de la maison, sa fille toujours collé contre lui et essaya de trouver des survivants. Après une heure de recherche il vit au loin une silhouette à terre pleurant un cadavre. Une fois arrivé à sa hauteur il resta là sans bouger. Mon enfant... Ils ont tué mon enfant ! Mon bébé ! Mon tout petit bébé ! La femme tourna son regard vers Kyllian et vit l'enfant qu'il portait. Que Dieu vous bénisse pour avoir sauvé votre petit... Nous n'avons pas eu cette chance... Pourquoi le mien n'a pas eu cette chance ! Kyllian baissa la tête, il ne savait pas quoi répondre à la femme et il ne pouvait pas non plus s'excuser pour ses actes. Comment se nomme votre enfant... Il redressa la tête pour regarder sa fille. Avec la peur qu'un jour quelqu'un puisse découvrir l'enfant ils ne lui avaient jamais donné de nom. Pourtant à ce moment, il n'eut pas besoin de réfléchir et répondit à la femme. C'est une petite fille... Et... Son nom est Jeillie. La femme regarda autour d'elle et commença à paniquer. Vous n'êtes pas en sécurité ici, nous ne savons pas si les soldats vont revenir al... Il ne reviendront pas. Elle le regarda perturber par sa spontanéité. Comment pouvez-vous en être sûr ? Je... Je les ai vue tous partir vers la ville. Je peux vous demander un service ? Hum ? Il regarda sa fille et eu du mal à continuer sa phrase. Puis-je... Vous demandez de la garder. Je... Je ne peux pas la protéger. Pourquoi ça ! J'ai perdu un fils et vous voulez que je m'occupe d'un bébé ! Il serra sa fille contre lui comme pour la protéger d'une menace invisible. Je ne peux pas rester ici, je dois aller voir ce qui se passe dans la Capitale. Elle le regarda les yeux écarquillée. Vous voulez aller à Gandika ! Vous voulez abandonner votre enfant ! Comment un père peut il penser à cette éventualité ! Vous êtes un monstre ! Sa mère y est ! Je dois la protéger elle aussi ! Je dois protéger MA famille ! La femme tendit les bras en guise de réponse. Kyllian posa de nouveau son regard sur son enfant et la déposa dans les bras de l’inconnue. Promettez-moi de prendre soin d'elle... Je vous le jure Monsieur, à votre retour avec votre femme, elle sera entre de bonnes-mains. L'homme s'éloigna à reculons refusant de perdre sa fille du regard, mais il se devait de rejoindre des autres dans la bataille. Il devait faire comme les autres soldats, détruire la Capitale et détruire ses habitants. Il ferma les yeux et repensa au crash. Si les Kamikazes n'étaient pas rentrées dans le Freggers, sa femme serait toujours en vie, et sa fille serait toujours à lui. Il se permit une fois sorti du village un regard sur ce dernier et courut en direction de la Capitale ஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐ Le commencement ஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐஐ |
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