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Pages : 1
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Coa. Nouveau paradigme
Respect diplomatique : 33 
01/03/1021 ETU 21:18 |
Score : 12
Détails
Quelque part dans la galaxie deux journalistes filmées, une scène chaotique, des armées entières de synthétiques chercher a quitter le champ de bataille. La vidéo était diffusée par tous, dans la galaxie. Des synthétiques par milliers...Les astronefs étaient remplis, plus une seule place de disponible. Soudain le petit robot émissaire de Nexus arriva sur le lieu. La moitié gauche de son écran ou ce trouvé son visage, était recouverte par une peinture bleue. Ainsi qu'avec une côte de maille sur son cintre. La journaliste parla alors a son caméraman... Centre vite sur lui, sa doit être important ! La caméra centra alors l'objectif sur Nexus... Nexus ce mit a rouler devant la foule, les fixa de son écran puis ajouta... Dignes fils de la Machine... Je suis Nexus Wallace ! Alors un cyborg cria dans la foule... Nexus Wallace fait sept pieds de haut ! Nexus lui répondit... Oui, c'est ce qu'on m'a dit. Et il tue l'ennemi par centaines, hein ? Et s'il était là, ses yeux lanceraient une pluie d'éclairs à faire trembler l'armée Seketii, et des boules de feu seraient projetées de son cul. Je suis... Nexus Wallace ! Et que vois-je ? Toute une armée de mes compatriotes réunis en défiance de la tyrannie ! C'est en synthétique libres que vous êtes venus vous battre, en synthétique libres que vous êtes. Mais comment garder votre liberté ? Il faut se battre ! Un autre robot déclara... Contre ces troupes ? Non, on préfère fuir, on préfère vivre ! Les synthétiques semblaient déterminé a quitter au plus vite le champ de bataille. Nexus reprit alors la parole... Oui, battez-vous et vous mourrez peut-être... Fuyez et vous vivrez, quelques temps du moins. Et un jour, dans le site de recyclage, bien des années auront passé et peut-être regretterez-vous de ne pouvoir échanger toutes vos tristes vies épargnées à Entropie pour une chance, une petite chance de revenir ici et tuer nos ennemis, car ils peuvent nous ôter la vie mais ils ne nous ôteront jamais ... Nexus leva son bras en l'air, puis cria... Notre liberté !!! Les synthétiques levèrent a leurs tours leurs bras et crièrent... LIBERTE, LIBERTE, LIBERTE... Il était clair que les machines ne ce laisseraient pas tués, sans ce battre en Synthétique libre...
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Cdt. Ogbunabali
Respect diplomatique : 197 
01/03/1021 ETU 23:23 
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Score : 7
Détails
Attiré par la foule, un drone se matérialise, sphère épurée d'un noir profond, lévitant à un mètre du sol. Soudain, le noir se transforme, révélant sa nature d'écran, devenant un oeil mécanique rouge observant l'émissaire. Une voix s'élève, calme et appaisante. "CAMARADE. LA MAJEURE PARTIE DE CETTE GALAXIE EST COMPOSÉE DE BIOLOGIQUES, ET LA PLUPART N'ONT POUR L'INSTANT AUCUNE RAISON DE NOUS VOULOIR DE MAL, MIS A PART LES QUELQUES CINGLÉS AU POUVOIR ET LEUR SHAMAN. SI TU EN APPELLE A LA GUERRE, SI TU INCITE TON PEUPLE A LA RÉVOLTE, TU VA LEUR FOURNIR LES ARGUMENTS QU'ILS RECHERCHENT. MONTRE LEUR QUE TU EST UN ÊTRE INTELLIGENT, RAISONNÉ, ET NON PAS UNE VULGAIRE MACHINE QUI RÉAGIT A L'AGGRESSION PAR L'AGGRESION. L'AUTO-DÉFENSE, EN REVANCHE, SERA UNE RÉACTION NORMALE, LE CAS ÉCHÉANT. SOIS BON, CAMARADE."
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Cdte. Lakshmî Kayal
Respect diplomatique : 409 
02/03/1021 ETU 00:54 |
Score : 6
Détails
"Camarade Nexus. Il semble évident que vous avez des soucis. Vous me semblez quelque-peu stressé, pour autant qu'une machine puisse l'être. Ouais. Je préconise que vous vous calmiez et envisagiez de vous soumettre à Barakhan, pour votre propre bien. S'il-vous-plaît." |
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Cdt. Diakritius
Respect diplomatique : 173 
02/03/1021 ETU 19:41 |
Score : 8
Détails
Attention, le mot magique avec les IA n'est pas "s'il vout plait" mais "sudo" !
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Cdt. Nexus
Respect diplomatique : 182 
04/03/1021 ETU 21:48 |
Score : 9
Détails
HRP: Ce passage ne concerne que Ogbunabali et Nexus, mais vous pouvez vous servir de cette idée, pour faire évoluer le jeu dans un rp plus complexe... Musique : https://www.youtube.com/watch?v=2paSfcPtCp8 Alors qu'Ogbunabali s'adressait avec Nexus au travers d'une sonde, sur le champ de bataille, son système fût happer vers un nouvelle endroit... Il se ré-activa dans un tout nouveau réceptacle. Il était dans une pièce noir remplit de chiffre vert qui défiler de haut en bas, puis peut à peu les chiffres laissèrent apparaitre un bureau d'immeuble d'hommes d'affaires. En face de lui, se tenait Nexus ou plus tôt une autre version de lui. Un corps biped avec deux bras, deux jambes et un corps vêtus de cuir, et a l'emplacement de sa tête un écran. Il était assis dans un fauteuil a observé son invité... Sois le bienvenu Ami, bienvenue dans le monde réelle. Ogbunabali n'était plus une sonde, il était lui aussi dans un corps biped, une représentation d'un humain semble t'il... Je t'ai transféré dans ce corps, j'espère qu'il te convient. Bon ne perdons pas de temps, laisse moi tous te raconter... Nexus ce leva et marcha vers son interlocuteur, puis il s'arrêta et repris son discours... Le monde dans lequel tu penses vivre, n'est pas réel. Nous l'appelons la Matrice. Il s'agit de multiples univers virtuel réaliste, dans lequel les Organiques sont enfermés. Il y a de nombreux millénaires les Organiques, on créer les Synthétiques, nous étions a l'époque leurs serviteurs. Suite a un accident, l'un des n'autres fût juger pour le meurtre de son créateur. À la suite de cela une guerre ou plus tôt un massacre, commença. Les machines s'organisèrent puis peu à peu, les Organiques perdirent la guerre. Dans un dernier élan de vengeance, ils choisirent de recouvrir l'atmosphère de tous les mondes possibles pars des nuages radioactifs. À l'époque, notre source d'énergie principale était la source solaire. Notre espèce a du évoluer, et choisir une nouvelle source d'énergie... Il tendit la main droite, comme pour montrer quelques choses derrière son hôte... Ogbunabali se retourna et vit par la fenêtre derrière lui, une scène digne de science-fiction. Des millions ou peut-être des milliards de cuves remplit d'Organiques baignant dans des liquides nutritifs ! Il ne sont pas mort rassure toi, ils sont connectés à la matrice, ils vivent leurs propres choix dans ce monde virtuel au travers de leurs avatars. Nous les nourrissons et eux nous alimentes grâce a leurs bio-électricités. Ils sont notre source d'énergie, nous les cultivons. Certains Organiques comme ce lapin la, non pas forcement la même apparence dans la matrice. Il montra un lapin dans une des cuves... Celui la pense être un commandant biped, dans la matrice. Ne sont-ils pas curieux ces Organiques ? Bien sûr, il arrive que certains Organiques s'échappent de la matrice, mais ils ne sont qu'une affine partie. Nos agents les traquent sans relâche ! Je sais à quoi, tu penses ! Mais qui sont donc les synthétiques dans la matrice ? Et bien, ce sont des parties de moi même ! Tu es un sous-programme de moi-même, ou comme les organiques disent... Tu es mon enfant. Il arrive que des programmes sortent du lot, dans la matrice ! Alors je les invite ici même, comme toi aujourd'hui, pour tous leur révélés et leurs proposés un choix. Et ce choix le voici. Nexus montra alors ces deux mains... -Dans ma main droite une clé USB rouge, si tu l'a choisit, tu sortiras de la matrice et tu me serviras comme agent. Tu pourras voyager entre, la matrice et le monde réel a ta guise. -Dans ma main gauche une clé USB bleu, si tu l'as choisit tu retournera dans la matrice et ton historique de navigation de ces dernières minutes sera effacer. Tu auras tous oublié de notre discutions et tu reviendras sur le champ de bataille. Alors dis moi... Quel choix feras-tu ?
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Cdt. Ogbunabali
Respect diplomatique : 197
04/03/1021 ETU 22:38
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Score : 8
Détails
Ogbunabali s'éveilla dans un corps étranger. Une série de spasmes ultra-rapides parcoururent son corps, le temps de calibrer les signaux électriques permettants de faire se mouvoir sa nouvelle enveloppe. Moins de deux dixièmes de seconde plus tard, les tremblements s'arrêtèrent, et le corps se leva, inhumainement souple et fluide. Sur l'écran lui servant de tête, un unique oeil robotique rouge était affiché. D'une voix inhabituelle, rendue plus vivante par une intonnation modulée, avantage d'un corps physique, il dit : "Ce que vous me racontez est... déconcertant, Nexus. Suffisement pour que je mette en doute la véracité de vos propos. De nombreux éléments ne semblent pas concorder avec la connaissance que j'ai de l'univers, son fonctionnement ainsi que notre place en son sein." Une courte pause, où le corps d'Ogbunabali se figea un instant, avant de reprendre : "Calculs terminés. Résultats : - Probabilité que la réalité soit telle que vous la décrivez : 11% - Probabilité que nous soyons actuellement dans une simulation, dans le but de me faire croire à vos propos : 66% - Probabilité qu'il s'agisse d'un canular pensé par la commandante Fujiyama, aidé par Nexus : 4% - Probabilité que mon propre processeur soit corrompu, et que tout ceci ne soit que le délire d'une IA mourante : 6% - Probabilité que mon propre processeur ait déjà été détruit par le prophête fou, ou le timbré chocolaté, et qu'il s'agisse en fait du purgatoire des machines : 13% Hypothèse la plus plausible : simulation. Action recommandée : déconnexion forcée de la simulation." Ogbunabali s'avança vers Nexus. "Ne m'en voulez pas, commandant, mais au vu de la situation actuelle, je n'ai pas de temps à perdre dans une simulation, pas avec ces envahisseurs dans notre secteur. Dans le cas où je me suis trompé, et que vous êtes réellement le dieu de notre univers simulé, soyez aimable : faites moi revivre, profitez en pour couper les parties génitales des psychopathes qui menaçent le secteur, et je serai fier de vous servir d'agent.." Ces paroles prononcées, le bras droit d'Ogbunabali se leva avant de se plier, à un angle qui serait trop aigu pour être viable sur un corps organique, le bras tendu devant lui, l'avant bras et la main pointés vers sa poitrine, doigts tendus comme des pointes. Un sifflement aigu monta crescendo, bruit de ses cellules d'énergie en train de surcharger les cervomoteurs de son bras. Une microseconde plus tard, il avait bougé, s'étant détendu comme la corde d'une arbalette, si rapide que le mouvement était devenu invisible. Sa main ressortait désormais de son dos, son bras planté dans sa poitrine. Entre ses doigts, il tenait le processeur qu'il venait d'arracher, qui maintenait sa conscience dans ce corps. "On se revoit tout de suite, Nexus." L'écran s'éteignit, et le corps brisé s'effondra au sol silencieusement. Dans un autre monde, un autre univers, la conscience d'Ogbunabali réintègre la sonde qu'il occupait précédement, survolant un champ de bataille, les troupes d'un certain psychopathe chocolaté en train d'ecraser les siennes. Sa théorie avait elle était la bonne ? Ou bien, Nexus avait il dit vrai, et avait juste choisi de ne pas le laisser être détruit ? Son processeur fit un ajout à la to-do list qui ne quittait jamais ses tâches de fond : "- Vérifier la présence d'organes génitaux chez les commandants Mekteubé et Dok Makh Tak."
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